Note de l'auteur : Coucou ! Je sais, j'ai autant de patience qu'un môme de 3 ans j'ai pas pu attendre pour mettre la suiiiiiiite. J'avais la souris qui me demangeais. La seconde partie, commence ici.

Dites moi ce que vous en pensez.

A votre plaisir,

AZAAZEAL

PARENTAL ADVISORY

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Chapitre 1. Poudlard, tu retrouveras.

L'Académie Britannique des Aurors c'est THE endroit où il faut être si vous voulez réussir votre vie. Cette école à autant de prestige qu'une paire d'escarpin Dior, une robe Vera Wang et un sac à main Gucci réuni. La grande classe.

Et moi Hermione Jean Granger, 18 ans, héroïne de son état, fraîchement diplômée de la célébrissime école de sorcellerie de Poudlard, avec tous les honneurs qui me sont dû, y entre par la grande porte.

C'est que j'y avais ma place avant même de savoir que j'étais sorcière.

Et, à première vue, la plupart des élèves de ma promotion de Poudlard aussi. Puisque c'est avec une grande désespérance que je les retrouves tous à l'Académie, à croire que cet établissement est une formule avancée de papier tue mouche, tout les parasites s'y pressent.

Ainsi

- HERMIOOOOOOOOOOOOOOONNNEEEE ! AHHHHHHHHHH J'SUIIIIS TROOOPP CONTEEENNNNTTEEEEE !!!

Si vous cherchiez une voix plus désagréable que le sifflement d'un RER proche de la fin de son service, voici Lavande Brown. Je me demande toujours comment elle à fait pour être prise. Bien trop petite pour atteindre le porte feuille de son père et payer le recruteur, pas assez maline pour se mettre à quatre pattes et rouler sous le bureau.

- TU DEVINERAAAAA JAMAIIIIIS QUI ESTT AUSSIII LAAA CETTTE ANNNNEEEEE !!!

- A vue d'œil, je dirais – faisant mine de réfléchir- la moitié de notre promotion de Poudlard.

- Bah, comment tu sais ?

Si, ça existe.

- Je ne sais pas, c'est peut être à cause du fait que tout le monde est présent dans cette salle.

Elle regarda derrière nous.

- Ah oui ! J'suis blonde des fois moi.

- Pas des fois, tout le temps.

La pauvre Lavande ne compris pas la finesse de ma blague ce qui ne l'empêcha pas de filer aussi bruyante que l'éclair pour retrouver Padma Patil, sans Parvati. Si elle était pourvue de tout les défauts du monde, Radio Potin avait au moins eu le mérite d'avoir choisi de suivre des études pour lesquelles elle était douée, c'est comme ça qu'elle s'était retrouvée à la botte de Skeeter, à Sorcière Hebdo.

Ainsi, elle pouvait cancaner sur tout, tout le monde, tout le temps et ce en toute légalité. Son rêve.

- Je n'ai jamais aimé les réunions de rentrée, c'est tellement, inutile.

S'il y avait bien une personne au monde avec laquelle je ne souhaitais aucunement me retrouver ici, si ce n'est tout Poudlard, c'était lui. Drago Malfoy.

- Autant que ta présence en ce bas monde.

- Hilarant Granger.

- Que veux-tu, c'est un don, parmi nombre de mes talents.

Son sourcil s'arqua. Nous nous tenions côte à côte, et regardions ensemble, sans intérêt, le spectacle qui se jouait un peu plus loin. Un vieil homme, aux allures de pédophiles tentait plus mal que bien de se faire entendre par la foule. Si les trois quarts l'ignorait superbement, mon ennemi et moi avions la décence de faire semblant de nous intéresser à son existence.

A la suite de ce fiasco, le peu que j'eu compris c'était que l'Académie fonctionnait sur les mêmes principes que Poudlard. S'il n'y avait pas de distinction par maison, il existait néanmoins des dortoirs par promo, seulement séparés par le sexe. A raison de 30 étudiants sélectionnés par ans, nous devions nous retrouvés à 15 filles et 15 mecs.

Et sur ses faibles statistiques nous étions : 12 filles et 14 mecs de Poudlard.

Flippant non ?

- Bien, Granger, je te dis à toute.

- Ouais, ouais.

Je le regardais partir, Merlin qu'il était beau. Je crois qu'il ne sait pas ce qu'il veut ce qui explique pourquoi il se retrouve ici. Quand tonton Voldy est mort il n'avait pas de camp définis, et je pense qu'il n'en à toujours pas, l'explication la plus probable doit être qu'il essais de racheter un nom à sa famille. Ce qui, en soit, n'est pas une mince affaire.

- Hermione !

Ah, enfin une voix qui me plait.

- Harry !!!! je fais si peur que ça ?

- Pourquoi ?

- Tu te cachais où ?

- J'étais juste derrière toi, je vous trouvais si mignons avec Malfoy que je n'aurais gâché ce moment pour rien au monde. C'était tellement romantique.

- T'es lourd.

Il sourit.

Harry Potter Auror tombait sous le sens, je dirais que ce fut aussi prévisible que le choix de Ron de s'essayer à une carrière dans le Quidditch. Je n'invente rien et les seuls qui furent étonnés de leurs choix furent, eux même.

- Devine un peu qui est dans notre classe.

- Surprend moi.

- Parkinson.

-Quel étonnement.

- ?

- Après avoir vu tout Poudlard défiler je me demandais quelle catastrophe pourrait bien nous arriver encore. On dit « meeeeeerci papa ».

Il ria, embrassa mon épaule.

- Tu m'as manqué.

- Menteur.

Je le regardais, tandis que nous nous dirigions, valises à la main, vers les appartements des premières années, suivant le groupe.

Nous avions passé nos vacances sur les côtes Californiennes, ouais, ça change hein. Los Angeles était un endroit vraiment sympa, et très accueillant. La gente masculine maîtrisait en effet, avec perfection l'art de recevoir.

- Parle pour moi toi.

Harry, Ron et moi avions passé notre été si ce n'est sur la plage, à visiter toutes les chambres de la côte Ouest. Des plus luxueuses aux plus sordides, pour Ron j'entends, je ne fais que dans le luxe. Perso.

Au pire, si j'échoue dans les études je pourrais toujours me trouver un richissime vieillard que j'entretiendrais physiquement jusqu'à ce que mort s'en suive.

Mort par orgasme ? C'est puni par la loi ça ?

Je n'ai pas de commentaires spéciaux à faire sur les appartements, tout était communs aux premières années except les dortoirs et les chiottes. Il y aurait eu la vieille peau que je me serais crue de retour à Poudlard.

Rien de bien exceptionnel.

Quoi que, la tenue d'usage de l'académie est, tout sauf immonde, c'est bien là l'une des rares choses qui à attiré mon attention. Je dirais qu'on ressemblerait aux X-men, je ne sais pas qui à eu l'idée des combi noires en cuir moulant, mais cette personne savait que j'aurais simplement divine dedans.

En gros, si vous étiez gâtés par la nature, c'était tout à votre honneur, dans le cas contraire, j'aurais fait comme Parkinson, c'est à dire refuser de sortir du dortoir criant à qui veux l'entendre qu'ils m'ont mis volontairement une taille trop petite.

Je sais ce que vous pensez, je pense pareil. Et les mecs dans tout ça ?

Merlin soit béni, si le paradis existe, alors je suis heureuse d'être morte. Je crois qu'ils auraient été à poil que ça aurait rendu pareil. Ils portaient un moule attributs qui leur allaient à merveille et c'est peu dire. C'était comme une villa grand luxe, poutre apparente.

Du peu que j'ai vu, j'ai raté l'infarctus.

Il manque néanmoins encore un ou deux étudiants de notre classe. Les seuls qui n'eurent pas le « plaisir » de faire leurs scolarité à Poudlard, c'est-à-dire pas grand monde, 4, au total.

- Alors voilà, j'y suis.

- On y est, tu veux dire.

Je regardais Harry, puis l'horizon.

On y était.

Enfin.