Chapitre 1
Fiancée
Ma vis n'a pas toujours été facile. Je suis née il y a environ dix-huit ans, mes parents se nomment Charlie et Renée Swan et je ne pouvait pas avoir deux parents plus incroyables qu'eux. Tout deux travaillent extrèmement fort et ont essayer de me donner tout ce qu'ils pouvaient. Mon nom est Isabella Marie Swan.
Nous vivons à Forks, Washington, une petite ville au sud de Port Angeles où la seule attraction est la nature pour la chasse et le camping. La plupart des journées sont passées à se cacher de la pluie et tout est très vert.
Charlie est le chef de police de Forks et Renée est professeur à l'école primaire local.
L'été de ma dernière année au secondaire, j'ai eu la plus grosse surprise de ma vie. Je revenais d'une journée passée avec mon ami à First Beach dans la réserve amérindienne de La Push.
« Bella, peux-tu venir ici s'il-te-plaît?» m'appela Charlie du salon.
Je descendis l'escalier et allai m'asseoir entre mes parents.
«Quelque chose ne va pas?»
« Non chérie, nous voulions seulement te parler.» Renée sourit
« Ah d'accord, me parler à propos de quoi?» je m'installai dans les coussins.
Ils s'échangèrent un regard silencieux.
Je commençais à sentir la panique me serrer l'estomac.
« Il y a environ dix-sept ans, ton père et moi étions à Seattle pour quelques semaines. Il avait été envoyé à la tête de la sécurité pour cet homme très important pendant qu'il était dans la ville.» affirma prudemment Renée.
« Quelques jours avant qu'il ne quitte, je l'ai sauvé, lui et sa famille, d'un horrible accident. Il y a eu des tirs, la total.» Charlie continua. « L'homme m'a dit qu'il me devais la vie et qu'il voulais me le repayer de toutes les manières qui lui étaient possible. Je ne pouvais rien lui demandé, car je ne trouvais pas ça correct, alors à la fin nous en sommes venus à un compromis.»
« Tous les quatre, ta mère et moi, lui et sa femme, avons signé un engagement qui dit que lorsque tu auras dix-huit ans, tu marierais leur fils aîné. Bella nous t'avons promise à quelqu'un.»
je restai assise choquée, incapable de parler pour plusieurs minutes. Lorsque finalement je retrouvai ma voix, j'essayai de rester calme. « S'il-vous-plaît, dites-moi que c'est une blague.»
Renée secoua la tête, « c'est la vérité, Bella».
J'étais incapable de formuler quelque chose de cohérent dans ma tête.
« L'homme avec lequel nous avons fait cet arrangement est le roi Carlisle d'Angleterre. Son fils, le prince Edward est ton promis.» Charlie ne m'avais pas regardée dans les yeux durant tout le temps qu'il avait parlé.
« Alors quoi? Vous allez m'envoyer là-bas comme si j'étais une valise? N'ai-je pas mon mot à dire là-dedans?» J'avais finalement retrouvé ma voix, prête à piquer une colère.
Aucun des deux ne me regarda et ils soupirèrent. « Cet arrangement est dur comme fer jeune fille, ils ont envoyé toute l'information pour toi. Ton avion décolle demain et tu restera avec eux jusqu'au mariage.» me dit Charlie.
Je ne pouvais toujours pas me résoudre à croire ce qu'ils me disaient, un mariage arrangé? À un prince rien de moins. Je n'avais vraiment aucun choix et demain matin, je partais pour une pays inconnu.
« Vous ne pouves pas m'y obligé, je n'irai pas.» têtue, je croisai les bras. « Un prince? Vous êtes fous tous les deux.» maugréai-je.
« Bella, ne sois pas si difficile, nous ne t'envoyons pas travailler en tant qu'esclave. Ceci est une bonne chose, il pourra t'offrir des choses que tu n'as jamais rêver avoir.» Elle mit sa main sur ma joue.
« C'est vrai.» Je m'éloignai d'elle. « Comment avez-vous pu me cacher tout ça ces dix-sept dernières années? Ne croyez-vous pas que j'avais le droit de savoir?»
« Nous pensions que ce serait mieux si nous ne te le disions pas et maintenant je peux voir que ça l'était.» Elle soupira, regardant Charlie pour un peu de support.
Je les regardai, furieuse. « Vous avez gâché ma vie»
« Arrête d'être si dramatique Bella. Nous avons fait ça pour ton bien.» les dispositions de Renée habituellement si positives s'affaiblissaient.
« Ça me sert à rien d'argumenter Bella, la limousine sera là demain matin.» Normalement, Charlie n'était pas aussi brusque avec moi. C'était probablement plus dur pour lui je j'avais réaliser.
Frustrée, je me levai alors que des larmes de colère coulaient sur mes joues. Sans un mot ou un regard, je me précipitai vers l'escalier puis dans ma chambre claquant la porte sur mon sillage. J'allais de mon lit à mon garde-robe, en essayant de concocté un plan quelque peu rationnel pour me sortir de cette situation.
Rien ne me vint à l'esprit.
Avec tou à l'intérieur, je voulais hurler, je voulais jeter des objets à travers ma chambre et causer une agitation, mais ce n'était pas qui j'étais. Je ne pouvais pas me persuader de le faire.
Après dix minutes et un creux permanent dans mon tapis, je capitulai et commençai à faire mes valises. Il n'y avait pas grand chose, mais j'essayai d'étirer le processus le plus possible.
Après avoir rangé mes livres et mes vêtements, je trouvai mon sac d'effets de toilette et allai prendre une douche dans notre salle de bain commune au bout du couloir. Je barrai la porte de la salle de bain et tournai l'eau aussi chaud que je pouvais endurer. Je me déshabillai et entrai. Ça me pris toute ma volonté de me pas craquer comme je me tenais sous le jet d'eau chaude. Lorsque que je finis, je sortis et me chageai pour une paire de pantalon ouaté et un t-shirt comfortable. Je brossai mes cheveux et retournai dans ma chambre. J'éteingnis les lumières et montai dans mon lit.
je restai là regardant le plafond et laissant les larmes rouler sur mes joues je refusais de les laisser voir que je pleurais.
La prochaine chose que je réalisai c'est que c'était le matin et que le soleil brillait. Bien sur, le jour où je me retrouvais à quitter Forks, le soleil décidais de se pointer le bout du nez. Je me rendis à la fenêtre et tassai les rideaux révélant ainsi un ciel bleu clair. Lorsque je décidai que j'avais assez perdu de temps à regarder par la fenêtre, je m'habillai.
J'allai à la salle de bain et me brossai les dents. J'essayai de faire quelque chose de mes cheveux indomptables, mais je laissai finalement tomber et me fis une queue de cheval. Je pris mes valises et réussi à les descendre sans tomber.
Mon corps me criait de combattre. De leur dire que de me forcer à faire ça n'était pas correct. Que je devrais pouvoir choisir quelqu'un de moi-même.
Renée et Charlie étaient dans le salon en train de se parler à voix basses jusqu'à ce qu'ils remarquent ma présence. « Bon matin ma chérie, veux-tu ton petit déjeuner?»
Je secouai la tête et restai là. Qu'est-ce que l'on est supposé dire à des parents qui nous ont tant donné tout au long de notre vie et qui maintenant nous envoient dans une pays étrangé? " Non merci maman, je suis sûre qu'ils ont préparé un festin pour mon arrivée. Je te dirai tout ce que tu veux savoir sur les détails du mariage." Ce ne serais probablement pas une très bonne idée.
Juste avant que j'ouvre la bouche pour parler, quelqu'un cogna à la porte.
Charlie alla ouvrir « bienvenu votre majesté.» Il inclina la tête. « S'il-vous-plaît, entrez.» Il fit un pas de côté pour laisser entrer la personne.
Ma mâchoire est presque tombée sur le plancher lorsque je vis l'homme qui venait d'entrer dans la maison.
Il avait l'air d'un top modèle, mais avec un air majestueux. Il avait les cheveux blonds coupés court et une peau très pâle. Il avait l'air grand et fort, laissant les autres savoir qu'il était en charge, mais il émanait de lui une compassion qui faisait qu'il semblait accessible. « tu dois être Isabella .» il fit un pas dans ma direction. Cet accent Britannique allais causer ma mort.
« Bella, S'il-vous-plaît, votre majesté. » Je touchai mes joues.
« Bella, bien-sûr, tu peux m'appeler Carlisle.» Il sourit. « Je déteste être grossier, mais nous devons partir.» dit il à mes parents. Il claqua des doigts et deux hommes vinrent et prirent mes valises.
Renée vint vers moi et prit mon visage entre ses mains « je sais que cela peut te sembler déraisonnable et que tu nous hais maintenant, mais j'ai le sentiment que tout va s'arranger. Je t'aime Bella.» Elle m'enlaça.
Charlie était aux alentours mal à l'aise, il s'éclaircit la gorge quelques fois « Téléphones-nous lorsque tu arriveras, s'il est trop tard au moins, envois-nous un courriel.» Il m'embrassa sur le front.
J'acquieçai « Au revoir.» Je suivit Carlisle dehors et m'arrêtai lorsque je vis la limousine Hummer. Ces gens avaient ménagé aucune dépense. Le chaufeur ouvrit la porte pour nous je grimpai en premier, suivis de Carlisle. Je m'assis à l'arrière et Carlisle alla s'asseoir en avant à côté d'un superbe femme aux cheveux cuivrés.
Une fille ressemblant à un lutin vint s'asseoir à ma droite. Elle avait des cheveux noirs coupés courts qui pointaient dans tous les sens et la peau pâle. Ses vêtements dont on voyait clairement qu'ils étaient de la main d'un designer me firent penser qu'elle aussi pouvait être de la famille royale. «Salut Bella, je suis Alice, la fille de Carlisle.» Elle me tendit la main.
« Je suis heureuse de te rencontrer.» je rougit.
« Papa a pensé que je pourrais t'aider à te préparer pour ton arrivée. Qui est notre famille? À quoi s'attendre lorsque nous arriverons? Quand rencontreras-tu Edward?» Alice avait définitivement beaucoup d'énergie; elle parlait presque trop vite pour que je puisse comprendre. « Nous allons aborder plus de sujets plus tard, mais il m'a dit de ne pas te surmener maintenant.»
je rougit encore un fois « Oui s'il-te-plaît, pas de surmenage»
« Très bien alors.» son rire était comme une légère trille, qui était musicale dans un sens. « Pour commencer, je te présente notre mère.» Elle pointa le femme assise à côté de Carlisle. « C'est la reine Esmée. C'est une femme très gentille et aimante. Ils se sont rencontrer à l'école et se sont aimés au premier regard.»
« Edward est l'ainé il est euh... ce n'est pas une personne très sociale. Mon autre frère se nomme Emmett, il est essentiellement un gros nounours il fait peur de l'extérieur, mais il est doux et taquin à l'intérieur.» expliqua-t-elle.
« Génial, l'homme que j'allais épouser était un ermite. Ça allais être parfait. Il portait probablement des lunette avec du papier collant sur les branches et des pantalons trop court. Mille fois merci à Charlie et Renée.
« Emmett et moi sommes tous les deux en couple, sa femme s'appelle Rosalie. Elle est grande, Blonde et très persévérante, ne sois pas trop intimidée par elle.» continua Alice. « Mon fiancé s'appelle Jasper Withlock. Nous nous sommes rencontrer au collège et avons immédiatement sût que nous étions fait l'un pour l'autre.»
j'acquieçai poliment lorsque j'avais à le faire et souriai lorsqu'elle parla un peu plus de Jasper, il avait l'air d'être quelqu'un de bien. Au moins j'aurais deux amis dans toute ce désordre. Lorsque nous arrivâmes à l'aéroport, je fus confuse lorsque nous quittâmes les terminaux pour nous diriger vers une autre partie de l'aéroport.
Alice vit la confusion sur mon visage et sourit « Nous avons notre propre avion, Bella.»
Bien sur qu'ils en avait un, Ils étaient probablement les personnes les plus riches de la planètes, pourquoi n'auraient-ils pas leur propre avion? Je regardai craintivement autour de moi et essayai d'écouter attentivement Alice alors qu'elle me submergeait de tout ce qu'il me restais à savoir. Elle expliqua que la presse allais être présente lorsque nous allions atterrir, mais de ne pas leur prêter attention.
Ils n'avaient pas l'intention de m'introduire à la presse avant que je sois reposer du voyage et que j'ai eu l'occasion de rencontrer Edward. Elle m'appris aussi quelques choses sur Edward, il avait vingt-cinq ans, jouait du piano classique et avait une belle collection de CD et de livres. Super, un homme plus âgé.
Ce n'était pas l'histoire de sa vie, mais au moins, j'avais les bases.
J'avais le sentiment qu'elle me cachait volontairement quelque chose, mais je ne la pressai pas. Être ici n'était pas mon idée et je n'allais sûrement pas essayer d'aller chercher des informations sur lui.
Lorsque nous avions fait quelques heures de vol, je me senti glisser vers le sommeil, l'oreiller sur laquelle reposait ma tête était la plus comfortable que je n'ai jamais eu.
Mon cellulaire me réveilla et je vit que c'était mon meilleur ami, Jacob Black. Oups! J'avais complètement oubliée Jacob. Qu'étai-je sensée lui dire? J'ouvris mon téléphone et le portai à mon oreille. « Allô?»
« Bells, est-ce que ça te dis de venir faire un tour?» sa voix profonde et enrouée m'était si chaude et familière. « Je commence à travailler sur la Rabbit.»
Je fléchit intérieurement « Je souhaiterait tellement pouvoir Jake.»
Il arrêta « qu'est-ce qui ne va pas chérie?»
« Hier, mes parents m'ont dit qu'ils m'envoyaient en Angleterre pour rencontrer l'homme auquel ils m'ont promise.» je gardai ma voix basse. « Nous sommes présentement dans l'avion.»
« Vraiment très drôle Bella.» s'esclaffa-t-il
« Jake je suis complètement sérieuse.» je me mordis la lèvre inférieur pour m'enpêcher de pleurer. «Il ont attendu jusqu'à hier soir et ne m'ont pas donner le choix, je devais y aller.»
Il ne dit rien pendant un moment. « Bells, je.... peut-être que je peut venir te chercher, t'emporter loin de ces fous et t'amener vivre avec moi et Billy.» suggéra-t-il
Oh si seulement il pouvait, sa peau rousse me manquait déjà et la manière qu'il avait de me faire sentir en sécurité dans ses bras. Il était de La Push et avait de longs cheveux noirs avec des yeux encore plus sombres. Il était immense, au moins 6' 5'' et des muscles à des places où je ne savais même pas qu'il pouvait y en avoir.
«Ce n'est pas une très bonne idée.» je soupirai, fermant mes yeux alors que d'autres larmes tombèrent.
« Je t'appèlerai dès que j'en ai la chance, Jake. Je te le promets, tu me manque déjà tellement.» admis-je.
« Ouais, moi aussi, d'accord. Essais de ne pas tomber et de briser quelque chose.» Il rit pour lui-même.
Je roulai mes yeux. « D'accord, Bye.» J'attendis quelques secondes avant de couper la communication, je serrai l'oreiller contre moi et me rendormis. Mes rêves étaient étrages, pleins de Jacob et d'un autre homme. Je n'étais pas capable de voir nettement son visage, mais quelque part à l'intérieur de moi, je savais que c'était mon âme soeur.
« Bella, nous sommes arrivés.» chuchota Alice dans mon oreille.
Un grognement s'échappa de mes lèvres
Elle me sourit. « Tu vas aimer. Je te le promets.»
Je me levai lentement, me sentant un peu vacillante après avoir tant dormi. Près de la sorti, je vis Carlisle et Esmée souriant alors que je m'approchai. J'avais l'impression de rêvé, comme si tout ce que j'avais à faire c'était me pincer et je me serais réveillée, mais au plus profond de moi, je savais que ce n'était qu'un souhait.
Carlisle et Esmée sortir de l'avion en premier et embarquèrent dans la première limousine.
Après, Alice et moi débarquèrent de l'avion. Elle avait raison à propos des paparazzi, ils étaient partout. Pendant que nous nous frayions un chemin jusqu'à notre limousine ils n'arrèrent pas de nous crier question sur question. Heureusement, ils étaient repoussés par les gardes. Nous entrâmes dans l'autre limousine et nous sommes éloignés.
Mon cerveau travaillait durant tout le temps. Où allions-nous? Comment serait Edward? Pourrai-je sortir au beau milieu de la nuit et retourner à Forks? La dernière question était impossible, mais je la garderais comme dernier secours. Je tremblais de peur à l'idée de ce qui restait à venir.
Je remarquai à peine lorsque nous atteignîmes notre destination. C'était de loin le plus grand palace que j'avais jamais vu, j'en restai bouche bée.
« Impressionnant, n'est-ce pas?.» Me demanda une voix féminine et nasale. « Je m'appelle Lauren et bienvenu à Volterra mademoiselle Isabella.»
« Salut Lauren.» je me mordis la lèvre, sentant immédiatemment son hostilité envers moi. Quelle excellente idée d'être venu içi. « Appelles-moi Bella s'il-te-plaît.»
« Par ici Mademoiselle Bella, vous avez une rencontre avec le prince dans deux heures.» Elle commença à marcher.
Lorsque je réalisai qu'elle marchait, je me dépêchai, prudemment, à la rejoindre et la suivit alors qu'elle me guidait à travers le château. Tout était si beau; j'avais à peine le temps de regarder. Tout semblait tellement vieux et historique.
« Dans cette direction se trouve la salle du trône, vous pourrez visiter le château, lorsque que tout sera arranger pour vous.» Elle pointa alors qu'elle marchait. « Votre chambre sera à l'étage et vos effets sont dépaquetées au moment où nous nous parlons.»
Lorsque que finalement nous fûmes rendues aux escaliers, elle me conduisit à travers un long couloir me pointant quelque peintures et pièces d'art. Finalement, elle s'arrêta devant une porte, la quatrième à droite. « C'est ici mademoiselle Bella.» Elle ouvrit la porte et nous entrâmes.
Je restai bouche bée une fois de plus, l'antichambre était plus vaste que ma cuisine et mon salon réunit. Je continuai et vit la chambre. Elle était aussi grande que l'antichambre. Le lit était plus grand que dans mes espérances et avait l'air si comfortable.
La voix nasale de Lauren interrompit mes pensées alors que j'examinai la pièce. « Vous avez assez de temps pour vous rafraîchir si vous voulez, le prince vous attendra dans sa chambre dans deux heures. Quelqu'un viendra vous chercher.»
J'allais lui poser une question lorsqu'elle partie en fermant la porte. Très amère. Après être restée planté là pendant quelques minutes, je cherchai le placard et faillis avoir une attaque de panique lorsque que je le trouvai, toutes les pièces étaient de la même grandeur et je pourrais me prendre seulement dans ce placard. Chercher quelque chose de décent à me mettre fut presque mission impossible. Non seulement mes ancien vêtements étaient dans le placard, mais quelqu'un avait pris la liberté de m'acheter une toute nouvelle garde-robe.
Pourquoi me souciai-je de porter quelque chose de présentable pour cet homme? Je ne voulais pas être ici et j'aurais pu moins me soucier de ce qu'il pensait de moi ou de l'image que je lui projetterai. Charlie et Renée voudrais me tuer si je me comporte comme un enfant gâté, alors je laissai tombé et commançai ma recherche. Il me fallut une heure pour trouver quelque chose qui ne me découvrais pas trop, mais qui était approprié à porter devant un prince. J'arrêtai mon choix sur un licou bleu foncé qui était quelque peu moulant et un paire de jeans foncé.
Une fois ma tâche accomplie, je trouvai la salle de bain et essayai de prendre que douche un tant soit peu relaxante. Je me séchai les cheveux et me fis une queue de cheval. Je m'habillai et me mis du gloss.
Comme je finissais, j'entendis quelqu'un cogner à ma porte j'allai répondre et trouvai Alice. « Salut.»
Elle me sourit. «Allô, aller vient Bella mon frère attend.» Elle me pris la mains et me guida jusqu'à sa chambre.
Je replaçai mes vêtements pendant que nous marchions.
« Ne t'inquiète pas Bella, tu es ravissante.» m'assura Alice. Elle était tellement gentille.
« Pourquoi es-tu si gentille avec moi?» demandai-je alors que nous marchions.
Alice sourit encore une fois. « Tu vas bientôt faire partie de la famille et j'ai le sentiment que tu es tout ce que mon frère a besoins. Il peut-être tellement frustrant quelques fois.»
Je n'aurais jamais pû me retrouver toute seule, cet édifice me donnais l'impression d'être un labyrinthe géant. Lorsque nous arrivâmes à la porte, Alice frappa et attendit.
« Entrez.» Dit une voix velouté
Alice ouvrit la porte et me conduit à l'intérieur. « Edward.» dit-elle prudemment. « J'aimerais te présenter Isabella Swan.» Elle se tourna vers moi. « Voici mon frère Edward.»