Pairing:Drago Malefoy et Hermione Granger. Un fond de Ginny Weasley et Harry Potter, et un autre couple que vous découvrirez vite

Genre: Joie, larme, amour, haine, suspens, cette fiction pourraient être classé dans pleins de genres ainsi je vous laisse choisir celui que vous préférez.

Résumé: Après que Harry soit partie en quête et que Ron se soit complètement rétracté sur lui même, Hermione en apprend plus sur elle et ne peut compter que sur elle-même, une nouvelle partie de sa famille jusqu'à là inexistante et un beau blond.

CHAPITRE XII Renaissance

"La communication : c'est la première chose qu'on apprend dans la vie.
Ce qui est amusant, c'est que plus on grandi,
Et plus on connaît de mots, moins on trouve quoi dire,
Ou comment demander ce dont on a vraiment besoin."

« Tu es sur de ne pas avoir été suivit?

-Non, » répondit sarcastiquement la voix. « Je t'assure j'ai veillé à ne laisser aucune traces qui auraient pu nous trahir.

-Bien nous n'avons pas besoin de plus de complications. Comment vont Ginny et Hermione.

La voix fut coupée par celle d'une troisième personne.

« Et comment vas Pansy, elle n'a plus aucune séquelle de ses tortures?

-Ne vous inquiétez pas nos trois amies sont bien plus forte et résistante que ce qu'on peut penser. Hermione apprend à maitriser ses pouvoirs un peu plus chaque jours, elle sera bientôt un des meilleurs elfes de Sereninquë. Pansy c'est définitivement remise. Toutes deux sont au petit soin pour Ginny qui est sans doute la femme enceinte la plus choyé d'Angleterre. L'enfant Potter sera le petit le plus gâté qu'on ai jamais vu.

- Ou la petite Potter.

-Ne parle pas de malheur, il ne manquerait plus que j'ai un fils.

- Tu as raison prions pour que ce soit un garçon.

-Bon dites moi vite Minerva attends son rapport, où en êtes vous avec les Horcruxes.

-Nous avons découvert le vrai médaillon que Regulus Black avait caché et l'avons détruit. Nous soupçonnons qu'il y en a un autre dans le coffre fort de Bellatrix à Gringott.

- Ca ne serai pas étonnant, Bellatrix obéit à Voldemort sans même réfléchir, c'est parfait pour le Lord noir. Bon je dois vous quitter. »

Le jeune homme s'apprêta à transplaner quand les deux autres hommes le stoppèrent.

« Prends soin d'elles Malfoy.

-Ne vous inquiétez pas, Potter, Weasley, à bientôt. »

Le blond disparut en un plop. Un soupir de soulagement s'échappa de la bouche de Ron, alors qu'Harry s'affalait dans un des fauteuils débraillé qui meublait le salon de la tente où tout deux vivaient.

Voila plusieurs mois que Ron l'avait rejoint, ils avaient était déjà étaient séparé une fois car Ron par crise de jalousie avait déserté leur camps avant de revenir confus et désole. Bien sûr Harry lui avait pardonné, il ne pouvait pas exiger la perfection de ses amis.

Pendant le laps de temps où Ron était parti il avait rencontré celle qu'il considérait maintenant comme la femme de sa vie, Pansy. Pourtant, entre eux rien n'était moins bien partie. Il avait trouvé refuge chez Bill et Fleur, qui eux même hébergé Pansy et Drago pour les vacances, le terrier manquant de places. Si au début il avait tempêté de la présence de ses deux ennemis, il avait vite réalisé que la guerre ne permettait pas ce genre de comportement et au fur à mesure les deux jeunes gens et plus particulièrement Pansy avait réussi à trouver grâce à ses yeux.

Flash Back.

Ron était fou de rage, deux de ses ennemis juré se trouvaient à présent dans le salon de son frère à discuter avec lui et sa belle sœur. Un grincement de porte le sorti de ses pensées.

« Ron je sais que je ne suis pas la personne que tu apprécies le plus au monde mais j'aimerai te parler de Hermione et Ginny.

-Les as-tu ensorcelé mangemorte. »

Le jeune homme put voir dans les yeux de la jeune fille de la peine passer, avant de voir apparaitre de la résolution. Lentement elle enleva son pull alors que le jeune roux rougissait à une vitesse fulgurante.

« Que… »

Mais avant qu'il finisse elle s'était mise dos à lui et c'est avec des yeux horrifié qu'il remarqua les striures qui ornaient le dos de la jeune filles. De grandes balafres maintenant cicatrisés partant de sa nuque à la chute de ses reins.

« Je ne te montre pas ça pour que tu éprouves de la pitié envers moi Weasley, mais pour te montrer que même entre eux les Mangemorts ne sont pas des plus tendres, ce que tu vois la c'est mon père qui me les a faites pour m'apprendre à être endurantes en cas d'attaques et à ne pas me plaindre pour le rendre fier, et encore je ne te montre que ce que tes yeux innocents sont capables de supporter. Crois tu que tu pourrais endurer ça, aimerais-tu avoir les même petites marques d'affections que mes parents m'apporte. Bien sur j'ai droit au luxe et pleins de choses que tu n'as pas, mais penses tu que le jeu en vaut la chandelle. Moi ça fait bien longtemps que je sais que jamais je ne m'abaisserai au pied d'un sang mêlé complètement fou. Alors oui j'ai rejoint votre camps et oui je compte me battre pour les mêmes idéaux que vous. Donc maintenant tu peux m'accepter de me croire ou non. »

Un sourire de tristesse passa sur les lèvres de la Serpentard.

« Hermione a eu la même réaction que toi, bornée, intransigeante. »

Le jeune roux sauta sur la remarque.

« Hermione, comment vas-t-elle et Ginny.

- Toutes les deux vont très bien, Hermione est peiné de votre départ mais, elle essaie de le cacher au mieux, de toute façon une femme enceinte et une occupation des plus épuisantes

- Hermione est enceinte ?

- Elle non mais ta sœur oui.

- Pardon mais, que… pourquoi…. Harry ?

- Allons Weasley les enfants ne naissent pas dans les choux tu dois le savoir maintenant. »

Un petit sourire ironique traversa le visage de Pansy. Le jeune homme soupira.

« Oui, parle-moi encore d'elles. »

******

- Pansy, je ne sais plus quoi faire, j'ai abandonné Harry, je suis un mauvais ami, un lâche, un faible, je ne vaux pas mieux qu'un Mangemort.

- Ron ne dis pas ça, tu es très loin de tout ça, on doute tous au moins une fois dans notre vie et que justement tu penses tout ça fait de toi quelqu'un de bien. Ce sont nos choix qui font ce que nous sommes. Tu es un homme honnête courageux, loyal. Un peu idiot des fois mais au combien bon. En à peine quelques semaines tu as tellement murit. Tu nous as accepté Drago et moi. Tu m'as accepté. Ron je t'aime. »

Pendant sont discours, des larmes étaient apparue dans les yeux de la jeune fille. En quelques semaines elle était tombée amoureuse d'un garçon qu'elle avait toujours dédaigné. Elle était tombée sous son charme, totalement et irrévocablement. Aujourd'hui elle lui ouvrait son cœur attendant sa réponse. Son souffle s'accélérant comme dans l'attente d'une sentence de vie ou de mort.

Le jeune homme troublé par sa nouvelle sentit comme une nouvelle force le traversé. Oui il pouvait être tout ce qu'elle avait dit et il allait le prouver, le lui prouver, car désormais elle était ce pourquoi il se battait. Le courage de la jeune fille l'avait d'abord ébahit. Puis sont caractère et les petites choses qu'elle lui apportait l'avait conquit.

Alors, l'homme en lui prit les devants, il attrapa le menton de la brune et doucement il vint poser ses lèvres sur les siennes. Il apprécia le gout sucré et la douce chaleur de celles-ci, approfondissant le baisé comme si il voulait lui montrer tout ce qu'il ressentait pour elle en ce simple contact.

********

« Je vais repartir Pans', Harry et mon meilleur ami et je vais me battre pour un monde meilleur. Pour toi, pour nous et pour tous ceux que nous aimons. Tu m'attendras.

- Tu es mon tout, sans toi je ne suis rien, tu m'as apporté ce que personne ne pouvait le faire, l'amour. Je suis à toi de cœur et de corps pour la vie.

- Oh Pansy... »

Le jeune homme l'enlaça et l'embrassa comme si sa vie en dépendait. Puis doucement il se détacha et elle sortit un parchemin de sa cape.

-C'est de la part de Ginny pour Harry, elle lui annonce en partie la grande nouvelle. Evitez toi et ta maladresse légendaire de lui annoncé avant qu'il l'ai lut.

Fin du Flash Back.

Harry dans son lit de camps relisait une fois de plus la lettre que Ron lui avait remise quelques semaines auparavant.

Mon amour

J'ai étais peiné de ne pouvoir t'annoncer cette nouvelle avant.

Je n'ai pas osé t'envoyer un hibou de peur qu'il soit intercepté,

Et c'est un réel soulagement pour moi que dans sa bêtise de t'avoir laissé,

Mon frère soit allé chez Bill.

J'ai peur de ta réaction rien qu'en écrivant cette lettre je tremble.

Je suis enceinte Harry, tu vas être papa.

Je t'imagine secoué sous le choc bafouillant et bredouillant.

Un petit toi en moi me comble,

Mais la peur de ta réaction pèse sur moi.

Je sais ce que tu me dirais,

Le temps n'ai pas à faire un enfant,

Mais moi je sais que ce temps ne dura pas et que notre enfant sera le symbole de la renaissance.

Bon amour prend ça comme un nouveau souffle de vie en toi pour te battre.

Pour toi, pour moi, pour nous et notre enfant.

A toi

Ta Ginny qui t'aime.

Contrairement à ce qu'elle pensait, pas un instant il n'avait douté ou eu peur. Il aimait déjà autant son enfant que sa mère. Ca avait été dur pour lui de ne pas débarquer à Poudlard sur l'heure, mais Ron avait réussi à lui rendre la raison. Plus vite ils se seraient débarrassés des Horcruxes et plus vite ils retrouveraient ceux qui leur sont cher. Et puis Drago était la pour leurs apporter des nouvelles.

Le jeune homme c'était engagé auprès de l'ordre du Phénix et il avait été nommé correspondant entre les deux jeunes gens et l'ordre. Ayant été jugé le plus apte. Cependant aucune des jeunes femmes n'étaient au courant et cela pesé aux deux Gryffondor de ne pouvoir communiquer avec les jeunes femmes. Mais cela était plus sur pour elles, alors c'était comme ça.

*******

Drago rentra discrètement dans le parc de Poudlard tel une ombre. Mais il tomba littéralement dénue quand il se retrouva face à face à trois furies l'attendant à la grande porte. C'est Ginny qui commença l'attaque, la rouquine, dont le ventre rond se voyait nettement bouillonnait.

« Tu n'as pas quelque chose à nous dire Malfoy.

-Oui tu ronfles Weasley, mais j'aurais préféré ne pas à avoir à te l'avouer comme ca. »

Visiblement la plaisanterie ne fit rire personne. C'est Pansy qui reprit la parole.

« Hermione t'as vu t'esquivé à la fin du repas, nous pensais tu stupides, des explications vîtes, et n'essaient pas de nous mentir. »

Drago soupira il était piégé, si il mentait, les trois femmes le sauraient. Aussi il réfléchit rapidement au pour et au contre.

« Très bien suivez-moi dans la salle-sur-demande. Nous y serons plus tranquilles. »

Les quatre sorciers sillonnèrent silencieusement jusqu'à la petite salle.

« Je me suis engagé dans l'ordre du Phoenix.

- Ce n'est pas nouveau, on l'avait deviné depuis longtemps.

-Je sers de correspondance entre Dumbledore et Potter et Weasley.

- Quoi! »

Le hurlement en chœur de Ginny et Pansy firent des échos dans la pièce. Hermione plus calme prit la parole.

- Depuis combien de temps.

- La fin des vacances d'Halloween.

- Donc depuis plusieurs semaines tu sais comment vont Harry et Ron et tu ne nous en as pas parlé.

-Dumbledore me l'a interdit. »

La rouquine prit la parole.

« Infâme bouse de Dragon personne ne te reconnaitra quand j'en aurai fini avec toi. »

Furieuse elle sortit de la pièce, Pansy à ses trousses, seulement avant de sortir elle se tourna vers Drago.

« J'espérai beaucoup mieux de toi. »

Drago se laissa tombe dans un des fauteuils qui venaient d'apparaitre. Hermione vint s'asseoir à coté de lui.

« Ils vont bien?

- Très, ils ont détruit un Horcruxes, en ont trouvé un autre. Harry et fou de joie pour Ginny et le bébé et Ron et fou amoureux de Pansy.

- Merci de ce que tu fais Drago, Ginny et Pansy sont en colère mais ca leur passera vite.

-Je ne fais que des petites choses.

- C'est déjà très bien de ta part, pas tout le monde ne ferai ce que tu fais. »

Les deux jeunes gens étaient face à face, Hermione pouvait sentir le souffle chaud du Serpentard sur son visage. Les palpitements de son cœur s'accélérèrent comme si de petit lutins taper de leur points dessus. Son souffle se fit moins régulier, et alors que Drago penchait sa tête vers la sienne, elle se rendit compte de ce qu'ils faisaient.

« Nous ne pouvons pas Drago, nous avons déjà trop d'attache dans cette guerre nous ne pouvons en créer d'autre. »

Le sorcier sentit son cœur se déchirer mais ne dit rien, et acquiesça.