One week with Akatsuki
One week with Akatsuki
Blabla de Miru & Kana : Parties d'un délire bidon en cuisinant un Cari Poulet, nous avons décidé de créer une fic complètement débile sur l'Akatsuki. Voici donc le compte rendu d'une semaine avec une Akatsuki déchaînée : l'envers du décor. Enjoy ! n.n
Disclaimer : Nos très regretté Sasori, Deidara, Hidan, Kakuzu ( l'est-il réellement ? ) & Itachi, ainsi que l'adorable plante verte, son amie l'origami & le pseudo-chef « arc-en-ciel », ne sont malheureusement pas à nous. Et oui, Naruto appartient à Kishimoto, comme nous le savons tous. Amen.
La rubrique qui fait peur : Alooors, si vous craignez un humour peut-être pourrave, lourd, et incompréhensible, passez votre chemin. Il n'y a ni lemon, ni lime, car on ne sait pas en écrire ( mais je formerais Kana, hahaha ! ) ( Kana : J'ai déjà écrit des lemons, patate ! è.é ) ( Miru : oui, mais à notre grand regret, jamais en fic moi non plus, mais c'est un détail u.u ), mais en bonne yaoitistes, y'aura tout plein d'allusions. Sasori est à Deidara, Hidan à Kakuzu, le mérou avec la belette, et les autres sont pas maqués huhu. ( Kana : Ils sont chastes et innocents... (a) ). Ah oui ! Tobi n'apparaît pas dans cette fic, nous en sommes à l'époque bien heureuse où cet idiot congénital n'existait pas, où Deidara & Sasori étaient vivants. La bonne époque quoi v.v. OOC certain et nocif ! XD Que personne ne se plaigne d'OOC parce que c'en est du pur, nous vous avons prévenu.
Thème : Délire total & monarchique.
Lundi.
Matin – Introduction de la mort qui tue même les morts-vivants et les morts pas vivants.
Le chef observait sa chambre. Sa magnifique chambre qui brillait de mille feux. Et oui, il était tellement fier de son ménage qu'il avait accompli pour la troisième fois de la soirée. C'était merveilleux, une chambre propre et nette. Il affichait un sourire béat, des étoiles dans ses rinnegan, en pensant à son rêve de la nuit. Un monde sublime où Hidan ne faisait plus de sacrifices qui laissaient du sang sur le canapé et le tapis. Un monde où Deidara n'était pas fou d'explosions qui brûlaient ses balais swifer. Où Konan ne foutait pas du papier froissé partout y comprit les WC. Où Kisame ne ramenait pas la première truite trouvée dans le lac d'à côté. Où Itachi ne se mangeait pas les meubles et par conséquent ne les déplaçait pas du millimètre fatidique. Où Kakuzu ne laissait pas traîner ses relevés de comptes bancaires ( il en a tout plein, tout plein ) partout. Où Sasori n'abandonnait pas les cadavres de marionnettes inutilisables et boueuses sur le sol tout juste ciré. Et enfin, où Zetsu ne perdait pas les pétales de son énième géranium carnivore.
Pein ( puisque le chef, c'est bien lui ), chaussa ses pantoufles arc-en-ciel qu'il avait bien positionnées la veille au soir, perpendiculairement à son futon ( vous pouvez sortir vos équerres, elles sont bien placées à 90° ). Il s'avança vers la porte, tout frais dispo, chassant au passage quelques grains de poussière imaginaires sur son pyjama aux couleurs de l'Akatsuki, sa très chère organisation de criminels bordéliques. Il ouvrit grand la porte, prenant soin de ne pas la faire taper contre le mur afin de ne pas laisser de traces sur la tapisserie, et parcourut le couloir qui desservait les chambres, inspirant à plein nez les douces fragrances des « cascades limpides de Kiri » de son nettoyant ménager pour les sols. Aujourd'hui, il nettoierait les vitres avec son merveilleux spray « pchit-pchit » ( dixit Deidara ) fraîcheur « pin estival de Konoha », il ferait la vaisselle avec son fantastique liquide vaisselle senteur « sables chauds de Suna », et il récurerait la baignoire avec un excellent désinfectant parfum « montagnes printanières d'Iwa ». Entre autres épopées ménagères. Ah... Que ce serait beau de pouvoir se prélasser dans la propreté... Il s'y attela même dès maintenant, tout guilleret.
Pein – « Sifflez en travaillant, talalala... »
Hidan – « Chef ? Putain, vous faîtes quoi ? ! »
Hidan venait de quitter sa chambre pour se rendre dans le salon où des bruits décidément trop étranges pour l'insomniaque bien-coiffé l'avaient tiré de son lit. Pein lâcha son merveilleux balai taillé dans le plus pur chêne d'Ame et observa Hidan. Un ange passa, laissant par la même occasion une maudite plume qui fit avoir une syncope à notre très cher chef... Ou pas, disons simplement qu'il y eut un long silence.
Pein – « Mais rien ! Je nettoie tes horripilantes taches de café sur le canapé ! »
Hidan – « Mais... J'ai pas de café. »
Pein assura que si et le renvoya dans sa chambre comme un gosse en lui précisant bien de « laisser le tout puissant Pein faire son ménage matinal et de ne surtout pas poser les mains sur la tapisserie ». Le partisan de Jashin ne se le fit pas faire répéter et retourna rapidement rejoindre Kakuzu qui dormait avec sa tirelire en forme de cochon. Vive les doudous. Il tenta bien de réveiller Frankenstein, mais ce dernier restait dans le monde des rêves murmurant parfois « Aaaah ! Freak out ! Le freak, c'est chic ! »... Il eut alors l'illumination du siècle, pour réveiller un Kakuzu, il n'y avait qu'un moyen efficace :
Hidan – « Kakuzu, le cours de la bourse de Suna s'est effondré. »
Kakuzu – « NOOOOOOOOON ! »
La réaction fut imminente, le recousu de toute part se leva et courut vers l'entrée pour y lire le journal et y découvrir donc la catastrophe... qui n'existait pas. Et là, c'est le drame. Kakuzu voyait rouge, il retourna en toute vitesse dans la chambre, vide. Ah le salaud d'Hidan ! Il s'était barré l'enfoiré ! On n'avait pas honte de lui faire des peurs pareilles ? ! Le cours de la bourse s'effondrer ! Ah le cauchemar !
Le zombi ressortit de la chambre, lattant la porte contre le mur. Sans prêter attention aux hurlements furieux de Pein ( « On ne claque pas les portes, ça fait des traces sur les murs et ça fait trembler les lustres, merde ! » ), Kakuzu se mit en quête d'Hidan, qui s'était raisonnablement éclipsé. Le bien-coiffé était peut-être téméraire, mais pas suicidaire. Notre radin international fit éruption dans la cuisine où il trouva Zetsu qui beurrait des tartines. Tartines sur lesquelles il appliqua ensuite une bouillie nauséabonde et non identifiée, dont la couleur rappelait vaguement la couleur des yeux de cette espèce de connard d'Hidan. Kakuzu vociféra :
Kakuzu – « Zetsu ! T'aurais pas vu l'autre chacal fanatique religieux ? ! »
La plante ne semblait pas l'avoir entendu. Apparemment, il était plongé dans une ardente conversation philosophique avec lui-même.
Zetsu – « Les blondes sont meilleures que les brunes... » « Non, pas du tout. Les brunes sont les plus fermes et goûteuses. » « Tu te trompes. Regarde Deidara par exemple... » « On n'y a jamais goûté, juste avec les yeux... » « Ah oui, ce fameux jour, par le trou de la serrure de la salle de bain. » « Exact. Pourtant, je soutiens que les brunes sont plus agréables. Regarde Itachi. » « Ah oui, ça je le regarde. Huhu. » « Huhuhu ! »
Kakuzu – « Huhuhuhu ! »
Fefeuille sursauta. Mais qui donc venait briser son monologue hautement spirituel ? ! Il tourna la tête et se retrouva face à face avec la tête d'estropié de guerre de Kakuzu.
Zetsu – « Oui ? »
Kakuzu – « T'as pas vu Hidan ? »
Zetsu – « Si, il courait en battant des bras vers les toilettes, je crois. »
Kakuzu éclata d'un grand rire sadique. Il allait ruiner la coiffure de son coéquipier en lui plongeant la tête dans la cuvette ! Bwahaha ! Ensuite, il l'enfermerait et il jetterait tous ses pots de gel, brillantine, laques, ainsi que ses peignes, brosses et autres accessoires à la con. Le digne successeur de Picsou traversa la pièce comme une flèche, alors que la porte de l'entrée s'ouvrait.
Pein – « NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON ! »
Ceci était le cri du coeur du chef en voyant le désastre qui venait de se produire sous ses yeux. Pein était tranquillement en train de récurer le salon du sol au plafond, quand le drame de sa vie ( qui arrivait décidément trop souvent dans cette foutue organisation ) arriva. Itachi revenait de son entraînement matinal. Il était de coutume que la belette était la personne la plus lève-tôt des porteurs des manteaux noirs à nuages rouges ( vous trouvez pas ça con, comme motif, dit comme ça ? ) après Hidan qui ne dormait tout simplement pas. Il se levait, donc, puis se concoctait un petit programme du matin pour se rendre encore plus fort qu'il ne l'était déjà. Aux premières lueurs de l'aurore, le malvoyant était dans la plaine à effectuer les mouvements les plus complexes. Seulement, comme l'indique le terme "malvoyant", et bien Itachi voyait mal et piqua une tête bien malgré lui dans le lac du coin ( et oui le repère de l'Akatsuki est très bien situé, clairière ( où Sasori faisait ses bouquets de fleurs ), lac ( refuge définitif de Kisame ) et autres endroits bien verts ). Il revint donc trempé dans la maison très familiale ( une grotte peut-elle être considérée comme une maison ? ), et inonda le parquet tout juste ciré de Pein, d'où son cri du coeur.
Pein – « Mais que fait la police ? ! C'est un psychopathe tueur de propreté ! »
Itachi resta « stone », il n'était pas connu pour être un membre bavard s'expliquant sur le pourquoi du comment il avait lamentablement plongé dans le lac qu'il n'avait pas vu. On ne trouve pas ça spécialement glorieux, surtout de la part du génie des Uchiha, génie tout court même.
Hidan – « Je crois qu'il dort... » ( tiens, le revoilà, lui v.v )
Kakuzu – « TOI ! »
Hidan s'éclipsa rapidement, ne tenant pas à rester dans la même salle que son potentiel meurtrier ( mais t'es immortel, pauvre tache ! ). Kakuzu le suivit en courant et un jeu de chat et souris s'engagea alors entre les deux, mais cela n'appartient qu'à eux ( huuum, que font-ils lorsque personne ne les voient ? )... Itachi quant à lui s'assit sur le canapé. Et là, c'est le drame ( deuxième édition ).
Pein – « ITACHIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ! Lève ton cul de ce canapé ! Nooon la house de chez Jiraya ! Un cadeau inestimable ! Foutue par ta faute ! Voilà ! On n'a plus de house par ta faute ! Bravo ! »
Itachi regarda son chef, perplexe. Il se leva alors, retira son manteau et retourna dans sa chambre qui sentait malgré tous les efforts du maniaque de service ( qui était en train de pleurer une très regrettée house dont tout le monde sauf lui se foutait ) la poiscaille.
Justement, le requin sortait juste de la douche. Vêtu d'un simple peignoir blanc décoré de vaguelettes bleues dans le dos, une serviette négligemment passée autour de son cou bleu, il arriva dans le salon, intrigué par l'agitation qui secouait la maisonnée dès le matin. Ses cheveux et sa peau ruisselaient encore. Il demanda :
Kisame – « Qu'est-ce qu'il se passe ici ? »
Bip ! Détecteur de saleté et autres bavures activé ! Flaque d'eau repérée. Auteur ciblé : face de mérou. Procédure envisagée : kzjhfckjhezf ! ( traduction : JE VAIS L'TUER, BORDEL ! ). Pein arriva à grands pas vers la poiscaille, soufflant comme un taureau furieux. Il hurla :
Pein – « Mais c'est pas possible ! Z'avez décidé d'me pourrir mon idéal ou quoi ? ! Dégagez de ce putain de salon et que je ne vous revois plus ! »
Sur ces mots, le chef expédia Kisame hors de la pièce, usant d'un formidable coup de pied circulaire. Trivial, certes, mais si efficace ! Il claqua toutes les portes donnant sur le salon ( Notons que Hidan se la prit en pleine face alors qu'il cherchait à échapper au démon Kakuzu, dans un magnifique « SBOOOM ! » qui restera gravé dans l'histoire ) et se mit au travail. C'est en se frottant les fesses que le requin rejoignit la cuisine. Il fit remarquer en grimaçant :
Kisame – « C'est quoi son problème au patron ? »
Une voix froide et tranquille lui répondit du tac au tac :
Sasori – « Il a ses règles. »
Le renégat de Kiri ouvrit des yeux ronds. Euh... C'était bien Akasuna no Sasori qui venait de sortir une telle connerie ? LE Sasori qui ne dit jamais rien de décalé ? Oui, c'était bien lui. Pinocchio venait de sortir de son atelier privé, là où il s'adonnait à tout un tas de pratiques étranges et sadiques ( non, il n'y a absolument rien de sexuel là-dedans ). Il alla se laver tranquillement les mains, tachées d'hémoglobine, sous les yeux de merlan frit de Kisame, qui n'en revenait toujours pas. Le beau roux, déjà habillé car matinal, s'assit à côté de Zetsu et argumenta, l'air dégagé :
Sasori – « Ou alors c'est dans sa nature d'être un grand angoissé de la vie, quoique aujourd'hui il s'est surpassé. Peut-être qu'il a fait un cauchemar... »
Une voix d'outre-tombe leur parvint de l'autre côté de la porte :
Pein – « NON, AU CONTRAIRE ! »
Sasori esquissa un rictus caustique.
Sasori – « Voilà, c'est donc pour ça : on lui a brisé tous ses rêves. Il doit être déçu. C'est... euh... navrant ? »
Le maître marionnettiste semblait se réjouir de la détresse du chef. En effet, quand il avait mal dormi, le nukenin de Suna était d'humeur massacrante. Et pour cause, l'autre blondasse ne l'avait pas laissé passer une nuit normale. Le Scorpion observa machinalement ses ongles tout en essayant de dresser mentalement un compte-rendu de sa nuit d'enfer avec l'artificier du dimanche ( non, on est lundi, haha -.- ).
Nuit horrible, il fallait l'avouer. Tout le monde savait que le blond d'argile était somnambule, sauf le concerné. Mais heureusement pour tous, il restait dans sa chambre et le seul à subir les assauts de la blondasse était malheureusement le scorpion des sables rouges. Imaginez le grand Maître Marionnettiste, dans son lit, mettant : petit un : trois ans à s'endormir ; petit deux : ayant le sommeil léger ; petit trois : une espèce d'énergumène blond à califourchon sur lui. Ce n'était pas très reluisant avouons le, mais pourtant c'était son atroce nuit. Deidara, dans son délire de somnambule en avait fait un cheval et hurlait des choses très étranges... Sasori se frappa le front en repensant à cette atroce nuit. Et justement...
Deidara – « GOOD MORNING AKATSUKI ! »
Hidan – « MAIS QUI GUEULE ? ! » ( tiens, il revient toujours celui-là )
Itachi – « Ca change pas grand chose, tout le monde crie depuis environ huit heures... »
Gros blanc. C'était vrai, tout le monde ne faisait que s'engueuler sans aucune raison apparente. Et il semblait que seul Deidara était imperméable à ces hurlements, puisque malgré le bruit ambiant, le bruit de l'aspirateur de Pein et les insultes à répétition d'Hidan ( qui avait d'ailleurs une grosse bosse en plein milieu du front ), il se levait miraculeusement à 10 heures piles. Et non, il ne se réveillerait jamais à 09 heures 59 ou à 10 heures 01. On pourrait régler une montre sur le réveil de Deidara. Bref, il n'y avait que lui pour être de bonne humeur le matin.
Zetsu – « On mange quand ? »
Sasori 'stone' – « Tu viens juste de manger, imbécile. » ( mais pas heureux, l'imbécile. Le content c'est le blond )
Et là, surprise générale, Pein arriva, tout guilleret, comme à son réveil. On devinait aisément que le chef avait réussi son exploit qu'était de nettoyer le salon et de le faire briller. Il avait même réussi à chanter « sifflez en travaillant » sans que personne ne l'interrompe.
Pein – « Bon. C'est le tour de qui aujourd'hui ? »
Seize yeux se tournèrent vers le planning affiché sur l'unique frigo du repère. Que je vous explique : à l'Akatsuki, chaque binôme est de corvée un jour. Et ça tourne ainsi, les couples ( bah oui hein, ce sont des couples, sauf Zetsu, parce que le pauvre, personne n'en veut v.v ) doivent faire la vaisselle et les repas. La corvée ménage étant un loisir réservé au chef. De toute manière, y'a que lui que ça faisait sourire de récurer les chiottes, alors. Et d'ailleurs, il félicitait à chaque fois Sasori, car ce dernier n'y allait jamais, et ça lui faisait du travail en moins. Donc, reprenons. Aujourd'hui la corvée était pour...
Deidara – « Face de mérou et conjonctivite-man, hm ! »
Ce qui suit est une scène hautement sanglante, où l'on a du utiliser Zetsu pour se débarrasser du cadavre de Deidara... Mais vu que c'est une fic et qu'on fait ce qu'on veut, je te ressuscite, petit Deidei ( et j'ai même pas le droit à un merci, ingrat ! ) ! Donc, les personnes de corvée étaient Itachi et Kisame, passons sans transition à la préparation du repas...