Désolée pour le retard mais j'ai essayé de mettre en ligne la suite hier, mais ça ne marchait pas... Voici le dernier chapitre. J'espère que la fin vous plaira et merci encore pour vos reviews! :)

xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

Ce fut lorsque le bourreau leva son couteau au-dessus de Jack que tout lui revint. Absolument tout. Et ses sentiments pour lui furent aussitôt étouffés, voilés par tout ce qui les séparait.

Le règlement.
Ces sept années à s'ignorer, ou tenter de s'ignorer.
Les non-dits.
L'indifférence, vraie ou fausse.
Et Pete.

Pete dont elle ne s'était souvenue qu'en dernier. Pete qu'elle avait trompé, certes inconsciemment mais…

Et Jack…

Jack. Alors que, pendant plusieurs jours, ses sentiments lui avaient semblé proche de la perfection, ils étaient à présent avilis par la réalité, par ces questions incessantes.

Elle voulait se remémorer chaque instant afin de comprendre comment cela avait pu déraper. Comment Jack O'Neill avait pu perdre le contrôle. Mais ce n'était pas le moment. Plus tard.

Armant son P90, Sam avait alors fendu la foule avec une aisance particulière, connaissant les lieux mieux que personne, et très vite, était arrivée aux abords de l'échafaud. C'est en entendant le « Reynolds !! » retentissant de son supérieur qu'elle avait vu Aldraban parmi la foule. Jouant des coudes, assommant sans état d'âme tout villageois l'empêchant d'atteindre son but, elle était parvenue à repousser l'agresseur au dernier moment. L'agrippant violemment par l'arrière du col, elle l'avait vivement projeté hors de l'estrade avant de se tourner vers Jack avec inquiétude.

- Mon Colonel…

Au regard qu'il lui lança, elle sut de suite qu'il avait deviné. Gêne, malaise, angoisse bataillaient ferme dans ses yeux bruns et elle se détourna vivement avant de sortir son couteau pour couper les liens. Elle sentait pourtant ses coups d'oeil incessants mais refusait de s'appesantir sur cela pour le moment. Et surtout… elle ne se sentait pas le courage de le regarder en face. Pas après tout ce qu'elle lui avait dit.

- Carter !!

Son cri à son oreille la sortit brutalement de ses pensées. Elle se retourna juste à temps pour voir Aldraban devant elle, son poignard dressé, prêt à la frapper. Mais un éclair bleuté arrêta net l'agresseur qui s'effondra à ses pieds dans un spasme violent.

Sam chercha quelques secondes l'origine du tir avant de baisser les yeux. Sa main droite libérée, Jack avait saisi le Zat de la jeune femme avant d'envoyer une décharge sur Aldraban.

Leurs regards se croisèrent… avant de s'éviter une nouvelle fois.

- Merci… murmura-t-elle en libérant son autre poignet et ses chevilles.
- C'est moi.

Une fois détaché, Jack se leva et tendit machinalement la main vers la radio de la jeune femme. Elle eut aussitôt un geste de recul avant de se laisser faire, les yeux baissés. Il hésita un instant seulement puis enclencha finalement l'émetteur, la tête à quelques centimètres du visage de Sam.

- Ici O'Neill ! On évacue ! s'exclama-t-il, troublé malgré lui par cette soudaine proximité.

Il s'écarta aussitôt en pestant intérieurement. Ce n'était vraiment pas le moment de jouer les amoureux transis.

- Allons-y ! poursuivit-il avec aigreur, furieux contre lui-même.

Il enjamba le corps inconscient d'Aldraban et l'idée de l'achever lui vint brusquement à l'esprit mais, jetant un œil vers la jeune femme, il soupira et sauta en bas de l'échafaud avant de s'élancer en direction du pont-levis. La foule s'était éparpillée et ils représentaient tous des cibles faciles pour les archers situés en hauteur. Ils traversèrent la cour en zigzagant, évitant soigneusement les flèches, avant de rejoindre finalement leurs compagnons près de la sortie. Un sergent avait été chargé de tenir la position à hauteur du pont-levis et d'empêcher celui-ci d'être relevé, et ils purent tous fuir indemnes du château.

La traversée du village fut plus aisée et ils s'engouffrèrent rapidement dans la forêt, en sécurité.

Il y avait toujours la possibilité qu'Aldraban veuille les poursuivre aussi évitèrent-ils le chemin de terre. Ils avançaient avec précaution et lenteur, le dos courbé, le doigt sur la gâchette, le regard sans cesse en mouvement.

Au bout de quelques minutes cependant, ils purent se détendre un peu. Reynolds rejoignit Jack et fronça les sourcils devant son teint terreux. Il leva aussitôt son poing fermé et l'équipée fit halte.

- C'est pas la grande forme…
- Je fatigue un peu, mais ça va, répondit O'Neill en s'épongeant le front, moite de sueur.

Reynolds acquiesça avant d'empoigner sa radio.

- Major Carter. On a besoin de vous ici.

Jack ouvrit la bouche pour demander plutôt le Sergent Harris, préposé aux soins de secours de SG3, mais comment aurait-il pu expliquer un tel souhait ? Il regarda donc du coin de l'œil la jeune femme arriver au pas de course, Daniel et Teal'c sur ses talons.

Dans un soupir, il s'adossa au premier tronc d'arbre venu et se laissa glisser au sol.

- Jack ? Ca ne va pas ?
- O'Neill s'est fait torturer, Daniel Jackson, lui répondit le jaffa avec patience.

Sam s'accroupit devant le blessé et ouvrit le sac de secours.

- Où avez-vous mal, Mon Colonel ?
- Partout… maugréa-t-il après un coup d'œil reconnaissant à Teal'c.

La jeune femme se racla la gorge avant d'avancer les mains vers son torse.

- Vous permettez ? demanda-t-elle, sans oser le regarder.
- Allez-y… murmura-t-il.

Daniel les observa un instant et fronça les sourcils.

- Sam ? Vous avez retrouvé la mémoire ?
- Oui, répondit-elle distraitement, concentrée sur sa tâche.

Le jeune homme jeta un coup d'œil vers Teal'c et d'un commun accord implicite entraînèrent le Colonel Reynolds un peu plus loin afin de les laisser seuls.

- Ils sont au courant ? demanda Sam au bout d'un instant de silence.
- Je pense.

Elle acquiesça, les yeux toujours baissés sur son ouvrage. D'un geste léger et précis, elle désinfecta les plaies les plus profondes avant de bander son torse pour éviter qu'elles ne se ré-ouvrent.

Le silence était lourd, pesant et les battements désordonnés du cœur de Jack n'étaient certainement pas dus à la douleur. Il savait qu'il devait dire quelque chose mais les mots ne semblaient pas vouloir passer le barrage de ses lèvres.

Une fois son torse en partie soigné, le regard de la jeune femme glissa sur lui, à la recherche d'entailles supplémentaires.

- La cuisse droite, intervint Jack, d'une voix étrangement nouée.

Sam écarta aussitôt les pans ensanglantés du tissu afin de regarder la plaie d'un peu plus près. Elle grimaça intérieurement. Ils devaient rentrer au plus vite, les blessures n'étaient pas belles à voir.

Dans un soupir, elle tenta de se concentrer sur ce qu'elle faisait mais ces gestes familiers ne nécessitaient que peu d'attention. Ses pensées se mirent rapidement à dévier, et la jeune femme revécut ces derniers jours avec appréhension.

Des centaines de questions tournaient dans sa tête mais surtout une :

Pourquoi ne lui avait-il pas dit qu'elle était avec un autre… alors que ce simple fait aurait pu tout empêcher… ? Pourquoi ?

- Je suis désolé, Carter.

La voix sourde de Jack résonna étrangement à son oreille, la faisant tressaillir. Les mains de la jeune femme se figèrent aussitôt.

- Je sais que rien de ce que je dirai ne pourra effacer ce qui s'est passé… Tout est ma faute. Je suis impardonnable.

Sam leva les yeux vers lui, mais il gardait la tête basse, la mâchoire douloureusement crispée.

- Vous n'êtes en rien responsable et si vous désirez faire un rapport à Hammond, je ne nierai pas, poursuivit-il.

Le pouls de la jeune femme s'accéléra. Un rapport ? Pourquoi un rapport ? Il ne pensait tout de même pas… ? Il ne voyait tout de même pas ce qui s'était passé comme un viol ?

- J'ai aussi une part de responsabilité…
- Non, la coupa-t-il de suite en redressant la tête. Non, Carter. Vous n'étiez pas dans votre état normal. Jamais vous n'auriez fait ça et nous le savons tous les deux... C'est moi. J'ai été faible.

Il se tut, passant une main tremblante sur son visage fatigué. Il réalisait seulement maintenant tout ce qu'il venait de perdre. Jusqu'ici, il n'avait pas voulu y penser, retardant un maximum cette douloureuse prise de conscience, mais à présent qu'il devait faire face à ses actes… il en saisissait enfin les conséquences. Et la plus grande d'entre elles. Il venait de perdre à tout jamais la seule chose qu'il avait d'elle… son amitié.

- Pourquoi ? entendit-il alors murmurer.

Il leva les yeux vers Sam, plongeant son regard coupable dans le sien.

- Pourquoi ne m'avez-vous rien dit pour Pete ? poursuivit-elle, doucement.

Jack gémit intérieurement.

C'était la seule question à laquelle il n'était pas prêt à répondre car, évidemment, ça impliquait beaucoup trop de choses. D'un autre côté, après ce qu'il avait fait, quelle importance qu'il se mette à nu. Elle méritait bien ça. Un peu d'honnêteté pour une fois.

- Parce que j'aimais être celui que vous aimiez.

A peine ces mots prononcés, il détourna lâchement les yeux et la repoussa doucement afin de se remettre sur pieds.

- Pourquoi ? insista-t-elle cependant en se redressant à son tour.

Incrédule, il lui jeta un coup d'œil de travers avant de soupirer devant son visage fermé.

- Carter… Suis-je vraiment obligé de vous le dire ? maugréa-t-il comme si la réponse était d'une parfaite évidence.

Et sans un mot de plus, il s'éloigna, laissant la jeune femme profondément troublée.

Une phrase lui revint alors. Une certitude.

« Parce que ça ne dépend pas que de moi ! »

Non, tout dépendait d'elle en fait… et elle ne l'avait pas compris.
C'était pourtant cela qu'elle avait cherché à retenir de son amnésie. Cette nouvelle donnée si importante, si primordiale.

Il l'attendait. Un mot d'elle et tout était possible.

Plus de frustration, plus de non dits, plus de fausse indifférence.

L'espoir, l'exaltation due à cette découverte la saisirent brusquement. Elle mit quelques secondes à gérer ce trop plein d'émotion, regardant autour d'elle avec fébrilité.

Il lui suffisait d'un mot ! Juste un mot et tout pouvait changer !

- On y va ! résonna brusquement sa radio, la tirant de sa léthargie.

Reprenant conscience de ce qui l'entourait, Sam s'accroupit et rassembla d'une main désespérément tremblante les bandages et pansements afin d'en charger son sac à dos.

- Sam ? l'appela Daniel, un peu plus loin.
- Je… J'arrive, bredouilla-t-elle en mettant tant bien que mal son arme en bandoulière.

S'élançant à la suite de ses compagnons, le regard soudé au dos de son supérieur, elle trébucha sur une racine et percuta celui-ci de plein fouet.

- Ah… Désolée, Mon Colonel !! s'écria-t-elle, les joues en feu, cherchant à se redresser les mains posées sur ses épaules.

Celui-ci se retourna afin de l'aider, la même gêne au fond des yeux.

- Y a pas de mal, mentit-il tandis que la douleur dans son dos le faisait grimacer involontairement.

Ils se remirent tous en marche et Jack eut la surprise de voir la jeune femme rester à ses côtés au lieu de l'éviter, comme il l'avait craint. Au bout de quelques minutes, il fut encore plus étonné de voir le pas de Sam faiblir, l'incitant à ralentir à son tour et les éloignant ainsi des autres membres de l'équipe.

- Euh… Un problème, Carter ? demanda-t-il, désireux de l'aider si elle sentait le besoin de lui dire quelque chose.
- Oui… murmura-t-elle nerveusement.

Jack l'observa du coin de l'œil, plein d'appréhension.

- A propos du rapport… commença-t-elle.
- Mmmm…
- Je n'en ferai pas.

Surpris, il se tourna vers elle, ne sachant trop quoi répondre.
Etait-ce un pardon ? Etant donné la gravité de ses actes, il en doutait pourtant.

- … Merci.

Elle acquiesça simplement mais n'avait visiblement pas terminé.

- Vous voulez changer d'équipe ? proposa-t-il donc devant son silence. Ou peut-être préférez-vous que je quitte le SGC ?
- Non ! répliqua-t-elle de suite, le coupant dans son élan.

Il la regarda de nouveau sans comprendre. Que voulait-elle exactement ?

Et lui ? Que voulait-il ?

Il ne savait pas trop s'il était capable de continuer à travailler avec elle après ce qui s'était passé. Ils avaient fait l'amour, bon sang ! Si elle était capable de l'oublier, pas lui ! Dès qu'il posait les yeux sur elle, c'était sa peau nue qu'il voyait, la courbe parfaite de ses formes, son visage délicieusement crispé par le plaisir… Et sa voix lui rappelait sans cesse ses gémissements.

Jack secoua la tête avec lassitude.

Il allait donner sa démission. Il n'avait aucune envie qu'en plus de tout le reste, elle soit obligée de supporter ses regards lubriques.

- Je ne veux pas que vous quittiez le SGC, dit-elle cependant.
- Carter…
- Non…
- Ecoutez-moi ! s'emporta-t-il bien malgré lui, l'obligeant d'un geste à s'arrêter. Vous ne savez pas ce que vous me demandez, là. Vous ne savez pas…

Il se tut, serrant les dents, les poings crispés.

- Carter… reprit-il plus calmement. Vous êtes une femme désirable et étant donné ce qui s'est passé entre nous… je vais avoir beaucoup de mal à… à faire abstraction de ça.
- Qui vous le demande ?

Il ouvrit la bouche pour répondre, puis la referma, les yeux écarquillés.

- Quoi ? demanda-t-il, comme s'il avait mal entendu.
- Qui vous le demande ? répéta-t-elle, avec candeur.

Il secoua de nouveau la tête, passant une main fatiguée sur sa nuque douloureuse.

- Je ne comprends pas… Vous voulez quoi ? Me voir baver à chaque fois que vous rentrerez dans une pièce ? dit-il crûment, cherchant à lui faire comprendre exactement à quoi elle devait s'attendre.

- Vous baveriez ? répéta-t-elle contre toute attente, un sourire amusé sur les lèvres et une lueur dans les yeux qui lui firent battre le cœur un peu plus vite.

Estomaqué, il observa attentivement le visage de la jeune femme, notant son air désinvolte et détendu, plein d'une nouvelle assurance.

- Jack, un problème ?

La voix de Reynolds le tira de sa contemplation. Machinalement, il empoigna sa radio, sans quitter Carter des yeux.

- Non… On arrive.

Après un échange de sourires, Jack fit un signe de tête et ils se remirent en route. Ils marchèrent quelques secondes en silence puis il finit par se tourner de nouveau vers elle. Il était hors de question qu'il laisse tout ça en suspend.

- La bave ne vous gêne pas alors ? demanda-t-il avant de secouer désespérément la tête devant la stupidité de ses propos. C'est très mauvais, je suis désolé…

Mais la jeune femme rit doucement, les yeux pétillants.

- J'ai connu pire.
- Pour la bave ou la blague ?
- Les deux.

Jack acquiesça, sans trop savoir s'il devait ou non se réjouir de cette réponse. Une chose était sûre, elle ne semblait pas lui en vouloir. C'était tout ce qui comptait. Mais le « J'ai connu pire. » le laissait perplexe. C'était un oui ou un non ?

- Et vous ? dit-elle au bout d'un moment.
- Moi ?
- Voir une femme se pâmer devant vous ne vous gênera pas ?

Cette fois-ci, plus de doute. Son pouls battant des records de vitesse, il se tourna vers elle, un sourire amusé sur les lèvres.

- Se pâmer ?
- Se pâmer.

Il acquiesça, flatté à l'excès, faisant cependant mine de réfléchir.

- … Je crois… Je crois que je survivrai.

Elle lui lança un regard entendu, faussement vexée par ses hésitations mais resta silencieuse. Ils continuèrent leur route tranquillement, l'un à côté de l'autre, et rejoignirent quelques mètres plus loin un Daniel et un Teal'c scrutateurs. Les deux hommes les observèrent un instant puis, devant leur bonne humeur évidente, ils se détendirent complètement.

Le chemin du retour se fit donc léger. Parfois leurs regards se croisaient, parfois ils échangeaient un sourire et lorsque la Porte apparut majestueusement devant eux, Jack se surprit à regretter que la route n'ait pas été plus longue, malgré ses innombrables blessures.

Daniel se chargea des coordonnées et le vortex se forma. Reynolds se tourna aussitôt vers O'Neill mais celui-ci secoua négligemment la main.

- Partez devant, j'arrive.

Le leader de SG3 acquiesça et tous passèrent la Porte, tous sauf SG1. Comme Daniel semblait vouloir prendre son temps, Teal'c finit par le pousser doucement mais fermement vers le vortex et le jeune homme se décida enfin à les laisser seuls.

- Alors ? attaqua de suite Jack en se tournant vers la jeune femme.
- Alors ? répéta-t-elle, un sourire sur les lèvres.
- Ça mérite bien un petit baiser !

Elle haussa les sourcils et croisa les bras sur sa poitrine.

- Qu'est-ce qui mérite un baiser ?
- Je vous ai sauvé la vie et délivré du vilain méchant qui vous retenait prisonnière, expliqua-t-il avec satisfaction.
- Mais moi aussi, répliqua-t-elle en redressant la tête.

Il grimaça légèrement avant de lever le doigt, les yeux brillants.

- Vous avez aussi essayé de me tuer. Ça nécessite une compensation.

Sam soupira, mi-amusée mi-blasée.

- Ça, c'est vraiment petit…

Le sourire vainqueur de Jack s'accentua.

- Alors ? J'ai droit au baiser de la jolie princesse en détresse ?
- Je n'étais pas en détresse ! s'exclama-t-elle outrée, détestant par-dessus tout le rôle de la faible femme qu'il s'amusait à lui faire jouer.
- Juste un peu, quand même !
- Non !
- … Pour me faire plaisir… murmura-t-il cependant en approchant son visage du sien jusqu'à ce qu'ils ne soient qu'à quelques millimètres seulement.

Les joues de Sam s'enflammèrent aussitôt et un gémissement s'échappa de ses lèvres.

- Juste pour cette fois, alors.

FIN

Encore un fois, désolée pour la guimauve disséminée de ci de là, dans la fic. Je crois que c'est de pire en pire…
Et désolée pour les fautes d'orthographe… plus la fic est longue et moins j'y vois !

Quoiqu'il en soit, j'aurais pu appeler cette fic « Une histoire de coups de boule ». Carter en donne trois rien que dans celle-là… un record. XD