Un cauchemar réel

C'était un soir, le jeune photographe avait trouvé un travail intéressant. Un important trafique entre deux mafieux. Il espérait de ne pas se retrouver nez a nez avec un certain homme. Ce trafique se passait sur le port, un trafique d'arme plus exactement.

Il était fixé pour 21h30 devant l'entrepôt numéro 13. Ce n'était pas la première fois et surtout pas la dernière. Ce numéro qui, comme tout le monde le sait, ne porte pas bonheur. Mais pour le photographe c'était pire, toutes ses rencontre avec des mafieux, se passaient toujours mal et il fallait en plus que ce soit à cet entrepôt. Enfin il ne pouvait pas laisser une occasion pareille. Il fallait bien gagner sa vie d'une manière ou d'une autre. C'est pourquoi il se rendit au port pour avoir les photos qui lui rapporteraient de l'argent, argent temps désirer. Arriver sur place, il s'installa derrière des caisses de marchandise (comme à son habitude). Il était désormais 21h25 et toujours rien. Le port était toujours désert jusqu'au moment où il entendit un bruit de voiture. Il prépara donc son appareil photo, puis se pencha pour observer. Un homme, en costume blanc, était adossé à la voiture. C'est alors que l'autre voiture, accompagnée d'une camionnette, firent leur apparition. L'homme en blanc, sortit une mallette noire, sûrement de l'argent. La camionnette s'arrêta à côté de la voiture. Un homme, qu'il reconnu tout de suite, en sortit. En effet cet homme était l'un d'Asami, shibuya c'est comme cela qu'on le nommait, était un homme fidèle à Asami et il avait souvent rencontré le jeune photographe. Pourquoi fallait-il qu'Asami soit toujours dans des affaires étranges? Pourquoi il tombait sur les affaires de ce yakusa sans coeur et d'une froideur inimaginable? Le faisait-il exprès? Après moult réflexions il décida de prendre quelques photos. L'échange commença et les hommes avaient l'air de ne pas l'avoir remarqué. C'était bien sa veine, Asami était partout où il allait, comme si quelqu'un le suivait.

Il fut tiré de sa rêverie quand un coup de feu retentit. Akihito se pencha et remarqua qu'il y avait du grabuge entre ces hommes. Il essaya d'entendre de quoi il parlait mais il était trop loin. C'était en train de tourner au vinaigre et il était préférable pour le jeune homme de s'éclipser sans attirer l'attention. Un bruit de voiture retentit. C'était sûrement l'un des opposants qui partait. Il s'apprêta à sortir lorsqu'une main vint lui attraper le bras. Il se retourna et vit un des hommes d'Asami accompagné de shibuya qui avait l'air d'être heureux

- " Je pense que mon patron va être heureux de te voir, Tu commençais à lui manquer tu sais"

Le jeune homme déglutit difficilement, il ne voulait pas y aller. Il se débâtit, en vain; rien à faire, il était cuit. Malgré ses efforts il ne pouvait pas échapper à ce pervers. L'homme qui le tenait, le fit entrer dans la voiture et referma la porte. Shibuya était installé à côté de lui.

- " Vous avez peur que je m'envole ou quoi

- Mon patron m'a prévenu sur tes magnifiques feintes, dit l'homme

pffff...j'vous jure"

Arrivé devant l'immeuble ou se logeait Asami, Akihito sortit de la voiture suivit de près par shibuya. Ils arrivèrent devant la porte du yakusa après quelques minutes de marche. L'homme de main frappa à la porte de l'appartement de son patron et ouvrit. Shibuya referma la porte après l'entrée du jeune homme. Asami était adossé sur une chaise, la cigarette à la main et plongea dans des documents. Il releva les yeux sur son homme, qui lui raconta ce qui s'était passé. A la fin du récit de shibuya, le visage d'Asami s'était fait effrayant, comme si quelque chose n'allait pas. Il se replongea ensuite dans ses documents. L'homme de main tourna le dos à son patron et commença à avancer vers la sortie. Il s'arrêta au niveau du jeune homme.

"Tache de le mettre de bonne humeur" et il sortit, fermant la porte derrière lui. Un silence s'installa après le départ de shibuya. Voyant l'homme d'affaire occupé et ne supportant pas le silence. Il décida de le briser.

"Je vois que tu est occupé, alors je rentre chez moi"

"Où tu comptes aller"

"Euh...chez moi?

Vraiment? l'homme d'affaire avait relevé la tête "ou étais-tu passé? Tu serais pas en train de me fuir Takaba?" à ces mots il se leva et écrasa sa cigarette

"Te fuir? Tu penses?...qu'est ce qui te le fait penser? La voix du photographe était peu assurée.

"Cela fait déjà 2 semaines je commençais à me demander si tu ne t'étais pas fait enlever. Mais à ce que je vois tu as l'air d'être en pleine forme" Un petit sourire naquit sur le visage de l'homme d'affaire. Un sourire peu évocateur au goût du photographe.

"C'est fou comme le temps passe vite. Maintenant je m'en vais"

"Tu crois que je vais te laisser partir? N'oublie pas tu m'appartiens"

Je ne t'appartiens pas et maintenant lâche moi. Le jeune homme se débattait et gesticulait pour se défaire de l'homme qui tenait son poignet

L'homme d'affaire avait attrapé le poignet du jeune homme. Celui-ci était nerveux, il ne voulait pas que ça recommence. Il en avait plus qu'assez de servir de "pute" au yakusa. (1)

"Puisque tu ne veux pas te calmer, tu vas aller te calmer dans la chambre." Il le tira et le jeta dans la chambre, puis il verrouilla la porte.

Le jeune homme se précipita alors vers la porte et tenta de l'ouvrir, mais sans succès. Elle était belle et bien fermée à clé. Cet enfoiré l'avait enfermé et ça, il ne le supportait pas. Il donna donc, des coups de poing en hurlant au yakusa de le laisser sortir. Mais celui-ci resta muet. Le châtain décida de s'asseoir et de se calmer. Quelques minutes passèrent avant qu'Akihito entende le déclique qui signifiait que la porte s'ouvrait. Asami s'appuya sur le coin de la porte, fixant le jeune homme d'un regard qui ne signifiait rien de bon.

- "Tu es calmé?" dit-il calmement tout en le fixant.

-"Oui...Qu'est ce que tu veux? Qu'ai-je fait de mal cette fois?"

- "Ce que tu as fait de mal? Tu étais à proximité d'une de mes affaires, qui, je te le signale, était très importante."

-"Je ne le savais pas...Je peux rentrer chez moi?"

-"Tu es sans espoir, tu as l'air de ne pas comprendre la situation dans laquelle tu es. Faut-il que je te le dise?

-"Non...je préfère pas" le jeune homme se sentit mal a l'aise à la vue du yakusa, qui, le dévorait déjà des yeux

- "Dans ce cas explique moi ce que tu faisais là bas?

Ce ne sont pas t'es affaires je te signale.

-"Vus que tu le prends comme ça, une punition s'impose. Je vais te montrer qui est le mettre ici. A ces mots, le yakusa s'approcha du jeune homme, qui se leva et recula jusqu'à être coincé par le mur.

-"Asami...ce n'est pas le moment...je ne veux pas" il tremblait à l'idée des événements à venir. Il ne voulait pas faire cette chose écœurante, bref plaisante, mais écœurante. Asami attrapa le poignet du jeune homme, celui ci se débâtit et manqua de donner une baffe. C'est alors que le yakusa glissa des mots dans l'oreille du jeune homme, ce qui eut pour effet de le figer. Comment pouvait-il dire ça, cet homme dont le coeur, si coeur il y avait, était froid et sans sentiment. Pourquoi pensait-il à ça? Pourquoi?

Pendant que le jeune homme se posait des questions incalculables, le yakusa en profita pour le dévêtir tout en savourant la peau douce et fine de son partenaire. Il tira le jeune photographe de sa réflexion, lorsqu'il posa ses lèvres sur les siennes pour ensuite y faufiler sa langue. Akihito ne pouvait lui résister, sa manière d'embrasser était tel...il ne put malheureusement les décrire. Il fut allongé sur le lit par un simple geste, déjà nu, la bouche de l'homme d'affaire faisant son exploration. Ses mains expertes, glissèrent le long du torse, laissant au photographe, une douce caresse. Akihito fut surprit de la tendresse du yakusa, ce n'était pas dans ses habitudes, mais cela ne lui déplaisait pas. Il laissa échapper un soupir lorsque le yakusa descendit. En effet, sa bouche avait déjà parcourut le cou, le torse et il en était a...au cuisse. Il fut alors surprit lorsque le yakusa pris en main son intimité puis sentit quelque chose d'humide et de chaud sur son membre. Les soupirs se transformèrent vite en petits gémissements. Le plaisir avait gagné sur sa raison, et ne pouvait s'empêcher de gémir. Bien entendu, il laissa échapper un bruit étrange lorsqu'il se libera dans la main du brun. Il se sentit un peu honteux, mais il se sentait aussi...étrangement bien. D'ailleurs cela l'étonna. Le yakusa défit son pantalon et leva les jambes du châtain pour pouvoir rapprocher ses hanches. Akihito ferma les yeux et se prépara à se qui allait suivre. Une vive douleur l'envahit lorsque le brun le pénétra. Des larmes de douleur lui échappa et fut surpris lorsque l'homme d'affaire vint cueillir les perles salées. Le plaisir arriva bien vite faisant disparaître la douleur. Le yakusa avait entamé le va et vient accélérant le mouvement pour enfin atteindre le moment de la libération. Akihito poussa un long gémissement à cette action et s'écroula sur le brun essayant de reprendre son souffle. Il regarda le yakusa, qui lui, n'avait pas l'air fatigué. Il se leva et se rhabilla pour enfin se tourner vers le photographe

-"Je te prends ceci, tu n'en auras pas besoin" Il tenait dans sa main gauche, la pellicule photo prise le soir.

-"Rend les moi!!! C'est mon salaire!!!!" Il se leva assez mécontent.

-"Si c'est un problème d'argent je peux te payer?" dit-il un sourire machiavélique sur les lèvres.

C'est alors qu'Akihito s'emporta.

-"JE NE SUIS PAS UNE PUTE BORDEL!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!" Il se rhabilla à son tour et se dirigea vers la porte d'entrée suivi de l'homme d'affaire.

-"Où vas-tu?

-"Je rentre chez moi enfoiré" il ouvrit la porte et fut interpellé par le brun.

-"Quoi encore,

-"Fait gaffe à toi...pigé"

-"T'es pas ma mère" et il claqua la porte. Il descendit les marches et s'arrêta. Est ce que Asami s'inquièterait? C'était bien la première fois qu'il se comportait de cette façon. De quoi avait-il peur? Pourquoi s'inquiéter? Et pourquoi s'était-il montré si doux? Pourquoi il lui disait de faire attention?

Sa réponse fut toute trouvée lorsqu'une main l'attrapa mettant un bout de tissu. Cela sentait fort et ça lui monta vite à la tête. Tout devenait noir, la seule chose qu'il vit, était l'homme du port puis les ténèbres.

A suivre

Excusez le vocabulaire

Akihito : aaaaah !!!! Pourquoi toujours moi y'en a marre

L'auteur écrivant sur du papier : arrête de te plaindre tu veux

Akihito : y'en a marre faut toujours que je me fasse enlever !! Et puis y vas me faire quoi d'après vous .Te connaissant je vais avoir mal.

L'auteur un sourire au lèvre : Mais non, et puis je ne sais pas de quoi tu parle

Akihito : C'est ca comme si j'ailler te croire

Asami qui commencer a en avoir marre : Taisez vous un peu, c'est lassant

Akihito vert de rage : Toi tait toi, t'en as bien profité et puis ses quoi cette phrase hein ??

L'auteur se bouchant les oreilles : Il devient vraiment chiant je crois qu'une punition s'impose .Tu ne croit pas asami ?

Asami un sourire pervers aux lèvres : Oui, et je vais m'en charger

Akihito le sentent mal : Ah non sa suffit .Bas les pattes pervers. Nnnnnnnnn !!!!!!!!!!

L'auteur regardant les ébat des deux amants : Comme c'est mimi

Akihito criant de toute ces forces : yaaaaaaaaaaaaaaaaa, je veut pas !!!!!!!!!

Je vous laisse rêver la suite et quelque reviews ne seront pas de trop