Bonjour, voici ma nouvelle fiction ! J'en ais deux dans ma tête et comme je ne sais pas laquelle choisir, j'ai décidé de poster celle qui aura le plus de review dans un premier temps. Donc voici le prologue de cette première histoire. Donnez moi vite votre avis que je continu à écrire la suite rapidement. Je posterais surement tous les trois jours.

Disclaimer : Tous les personnages ne m'appartiennent pas ! J.K Rowling ne fait que me les prêter pour cette histoire.

Couple : HP/SS principalement mais il y aura aussi un peu de HG/RW.

Warning : Ceci est un slash donc vous voila prévenu.

Pour tous ceux qui sont encore avec moi, je vous souhaite une bonne lecture et j'espère que vous passeraient un bon moment à me lire…

Prologue…

Pensée d'Harry en italique.

La sonnerie annonçant la fin des cours retentit enfin. Les septièmes années Serpentards/Griffondors sortirent plus ou moins rapidement du cours de potion. Cinq minutes plus tard, Séverus Rogue, maître des potions de son état et espion pour l'Ordre, se retrouva seul dans la salle obscure. Un tremblement agita sa main qu'il réprima en posant ses deux mains à plat sur le bureau. Il fallait qu'il en prenne maintenant. Il venait de le voir et ses sens en étaient restés très perturbés. D'un seul mouvement, il sortit de la pièce et s'engouffra dans les couloirs sombres des cachots. Il marchait rapidement priant Merlin de ne croiser personne. Sa prière fut exaucée puisqu'il arriva dans ses appartements sans avoir rencontré âmes qui vivent même pas un fantôme.

Il donna le mot de passe et entra. Sans préambule, il défit sa robe noire et la jeta sur l'accoudoir du sofa du salon. Le feu crépita d'un coup de baguette et il se cala confortablement dans son fauteuil préféré. D'un « accio », il fit venir une petite fiole à la couleur violette. Ses tremblements reprirent de plus belle, il enleva le bouchon de son pouce et huma le parfum si délicat de magnolia qui se dégageait de la mixture. Cela le calma un peu, puis il but la fiole d'une traite. L'effet ne se fit pas attendre, un profond sentiment de sérénité s'empara de lui, il posa sa tête contre le dossier et ferma les yeux. Son corps semblait flotté. Libéré de sa prison de chair, son esprit était vif et concis, il se sentait invincible et terriblement bien. Une image vient alors danser devant ses yeux. Lui, son âme sœur. Un corps de petite taille malgré son âge, fin mais musclé, des cheveux courts d'encre et en bataille, un petit nez retroussé, des lèvres charnues rouge carmin et surtout un regard vert incandescents. Ce jeune homme de 17 ans était son âme sœur.

Comment le savait-il ? C'est simple parce que lui-même était un ange de la nuit et que cette espèce reconnaît leur compagnon dès leur majorité magique. Un ange de la nuit est une race de sorcier presque disparu aujourd'hui. Il y a longtemps, ils étaient toute une communauté mais ils ont été considérés comme faisant partis du côté sombre et ont été exterminés. Tout ça parce que la magie noire est inné chez ces sorciers. Depuis une faible minorité vivait aujourd'hui et même si ils n'étaient plus persécutés, le peuple sorcier gardait une farouche haine envers eux. C'est comme ça que sa mère fut tuée par son père. Il avait donc brigué sa nature dès la découverte de ses pouvoirs. Seulement se n'était pas chose aisé, d'où son caractère taciturne et solitaire. Mais déjà qu'il vivait sa condition comme une malédiction alors en plus découvrir que son âme sœur est cet horrible gamin. La c'était la goutte de potion qui faisait débordé le chaudron. Dans son malheur, heureusement il y avait Magencia. Cette petite potion qu'il allait trouver dans l'allée des embrumes était une drogue certes mais le faisait se sentir tellement bien. Il avait commençait à en prendre quand il était devenu espion pour l'Ordre puis elle ne l'avait plus quitté. Elle était devenu comme une compagne de vie et oui, il le reconnaissait il ne pouvait plus s'en passé. De plus, cela lui permettait de ne pas courir pour se jeter aux pieds d'Harry Potter.

Il soupira et regarda l'heure. La potion ne faisait plus effet car il recommençait à parler de Harry. Elle ne durait plus que vingt minutes maintenant. Trop peu. Avec un grognement, il en amena une autre à lui et la bu. Le calme revint apaisant ses sens et il somnola perdu dans une quelconque réflexion.

Harry Potter, Celui-qui-a-survécu-mais-pas-encore-vaincu, se dépêcha de sortir de la salle de potion une fois le cours terminé. Rogue avait était exécrable aujourd'hui et il ne demandait pas mieux que de déguerpir. Encadré par ses deux meilleurs amis, Ron Weasley et Hermione Granger, il remonta à leur salle commune rouge et or. Le chemin se fit sans encombre même pas de railleries du petit blondinet serpentard. Une grande première !

Après avoir dit le mot de passe, ils entrèrent et s'installèrent sur les canapés devant la cheminée. Ron sortit un paquet de chocogrenouilles et commença à manger ou plutôt se goinfrer. Harry lui resta pensif devant la danse des flammes brulant dans l'âtre. Hermione rompit le silence et parla d'une voix basse pour que seul eux entende. A son air mutin, Harry détecta qu'elle voulait leur faire part d'une découverte étrange qu'elle avait faite dans la journée, il n'avait pas tord.

« Hey les gars, vous avez remarqué le comportement étrange de monsieur Rogue ces derniers temps ? »

« Comment ça bizarre Mione ? La chauve souris doit seulement être contrariés de ne pas enlever autant de point à griffondors qu'il le souhaiterait. N'oublie pas qu'on parle du bâtard graisseux là ! » Répondit Ron la bouche pleine de friandise.

« Idiot. Harry, qu'est ce que tu en penses ? »

« Je ne sais pas Mione, c'est vrai qu'il est plus pâle que d'habitude. Il n'avait pas l'air bien au derniers cours. » Lâcha le brun d'une voix neutre toujours dans ses pensées. »

« Et vous ne trouvez pas ça bizarre ? » Tenta Hermione.

« Non, Rogue est bizarre de toute manière. » continua Harry sur le même ton.

« Pourquoi trembler t-il quand il te regardait ? »

« Quoi ? Mais tu délires Mione. Rogue ne tremble pas quand il me regard où alors il tremble de rage ! » S'exclama le brun en haussant la voix.

« Pas si fort, triple idiot. J'essaie juste de comprendre. Quelque chose va arriver, je le sens et le fait que le professeur Rogue ne soit pas au mieux de sa forme, ne me rassure pas du tout. C'est lui qui t'as toujours protégé. Qui le fera s'il n'est pas là ? »

« Ba nous Mione, quelle question. Il en a toujours été ainsi et je vois pas pourquoi ça changerais » Fit Ron.

« Peut être parce que monsieur Rogue regarde Harry avec insistance et qu'il semble malade. De plus, il le touche souvent plus que nécessaire et Harry lui ne voit rien car il est trop naïf ou alors il espère peut être autre chose ? » Répliqua malicieusement la brunette.

« Non mais t'es pas bien Mione. Que la chauve souris des cachots bave sur Harry, je veux bien mais que se soit réciproque, laisse moi rire. » S'emporta le roux un peu énervé.

« Harry pourquoi tu ne dit plus rien ? » continua Hermione imperturbable.

« Parce que j'ai faim, je descend dans la grande salle. »

Sur ces mots, Harry s'élança hors de la salle commune sans attendre ses amis. Il marchait dans les couloirs, repensant à ce que son amie lui avait dit. Non ce n'était pas possible. Lui, d'ailleurs ne ressentait pas de l'amour pour Rogue mais une sorte de tendresse inexplicable, un besoin de le toucher. Bien sûr qu'il avait remarqué que Rogue n'allait pas bien mais cela faisait déjà une semaine qu'il le voyait pâlir, ne pas manger, et s'énervé à tour de bras. Même si son professeur le critiquait toujours autant, il avait vu que le cœur n'y était plus et que c'était plus un reflexe qu'autre chose. Depuis quand cela avait changé ?

Il n'eut pas le loisir d'approfondir sa pensée, il entra dans la grande salle et s'assit à sa place habituelle. Comme par automatisme, il releva la tête en direction de la table des professeurs et encore une fois, il constata que Rogue n'était pas là. Pourquoi s'inquiétait-il pour l'homme qui le détestait ouvertement depuis leur première rencontre ?

Ses amis arrivèrent en compagnie de Dean, Seamus et Neville ce qui le distrait un moment. La table du Lion était animée ce soir. En effet, plus que une semaine est les cours se finissaient. Enfin du repos. Ils avaient déjà passés leur ASPIC et ils auraient bientôt la réponse, surement dans le courant de l'été. Harry ne s'en inquiétait pas plus que ça. Il savait que quoi qu'il arrive, il devait battre d'abord Voldemort avant d'avoir un avenir et peut être qu'il en aurait jamais ? Alors pourquoi se ronger le sang ?

« Harry ? » Fit la voix de Dumbledore le sortant de ses pensées.

« Oui monsieur le directeur ? » répondit le brun dans un sourire d'excuse.

« Si tu as fini de manger, rejoint moi dans mon bureau. Le mot de passe est « vive les gun-citrons. »

« Oui monsieur, j'arrive dans un instant. »

« Très bien. Bonne appétit mes amis. »

« Merci monsieur le directeur » Firent les griffondors en chœur, la bouche pleine.

Une fois le sorcier parti, Hermione et Ron se penchèrent vers le survivant et demandèrent en cœur.

« Harry, qu'est ce qu'il te veux ? »

« Je ne sais pas. Surement à propos de Voldemort. »

Un frisson parcourut l'ensemble de la table à l'évocation de ce nom mais au bout d'un instant, la bonne humeur reprit. Harry en profita pour s'éclipser discrètement. Il se dirigea d'un pas vif vers le bureau du directeur, échafaudant des plans sur la raison de sa visite. Une fois arrivé devant la gargouille, il donna en grimaçant le mot de passe. Puis monta tranquillement les marches sans se presser. Après tout, un rendez vous avec Dumbledore est souvent synonyme de mission dangereuse ou projet contre la volonté de sa pauvre victime car on ne refuse pas quelque chose à Dumbledore. Malheureusement pour Harry l'escalier à une fin et il toqua doucement à la porte. Un « entrez » lui parvint et il s'assit dans le premier fauteuil qu'il trouva.

« Ah ! Harry, une petite tasse de thé au citron ? »

« Volontiers, monsieur. » Oh merde, quand il commence avec Ah Harry ça veut dire qu'il va me demander un truc énorme ! Sortez moi de là, j'aime même pas le thé au citron !

« Bon, je ne vais pas y aller par quatre chemins Harry. »

« Très bien monsieur. » Merde et encore merde ! Quand Dumby y va pas par quatre chemins c'est que c'est grave ! Pourvu que je m'en sorte vivant.

« J'ai besoin de ton aide pour une mission bien particulière. Connais-tu les anges de la nuit ? »

« Non. »

« Tu découvriras assez vite de quoi il s'agit. J'ai découvert il y a quelques jours, une prophétie parlant de toi et d'un ange de la nuit. »

« Je comprend. »Mais putain, les sorciers ont défini toute ma vie ou quoi ? J'en ai marre, il faut que je sorte. Alors pourquoi que je reste là à écouter le mangeur de bonbons ?

« Cette prophétie montre ta principale arme pour battre Tom. »

« Je croyais que c'était l'amour monsieur ? »

« Oui, et bien justement. Tu verras de quoi je parle plus tard. Tes affaires ont déjà été transférées dans ta nouvelle demeure. Tu y resteras tous l'été. Je te dispense de ta dernière semaine de cours. Prend cette orange, c'est un port-o-loin. J'expliquerais tout à tes amis ne t'en fait pas. Des questions ?

« Euh…monsieur, je vais rester seul tout l'été ? »

« Non, un gardien sera avec toi et tu auras de nos visites. »

« Très bien. » De toute manière, je n'ai pas mon mot à dire. Autant la boucler.

« Je savais que tu serais enchanté par cette proposition. »

« Oui monsieur. » Enchanté ne serait pas le mot exact, je pencherais plus pour résigné mais bon. Tout est mieux que vivre avec les Dursley.

Harry fit un bref au revoir au sorcier et prit l'orange dans sa main. Aussitôt, la sensation désagréable du port-o-loin se fait sentir. Harry ferme les yeux et quand il les ouvre à nouveau. C'est pour voir un magnifique salon tout de bois et de cuir. Il est immense et les tons chauds qui le composent en font un endroit chaleureux où l'on a envie de s'y étendre et d'y dormir. D'ailleurs, une forme est allongée sur un sofa. Harry s'approche plus près. Dumbledore avait dit qu'il aurait un gardien. C'était un homme très grand, avec de longs cheveux noirs et une peau laiteuse. Le visage était fin mais très masculin malgré les long cils noire qui restaient clos sur ses joues. Cet homme était magnifique. On dirait un ange pensa Harry.

L'ange en question ne tarda pas à s'agiter, le survivant se recula de peur d'effrayer la personne. Et là sous ses yeux, se produisit une chose qu'il n'aurait jamais crue s'il ne l'avait pas vu. Les traits de l'ange se modifièrent et prirent les formes du maître des potions, terreur de Poudlard. Harry était estomaqué et ne pouvait plus bouger. Il vit Rogue ouvrir les yeux et le fixer dangereusement.

« Potter épargnez moi la vue de vos amygdales. Depuis quand êtes vous là ? » Claqua la voix froide du plus âgé.

« Je…viens à…à peine d'arriver…monsieur » Bafouilla le brun mal à l'aise.

« Bien et que faites vous ici ? »

« C'est le directeur qui m'a envoyé ici monsieur. Vous n'étiez pas au courant ? »

« Visiblement non Potter, sinon je ne vous aurez pas poser la question. »

Deux lettres sortirent par la cheminée et vinrent se poser sur la petite table en bois. Chacune étant adressée à l'un, ils décidèrent d'un commun accord de les ouvrir séparément. Harry resta au salon pendant que l'aîné disparut derrière une porte situé dans le fond de la pièce. Après un instant, Harry décacheta la missive portant le seau d'Albus Dumbledore et lu.

Mon cher Harry,

Je sais que tu dois te poser beaucoup de question en ce moment et crois moi j'aurais tant aimé t'expliquer la situation mais cela n'aurais fait que compliquer les choses. Je t'ai envoyé avec le professeur Rogue dans cette maison pour que vous compreniez certaines choses qu'ils vous auraient été difficile de découvrir à Poudlard.

Sois patient et oublie tes a priori avec lui et tu découvriras un homme qui vaut la peine d'être connu. Je t'ais parler d'une prophétie te concernant ? Je vais te la livré. Peut être cela t'aidera t-il. Je l'ai découvert dans un ancien parchemin retraçant l'histoire des anges de la nuit. Comme tu l'a certainement compris, Séverus en fait parti. La voici :

Quand la lune deviendra rouge, un combat sanglant aura lieu

Les ténèbres seront revenues et seul l'enfant du destin pourra défier les cieux

L'amour sera sa seule arme dans ce combat

Seul l'élu du peuple pour l'aider dans ses pas

Car uni pour toute leur vie

Ils pourront survivre à cette magie

Quand l'ange le verra

Un signe se dessinera

Représentant son amour

Graver dans sa chair pour toujours.

En espérant que cela ta aidé. Je viendrais vous rendre visite dans une semaine jour pour jour à 14h00. Porte-toi bien.

Amitié

Albus Dumbledore.

Harry n'était pas plus avancé et des questions se bousculèrent dans sa tête à une vitesse folle. Seulement, il savait bien qu'il n'aurait aucune réponse pour le moment, surtout pas de la part de Rogue. Il replia le parchemin et le fourra dans une de ses poches. Il attendrait le retour de son professeur et aviserais à ce moment là.

Pendant ce temps, Séverus n'avait toujours pas ouvert la lettre. Il était occupé à maudire le vieux fou jusqu'à sa vingtième génération pour l'avoir mis dans un pétrin pareille. Pourquoi lui ? Déjà qu'il avait du mal à ne pas sauter sur le gamin à Poudlard, alors là en cohabitation avec lui, il ne tiendrait pas longtemps. Il fallait qu'il sorte acheter de la Magencia. Seul ça pourrait le calmer. Il soupira puis déchira le cachet de la lettre. Cela ne servait à rien de s'apitoyer sur sons sort. Ce qui est fait et fait.

Mon cher Séverus,

Je sais que tu es entrain de me maudire pour t'avoir joué ce tour mais c'est pour ton bien. Après toute ces années, crois tu que tu pourrais me cacher aussi facilement la vérité. J'ai découvert la prophétie que tu tenais tellement à cacher et par la même occasion l'identité de ton âme sœur. Sache que je te soutiens dans cette affaire et étant donné que tu n'agissais pas, j'ai du employé des moyens disons plus radicaux. Je te charge donc de protéger Harry jusqu'à la rentrée. Il ne doit rien lui arriver. Vous pouvez tous les deux sortir à votre aise mais avec précaution. Je sais à quel point c'est difficile pour toi de supporter ta nature mais laisse la s'exprimer, tu ne t'en porteras que mieux. J'espère que ces vacances vous seront profitables à tous les deux.

Mes amitiés

Albus Dumbledore.

Rogue soupira à nouveau. Après tout, il le savait qu'un jour ou l'autre, Albus le découvrirait. Mais pourquoi maintenant ? Il n'était pas prêt, il le sentait. Alors pourquoi le forcer. Même si au fond de lui il savait que jamais il n'aurait franchi le pas et qu'il pouvait remercier le vieux fou de l'y avoir aidé, jamais il ne le reconnaîtrait. Et maintenant, qu'allait-il dire au gamin derrière cette porte ? Il voulut prendre sa dernière fiole de Magencia dans sa poche mais il se rendit compte qu'elle était vide. Il jura puis se leva. D'abord la potion ensuite les explications. Quand il passa dans le salon, Harry ne réagit même pas à sa présence. Trop choqué surement. Il se plaça dans un coin de la pièce, seule partie du manoir où il pourrait transplaner et arriva en pleine allée des embrumes. Oui, maintenant ça ira mieux.

Harry attendait toujours le retour de son professeur, cela faisait maintenant trois heures qu'il était parti et il commençait sérieusement à s'inquiéter. Même si cela ne lui plaisait pas, il ne pouvait s'en empêcher. Il regarda pour la énième fois la pendule qui affichait toujours la même heure. Puis un « crac » sonore se fit entendre et un corps s'affaissa au sol. La panique envahit Harry devant le corps ensanglanté de son colocataire forcé. Il se leva et s'approcha doucement du corps inerte. Un faible son lui parvint.

« Aides moi. S'il te plait, Harry. »

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Voila le prologue. J'espère que cela vous plait. A bientôt si c'est celle là que vous choisissez sinon je la posterais quand l'autre sera fini. Merci d'avoir lu jusqu'au bout.

Bisous

Jalana…