Nom de la fic :

Joyeux anniversaire

Disclamer : les personnages de cette histoire ne m'appartiennent pas

Couples : Draco X Harry

Notes de l'auteur : je ne pensais pas avoir tant de reviews me demandant de continuer mais je vais le faire cette histoire aura donc une suite. Elle se passe quelques jours après la déclaration de Draco, il va mieux et il a décidé avec Harry de garder leur relation secrète... mais bizarrement elle ne l'est pas resté plus de vingt quatre heures

JOYEUX ANNIVERSAIRE Chapitre 6 : Désolé pour hier soir POV Draco

Je me réveille et cette couleur que je hais plus que tout viens heurter mes yeux délicats. Le rouge. Pourquoi faut il que même son pyjama soit de cette fiche couleur écarlate ? Godric Gryffondor avait vraiment des goûts de chiottes… au moins Salazar avait une conception de ce qu'était la classe et l'élégance lorsqu'il avait choisit le vert et l'argent pour représenter sa maison. Je remue le nez en sentant ses mèches de cheveux me chatouiller doucement le visage. J'aime terriblement le contact de sa peau que je caresse tendrement sous ce maudit pyjama. Je le maudit autant pour sa couleur que parce qu'il sert a masquer la pudeur de mon petit ami que j'ai convaincu de dormir près de moi cette nuit. Il avait quitté son dortoir vers 22heures, heure où tous les blaireaux de sa maison étaient couchés comme des poules.

Je me blotti dans son dos, cache mon visage dans son cou et donne un petit coup de langue sur sa peau douce. Cela à pour effet de lui faire ouvrir les yeux. Il soupire, encore tout ensommeillé et ramène ses bas sur son torse, sur lequel il trouve mes mains, immobiles mais sous ses vêtements. Il fait un mouvement pour s'éloigner de moi et me regarde bizarrement avant de regarder autour de lui, il n'a pas l'air de comprendre où il est. Il me regarde, croise mes yeux que j'ai enveloppé de toute la tendresse de laquelle je suis capable et il se rappelle. Que c'est lent a la détente un Gryffondor le matin… enfin ça l'est toujours mais là c'est pire. Il a un sourire désolé et reviens contre moi.

- Bonjour Harry. Bien dormi ?

- Oui… je suis désolé…je suis un peu

- lent d'esprit ? c'est rien je ne t'en veux pas.

Je l'embrasse pour l'empecher de répliquer et il se laisse tout de suite manipuler. Il me laisse me positionner au dessus de lui, non sans rougir quelque peu, sans rien sire et me regarde d'un air un peu hagard. Il est mignon. Dommage que ce maudit pyjama gâche pas mal de choses, je me concentre sur ses yeux. Ils sont vraiment magnifiques, on aurait dit deux orbes d'émeraudes purs et transparents que l'ont aurait incrusté sur un bijou sublime. J'aime son regard, il est si intense et pourtant si mystérieux. J'ai toujours eut l'impression qu'il pouvait parler rien qu'avec ses yeux et que c'était moi qui n'arrivais à décoder son message que lorsqu'il me disait « je te hais ». Mais maintenant que je l'ai pour petit ami, je ne le comprend pas plus, mais au moins je sais décrypter « je t'aime Draco » dans ses pierres précieuses qui me fixent et le sourire doux qui les accompagne.

- Quelle heure est il Mal… Draco ?

Je regardais rapidement ma montre à gousset, celle que j'ai toujours dans ma poche quelles que soient les circonstances. Les aiguilles en or indiquent fièrement onze heures.

- Il est encore trop tôt pour quitter le lit un dimanche matin.

- Non mais sérieusement Draco ? quelle heure est il ?

- L'heure de s'acheter une montre… pourquoi tu veux savoir ça ?

- J'aimerai assez savoir quel genre d'excuse je vais devoir trouver pour justifier que j'étais pas dans le dortoir ce matin.

- Bah tu diras que tu étais à la bibliothèque.

- Draco… s'il te plait.

- Onze heures.

Il me regarde, incrédule. Et oui mon beau brun tu as fait le tour de l'horloge au lit. Il ne s'est rien passé entre nous et le contraire aurait été vexant. J'aurais alors crut que tout ce que Harry désirait c'était un plan culs et je ne l'aurais pas supporté : je l'aime trop pour cela.

A ma grande surprise, il se blottit encore contre moi et ferme les yeux de ce qui semble être de bien être. Je resserre mon étreinte autour de lui et j'embrasse doucement sa tête. Comment ai je pu me passer de lui durant tout ce temps.

Je regarde la senti sphère et la prend au creux de ma paume. Elle vire immédiatement à cette couleur idiote qui représente l'amour que j'ai pour lui. La lumière qui émane de la boule de verre m'éblouit un peu et Harry vient souder ses lèvres aux miennes. Je ne suis pas doué pour exprimer mes sentiments envers lui, c'est un peu nul je sais mais j'ai l'impression que lui dire que je l'aime ne suffit pas. Je cherche constamment d'autres mots pour lui conter tout ce que je ressent mais rien n'est assez fort, rien n'est jamais assez puissant pour exposer mon amour. Mais il comprend, je le vois dans son regard et s'il n'y a pas de mot dans le dictionnaire pour tout laisser entendre, alors nos yeux qui se croisent en inventent d'autres, ceux que seuls les cœurs amoureux peuvent concevoir.

Je caresse doucement son torse à travers le pyjama. Il panique et me demande ce que je fais. Je répond que je le regarde, parce qu'il est beau et que j'aime l'admirer. La seconde question veut savoir pourquoi je le caresse. Ma réponse est que je n'ai pas pu m'en empêcher mais qu'il n'a pas a avoir peur. Je ne compte pas précipiter les choses, encore moins avec lui. Il a les joues rouges, il aime que je le complimente mais il ne peut pas s'en empêcher, c'est plus fort que lui. Je trouve ça terriblement mignon.

Je m'étend à côté de lui en lui disant encore une fois ces mots qui ne veulent rien dire « je t'aime Harry » en me maudissant de ne pouvoir rien dire de mieux. Mais ses prunelles s'illuminent et s'éclairent de bonheur.

POV Harry

L'ancien Malfoy n'existe plus quand je suis seul avec lui. Il ne peut retenir quelques remarques désagréables à Ron ou Hermione mais il est tellement plus gentil depuis qu'il est avec moi. Encore qu'il est plus gentil avec Hermione depuis qu'elle lui a montré qu'elle se fichait complètement de ses sous-entendus. Je me demande même s'il ne finit pas par l'apprécier. Toute l'école ne parle que de nous. Nous sommes le couples le mieux assorti qui soit de l'avis des filles et le plus bizarre de l'avis des hommes. Quoi que ce cas n'est pas une généralité puisque tous les Serpentards étaient au courant de l'homosexualité de Draco et l'acceptaient sans aucun problème. Cela leur paraissait naturel qu'il sorte avec moi puisque les opposés s'attirent.

Je sais que je suis un peu dur en disant ça mais Dray est parfois un peu froid avec moi, bien que nous ne soyons ensemble que depuis moins d'une semaine j'ai remarqué qu'il ne parle pas beaucoup quand nous sommes seuls. Il préfère le contact physique.

Hier soir… je m'en veux tellement. Il m'avait gentiment proposé de partager une nuit avec lui. Il n'avait aucune idée déplacée dans la tête mais j'ai démarré au quart de tour.

FLASH BACK

- Dis … Harry, j'aimerai que tu reste près de moi cette nuit… tu veux bien partager mon dortoir ?

Le sang du survivant ne fis qu'un tour. Il se mit presque à crier et Draco jeta des cops d'œil un peu partout pour s'assurer que personne n'entendait la soudaine et injustifiée colère de son petit à ami.

- Tu me prend pour ta pute ou quoi ? j'aurai du me douter que tu ne faisait ça que pour coucher avec moi !! je te déteste Malfoy ! JE TE HAIS !

Draco fut blesser autant parce qu'il avait employé son nom de famille que pour ce qu'il venait de lui dire. Il n'avait jamais eut quelconque idée déplacée, il ne comprenait pas la colère du Gryffondor. Il ne baissa pas les yeux, il perdit son sourire gentil pour arborer son rictus arrogant et provocateur de toujours.

- Bah quand tu aura fini de te considéré comme tel et que tu sera prêt à accepter que j'ai juste envie de t'avoir près de moi tu viendra me le dire. Je ne vais pas me fatiguer à te faire comprendre que je t'aime et te respecte puisque tu ne m'écoutera pas. Cependant si tu te considère comme mon petit ami et que tu as envie de venir, ma chambre t'est grande ouverte.

Il tourna les talons et Harry sentit toute sa rage le quitter. Il était idiot. Il retourna au dortoir de Gryffondor et se jeta sur son lit. D'accord il trouvait que Draco allait trop vite, mais il n'aurait pas du s'énerver ainsi, c'était complètement idiot et immature. Il pleura et décida qu'il irait le voir.

Il quitta le dortoir lorsque tout le monde fut partit se coucher et rejoignit la chambre personnelle du préfet de serpentard. Il ne connaissait pas le mot de passe. A tout hasard, il prononça « Harry » et le passage s'ouvrit sur un chambre magnifique. Il se mit a pleurer, il était désolé et le fit comprendre a son amour en se jetant dans ses bras.