Auteur: DLT
Disclamer: Tout appartient à JKR pour notre plus grand bonheur (puisque l'on a l'histoire) et pour notre plus grand malheur (puisque c'est pa à nous)
Rating: on va mettre R.
Genre: romance
Avertissement:Attention cette fic met en avant des relations HOMOSEXUELS donc homophobes s'abstenir de nous prendre la fête merci. Pour les autres, prière de prendre un seau et des serpillière car si vous inonder le clavier vous ne pourrez plus reviewer.
PairingDrarry bien sûr.
Titre : La petite sirène.
Résumé: Alors vous prenez le Walt Disney et vous le mettez à la sauce Harry Potter. Je tiens à dire que je ne suis pas responsable ! Ma sœur adorée m'a passé des contes chantés et il y avait la petite sirène, alors je me suis tapé un gros délire version Harry Potter. On a donc voir ce que cela donne…
La Petite Sirène
Chapitre 1 : Le concert manqué.
Cette histoire se passe au fond de l'océan et on hisse la grande voile matelot.
Méfie toi mon gars une sirène t'attend dans les profondeur de l'océan.
C'est une belle chanson n'est-ce pas ? Elle parle du monde merveilleux de la mer. Celui où selon la légende, vive les tritons et les sirènes, ces êtres fabuleux, moitié humain, moitié poisson. La Petite Sirène dont je vais vous conter l'histoire aujourd'hui, était la petite fille du roi Dumbeldore, maître de l'océan. Ses parents, Lily et James, étaient morts lors d'une guerre avec Lord Voldemort, une sirène rebelle qui voulait prendre le pouvoir.
Dumbeldore, recueillit alors les fruits des amours son fils James et de la belle Lily : il y avait 6 filles : Aquata, Andrina, Arissa, Athina, Athéna, Anana et le petit dernier : Harry. Harry avait 16 ans, son visage avait la fraîcheur d'un pétale de rose et ses beaux yeux verts, la couleur des herbes marines. Il était sans conteste le préféré de Dumbeldore.
Mais je dois vous raconter le début : l'histoire d'Harry, la sirène avide d'indépendance et de son bel amour, un prince…
Nous voici au milieu de l'océan. A la surface de l'eau calme et tranquille, un grand navire dresse la fière silhouette de ses trois mâts. Il vient de jeter l'encre. Quelques dauphins turbulents glisse autour de la coque brillante. Les mouettes et les goélands, gracieux sur leurs ailes tendues viennent frôler els grandes voiles blanches que l'équipage s'emploie à replier.
A la proue du vaisseau, un beau jeune homme est appuyé sur la rambarde, le regard tourné vers l'horizon. Ses mèches avaient étaient d'un blond presque blanc, ses prunelles étaient grises comme de l'acier mais d'une grande douceur. Il portait une chemise blanche et un pantalon noir.
Ce jeune homme était un prince, il s'appelait Drago Malefoy. Ses parents étaient morts lors d'une guerre quand il n'avait que 11 ans et il était l'héritier d'un vaste royaume. Il adorait la mer qui pouvait être à la fois calme et déchaînée. Pour le moment, il semblait songeur, perdu dans ses pensées.
Un matelot, celui que l'on appelle l'Aboyeur, mais de son vrai nom Sirius Black, et qui annonce à l'équipage la tempête et les dangers, s'approcha. Il était grand, brun, très séduisant mais avec un humour assez débridé. Il vivait avec son compagnon : Remus Lupin. Drago éprouvé une affection particulière pour cet homme… particulier.
Un bon p'tit vent, mon prince et sûrement une mer qui va montée. Le roi Dumbeldore doit être content aujourd'hui.
Le roi Dumbeldore ? Répéta Drago avec curiosité. Qui est le roi Dumbeldore ?
Bah… le maître de l'océan et du peuple des sirène, mon Prince. Expliqua Sirius comme si c'était une évidence. tout bon matelot connaît cela.
C'était une des excentricités de Sirius, il était convaincu que les sirènes existaient. Pour sa part, Drago avait souvent entendu sa mère lui raconter ses légendes quand il était enfant. Amusé, Drago fit un signe approbateur vers Sirius pour ne pas le vexer car pour lui, les sirènes n'étaient qu'un mythe. Il n'avait plus 5 ans, mais 19.
A cet instant, le Comte Rogue, le parrain de Drago et aussi son tuteur, s'approcha et dit avec brutalité :
Le peuple des sirènes ? Drago n'écoute pas ce que dit ce chien galeux !
Snivelus ! Moi aussi je suis ravi de te revoir de si bon matin ! S'exclama Sirius avec ironie.
Severus Rogue était accompagné du compagnon de Sirius. Tout les trois étaient comte et si Severus et Remus se tolérés, Severus et Sirius ne pouvaient s'empêcher de se tirer dans les pattes. Rivalité d'enfant a ce que Drago avait comprit des explications de Remus.
Il ne raconte que des balivernes. Ajouta Severus après un regard noir à Black.
Et moi je dis que c'est vrai, là sous la surface de l'eau, il y a le peuple des sirènes.
Comme Sirius dit cela avec conviction, tous les quatre se penchèrent et regardèrent l'océan. Mais tout trois ne virent que les reflets miroitant de l'eau.
En fait, ils ne pouvaient se douter que les rayons du soleil qui se glissaient à travers la surface de la mer, irradier dans les profondeurs des poissons aux couleurs de l'arc en ciel, des algues et des corolles qui se balançaient au gré des courants marins, des récifs coloraient et des grottes étroites qui conduisaient au palais resplendissant du roi Dumbeldore.
Si nos quatre hommes avaient pu voir, ils auraient alors put constater que tous le peuple des sirènes était réunis dans une salle immense du palais de corail pour assister à un concert. Dans la salle, un gros crabe rouge nommait Sébastien, poli comme un coquillage roulé par les eaux, conversait respectueusement avec le roi.
Sébastien avait divers tâches : il conseillait le roi à propos de ses petits enfants, faisait leur éducation, s'occupé de tout se qui consistait au divertissement royale. Ce soir là, le concert était donné pour présenter Harry, puisqu'il avait 16 ans. Sébastien en était le chef d'orchestre.
J'attends beaucoup de cette représentation, Sébastien. La présentation d'Harry ne doit pas être gâchée.
N'ayez crainte, Sir. Ce sera le plus beau concert de ma carrière. Vos petits enfants seront remarquables. Particulièrement Harry qui chante divinement et éblouira tous le monde. Si seulement il avait assisté aux répétitions mais… tout ira bien !
Flottant entre deux eaux, Sébastien dériva vers l'orchestre, leva sa baguette et la musique se fit entendre aussitôt. Emergeant d'un rideau de bulle, les 6 petites filles apparurent sur la scène :
Nous sommes les petites filles du roi Dumbeldore !
Notre grand père nous a donné de jolis noms :
Aquata !
Andrina !
Arissa !
Athina !
Athéna !
Anana !
Et voici le septième dans ses débuts musicaux.
Notre petit frère va faire le lever du rideau.
Montrant son récital de sa jolie voix de cristal
Et il s'appelle HarryAH !
Elles glissèrent gracieusement vers le centre de la scène pour se séparer autour d'une huître gigantesque qui devait s'ouvrir su le petit dernier mais la coquille était vide, provoquantdes exclamation de stupeur. Sébastien s'embla blanchir, si c'était possible et songea à se ronger les pince quand le roi se redressa blême et s'écria :
Où est-il ?
Tandis que le roi fulminait de colère sur le pauvre Sébastien, Harry, se promenait en plein océan avec son compagnon de toujours : Ron, une autre petite sirène. Harry avait de longs cheveux noirs, comme de l'encre et des yeux verts. Sa queue était du même émeraude que ses yeux. Ron, quant à lui, avait de court cheveux roux et des yeux qui avait la douceur de l'océan et une queue rousse. Leur queue brillait quand les rayons du soleil atteignaient leurs écailles douces.
Ils étaient inséparables. Aujourd'hui, ils s'étaient aventurés au cimetière des épaves. Lieu au combien interdit mais terriblement attirent pour ces deux jeunes sirènes qui étaient attirés par tous ce qui toucher à ces étranges créatures qu'étaient les humains.
Là, ils tournoyaient autour d'une vielle épaves couchée sur le sable blanc. Harry et Ron étaient sans cesse en quête d'objets curieux qu'ils collectionnaient. Ils entrèrent dans l'épave et se trouvèrent dans une salle qui était, sauf qu'ils ne le savaient pas, une salle à manger.
Oh regarde ça ! S'exclama Harry en brandissant une ville fourchette ternie. C'est mignon mais aussi très bizarre !
Ah oui ! C'est beau ! Fit Ron en redressant la tête. Mais qu'est-ce que c'est ? Demanda t-il en se rapprochant d'un grand coup de queue.
Je n'en sais rien, il faut consulter Hermione !
Alors qu'ils allaient quitter la salle, Ron fit avec effroi un immense requin blanc arriver.
Un requin Harry ! Cria t-il.
Les deux sirènes s'affolèrent en voyant le requin se rapprocher. Ils filèrent le pus vite possible vers l'autre bout de la salle, poursuivis par le requin. Il s'en suivit une grande calvacade terrifiante où ils faillirent y laisser la vie mais Harry trouva un hublot où ils réussirent à sortir.
Le requin, trop gros, ne put en faire autant, alors qu'ils reprenaient leur souffle, le requin réapparut, brisant la coque. La course poursuite recommença et ils ne durent la vie sauve qu'aux grosses mailles de l'encre où le requin fut retenu prisonnier. Ron s'approcha pour le narguer :
Et qui est le gros méchant prisonnier ?
D'un gros claquement de sa puissante mâchoire, le requin manqua de croquer le joli minois du rouquin qui poussa un hurlement surprit et terrifié sous le rire d'Harry.
Te moque pas Harry !
Viens allons-nous en avant qu'il ne s'échappe encore. Rit Harry.
Les deux sirènes gagnèrent la surface et nagèrent vers la rive où ils trouvèrent Hermione, leur amie goéland qui savait toujours tout sur tout, assoupie au soleil sur un petit rocher.
Hermione ! Regarde ce que j'ai trouvé ! Dit Harry en exhibant sa fourchette.
Oh ! Bonjour Harry, bonjour Ron ! Tiens ? Encore un truc qui appartiens au humain ! Voyons voir ça !
Elle se saisit de la fourchette et l'examina attentivement.
Oh mais c'est ultra compliqué !
Mais qu'es-ce que c'est ? A quoi cela sert ?
Euh… je dirais que c'est un tire tif. Les humains l'utilise pour mettre leurs cheveux en ordre. Regard, des dents ici et un manche là, avec la forme d'un violon. C'est tout juste fait pour ces gens compliqués.
Harry, ravi, s'empara de la fourchette et la passa dans ses longues boucles noires. Il était émerveillé.
Comme ça Hermione ?
Regardez-moi ça ma parole on dirais qu'elle veut devenir un être humain !
Harry rit et dit :
Un tire tif quel joli mot.
A cet instant, ne voulant pas rester en reste, Ron exhiba sa trouvaille : une bonne grosse pipe à tabac, trouvée au fond des eaux.
Et ça Hermione, qu'est-ce que c'est ?
Oh… s'émerveilla Hermione. Je n'en avais pas vu depuis des années et des années. Ca c'est presque un objet préhistorique !
Elle s'empara de la pipe et la regarda avec vénération.
Il servait aux hommes pour se réunir et se comprendre. Cela leur servait à faire de la musique. Mais il à l'air bouché. Dit-elle déçue après avoir soufflé dedans.
De la musique. Murmura Harry.
Il blêmit soudain et s'écria :
Le concert royal par Triton nous avons oublié le concert ! Grand-père doit être fou de rage ! En revoir Hermione merci beaucoup !
Affolés les deux sirènes disparurent sous la mer et nagèrent aussi vite qu'elles purent pour regagner le palais.
Alors, vous en pensez quoi de mon petit délire ?
Pour la scène avec le requin, je ne l'ai pas sur le conte alors je l'ai fait comme dans mes souvenirs.