On aurait pu être heureux
« J'ai si mal, si mal… Pourquoi ai-je si froid ? Vais-je mourir ? Que c'est passé déjà ? Ah oui c'est cet Uru-kaï qui ma transpercé de ses trois flèche …
Un jour quelqu'un m'a dit que quand on mourrait notre vie défilait devant nos yeux…»
Cela doit être vrai car je sens une étrange torpeur m'envahir
Je ferme les yeux et me laisse noyé par mes souvenir…
Tiens une image apparaît … Elle est floue mais je reconnaît très bien cet endroit … Ma cité blanche, mina stirith… Un sourire naît sur mes lèvres, en voyant la cité de mon enfance.
L'image se trouble et une autre apparait. L'endroit est beau et fleuri. C'est foncombes,la cité des elfes, avec la reunion du conseil. Tous ceux qui bientôt formeront la comunoté de l'anneaux sont la. Frodon, Aragorn, legolas, Gimbli.
« C'est la que tout a commencé… Le debut de notre fin… »
L'image se trouble. Maintenant, je revois le moment ou j'avais appris a combattre à Merry et pipin .
Une autre ou je vois notre arrivé chez les elfes de la Lohrien. Plein de scène defilent devant moi… La bataille dans la moria, nos longues marche à travers les plaines,la mort de Gandalf… Tant d'image, de souvenir.
Tout à coup, une image aparait plus belle moins floue que les autres. Sur cette image il y a ton visage le jour ou je t'ai dit que je devais partit pour ramener l'anneau unique en gondor… Faramir, mon frère, toi, le seul etre que j'ai aimé… Toi, qui était le seul a me comprendre… Quand, j'était triste, tu me prennais dans tes bras, simplement sans rien me dire. J'adorai la chaleur que tu me procurais. Nous restions ainsi enlasé lontemps, jusqu'à ce que nous devâmes nous separer.
Je revois tout les moment partagé en ta présence. Du plus simple au plus subtile.
Je rouvre les yeux, une silouette est penché sur moi. Ma vue est trouble, mais je reconnais tes cheveux, tes yeux… Un seul mot franchit la barrière de mes lèvres.
Faramir
« Que fait-il ici, c'est impossible… »
Une larme nait au coin de mon œil. Une main l'essuie et se pose sur ma joue.
Les trois mots que j'ai toujours voulu tes dire sont coinsé dans ma gorge. Tu es la a coté de moi.
Je tousse en crachant du sang.
« Je n'en ai plus pour longtemps… »
Faramir, me prend la main avec force, comme si, s'il la lachait, il me perderair pour toujours.
Il faut que je te les disent, ces mot que chacun rêvent de reçevoir…
Faramir, je…
Il pose un doigt sur les lèvre .
ne parle pas Boromir
Si, il… le faut… Faramir, je… t'aime…
Moi aussi, mon frère je t'aime.
Il pose ses lèvres sur les miennes et nous échangons un baiser pudique.
Des larmes de tristesse et de douleur coulent à présent librement sur mes joues.
Et dire… que si on s'était dit ça avant on aurai peut être été heureux…
Boromir, non !
Au revoir, Mon amour je t'attendrai… Je t'aime…
Les dernier sons que j'entend son les pleintes de mon amour, mon frère… Puis rien, juate du blanc…