Salut à tous, c'est moi Lily Evans!
Il semblerait que l'auteur soit un peu occupée à se cacher sous le bureau donc c'est moi qui prend sa place! Apparemment, elle a un peu honte (elle devrait) d'avoir mis autant de temps pour poster un nouveau chapitre. Non, mais je vous jure, elle est vraiment tête en l'ait, elle vient juste de se rendre compte qu'elle n'a posté que 5 chapitres en 1 an! Son excuse: le temps passe si vite, on ne s'en rend pas compte. Non, mais je vous jure, elle aurait pu trouver mieux. Bon j'avoue que ces derniers temps elle n'allait pas très bien à cause de problèmes personnels et le pire c'est que les profs s'acharnaient sur la pauvre jeune fille qui doit passer des épreuves de français et de matière scientifiques à la fin de l'année. Elle n'a pas pu accéder à son ordinateur pendant presque un mois. Compatissons à sa douleur. Bref, elle voulait s'excuser (une fois de plus) du retard et compte bien se reprendre (elle a intérêt). J'avoue que rester des mois, par terre étant menacée par un auror psychopathe, c'est pas le top. Ne vous inquiétez pas, elle n'a pas l'intention d'abandonner cette histoire, elle veut la absolument la finir (si possible avant Noël, ce serait sympa XD).
Bref voici le nouveau chapitre, qui est un peu plus "triste" en "quelques sortes". Oui, je sais j'abuse des guillemets... Bon apparemment, Perle Bleue (c'est quoi ce pseudonyme franchement? D'où elle le sort?) veut que je réponde aux reviews à sa place. Elle me dit quoi taper, toujours cachée sous le bureau...
Coshilla: Merci encore et encore, tu ne peux pas savoir à quel point ce que tu me dis là me fait plaisir! J'adore vraiment tes reviews, elles me touchent vraiment! Je voudrais une fois de plus m'excuser pour le temps que j'ai mis, je compte bien en publier plus souvent. En tout cas, j'espère que ce chapitre te plaira! Bisous
Puky: Oh merci c'est très gentil, ça me fait plaisir! J'espère que la suite te plaira! et encore désolée même si je te l'ai déjà dit avant! Gros bisous
Papillon bleue: Merci beaucoup, je suis contente que ma fic te plaise, j'espère que la suite te plaira! Bisous
Charlou: C'est ça l'intérêt des chapitre, arrêter au plus intéressant! Je sais j'suis sadique! Voila, j'suis vraiment désolée de te faire souffrir et de te causer une crise cardiaque, j'te promets de poster plus vite! Merci pour ta review, j'espère que tu aimeras la suite!
Rebecca-Black: Oui, je dois avouer que je prends des cours de sadisme... j'ai toujours la meilleure note, d'ailleurs! merci pour ta review et voici la suite!
Arie-Evans: Si j'ai le droit! Je suis sadique! Voilà, j'ai posté en deux minutes... deux longues minutes... mais ça n'a pas d'importance. Merci beaucoup pour ta review, j'espère que le nouveau chapitre te plaira. Tu sauras enfin ce qu'il se passe!
Tchingtchong: T'as review m'a fait rire, mais ne t'inquiètes pas pour Lily, elle a plus d'un tour dans son sac! (elle m'oblige à écrire ça mais en fait ce n'est pas vrai... OUCH!) Ahem, voici la suite, j'espère qu'elle te plaira.
Love-lily-jolie: Merci beaucoup, contente qu'elle te plaise. Voici la suite! Bisous
Bonne lecture!
Je dois avouer que mon rêve a toujours été de me faire poursuivre par des beaux jeunes hommes, grands et forts. J'ai toujours voulu être reconnue dans la rue pour ce que je suis… Sauf que j'aurais préféré qu'on me demande des autographes et non pas qu'on coure comme un illuminé, dans la rue, en agitant des bras et en s'écriant « Meurtrière ! ». Mais on ne peut pas tout avoir, je suppose.
Quand j'étais petite, je voulais devenir une princesse. J'y ai renoncé quand Pétunia a cassé mon diadème en plastique. Ensuite, je voulais devenir une fée. Mon rêve a pris fin quand j'ai retrouvé ma fausse baguette magique en pièce. Après, c'était une star, de cinéma ou de la chanson qu'importait. Du moment que j'étais connue, c'est tout ce qui comptait. A la place, je suis devenue une sorcière. A ce moment-là, il me fallait envisager un avenir en rapport avec la magie. J'ai donc décidé de devenir bibliothécaire. J'adore les livres et ce milieu était parfait pour moi. C'était jusqu'à ce que je fasse face aux élèves qui y allaient. Apparemment, la bibliothèque est le lieu favori de drague… Sans commentaire. Puis, la carrière d'auror a commencé à m'intéresser. Malheureusement, j'ai appris, plus tard, que Potter envisageait de faire une formation lui aussi. Cela eut l'effet de me refroidir. J'en suis venue à la résolution de le fuir à tout prix, en dehors de Poudlard. Cependant, je voulais aussi me rendre utile alors je suis devenue Médicomage. Cela m'avait plutôt bien réussi jusque là.
Aujourd'hui, je suis recherchée pour meurtre de moldus alors que je suis innocente. Au moins, je suis connue, comme je le désirais étant enfant. Je parie même qu'il y a ma photo placardée dans tous les coins de rues, à présent. Avec la couleur de mes cheveux, je peux difficilement passer inaperçue.
Mais quelle importance ? Je vais mourir de toute façon. Si ce n'est pas le cas, je tâcherai de me tuer moi-même à Azkaban. Plutôt mourir que de finir ma vie dans un endroit pareil : autant arrêter la souffrance.
Donc, me voici au sol, blessée et avec plusieurs aurors me menaçant de leur baguette… C'est quoi ce sourire narquois ? Pour qui se prend-il, ce sadique paranoïaque ?
- Alors ? Un dernier mot avant de mourir ? Il me dit, son sourire s'agrandissant.
- Oui, en fait, j'ai quelque chose à déclarer…
Je n'ai pas le temps de finir ma phrase car un grand bruit retentit, détournant l'attention des aurors. Ne réfléchissant pas, je fais tomber l'auror qui me narguait, à l'aide de mon pied (ça lui apprendra, tiens !) et ferme instantanément les yeux, me préparant à transplaner.
La seconde d'après, je tombe sur quelque chose de mouillé. De l'herbe. Je sens quelque chose sur ma jambe et ouvre les yeux. C'est une main. Et qui appartenait-elle ? A personne d'autre que M. l'Auror ! Il a du se rattraper à moi en tombant. Il devait se douter que j'allais m'enfuir.
Je dégage ma jambe de son emprise et m'éloigne, en rampant. Quant à lui, il semble encore sous le choc et reprend ses esprits. Tout cela ne dure que quelques secondes.
Son regard se pose sur moi et il se lève instantanément, me menaçant de sa baguette.
- Je serais toi, je ne bougerai pas.
Que veut-il que je fasse de toute façon ? Et de quel droit ose-t-il me donner un ordre ? Ce n'est pas mon père que je sache.
Je regarde autour de moi pour essayer de voir s'il n'y a pas une échappatoire. Lorsque ses yeux se posent sur l'homme au-dessus de moi, je souris. Il devrait vraiment apprendre ses leçons.
- J'ai une question, je lui demande. Est-ce que vous avez des moldus dans votre famille ? Parents ? Frères ? Cousins ?
Il me regarda, ahuri. Il ne s'attendait pas à cela apparemment. Je roule des yeux et dis :
- C'est bien ce que je pensais.
Toujours au sol, je me tiens sur mes bras ( et étouffe un cri de douleur par la même occasion) et m'élance en avant. Mon pied donne un grand coup sur ses chevilles et il perd l'équilibre. Je me relève rapidement alors qu'il tombe à terre et m'empare de sa baguette qu'il avait lâchée, sous le choc. Je le menace avec et m'assis sur son torse pour l'empêcher de bouger. Heureusement que je suis en jean.
- On ne vous a jamais appris cela dans votre école des Aurors ? Ne jamais faire deux fois la même erreur. Je parie que vous êtes nouveau. Vous avez quel âge ? Dix-neuf ? Vingt ans ?
Il me lance un regard noir mais ne répond pas.
- Oh ! On vous a entraîné pour ne rien dire même sous la torture ? C'est vrai que savoir votre âge va nuire au ministère, que suis-je bête. Bon et bien vous allez m'écouter, de toute façon je voulais vider mon sac. C'est vraiment gentil de m'écouter. Eh ! Vous avez remarqué que je vous vouvoie ? Cela prouve que je vous respecte au moins. Mais vous ? Non, vous me tutoyez alors que je suis plus vieille que vous. Franchement, ce ne sont pas des choses à faire.
Je ne sais pas pourquoi mais j'ai l'irrépressible envie de parler. Je suis à bout de force, j'ai encore mal à l'épaule et il y a devant moi un homme qui ne peut qu'écouter ce que j'ai à dire. Il va sûrement me prendre pour une folle et ne va pas croire un mot de ce que je vais dire mais il croit déjà que je suis une meurtrière alors…
- Eh ! Et si je vous racontais une histoire ? D'accord ? Alors, il était une fois une jeune femme qui se promenait tranquillement dans la rue. Enfin tranquillement était un bien grand mot parce qu'elle venait de se faire virer et de se faire traiter de monstre par sa sœur. Que pouvait-il arriver de pire ? Au moment où elle tournait au coin de la rue, que vit-elle ? Un spectacle abominable. Une douzaine de moldus étendus à terre. Morts. Il n'y avait qu'une personne qui se tenait debout et qui semblait attendre la pauvre jeune femme. En s'approchant, elle remarqua que cette personne lui ressemblait comme deux gouttes d'eau. Elle supposa donc que cette personne était métamorphomage et cette dernière le lui confirma. Tout avait été bien organisé pour que la jeune femme soit accusée. Son double prendrait sa place et avouerait tout. Elle avait aussi la même baguette magique. Pourquoi avoir fait tout ça, me direz vous ? Et bien c'est simple, il semblerait que l'autre abruti qui se croit meilleur que tout le monde voulait s'amuser. Vous rendez-vous compte ? Il veut s'amuser ! Quelle magnifique façon de s'amuser ! Alors la jeune femme a dû se cacher. Malheureusement, elle fut vite retrouvée. Avez-vous la moindre idée de ce que cela fait de se faire regarder comme une criminelle à chaque coin de rue par des milliers de gens ? Avez-vous la moindre idée de ce qu'elle a ressenti à ce moment-là alors qu'elle était innocente ? Je suffoquai, je voulais que tout cela finisse. J'avais l'impression d'être une moins que rien, d'être insignifiante, d'être un monstre. C'était de la torture. La seule personne qui m'ait jamais regardé de cette façon était ma sœur. Ma sœur qui m'a détesté depuis que je suis devenue sorcière. Ma sœur que j'aimais de tout mon cœur me reniait. A présent, tout le monde me regarde de cette façon. A ce moment-là vous ne pensez plus qu'à une seule chose : à mourir.
Je ne me suis pas rendue compte que des larmes ont commencées à couler le long de mes joues. Je ne me suis pas rendue compte d'avoir baissé ma garde. Je n'ose même plus regarder les yeux de l'homme en face de moi. Je n'ai plus la force.
Je sens alors une main s'emparer de la mienne et la baguette glisser hors de ma portée. L'auror me soulève par les aisselles et me repose sur le sol à ses côtés. Je lève la tête et vit que le regard de haine était parti pour laisser place à… de la pitié ?
- Je ne veux pas de votre pitié, je murmure.
Il grimace et s'excuse rapidement. J'ignore pourquoi mais il me croyait. Décidément, aujourd'hui c'est « mon jour », en quelques sortes.
- Vous me croyez ? Je lui demande.
- Croyez-le ou non, personne n'est capable de jouer la comédie aussi bien que cela. Donc oui je vous crois. Je peux vous paraître naïf, il est vrai que je suis nouveau parmi les aurors mais j'ai un bon pressentiment à votre sujet. Et je ne me trompe jamais sur ces choses là.
Je lui souris et le remercie d'un regard.
- Comment vous appelez-vous ?
- Edward, il me répond simplement.
Je ne m'attends pas à plus. Je le vois mal me donner son nom en entier et me raconter sa vie. Il n'a pas vraiment de preuve, juste ma parole qui ne vaut pas beaucoup, ces derniers temps. Il ne peut rien faire pour moi, nous le savons tous les deux. Il vient juste d'entrer au Ministère en tant qu'auror, il n'allait pas tout laisser tomber pour aider une femme, en cavale.
- Joli prénom, je lui dis.
Il me lance un léger sourire et se met à genoux face à moi.
- Je ferai mieux de jeter un coup d'œil, votre blessure à l'air sérieux.
Je regarde mon épaule. J'ai complètement oublié que je suis touchée, je suppose que de ne pas y penser m'a fait oublier la douleur. Mais maintenant, je la sens plus que jamais. C'est comme un couteau qui me transperce l'épaule. Un couteau enflammé.
Il y a des tâches de sang sur mon pull. Edward m'aide à l'enlever sans que je lève trop mon bras. J'étouffe mes cris en me mordant la lèvre. Je ne me suis pas rendue compte de la force que j'y ai mis puisqu'elle a commencé à saigner.
Le pull enfin enlevé, je regarde ma blessure et grimace. Ce n'est pas très joli. La plaie était assez grande, de dix centimètres maximums.
- Pour l'instant je ne peux rien faire pour vous aider mais il faut juste arrêter les saignements.
Il prend mon pull et à l'aide de sa baguette, le transforme en un morceau de tissu blanc. Il l'enroule autour de mon épaule et fait un nœud solide qui me fait grimacer, une nouvelle fois.
- Je crois que ça ira. Merci beaucoup pour votre aide, je vous en suis reconnaissante.
- Il n'y a pas de quoi.
Il se lève et s'apprête à partir mais je le retiens une dernière fois :
- Edward ?
- Oui ? Il dit en se retournant.
- Vous pouvez me tutoyer, je lui réponds avec un petit sourire.
Il émet un petit rire et me répond de faire la même chose. Il allait partir une nouvelle fois mais il se retourne et me lance :
- Je vous laisse quelques heures d'avance. Ensuite, j'irai rejoindre mon équipe et leur dirai que j'ai été pris en otage par une folle cinglée qui m'a raconté une histoire invraisemblable sur des métamorphomages. Je leur dirai aussi qu'elle m'a obligé à la soigner et qu'elle a essayé de me tuer ensuite, mais que j'ai pus m'échapper à temps.
Je lui lance un sourire narquois et réponds :
- J'ai toujours su que vous, les aurors, étiez des sadiques paranoïaques qui adorent jouer les victimes pour mieux jouer les héros ensuite.
Il s'incline devant moi, de façon moqueuse, puis disparaît de ma vision avec un pop sonore.
Je soupire et regarde aux alentours. Je me trouve dans des bois, j'ignore à quel endroit exactement. Cependant, comme je n'ai été que dans une forêt de toute ma vie, je peux supposer laquelle c'est. Etant petit, j'ai fait de la randonnée avec mon père à cet endroit. J'ignore pourquoi cet endroit m'est venu à l'esprit à la cabane hurlante.
Mais là n'est pas la question. Que vais-je faire maintenant ? Je dois avant tout me soigner. J'aurais besoin de quelques potions pour nettoyer la plaie, soulager la douleur et cicatriser. Rien de plus facile, tout se trouve chez moi à mon appartement. Le problème est qu'il devait sûrement être sous surveillance à présent. Je tressaillit à l'idée que les aurors sont chez moi, en train de fouiller mes affaires. C'est comme une violation de ma vie intime. Ils n'ont pas intérêt à fouiller mes tiroirs de sous-vêtements, sinon ils ne perdent rien pour attendre !
Je repense à Edward. Il ne peut rien pour moi, son aide serait inutile. Il n'a pas d'influence dans le ministère. Ce n'est pas comme s'il pouvait tout dire aux aurors, ils croiraient que je l'aurais ensorcelé avec un sortilège de confusion S'il me ramenait avec lui, il n'y a aucun doute là-dessus, la scène de la Cabane Hurlante se reproduirait.
Par contre, je sais que James aurait pu m'aider. Même si c'est difficile à l'avouer, il est intelligent, fort et malin. Il est aussi assez courageux et stupide pour risquer sa vie mais justement, c'est ce que je ne veux pas. Il a une belle carrière, je ne veux pas qu'il la gâche à cause de moi.
Ce qui me fait penser à quelque chose. J'ai pu m'échapper uniquement grâce au bruit d'explosion que nous avons entendu. Que s'est-il passé ? Se pourrait-il que Remus et Sirius ont décidé de faire diversion pour me permettre de me sauver ? Ou était-ce quelque chose de complètement différent ? J'ignore la réponse et je crois que je ne le saurais jamais. Tout ce que j'espère, c'est que personne n'a été blessé. Même si je n'aime pas les aurors et Black, je ne souhaiterai jamais que pareille leur arrive.
Un coup de vent me fait frissonner. C'est vrai que mon pull ayant disparu, je me retrouve uniquement en débardeur à présent. On penserait qu'Edward aurait été suffisamment galant pour me prêter sa veste mais non, il ne pense pas à l'essentiel. Il faudrait sérieusement que je lui apprenne comment se comporter en présence de femmes. Je plains sérieusement sa petite-amie s'il en a une. J'espère qu'il lui donne sa veste quand elle a froid, sinon je devrai intervenir… Quand je ne serais plus poursuivi par sa bande de copains, bien sûr. J'ai toujours su que je deviendrai célèbre un jour !
Les heures défilent et je reste allongée au sol à regarder le ciel. Je me repose quelques instants dans cette calme atmosphère avant de repartir à l'aventure.
Lorsque le soleil se couche, je décide de rentrer à mon appartement. Je sais que ce n'est pas la nuit qui va faire fuir les aurors de chez moi mais je trouve que c'est mieux. Celame donne un certain style… un style de vampire, oui.
Je transplane sur le palier devant ma porte d'entrée et regarde aux alentours. Il n'y a pas âme qui vive. Je presse mon oreille contre ma porte et essaie d'écouter. Plus rien n'est que silence.
Tout doucement, je sors ma baguette magique et déverrouille l'accès à mon appartement. J'y entre silencieusement et regarde autour de moi. Les lumières sont éteintes, et il semble n'y avoir personne. Je ferme la porte doucement derrière moi et avance, sur mes gardes.
Alors que j'entre dans le salon, quelque chose s'enroule autour de ma taille et me plaque contre le mur le plus proche. Avant que j'aie le temps de crier, une main se plaque contre ma bouche. J'essaie de me débattre mais l'étreinte de la personne qui me retient, m'empêche de m'enfuir.
- Lily, c'est moi ! James !
Pitié, faites qu'il n'ait pas fouillé mes tiroirs !
Voilà, un nouveau chapitre terminé. N'hésitez pas à me laissez une review et je promets de poster très prochainement! (repart se cacher sous son bureau)
Bisous
Perle Bleue