Note de la Traductrice: Je suis impardonnable, je sais. Trois semaines de retard? POURFANDEZ MOI! Enfin quoiqu'il en soit voila le onzième chapitre :)

Merci pour vos si gentilles reviews :) vous êtes trop cools :) Gros bisous! P-S: Ce chapitre est d'enfer :p

Chapitre 11

Au réveil, le lendemain matin, Hermione se remémora tous les évènements de la veille. Sachant qu'elle avait laissé les choses trop déraper, elle s'assit sur son lit sentant poindre une horrible migraine. « Ugh… » Marmonna-t-elle. « Je ne me sens pas très bien. »

C'est alors qu'elle remarqua Drago, à moitié nu, allongé à côté d'elle. Il ne portait en tout et pour tout qu'une serviette et pendant une seconde elle se demanda s'ils n'avaient rien fait la veille mais elle se souvint qu'il était sorti de la douche pour venir la réveiller de ses cauchemars. Rien ne s'était passé et elle n'était pas sure de s'en réjouir… Elle le considérait comme plus qu'un ami. Elle ne voulait même pas imaginer ce qui se serait passé s'il avait voulu aller plus loin. Evidemment, elle ne le lui dirait jamais. C'était beaucoup trop pour elle.

Drago se réveilla avec la même réaction. Dès qu'il s'aperçu qu'il n'était vêtu que d'une serviette, il se demanda s'il avait profité de sa nouvelle amie. Rejouant dans sa tête les évènements de la veille, il parvint à la conclusion qu'il n'avait en fait RIEN fait d'autre que la réconforter.

« Bonjour, bel endormi, » bailla-t-elle. « Il est temps de faire face au reste du monde. » Aujourd'hui était leur vrai premier jour à Poudlard mais ils n'avaient pas cours puisque ceux-ci reprenait le lendemain.

Ils se levèrent et Drago quitta la chambre pour retourner à la sienne pour se changer. Quand il fut parti, Hermione se rendit à la salle de bain. Elle alluma l'eau chaude et ôta son pyjama.

Elle se planta devant le miroir et examina ses cicatrices. Il y'en avait une qui commençait sur son nombril et qui courait tout le long pour venir finir sa course sur son sein gauche. « Oh mon dieu, » dit-une voix. Elle regarda partout autour d'elle, à la rechercher du coupable. « Qui t'a fait ça ? » s'exprima de nouveau la voix. Elle regarda de nouveau et vit que le miroir avait pris la forme d'un visage.

« OH ! » S'exclama Hermione, « je ne savais pas qui parlait ! »

« Désolée de t'avoir fait peur, » dit le miroir, « mon nom est Tilly. C'est un plaisir de te rencontrer. »

« De même, » répondit-elle, « moi je suis Hermione. »

« Eh bien, bonjour Hermione. Si je puis me permettre, qu'est-il arrivé à ton ventre ?

Le visage d'Hermione prit toutes sortes de couleurs, non préparée à de telles questions. « Hmm… Eh bien… Je suis tombée et je me suis blessée avec un couteau de cuisine, » mentit-elle. « J'aimerais bien rester parler mais je dois aller me doucher maintenant. J'ai des choses à faire avant le début des cours demain. » Elle entra dans la douche et commença à se laver les cheveux.

Drago s'assit dans sa chambre, il avait troquée sa serviette contre ses robes de cours et il laissa ses pensées déferler dans sa tête. Il se souvenait des dernières paroles qu'elle lui avait adressées avant de s'endormir. Tom Jedusor. Son père était Tom Jedusor.

Il attendit un peu après l'avoir entendue quitter la salle de bain, il prit un morceau de parchemin et lui écrivit une nouvelle lettre, ne voulant pas débarquer alors qu'elle se changeait. « Damion, emmène-lui ceci et reviens. » Il en profita pour lui donna un peu de Miam-hibou et le regarda s'envoler.

Hermione serrait la serviette autour d'elle quand Damion entra dans sa chambre, un sourire apparut sur son visage. « Alors nous sommes toujours correspondants ? » dit-elle pour elle-même en prenant le rouleau que transportait Damion à la patte.

Chère Hermione,

Je voudrais te parler. Nous avons beaucoup à discuter. Voudrais-tu passer la journée avec moi? Nous pourrions nous rendre à Pré-au-Lard, l'un des nombreux privilèges des Préfets-En-Chef. On peut y aller à n'importe quel moment. Donc voudrais-tu y aller aujourd'hui, ainsi nous pourrons parler et peut-être même prendre un verre aux Trois Balais ?

Drago

Elle posa la lettre et commença à coiffer ses cheveux. Environ une demi-heure plus tard, elle était prête à affronter sa journée. Elle portait une paire de jeans Denim et un long col roulé noir de manière à être entièrement couverte. Il faisait bien trop froid et elle voulait être au chaud.

Elle le trouva assis sur le canapé. Apparemment il l'attendait. « Comme tu n'as pas répondu, » dit-il, « je me suis dit que c'était un Oui. Donc on peut y aller maintenant? »

Elle hocha la tête et ils se mirent en route pour la ville sorcière qui ne cesserait jamais de l'émerveiller. Ayant grandi comme une moldue, elle avait toujours rêvé d'un monde magique et de héros de contes de fées et maintenant qu'elle était grande, il lui apparaissait que ses rêves étaient devenus réalité. La Magie existait ! Ca existait et vivait en elle. Elle avait de la magie.

Bien sûr, elle n'utiliserait jamais la magie en dehors de l'école. C'était la politique du monde magique : aucun enfant n'était autorisé à pratiquer la magie en dehors de l'école avant de n'être diplômé. Elle avait beaucoup pensé à ça durant l'été, ne souhaitant rien de plus que de le maudire et s'enfuir, mais elle n'en avait pas eu le courage, entre la perte de sa mère et en plus utiliser la magie ? C'était trop.

Drago et Hermione pénétrèrent dans les Trois Balais et commandèrent deux bièraubeurres avant de se chercher une table à l'écart de tous. En trouvant une dans un coin, ils s'y rendirent et Drago tira une chaise à son attention.

Elle était étonnée mais n'en laissa rien paraitre. Elle s'assit et il repositionna la chaise. « La galanterie n'est pas morte, » se dit-elle avec un début de sourire. Lorsqu'elle prit une gorgée de sa chaude et pétillante boisson, elle s'aperçut que Drago l'observait. C'était comme s'ils étaient tous deux en train de s'analyser mutuellement.

Il faisait attention à chaque petits mouvements qu'elle faisait : la manière dont elle repoussait ses cheveux hors de son visage avant de prendre une gorgée et la façon qu'elle avait de soulever la pinte à deux mains et de laisser le liquide, glissant dans sa gorge, la réchauffer de parts et d'autres. Elle faisait de même de son côté.

Elle remarqua que ses yeux ne cessaient d'observer la salle s'assurant que personne ne puisse la blesser. Elle le vit vérifier qu'il avait bien sa baguette au cas où il n'y ait un quelconque problème. Elle pensa que ces gestes avaient un but de protection, des mesures qu'elle aurait espérées venant d'Harry et Ron, des mesures qu'elle n'attendait que de ceux qui l'aimaient vraiment.

« Tom Jedusor, » dit-il finalement, « A quel point en sais-tu à propos de cette histoire ? »

Ses yeux s'élargirent à l'entente du sujet. Elle avait prié pour ne pas avoir cette discussion mais elle s'était trompée. « Uniquement ce que je t'en ai dit dans ma lettre. Il a aimé ma mère ainsi que mon beau-père l'a fait. Mais c'est Jedusor qui a engrossée ma mère et mon beau-père qui l'a épousée. »

« Tu veux connaître le reste de l'histoire ? » Elle prit une nouvelle gorgée de Bierreaubeurre, il considéra ses réactions à ses deux questions. C'était comme s'il ne la questionnait pas seulement sur son héritage mais sur son entière existence. Elle cogita quelques instants puis secoua la tête farouchement : elle voulait connaître toute l'histoire.

« Ok. Eh bien, ça a commencé quand ils étaient à l'école. Tout tournait autour de trois personnes : Tom Jedusor, un certain Riley et une fille, Helen Andrews, il se trouvait qu'elle était bien plus jeune que les deux autres. Tom Jedusor, comme nous le savons tous, était un Serpentard, un brillant et prometteur jeune sorcier destiné à de grandes choses. Helen Andrews elle était une Gryffondor, une magnifique jeune fille, très courtisée par l'entière population masculine de Poudlard et extrêmement intelligente. Son passe-temps favoris était la lecture. De ce que mon père m'en a dit, tu lui ressembles beaucoup. Riley était un timide Serdaigle, avec une scolarité calme, il n'avait pas beaucoup d'amis et était secrètement un fauteur de trouble plutôt important. C'est comme ça qu'il est devenu ami avec Tom. Ils étaient deux démons mais c'était leur secret. Personne n'a jamais su pour leurs méfaits.

Quoiqu'il en soit, un jour, des années après leur remise de diplômes, Tom se baladait dans les rues de Pré-Au-Lard car il avait rendez-vous à la Tête du Sanglier avec Riley. Il ne regardait pas ce qu'il faisait et il lui est rentré dedans. Helen Andrews. Ils ont commencé à parler et il l'a emmenée avec lui à son rendez-vous avec Riley.

Rapidement, ils se mirent à passer du temps ensemble, chaque jour, et ils sont devenus les meilleurs des amis. Mais le problème avec toutes les amitiés impliquant des membres des sexes opposés, c'est qu'un, si ce n'est tous, ne développe des sentiments pour quelqu'un. Et c'est ce qui arriva à Riley. Il en fut de même pour Tom, mais dans son cas, ses sentiments étaient réciproques. Helen était la tête pensante du groupe et pauvre Riley, il fut mis de côté lorsque les deux autres commencèrent à sortir ensemble après deux ans d'amitiés. Helen et Tom devinrent inséparables. Ils étaient tombés amoureux. Ils gardèrent leurs différentes opinions pour eux. Lui détestait les moldus, elle croyait en des droits équitables pour chacun. Etant donné que leurs point de vus étaient si différents, ils n'en parlaient jamais.

Après quelques mois, Riley apprit à mettre de côté ses sentiments pour Helen et ils furent donc capables de rester bons amis. Mais il y avait de nombreux obstacles entre Helen et Tom qui n'allaient pas tarder à leur tomber dessus. Tom était têtu et très jaloux. Il n'apprécia jamais qu'elle puisse passer du temps seule avec Riley. Il n'appréciait pas qu'elle passe du temps avec n'importe quel autre homme. Mais il a vraiment méprisé ses moments passés avec Riley. Il pensait qu'ils étaient trop proches à son goût et ils se disputaient tout le temps avec elle à cause de ça.

C'est après cinq années de relation que les choses ont empirées. Un jour, Riley et Helen faisaient leurs courses de Noël sur le Chemin de Traverse. Ils étaient dans l'animalerie quand Riley n'a pas pu se retenir plus longtemps et l'a embrassée. Evidemment elle ne lui retourna pas son baiser mais d'où Tom attendait, derrière une des larges cages, les choses lui parurent bien différentes de ce qu'elles n'étaient en réalité. Il prit immédiatement peur. Quelques semaines plus tard, elle lui annonça qu'elle était enceinte et Tom prit des conclusions hâtives. Il lui demanda d'avorter, pensant que l'enfant était de Riley. Lorsqu'elle refusa, il devint violent.

Riley la convainquit qu'il était une menace pour l'ensemble de leurs vies et la persuada de s'enfuir avec lui et de se marier pour ne pas que l'enfant ne soit un batard. Elle prit son nom et ils se cachèrent. Tom les chercha partout mais ne les trouvant pas, il abandonna. Quelques mois plus tard, il reçut une lettre de sa part lui disant qu'elle avait suivi son conseil d'avorter, ne voulant pas avoir même un dernier souvenir de lui pour le restant de sa vie. Il ne pensa plus jamais à elle, croyant que leur relation était terminée et ne voyant pas de raison de se torturer avec des rêves. Il l'a tellement aimée que penser à elle avec quelqu'un d'autre l'aurait détruit. Il se dit qu'elle était partie et abandonna l'idée même d'être avec elle une nouvelle fois.

C'est tout ce que j'en ai su. Mon père ne m'a jamais dit le nom de famille de Riley car il lui était inconnu même de lui. Tu vois, Riley était un garçon tellement timide que personne ne savait seulement qu'il existait. Il le gardait pour lui-même.

Une fois que tout fut dit et finit, Tom devint Voldemort et un jour il se confia à mon père, lui contant les détails de l'histoire, ce qui est la raison pour laquelle je sais tout ça. Mais Lucius ne connait pas les détails mineurs, les petites choses comme, le nom de famille de Riley, c'est pourquoi il n'a pas fait le rapprochement toutes ces années durant. Je crois que ton beau-père t'a menti à propos de certaines choses que j'ai lues dans tes lettres, mais c'est à peu près l'histoire que j'ai entendu. Hermione, qu'est-il arrivé à ta mère ? »

Elle le regarda avec une sorte de perplexité et d'apeurement au fond des yeux. « Hein ? »

« Dans tes lettres tu dis toujours qu'elle est… partie. Tu ne dis jamais si elle est morte ou si elle est juste partie. Je me demandais ce qu'il s'était passé. »

Hermione regarda fixement à côté de lui, cherchant un moyen de se dérober. Il se tenait là, ne la lâchant pas du regard. Ses robes noires virevoltants derrière lui alors qu'il se rapprochait d'elle. Sa capuche recouvrait son visage mais elle savait que c'était lui. Il était finalement venu juste pour elle, juste comme elle avait su qu'il le ferait. « Je crois que nous finirons cette discussion plus tard, » dit-elle tout en déglutissant, tentant d'afficher un air de bravoure même si cela lui paraissait impossible à faire. La nervosité enflant au fur et à mesure qu'il se rapprochait d'elle.

Drago se tourna sur son siège pour voir de quoi elle parlait et vit un homme s'approchant. Derrière lui, une femme suivait. Elle était grande avec de courts cheveux châtains. Ils étaient recouverts par le capuchon de sa robe dans laquelle elle semblait plutôt à l'aise. Hermione conserva seulement son air brave mais sous la table, Drago pouvait voir ses mains trembler.

« Hermione, » dit l'homme avec une voix qui n'était qu'un profond sifflement. Drago se leva et alla se placer derrière sa nouvelle amie, plaçant ses mains sur ses épaules pour lui laisser savoir qu'il était juste derrière elle, quoiqu'il arrive. « Ta mère et moi venons pour toi. Allons à la Tête du Sanglier et ayons une petite discussion de famille. »

Les yeux d'Hermione s'élargirent lorsqu'elle vit la femme se déplacer de derrière lui. Elle retira sa capuche et Hermione pu voir les cernes qui avaient commencées à se former sous les yeux noisette de sa mère. Son sourire semblait faux. Helen avait toujours un grand sourire, un sourire qui faisait sentir tout le monde autour d'elle tranquille. Mais pas maintenant. Maintenant, elle paraissait froide, usée, fatiguée… mortelle.

« Hemione, écoute ton père, » réprimanda Helen, remarquant l'absence de mouvement de sa fille. « Dis au revoir à ce gentil gentleman, » dit-elle en parlant de Drago, « et allons-y ! »

Inconsciemment, Hermione rassembla ses pieds et se leva, se tournant face à Drago. « Je… je… Je dois y a… aller… maintenant. Je te … Je te verrais à… à l'école. » Il aurait pu jurer l'avoir entendue murmurer un « J'espère » très bas alors que ses parents l'emmenait.

Se sentant stupide et inutile, il sursauta et courut après la jolie petite famille. « ATTENDEZ ! » cria-t-il, les pourchassant dans la rue. « Je ne la laisserai jamais aller nulle part, » dit-il tout en essayant de reprendre son souffle après les avoir finalement rattrapés. « Nous avons des devoirs de Préfets à effectuer. »

Les lèvres d'Hermione formèrent un sourire. « C'est bon Drago, on pourra y travailler plus tard. C'est mon PERE… pas… pas celui à qui tu penses. »

Helen se tourna vers le garçon aux cheveux blonds platine et sourit. « Tu dois être vraiment un bon ami de ma fille pour lui courir après et tenter de la protéger de sorciers aux pouvoirs trois fois plus puissants que les tiens. Dis-moi mon garçon, Si nous avions… osé dirais-je, abuser ma fille, qu'aurais-tu fait ? »

Il laissa échapper un gloussement. « J'avais imaginé vous lancer un Petrificus Totalus et la ramener en courant à Poudlard. »

Tous trois rigolèrent mais Il ne sembla pas trouver d'amusement dans la réponse de Drago. « Tu es un garçon vraiment dérangé, à penser que tu puisses m'atteindre, » siffla-t-il, « A en juger par tes cheveux argentés et tes yeux gris je peux affirmer que tu es le fils de Lucius donc je ne vais pas t'en tenir rigueur… mais ne refais PAS cette erreur ! Je pourrais t'écraser mon garçon ! »

Hermione le regarda les yeux plein de larmes. « Je ne peux pas croire que tu menaces le seul ami que j'aurais pensé que tu approuverais ! » cria-t-elle en courant dans la direction opposée. Helen la pourchassa, laissant Drago seul avec le 'patron' de son père. (N.D.L.T : le patron ? drôle de terme pour désigner Voldy hahaha !)

« Alors… » Dit Drago en se balançant d'avant en arrière pour ne pas rester immobile. « C'est vraiment bien de vous rencontrer, Monsieur. J'ai beaucoup entendu parler de vous. »

« Arrête d'essayer de sucer, » se déroba le vieil homme. (N.D.L.T : oui sucer je sais, trop familier mais bon je trouvais ça drôle dans les circonstances présentes. Pour ceux qui préfèrent : « Arrête de faire le lèche-botte ») « Tu apprécies ma fille, si je puis dire. Tiens compte de mon avertissement, fiston. Si jamais tu la blesses, je jure sur les Dieux que tu souffriras jusqu'à ton tout dernier souffle ! »

Note de l'Auteur: Au sujet de l'histoire: VOLDEMORT FAIT SA PREMIERE APPARITION ! Dites-moi ce que vous en pensez !

Note de la Traductrice : Je vais faire comme si je reviewais une fic que je lisais : OMG TROP DES BARRES quoi ! Voldy en mère poule quoi ! C'est tropppppp marrant ! J'ai vraiment beaucoup ri en lisant tout ça, il est en mode « Ca y est les problèmes de famille commencent tsss une ado' à la maison c'est chiant » HAHAHA et moi qui croyais que c'était une fiction dramatique, d'ailleurs, comme je lis au fur et à mesure que je corrige, le passage ou il arrive, je me suis mise à sérieusement paniquer ! Mais non en fait tranquillou, juste petite réunion de famille, rébellion de l'ado et la menace du père au potentiel petit ami ^^
Sinon, je tiens à vous demander à tous pardon pour l'inexcusable retard. J'avais commencé la traduction de ce chapitre mais pas mal de problèmes sont intervenus dans ma vie (comme d'hab quoi) et j'ai reporté au lendemain la suite de la traduction, en plus avec les Bac Blancs c'est pas tout rose. J'ai eu hier celui de Philo et bon… on va dire que le plus simple est passé quoi… =S. Voilà. J'espère que vous apprécierez !

Gros bisous.

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