Titre : Comment séduire Harry Potter en dix leçons ?

Auteur : Schmarties.

Genre : Amour, Humour, tout un tas de choses...

Disclaimers : Les personnages ne m'appartiennent pas, ils sont la propriété de J. K. Rowling, hélas ! Je fais un peu mumuse avec pour mon propre plaisir (et le vôtre ?) et je ne gagne pas d'argent. C'est dit.

Rating : Le rating passe en M (6) Ayééé, j'ai 16 ans, j'ai le droiiiit héhé !

Pairing : Harry Potter & Draco Malfoy... Mon couple fétiche !!!

Résumé : Une journée épouvantable s'abat sur ce pauvre Draco, résigné à aller travailler à la bibliothèque, il va, par un concours de circonstances, voler un livre des plus... intéressants. Mais Dumby ne le voit pas de cet oeil et tout Poudlard est au courant que le livre "Comment séduire Harry Potter en dix leçons" a disparu de la bibliothèque. Heureusement pour lui, il reste à Draco son fidèle ami Blaise, espérons que ce dernier réussira à l'aider...

Avertissement : Cette histoire est un slash yaoï, c'est-à-dire qu'elle contient une romance entre deux personnages masculins. Homophobes, retournez à la case départ.

Avertissement 2ème du nom : Cette fic ne tient pas compte du tome 6 des aventures de notre Ryry mondial... Draco prend une tournure qui va pas tellement avec la fic, pis y'orait pu de Snape pour torturer Harry, pas drôle quoi ! (Mais si mais si, j'aime le tome 6 c'est juste que là ça me casse tout x.x)

Les phrases en italiques sont les pensées des personnages.

Chapitre 15 : La dixième leçon

Hermione Granger était une meilleure amie parfaite en tout point. C'était en tout cas ce que pensait de tout cœur Harry James Potter en ce 14 février, fin de matinée. Il n'avait pas vraiment su dormir de la nuit et la jeune fille avait fini, sous les demandes de son petit ami Ron qui se sentait beaucoup trop à l'Ouest dans l'histoire, par venir le chercher. Elle l'avait tiré hors de son lit, hors de la Salle Commune et, munit de la cape d'invisibilité, l'avait emmené avec elle pour sa ronde de Préfète-En-Chef. Il lui avait alors tout raconté de sa journée, de Draco, de leur réconciliation, de leur mise en couple (là, en étant tout à fait honnête, il avait sauté un petit passage), de ses aveux. Il lui avait expliqué qu'il n'arrivait pas à faire abstraction de son sentiment de déception, malgré le fait qu'il le croyait sincèrement désolé. Ensuite il s'était tu et ils avaient marché encore un long moment avant qu'elle ne se décide à parler à son tour. Et ce soir-là, Harry avait enfin connu toute l'histoire, les mois de préparation de chacun de ses amis, les plans de Blaise, les déboires et les déprimes du blond, tout. Du moins, tout ce qu'Hermione savait. Et munit de toutes ses informations, Harry passa par plusieurs stades. D'abord le bonheur extatique de se rendre compte à quel point Draco pouvait tenir à lui pour être passé à travers tout ça, ensuite par la gêne de se rendre compte à quel point Draco pouvait tenir à lui pour être passé à travers tout ça, enfin un peu de colère d'avoir brisé leur samedi alors qu'il venait de se rendre compte à quel point Draco pouvait tenir à lui, etc…

Il avait alors pris congé d'Hermione, la remerciant des milles et milles fois avant d'aller se coucher, le cœur léger, en se disant que ce dimanche il ferait mieux. Il demanderait pardon à Draco, il lui dirait que cette histoire appartenait au passé et qu'il l'aimait. … D'accord, peut-être ne l'aimait-il pas encore comme Draco l'aimait lui. Après tout, cette histoire était toute nouvelle pour lui, mais le brun avait la conviction pure qu'il ne lui faudrait pas longtemps avant de s'accrocher à lui et à pouvoir lui sortir ces trois petits mots qui bousculent le cœur de tous les amoureux. En y regardant de près, il était tombé amoureux si vite, Draco était si attentif, si adorable, si gentil, si magnifique, si parfaitement parfait, qu'il ne lui faudrait pas tellement de temps pour succomber totalement et irrémédiablement. Oui.

Hermione Granger était vraiment une meilleure amie parfaite en tout point. Harry arriva enfin dans le Grand Hall du collège, se dirigeant avec un léger sourire vers la Grande Salle pour prendre son déjeuner de midi. Il avait cinq minutes de retard, mais c'était dimanche et personne ne s'en soucierait de toute façon. Pourtant, Harry eut un mauvais pressentiment en sentant le vent froid des couloirs plus vides que la tête de Gregory Goyle. Où étaient donc passés tous les étudiants ? Ce calme semblait presque surnaturel et Harry soupçonna une attaque de poulets tueurs avant de se rappeler que Poudlard n'accueillait, merci Merlin, aucune de ces affreuses bèbettes. Ses sourcils se froncèrent, se demandant par quel sort de Salazar (c'était forcément le coup de ce serpent sadique) tous les élèves auraient pu être à l'heure pour manger. Pinçant les lèvres, il ouvrit doucement les portes de la Grande Salle qui grincèrent dans le silence mordant de la pièce. Harry piqua un fard prodigieux en voyant toutes les têtes se tourner vers lui et il se rapetissa autant que possible avant de s'avancer vers sa table, ne pouvant s'empêcher de jeter un coup d'œil vers la table des verts et argent où Draco avait gardé la tête baissée. Harry déglutit et finit par s'asseoir entre Hermione et Ron, se tournant vers son presque frère.

- Qu'est-ce qu'il se passe ? fit Harry dans un murmure qui retentit dans toute la pièce. Quelqu'un est mort ?

Ron rougit à son tour et pointa Dumbledore du doigt. Le professeur était debout, fixant Harry de son regard bleuté bienveillant un certain livre posé devant lui, un chaudron frémissant à côté. Et une lumière se fit dans l'esprit du brun qui sentit sa mâchoire se décrocher. Mais comment avait-il pu oublier ? C'était aujourd'hui que… Oh Merlin. La tête de Harry se tourna toute seule et à la vitesse de la lumière vers la place de son petit-… oui… de son petit ami, qui ne le regardait toujours pas, avant qu'il ne s'arrête en plein élan, se chopant un horrible torticolis en se disant que ce n'était peut-être pas l'idée la plus fine qu'il avait eu jusqu'alors. Ce geste avait attiré pas mal de regard et Harry fut content de s'être stoppé avant de donner clairement la position du voleur du livre à tout le monde. Il restait quelques minutes à Draco avant que Dumbledore ne le tue face à Poudlard d'une seule parole, il devait donc les lui laisser, ses précieuses. Et pendant ce temps, son cerveau fonctionnait à toute allure pour tenter de trouver une feinte, une solution, n'importe quoi qui empêcherait son blond d'être la risée du collège. Il était face à deux énormes problèmes, le suicide social de Draco et le fait qu'il n'en trouvait pas de solution. Harry poussa un soupir désespéré alors que Dumbledore se raclait la gorge. Il y eut deux coeurs dans l'assemblée qui menacèrent de sortir du thorax de leur propriétaire.

Il n'y avait rien à dire. Aucune parole ne semblait appropriée. Dumbledore se contenta donc de prélever une goutte de la potion à sa droite à l'aide d'une pipette, et de la placer au-dessus du livre.

- Le voleur du livre a, je pense, mérité cette situation gênante, clama-t-il tout de même. Cependant, il peut, s'il le souhaite, se dévoiler maintenant, de sa propre initiative. Et je le lui conseille.

Le souffle de Draco disparut subitement. Il n'avait jamais eu aussi peur, aussi honte, autant envie de mourir qu'à cet instant précis. Mais il ne se lèverait pas. Il n'avait pas de courage, il n'était pas à Gryffondor. Le blond déglutit difficilement, ses yeux vrillant vers la goutte annonciatrice de l'horreur qui pendait à la pipette. Son regard dévia furtivement vers Harry, son si cher brun, qui le regardait d'un air triste. Son cœur s'emballa en voyant la lueur de tendresse au fond de ses pupilles vertes.

La goutte tomba dans un « ploc » sonore et toute la pièce retint son souffle. Des lettres de fumées blanches s'élevèrent alors, formant un nom que Dumbledore lut à haute voix alors que Draco, constipé, avait fermé les yeux.

- Théodore Nott.

Les yeux de Draco s'ouvrirent tout grands alors qu'il regardait successivement un Théo abasourdi, médusé, cloué, crucifié, puis un Harry perplexe et enfin un Dumbledore à l'air paisible.

- QUOI ? hurla enfin Théo en se relevant, faisant trembler son banc

Les centaines de bouches présentes dans la salle s'ouvrirent aussitôt et les chuchotements commencèrent, les doigts pointèrent, les rires se fracassèrent contre les parois et Théo devint livide.

- MAIS C'EST N'IMPORTE QUOI ! Je n'ai jamais volé ce livre, gronda le Serpentard.

- Monsieur Nott s'il vous plaît, je vous prierai de bien vouloir vous calmer.

- Je n'ai PAS voler ce livre, okay ?

Ce fut ce moment-là que choisis Snape pour se relever et toiser son élève d'un regard glacial.

- Mettriez-vous en doute mes compétences de professeur, pour faire échouer une stupide potion de révélation à mes élèves, Nott ?

Le garçon déglutit en fronçant les sourcils et répéta, d'une voix qu'il voulait assurée.

- Je ne l'ai pas volé professeur.

- Vous n'avez jamais volé ce livre Théodore ? A personne ? demanda Dumbledore d'une voix calme. Je ne crois pas que cette potion mente vous savez. Nous l'avons testé.

Les yeux de Draco s'illuminèrent en même temps que ceux de Théo se voilèrent. Théodore Nott avait bel et bien sauvé la vie de Draco Malfoy en lui volant ce livre. Oh oui, comme la vie était bien faite ! Théo déglutit, lançant un regard désespéré à toute l'école, cherchant un certain Goldstein qui se ratatinait sur sa chaise. Et il s'enfuit en courant.

- L'affaire est réglée, termina Dumbledore en s'asseyant.

Mais un petit bonhomme de chez Gryffondor se leva alors, tapant de son poing sur sa table et se mettant debout sur son banc, fronçant ses petits sourcils avec mécontentement.

- Et la punition exemplaire ? clama Colin Crivey de son insupportable voix criarde

- Il l'aura, ne vous en faite pas, siffla Snape avec un regard qui le fit se rasseoir et se tasser sur lui-même.

Draco sentit des milliers de papillons voler dans son estomac alors qu'il tournait la tête vers Blaise, un sourire jusqu'aux oreilles. Le noir lui tapa sur l'épaule d'un air joyeux avant de lui frotter la tête.

- Tu l'as eu, ta vengeance.

- Lâche-moi, tu me décoiffes.

Blaise éclata de rire mais obéit tout de même pendant que Draco se remettait ses mèches en place. Respirant à nouveau correctement, il regarda tous les élèves autour de lui, perdus dans leurs babillages incessants et surexcités. Mais une fois de plus, le zèbre surexcité qu'était Colin Crivey cria plus fort que tout le monde quand il s'adressa à Harry.

- Harry, Harry, il a réussi ?

Les yeux gris de Draco rencontrèrent ceux verts de son brun qui lui tendit un léger sourire avant de se tourner vers Colin, un sourcil en l'air.

- De quoi tu parles ?

- Et ben… à te séduire, avec le livre…

Un nouveau silence s'abattit aussitôt avec une lourdeur étouffante et Harry dévisagea le jeune garçon un très long moment, conscient qu'il était maître de leur respiration, avant d'éclater brutalement de rire, les faisant tous sursauter, Draco en premier, qui se mit une main sur le cœur en fermant les yeux.

- Stupide Gryffon, marmonna-t-il.

Harry Potter se leva alors et tendit un sourire immensément hypocrite à Colin.

- Petit comique.

Colin esquissa l'ombre d'un rire jaune avant de le regarder, déconcerté.

- Qu'est-ce qu'il y a de drôle ?

- Comme si j'allais me laisser séduire par un vulgaire bouquin…

Le cœur de Draco s'arrêta et entama une longue chute à travers son corps.

- Avec moi, continua Harry en se moquant du monde qui le regardait, il suffit juste d'être sincère.

Après un sourire à Hermione, il enjamba son banc et longea la table des Gryffondor, le nez en l'air, sous le regard brisé de Draco. Ce fut donc à la surprise générale qu'au lieu de sortir de la Grande Salle, Harry bifurqua sur sa droite remonta la table des Serpentards, l'air plus déterminé que jamais. Draco vit sa vie défiler devant ses yeux en voyant le regard brillant du brun. Harry s'arrêta à la hauteur de Blaise et lui tendit un léger sourire.

- Blaise, mon cher Blaise, tu me fais un peu de place, s'il te plaît ?

Blaise s'essuya la bouche avec sa serviette avant de toussoter et de se lever.

- Mieux Harry, mon cher Harry, je te laisse la mienne.

Il lui ébouriffa les cheveux et lui désigna sa place à côté de Draco.

- Merci.

Harry s'installa et se tourna vers le blond qui bloqua sa respiration, l'air embêté.

- Qu'est-ce que tu fais Harry ? murmura-t-il avec angoisse

- C'est la Saint Valentin, alors je suis romantique, chéri.

Hoquetant, Draco se sentit rougir de la racine de ses cheveux jusqu'au bout de ses orteils.

- I give my heart, cause nothing can compare in this world to you… (1)

Et Draco se demanda s'il lui était possible de rougir encore plus quand Harry se pencha pour l'embrasser, passant sa main dans la nuque du blond pour le rapprocher au plus de lui. Il y eut un blanc religieux dans la Salle, les yeux s'exorbitèrent, les mâchoires tombèrent, les souffles s'étouffèrent, quelques cris s'élevèrent, et les murmures pressés revinrent au galop quand le baiser des deux Princes de Poudlard s'approfondit.

Blaise soupira, balançant ses bras de chaque côté de son corps avant de finir par hausser les épaules. Il s'avança alors à pas lents, vers la table des Serdaigles. Se sentant subitement tout petit, il s'assit à côté de Luna, enlaçant leurs doigts avant de l'embrasser avec tendresse.

- Joyeuse Saint Valentin.

Il y eu des déglutitions. Draco et Harry se séparèrent enfin avec regret et le blond dû faire un immense effort sur lui-même pour ne pas exploser de joie. A la place, il passa ses mains dans les cheveux du brun, il se perdit encore dans ses yeux sans plus faire attention à l'immense activité des personnes autour d'eux.

Le Serdaigle serré contre Blaise se leva alors, il s'appelait Terry Boot, et il alla s'asseoir à la table Gryffondor, à côté de Parvati Patil. Puis ce fut le tour de Dean Thomas, qui, rougissant, rejoignit Harry à la table des Serpentard pour attraper la main de Pansy Parkinson sous le regard choqué de Ron Weasley. Milicent Bullstrode lui céda donc sa place pour rejoindre les Poufsouffle et plus particulièrement une certaine Susan Bones. Ce fut là que Draco daigna remarquer les autres et manqua s'étouffer. Sous ses yeux ébahis et ceux émerveillés de Harry, les élèves se levèrent, rejoignant un ou une élu(e) de leur cœur. Harry jeta donc un coup d'œil vers Albus Perceval Wulfric Brian Dumbledore, président du Magenmagot, Ordre de Merlin 1ère classe, Docteur en Sorcellerie, Enchanteur-en-Chef et Manitou suprême de la Confédération internationale des Mages et Sorciers, possédant une carte des Sorcières et Sorciers Célèbres à son effigie dans les Chocogrenouilles, et retint un gloussement en le voyant s'essuyer les yeux sur sa nappe d'un air ému.

Draco se tourna vers lui en fronçant les sourcils, l'interrogeant du regard sur ce qui pouvait bien le faire rire dans cette situation dramatique où les Serpentards commençaient à se mélanger aux… Poufsouffles ! Et le brun lui désigna leur directeur pleurant de bonheur.

- Je vais finir par l'apprécier ce vieux fou je crois, rit à son tour Draco.

Il y eut soudainement un éclair, le livre sauta de la table des professeurs, faisant sursauter tout le monde alors que de la fumée s'en échappait. Le brouhaha, les raclements de chaise, tout se stoppa et Ernie MacMillan se dépêcha de rejoindre Cho Chang sous le regard dégoûté d'Harry.

Soucieux, Dumbledore se leva et fit le tour de sa table avant de ramasser le bouquin pour l'ouvrir à la dernière page. Un sourire illumina son visage alors qu'il relevait le regard vers le couple Malfoy-Potter.

- Nous venons de retrouver la dernière leçon.

Les cous se tendirent, les yeux s'agrandirent et Draco se renfrogna en jetant un regard perplexe au vieux fou qui tendit le livre à l'assemblée. Sur les pages précédemment vierges, chacun pu alors voir une immense photo de Draco, héritier Malfoy, ambassadeur des Verts et Argent, habillé de son uniforme Serpentard mais une cravate Rouge et Or détachée autour du cou, avec une classe désinvolte, les snober du regard. « Leçon Numéro 10 : Être Draco Malfoy ».

Harry éclata de rire, suivit de la moitié du collège, le reste sifflant le Serpentard qui eut un sourire tellement fier qu'il en aurait fait pâlir Salazar.

Et Dumbledore applaudit, imité par la Salle toute entière.

- Naaaaaan !

Toutes les têtes se tournèrent vers la table des Serdaigles où Blaise soupira d'un air fatidique.

- Naaaan mais naaaaan. Je refuse !

- Blaise ? Qu'est-ce qu'il t'arrive ? demanda Luna en le fixant de ses grands yeux

- Mais… Enfin… C'est… Non !

Il frappa son front du plat de sa main d'un air théâtralement dramatique.

- Cette histoire ne peut pas se finir comme ça. C'est siiii mièvre, si… Poufsouffle !

Et pourtant…

FIN

(1) Ce sont les paroles de « Warmness on the soul » la chanson d'Avenged Sevenfold que Draco avait joué au piano dans le chapitre 7 et qui signifient : « Je te donne mon cœur, car rien ne se compare à toi en ce monde » :)

Ces trois petites lettres F I N comme trois mots : ça me tue.

Je vais mourir.

Cayé les gens, Comment Séduire Harry Potter en Dix Leçons, c'est fini. Bel et bien fini. Avec un épilogue court, c'est le principe oui...

Et qu'est-ce que ça me fais drôle dîtes... Cette histoire m'a suivit pendant 7 mois et 17 jours. Vous m'avez suivit pendant 7 mois et 17 jours. Et ce, pendant une année qui m'a été très éprouvante, faut le dire.

J'espère que ce chapitre (écrit pendant mon insomnie...) vous a plu, qu'il vous a en quelque sorte remercié comme il se doit pour toutes vos visites, vos magnifiques reviews qui m'ont tant accompagnées, votre soutien. Merci à tous ceux z'et celles qui ont addés la fic à leurs favorites, à ceux qui l'ont mis en alert, à ceux que j'ai convertit aux fics Harry Potter, à ceux que j'ai convertit au couple Harry-Draco, à ceux qui m'ont addés en auteur favoris, à ceux qui m'ont suivis depuis le début, à tous ceux qui m'ont lus. Du fond du coeur, merci à tous.

Si vous pouviez laisser une dernière review, ça me ferait vraiment plaisir vous savez. Avant de tourner la page... histoire de signer, de marquer le coup hein. (Voui parce que j'en ai eu moins que d'habitude au chapitre précédent :( snifouille)

Cette fic est mon plus gros projet aboutit à ce jour, celui qui m'a demandé le plus de travail, et j'en suis particulièrement fière.

Evidémment la fin de CSHP ne marque pas la fin de mon écriture.

Pour ceux que ça intéresse... je vais me lancer dans une nouvelle histoire, plus sombre, un drama/angst, pas de romance désolée, avec comme personnages principaux Draco et Hermione (naaaan pas amoureux, naaaan :O) et puis "Harry" (entre guillemets... vous verrez bien pourquoi). Je n'en ai écrit que le prologue et je suis en écriture du chapitre 1, étant donné que l'histoire est très complexe, je prendrais de l'avance pour voir si la motivation et l'inspiration sont bien là avant de le poster sur le site. Pour faire simple, c'est une histoire de maison, d'errance et de hantise... :) (Pour l'instant j'ai encore dur de faire un résumé sans dévoiler toute l'histoire)

Voilà. Je n'attend pas de commentaires sur ce projet hein, plutôt sur le dernier chapitre de ma fic please :P mais je tenais à vous en parler...

Sur ce, c'est le coeur gros que je vais vous abandonner définitivement de cette fic. C'est trop bizaaaaaaaaaaarre. Yum.

Je vous aime, vous ai aimé tout du long, et vous aimerai encore...

Schmarti'z /qui se sèche les yeux sur son pyjama/