Et voici le dernier chapitre de cette histoire...snif...J'espère que vous aurez apprécié.

Chapitre 20 :

Environ six mois plus tard :

C'était une belle journée. Les bonne gens flânaient gentiment à leur occupation et le commandant Alex Louis Armstrong profitait de sa pause de midi pour aller faire une promenade tonifiante pour le corps et pour l'esprit.

- Maman , pourquoi t'es déjà fatigué ?

- C'est juste qu'il se fait un peu lourd.

Tiens , n'aurait-il pas entendu une paire de voix familière ? En effet , à quelque mètre de lui , Vanity était affalé sur un banc . Elle avait bien été obligé d'abandonner ses tenues de dandy pour une ample robe qui ne dissimulait en rien son ventre superbement tendu par une maternité imminente . A côté d'elle se tenait la petite Emma , vêtue d'une robe vert pomme et Wrath , qui avait revêtu une tenue ordinaire , un jeans et un t-shirt blanc et attaché ses cheveux en une queue de chevale.

- Commandant Armstrong ! Comment allez-vous ?

- Je vais on ne peut mieux et vous ?

- Ouh ! J'ai un peu de mal à me relever. Le petit joue au pushing-ball.

- Est-ce que peux ?

Une fois que tout le monde se fut émerveillé que l'on pouvait effectivement sentir les petits pieds et les petites mains du bébé frapper contre la paroi du ventre de sa mère , il lui tendit les mains pour l'aider mais au moment où il la tirait, un bruit mouillé se fit entendre.

- Commandant , je viens de perdre les eaux , je crois.

En bon Armstrong , il ne perdit pas une minute et la conduisit rapidement au poste médical le plus proche , c'est-à-dire celui de la base. Tout se passa sans encombre, la petite était presse de sortir et se mit à brailler , avant même qu'on lui donne la tape sur les fesses traditionnel destinée à forcer le bébé à gonfler ses poumons pour la première fois. Elle lança d'ailleurs un regard peu amen au médecin qui avait eu le toupet de vouloir la fessée.

- Eh ! Je veux entrer !

Wrath força le passage et ne s'arrêta qu'au pied du lit où Vanity tenait son bébé qui tétait déjà comme une affamée. Emma le rejoint quelque instant plus tard. Wrath regardait la petite chose d'un air fasciné , sans oser faire un geste , mais la fillette , elle , tendit un doigt pour la toucher.

- Ben , pourquoi elle est tout fripée ?

- Les bébés le sont toujours à la naissance. Répondit l'infirmière qui avait déjà deux gamins à son actif.

- Hé ! Hé ! Elle a l'air d'aimer ça , en tout cas !

- Qu'est-ce que tu crois ? Tout ses aventures lui ont donné soif !

- A propos , où est le père ?

- Je me suis souvenue de pourquoi lui et moi nous devions rester simplement bons amis.

XXXX

Huit mois plus tard :

- Ah ! Foutu nœud pap. !! Je n'ai jamais été capable de mettre un de ces trucs comme il faut !

- Oh ! Laissez-moi faire , colonel !

Hawkeye commença défaire les nœuds tarabiscotés que son supérieur avait fait là où il y aurait dû avoir un innocent petit papillon. N'empêche que le smoking lui allait drôlement bien.

- Votre robe est tout à fait charmante , Riza.

- Je n'ai pas souvent l'occasion d'en mettre malheureusement.

- J'ai le sentiment qu'un jour vous en porterez une très belle blanche et que je n'y serais pas étranger.

- Très bien , je porterais une robe blanche pour votre enterrement mais ça risque de faire mauvais genre.

Avant qu'il n'ait pu répliquer , la porte s'ouvrit en grand pour laisser passer Edward Elric , lui aussi en smoking et son frère qui avait bien été obligé de se contenter de donner un coup de chiffons pour faire briller son armure.

- Lieutenant Hawkeye , vous êtes superbe !

- Merci infiniment , Edward. Fit-elle avait un sourire de gratitude.

- Pff! Pourquoi est-ce , quand c'est moi qui vous fait un compliment , vous ne dites jamais merci ?

- Parce que vous , colonel, vous avez toujours une arrière pensée , quand vous complimentez une femme sur sa tenue.

- Même pas vrai ! Je trouve sincèrement que cette robe est tout à fait charmante sur vous.

- Et si je vous proposais de l'enlever ?

- Hum…Pour cela , il vaudrait peut-être mieux attendre que nous soyons chez vous , non ?

- Vous voyez ce que je voulais dire , colonel !

- Non.

- Désespérant.

- Tout à fait.

- Il le fait exprès.

- Je vous préviens colonel que je suis toujours armée.

- Mais où est-ce que vous les cachez ?! OO !

Pan !

- Compris , je serais sage , c'est promis !

- Parfait…Alors , les frères Elric , vos recherches avancent-elles ?

- Oh ! Nous avons découvert pleins de choses intéressantes mais nous sommes plus loin du but que nous le pensions.

- Ne vous inquiétez pas , vous y arriverez.

- Ouais , c'est ça…Les balles pour moi et les mots de réconfort pour eux !

Ils restèrent un long moment silencieux.

- Ils faudrait peut-être y aller ?

- Allons-y ! On prend ma voiture ?

- D'accord.

- Tout de même , vous en connaissez beaucoup des types prêt à épouser une fille qui a trois gosse dont aucun n'est de lui ?

- Il semblerait que le coup de foudre se soit produit après qu'il ait proposé de l'hébergé chez lui.

- Il a enfin trouvé chaussure à son pied.

- Il était temps.

- Bof , il n'a jamais donné l'impression de…

- Non , croyez-moi , la solitude l'a beaucoup faire souffrir.

Ils débouchèrent dans un immense jardin où un autel avait été dressé et des chaises disposées. Sous un préau , il y aurait le buffet mais il n'était pas encore servi. Un certain nombre d'invités étaient déjà rassemblé à l'intérieur . Ils se dirigèrent vers Greed qui faisait de risette à Tamaris , qui le regardait installée dans son parc. L'avide finit par soulever sa petite fille dans ses bras. La gamine tendit ses petites mains pour attraper les lunettes de Greed.

- Dis donc , rend moi ça toi !

Tamaris pencha la tête sur le côté et sourit en zozotant :

- A moi !

- Elle…Elle vient de parler , là , non ? Ma petite vient de dire ses premiers mots ! Vanity , elle a parler ! S'écria-t-il en se précipitant vers la pièce voisine la gamine dans les bras.

- Greed ! Ca ne se fait pas d'entrer pendant que la mariée essaye sa tenue!

- Ben , de toute façon , c'est pas moi le mari.

- Quand même !

- Tamaris vient de dire ses premier mots.

- Vraiment ?

- Oui , elle a dit « A moi ! ». Elle ne veut pas me rendre mes lunettes !

- Pourquoi ça ne m'étonne qu'à moitié ?

Finalement , Greed accepta de céder ses lunettes et les invités passèrent dans le jardin. Hugues remplit le rôle de père de la mariée en emmenant Vanity , qui avait pour l'occasion revêtu un splendide costume de Dandy immaculé avec des chaussure blanches et noire , vers l'autel. Le marié arriva et la regarda d'un air émus. Le prêtre s'éclaircit la voix.

- Monsieur Alex Louis Armstrong , voulez-vous prendre pour épouse Mademoiselle Vanille Franz , ici présente.

- Vanille ? Chuchota Edward au colonel.

- Oui , un ami s'est arrangé pour lui fournir des papiers en règles. Histoire d'être plus discret.

- Les homonculus ne risquent pas d'en avoir encore après elle ?

- C'est justement pour ça. Et puis , elle est entre de bonne main à présent.

Armstrong avait pris un air solennel pour prêter son serment.

- Oui , je le veux et je la protégerais , l'aimerait et la choierait comme il est le devoir d'un mari de le faire et ….

Il était repartit sur une longues tirades où il était question de l'amour , de la tolérance , de la complicité qui doit unir deux conjoints , du sérieux qu'il apporterait à son rôle paternel et qui dura au moins un quart d'heure. Wrath qui commençait à avoir mal au bras à force de porter le coussin avec les alliances commençait à ce demander de quel genre de père il avait encore hérité.

- Chéri , je crois que monsieur voudrait bien continuer. Finit par l'interrompre gentiment Vanity.

Du côté des invités.

- Tiens où est Emma ? Demanda Hugues.

- Mademoiselle Vanille Franz , voulez-vous prendre pour époux Alex Louis Armstrong , ici présent ?

La fillette débarqua avec une grande feuille de papier qu'elle posa à même le sol et déclara que c'était un cadeau pour les mariés. Elle voulait leur offrir un feu d'artifice . Seulement elle avait mal calculé son coup et les jet de lumières se mirent à fusés dans tout les sens , semant la panique parmi les invités. Ré sultat , personne n'entend la réponse de Vanity mais vu qu'Armstrong l'avait soulevé dans ses bras pour l'embrasser….

« Fin »

XXXXX

Aubépine : Et c'est fini !!! Pour l'instant , car j'ai un projet de fic qui se passerait à la suite de celle-ci.

Envy : Quelle fin à la con !

Aubépine : Toi , je t'ai rien demander ! Bon ! Armstrong , approche !

Armstrong : Madame ?

Aubépine : Vanity , c'est une de mes filles , tu comprends ? Et je te l'ai confié ! Alors tu as intérêt à la rendre très heureuse. T'es un bon gars , je te fais confiance pour veiller sur elle et lui offrir une jolie vie de famille.

Armstrong : Je saurais me montre à la hauteur de la confiance que vous placez en moi , cher Dame !

L'auteuse s'est toujours dit qu'Armstrong ferait le gendre idéal , fidèle , gentil , avec une bonne situation social et suffisamment fort pour assurer la sécurité de sa bien-aimée et ouvrir les bocaux de cornichons récalcitrants. Vous ne trouvez pas ?

Vanity : J'aime mieux ça. J'ai vraiment cru que je finirais avec Greed. Mon mari est un peu bavard mais il est tellement gentil et ces étoiles roses , moi , je trouve ça trop chou.

Greed : Mais je conserve un droit de visite pour voir ma fille de temps en temps , hein ?

Vanity : Bien sûr , t'es quand même le père. J'ai l'impression qu'elle t'aime bien , en plus.

Dante : Je ne suis pas contente du tout.

Aubépine : Tout le monde ne pouvait pas gagné.

Un raclement de gorge se fait entendre. L'auteuse en cherche l'origine. Cela recommence. Elle se retourne et se retrouve face à Kimblee.

Aubépine : Salut…

Kimblee : Je me souviens t'avoir dit que si je n'avais pas mon quota d'explosion dans cette histoire , ce serait toi qui en ferait les frais.

Aubépine : Mince ! J'ai oublié de te faire participer au combat. Je suis désolée , ce sera pour la prochaine fic.

Kimblee : Non , je ne crois pas.

Aubépine : Au secours !!!!!!