La vierge blonde de L4

Voila, le dernier chapitre. Je remercie sincèrement toutes les personnes m'ayant laisser un message, ça me fait chaud au coeur. Je vais donc cloturer la vierge blonde mais suite à vos message, je vais doncécrirela suite de"Ce que doit donné le vaincu" et une sequelle au "5 parties d'une même âme", j'espère qu'elles vous plairons.

Je voudrais juste savoir si cette histoire n'était pas trop choquante car pour les suites que je comptes faire seront aussi sinon encore plus chaude donc, si vous voulez du très chaud ou un couple en particulier dites-le, je ferais en sorte de les glisser dans un coin. Merci encore et sur ce, bonne lecture...

Chapitre 07

Assam s'assit sur son trône. Il était pâle. Il ne savait pas quoi faire. Carl le regardait, inquiet.

Quand Allibhaed, le père d'Assam avait découvert sa liaison avec le jeune français, la sentence avait été terrible. Le corps d'Assam avait été purifié par le fouet, le feu et l'eau. Il avait été isolé.

Assam ne s'en était jamais remit. Même s'il avait continué de fréquenter ses amis, il avait gardé une certaine distance avec son amant.

Ils s'étaient de nouveau rapprochés au mariage de Carl.

« Qu'est-ce qui se passe Assam ? Demanda David Maxwell.

« Vos fils… Je les ai trouvé dans la chambre du mien…

« Tu n'as pas que des filles ?

« Non, Odin, j'ai eu un fils… Un fils qui a la même "maladie" que celle que j'avais…

Il y eu un silence embarrassé.

« Et vos fils l'ont dépucelé…

Un cri indigné parcourut ses amis. Ils ne pouvaient y croire. Siang fut celui qui se récrimina le plus. Son fils était marié tout de même.

« J'ai vu de mes yeux vus vos fils jouir sur le mien. Je… Je… Qu'est ce que je dois faire ?

Il semblait perdu, son corps tremblait. Il ferma les yeux, retenant ses larmes. Si l'affaire venait à s'ébruiter, Quatre perdrait le respect de son futur peuple.

Carl le prit dans ses bras, tendrement. Malgré les années, il avait continué de l'aimer.

« Attendons leurs explications pour tout ceci. Après on avisera…

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Quatre se releva. Il vacilla un moment sur ses jambes, encore plus blanc.

« Par Allah, qu'est ce que j'ai fais ?

Trowa fut le premier à reprendre pied.

« Tu n'as rien fait de mal !

Quatre traversa la pièce, chancelant. Il s'appuya contre un mur puis appuya sur un interrupteur.

Une porte murale coulissa, révélant un petit couloir.

« Venez vous laver. Mon père n'attendra pas des lustres.

Duo siffla en entrant dans la salle de bain. Les murs, couvert de marbres rose ou blanc, l'immense baignoire et le lavabo de nacre.

« Dire que j'aime tant faire ça dans l'eau persifla le français.

« N'y pense même pas, le coupa Wufei.

Ils se lavèrent ensemble. Heero et Duo s'embrassaient, sur d'être séparé par la suite, de ne plus jamais se revoir. Ils se faisaient des promesses entre eux, avec amour.

Quatre se sentit jaloux de cet amour. Lui, il allait connaître les pires punitions, peut être la mort et eux, ils semblaient prendre la menace bien à la légère.

Trowa, qui semblait le plus calme attrapa soudain Heero dans ses bras, l'embrassant.

« Je prendrais toutes les fautes sur moi. Je suis celui par qui tout est arrivé. C'est normal que je clôture cette histoire.

« De bien grands mots, ironisa Wufei. Mais ce serait injuste, tu ne m'as pas violé…

« Non, ironisa Duo. Il t'a baisé dans ton lit de noce le jour de ton mariage…

« Et j'étais entièrement d'accord.

« Menteur, souffla Heero. Tu as été d'accord à partir du moment ou il t'a sucé…

Wufei rougit.

« Et toi, Maxwell, il t'a baissé sur l'autel de ton église, tu crois que c'est mieux.

Les trois garçons continuaient de se disputer. Heero rejoignit Quatre.

« Ne t'inquiètes pas, il n'en on pas l'air mais ce sont des gars fiables.

« C'est vrai ?

« Quoi donc ?

« Ben, le sexe entre vous.

« Ho… Heero rougit. Tu sais, j'ai toujours été très passif. J'avais un caractère très froid, très renfermé depuis la mort de ma mère. Pour me sociabiliser, mon père m'a envoyé à Sank, dans une grande école. Là-bas, j'ai rencontré les autres.

Quatre le regarda. Il n'arrivait pas à imaginer ce garçon froid. Heero lui sourit.

« Ils m'ont coincé un soir, dans une salle de classe et ils m'ont sautés. J'ai tellement aimé que le lendemain, je les aie aguiché toute la journée. Le soir, ils m'ont fait ma fête.

Quatre rougit, son sexe durcit, incontrôlable.

« Depuis, ils m'ont fait connaître des plaisirs fous. D'abord un par un, puis à deux, à trois. Après, Trowa s'est mit dans la tête de dépuceler la haute bourgeoisie, fille comme garçon. C'était succulent.

Heero laissa son regard vagabonder, parti dans ses fantasmes bien réels.

« Mais toi, tu as été le seul à tous nous toucher. Chacun d'entre nous a eut des coups de cœur mais toi… Tu es unique.

Quatre rougit, ils s'embrassèrent.

« Je souhaite te revoir.

« Je ne sais même pas la sentence qu'il m'attend.

« On te protègera…

Ils sortirent de la baignoire. Quatre leur passa des serviettes, toutes blanches. Ils s'essuyèrent en silence.

« Vos pères doivent être au courant à présent.

« On savait que les choses pouvait prendre fin à n'importe quel moment… on ne pouvait pas continuer indéfiniment comme ça.

Ils s'habillèrent rapidement puis Quatre les emmena à la salle du trône.

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Leurs pères étaient tous assis, raides, les jaugeant durement.

« Wufei, donnes-moi des explications.

Le chinois resta très calme.

« On a passé une nuit très agréable.

Son père le regarda, il tremblait de fureur.

« Putain, sale petit con, c'est comme ça que tu comptes prendre la succession de L5…

« Ecoutez-moi, coupa Trowa. Je les aime. Tous, autant Heero, froid et distant, Duo exubérant et insupportable, Wufei, droit et coincé que Quatre ange innocent. Ce sont des personnes dont je ne pourrais pas me passer. C'est moi et seulement moi qui suis responsable de toute cette mascarade.

Il reprit sa respiration lentement.

« Père, j'ai été violé.

Les adultes et Quatre le regardèrent, choqué, ses amants ne semblaient pas surprit, déjà au courant.

« Par votre meilleur ami, Treize, le directeur de l'école. Treize est très bavards après le sexe. Je voulais me venger de toi, je savais que tes amis avaient des enfants. Je les ai cherché, je les ai baisé et depuis on reste ensemble.

Carl Barton regarda le mur en silence.

« Tu mens.

Sa voix était d'un calme mortel.

« Non, père, il m'a prit en levrette, contre son bureau. Il disait que tu lui avais donné carte blanche pour me redresser, il s'est servi de mon cul. Alors, j'ai pervertis les enfants de tes plus proches relations. J'ai baisé Wufei le jour de ses noces dans le lit nuptial. On a prit Duo le jour de sa deuxième communion, contre l'autel de la famille Maxwell et Heero dans une salle de classe, quelques heures après son transfert. Quatre dans sa chambre, le soir de notre arrivé.

« Mais moi, je les aime, souffla Heero baissant les yeux devant le regard perçant de son père.

« Je les aime assura Duo, fixant son paternel sans honte.

« Je les aimes, continua Wufei, tout comme j'aime ma femme comme une sœur.

Quatre ne disait rien, tremblant de peur.

« Quatre a été notre dernière victime. Mais je l'aime… Aussi fort que les autres.

« Je l'aime.

« Je l'aime.

« Je l'aime

Quatre se sentit rougir. Il leva les yeux, perdu. Son père avait un regard hanté, le même qu'il posait sur Carl Barton, ou sur les photos du dirigeant de L4 dans sa jeunesse.

« Je crois que je les aime, tenta le garçon.

Assam se crispa.

« Tu ne dois pas Quatre, ton rôle est de faire des enfants. Pas de te faire prendre comme une… chienne…

«Père, ils m'ont « occupé » dans tous les sens. Je ne peux plus concevoir le fait de toucher une femme. Je mourrais si vous m'obligiez à toucher ces corps flasques… Je ne peux plus concevoir de me laisser toucher par d'autres qu'eux…

La gifle le figea sur place. Son père s'était approché de lui si vite qu'il ne l'avait pas vu bouger. Il tomba au sol. Son géniteur lui donna un violent coup de pied dans le ventre.

« Petit con ! Tu crois que ça m'a plu à moi !

« Père, je vous en pris, vous le saviez de toute façon, sinon, vous ne m'auriez pas isolé…

« Moi aussi je l'aimais, et pourtant, je n'ai pas eut le choix. Je l'aime et je souffre de son absence chaque jour un peu plus, pourtant, j'ai des enfants. Je dois rester digne pour mon peuple…

Il frappa de nouveau son enfant. Ses yeux hantés étaient perdus dans un autre monde. Carl se précipita sur lui. Il le serra dans ses bras.

«Mais moi je t'aime Assam. Quand tu as disparus, j'ai sombré. J'ai essayé de tourner la page…

La conversation semblait irréelle. Quatre comprenait un peu mieux certaines réactions de son père.

Siang se précipita sur Wufei, le gifla.

« Tu es stupide mon fils. Je sais bien n'avoir aucun contrôle sur toi hors de L5 mais j'exige que tu te comportes correctement vis-à-vis de ton peuple lors de tes séjours sur notre terre.

« Je n'en pensais pas moins père. Je fais ma vie.

« Heero ?

Odin semblait mal à l'aise.

« Oui ?

« Je te demande également de rester discret. Tu devras pendre la succession de L1 à ma mort.

« Je l'ai toujours été père, mais je ne compte pas ne plus les voir. Si vous désirez m'en empêcher, je renoncerai à L1.

Odin blanchit. Il avait formé Heero à reprendre ses affaires et seulement Heero. Sans lui, ce serait un massacre. David Maxwell poussa un soupir un peu théâtral.

« Après les frasques de ton abruti de frère, tes penchants me semblent bien léger. Toi, tu n'es que « gay ».

« Oui père. Mais, je reprendrais L2 avec Solo comme convenu des le départ.

Carl lâcha enfin Assam. L'émir regarda son fils.

« Tu ira à Sank, tu fais ce que tu veux mais sur L4, tu devra être parfais… Au moindre faux-pas, je te purifierai comme mon père l'a fait pour moi. Si la moindre rumeur revient à mes oreilles, je te destituerai et te ferai exécuter.

« Ca n'arrivera pas père.

Assam ne voulait surtout pas que son fils subisse ce qu'il avait vécu. Carl se tourna vers Trowa.

« Des mon retour sur L4, je me débrouillerai avec Treize, il ne te fera plus jamais de mal.

L'homme avait l'air sincère. Il aimait son fils. Trowa le prit dans ses bras.

Ils avaient encore un long chemin à faire avant de renouer des liens mais pour le moment, ils devaient parler.

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La jeune fille repoussa ses longs cheveux blonds dans son dos. Elle, fit un sourire éclatant au garçon blond en face d'elle.

Elle le draguait outrageusement, la chemise de l'uniforme scolaire entrouverte, la jupe courte.

Soudain, une paire de bras se resserra autour des hanches étroites de Quatre Raberba Winner, héritier de L4. La fille regarda Trowa, rougissant.

« Salut, Réléna. Comment vas-tu ?

Il lui fit un sourire froid. Wufei, Duo et Heero la toisèrent. Ils l'avaient tronché avant de rencontrer Quatre. Donc, elle ne risquait pas de colporter le moindre ragot siurt eux.

« Je vais très bien, et vous ?

« Bien, Trowa avait une voix ironique, blessante. On peut te l'emprunter, on doit lui… « Parler ».

« Oui.

Elle s'éclipsa très vite, les joues rouges, honteuses. Elle se sentait comme un morceau de viande.

Quatre se retourna vers eux.

« Quoi ? On discutait tranquillement.

«Mon Dieu, Quatre, tu es si innocent dit Duo en l'attrapant. Elle te faisant du gringe.

« Ha ?

Les garçons soupirèrent. Le jeune arabe était bien trop innocent pour son propre bien.

«Viens, je dois te présenter Solo…

« Ton frère ?

«Oui, il est revenu de son dernier périple.

« Au fait, demanda Quatre, tu ne m'as jamais dis…

« Quoi ?

« Qu'est-ce qu'il a ton frère ?

« Ha, Solo est…

Ils s'éloignèrent vers la porte de hall. Soudain Quatre s'arrêta, les joues très rouge et cria :

« Il a quoi ?

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Voilà, c'est fini. peut être une suite ? A vois de voir pour ça aussi.

Daki...