La vierge blonde de L4

Attention, cette histoire contiendra de nombreux lemon que l'on peut qualifier de chaud.

Cette fics est un enchaînement de lemon à la limite du NCS et bien évidemment yaoï dans l'univers de Gundam Wing en UA.

Je demande donc à toute personne choqué ou dégoûter de partir. Les autres, je vous souhaite une bonne lecture.

Daki

Chapitre 01

Assam descendit les marches d'un pas élastique, les bras grands ouverts, rayonnant. Il serra Carl Barton, dirigeant de L3 dans ses bras et le bénit en arabe. Le français lui répondit et le serra contre lui.

« Ravi de te revoir mon frère...

« Moi aussi Assam.

« Allah, David Maxwell ! T'as pas changer d'un pouce.

Assam se précipita dans les bras du dirigeant de L2 et lui fit la même bénédiction que pour Carl. L'homme éclata de rire, ravi.

« Odin Yuy !

L'homme le serra vigoureusement dans ses bras. Odin Yuy, dirigeant de L1, se recula un peu et le regarda longuement.

« Ca te réussi les affaires.

« Oui, par Allah ! Chang Siang ! Alors, comment va le clan du Dragon ?

« Parfaitement, les aïeux sont satisfait. L5 est en pleine effervescence depuis l'annonce de la grossesse de Meiran.

« Avec un chef comme toi, c'est normal que les choses aillent mieux.

Son regard se tourna vers les quatre garçons restés en retrait. Il les détailla longuement. Les portraits de leurs pères, mêmes physiques, mêmes attitudes. Sauf le fils d'Odin, les yeux bleus du nippon le troublaient, trahissant son métissage.

L'émir eut un froncement de sourcil. Les garçons étaient trop beaux, ils risquaient de déclancher « la maladie » de Quatre. Il se promit de garder son fils enfermé jusqu'au dépars de ses amis.

Il laissa son esprit vagabonder quelques secondes puis se recentra rapidement. Il emmena ses invités dans le hall. Il leur fit visiter son palais, évitant contentieusement l'aile ou son fils était cloîtré.

Il passa, par contre, plusieurs fois devant son harem, laissant ses invités contempler les femmes se prélassant. Il ne lâchait pas des yeux les garçons, voulant s'assurer qu'ils n'avaient pas « la maladie » de Quatre.

Il remarqua, inquiet, qu'ils ne jetaient que des regards mornes aux femmes épaissement fardées. Il fonça de nouveau les sourcils et se jura d'ajouter des gardes dans le couloir de la chambre de Quatre.

Pourquoi Allah l'avait puni en donnant cette « maladie » à son fils ? Qu'avait-il donc fait ?

Le repas fut très arrosé, très festif. Les cinq hommes repartirent dans leurs souvenirs et congédièrent leurs fils. Assam leur permit d'aller faire un tour dans le palais, oubliant la présence de Quatre, enfermé dans une chambre.

Les quatre garçons traversèrent de nombreux couloirs, ne jetant que des coups d'œil négligeant au personnel passant silencieusement, les frôlant soit délibérément soit malencontreusement.

Les garçons parlaient tranquillement, sans déranger la fraîcheur de la nuit, ils se glissaient, ombre dans les ombres, le murmure de leurs voix se confondant avec le murmure du vent.

Soudain, ils entendirent un rire clair, féminin. Ils étaient à l'entrée d'un long couloir, gardé par deux gardes. Intrigué, le fils de Carl Barton s'approcha des deux sentinelles.

Ils remarquèrent alors que c'était deux femmes, armé d'un fouet laser et d'un pistolet à fléchettes paralysantes. Des qu'elles les virent, elles les mirent en joue, leur sommant de partir au plus tôt.

Les garçons tournèrent les talons et sortirent dans une des cours intérieures, deux étages plus bas. Ils s'assirent sur des bancs de bois, dans un jardin ou des fleurs lunaires embaumait l'air et étalaient leurs pétales brillant sous les deux lunes de L4.

« Heero... Qu'est ce que t'en pense ?

« Elle est là, j'en suis sur... Et toi Duo, t'en pense quoi ?

« Oui, c'est le seul couloir qu'on n'a pas visité...

« Et le seul gardé aussi, continua le chinois.

« C'est vrai Wufei, continua le fils Barton. Vous savez à quoi je pense ?

« Bien sur, on va la souiller...

« Lui faire perdre son innocence.

« Comme pour toutes les autres...

« Trowa, t'es vraiment malade. Si nos pères apprenaient comment on passe nos temps libre...

« Et alors, le coupa Trowa, on les violent pas ces salopes. Non, elles se traînent comme des chiennes à nos pieds Wufei. Me dis pas que t'as peur de pas être à la hauteur cette fois...

« C'est pas ça, c'est quand même la fille du meilleur ami de nos père et accessoirement l'héritière de L4...

« On va juste lui montrer ce que c'est que des hommes. Elle en redemandera t'en fais pas.

Ils éclatèrent de rire, et sortirent des armes de leurs poches, prêt à monter à l'assaut de la chambre de la vierge.

Ils se glissèrent jusqu'au deuxième étage, dissimulé dans le noir. Trowa donna les instructions en signes militaires et les garçons s'éparpillèrent dans les angles avant que Trowa ne sorte de l'ombre. Il s'avança vers les gardes.

« Mesdemoiselles, vous êtes si belle...

Il continua d'avancer vers elles, les bras légèrement tendu vers l'avant. Les deux femmes reculèrent, inquiètes, ne savant pas quoi faire.

Soudain, jaillissant de l'ombre, les trois autres les maîtrisèrent puis dissimulèrent les corps inconscients dans un coin. Trowa avait les yeux brillant d'excitation, il aimait se sentir comme un prédateur.

C'était lui le leader, le chef, même dans leur école, il avait de l'autorité sur tous et toutes. La vierge blonde de L4, il se languissait de la pénétrer, de s'enfoncer dans son corps, de maintenir son dos cambrer, la regarder se débattre alors que ses copains la tiendraient, attendant leurs tour pour passer...

Il eut un rire malsain. Oui, ils étaient comme ça, pas vraiment des violeurs mais pas loin. Ils s'amusaient avec les filles.

Ils s'avancèrent prudemment jusqu'au fond du couloir et Wufei ouvrit la porte de bois finement décorée. Ils montèrent silencieusement les marches de marbre. Il n'y avait pas de fenêtre. Duo râla devant les sept paliers partageant les cents marches.

Trowa ricana.

« C'est un bien maigre effort à fournir pour prendre la vierge blanche, la plus proche proie, celle qui pourrait mettre nos pères au courant, celle qui pourrait nous détruire si on la baise pas assez bien...

Heero siffla d'admiration devant la porte en bois d'ébène à trois serrures. Ils écoutèrent attentivement. Aucun bruit de l'autre côté.

Heero sortit un mini ordinateur de sa poche et quatre câbles. Il dévissa le cache situé sous le boîtier et brancha deux fils, glissant le troisième dans la fente, l'immobilisant au milieu. Il allait lentement, sans à-coup

« On reconnaît bien la ton « doigté » ironisa Duo, repoussant sa tresse en arrière.

« Urusei Baka, murmura le nippon. Si je vais trop fort, on sera détecté.

« Hummm.

Duo se pencha sur lui, léchant la nuque du japonais qui frissonna.

« C'est pas moi que tu baises ce soir. C'est elle.

Au moment où il finissait sa phrase, il y eut un déclic.

« A toi bébé, il reste les deux verrous métalliques.

Il se poussa et laissa l'américain se pencher sur la serrure. Il retira des pince de sa tresse puis les enfonça dans les fermetures. Au bout de quelques secondes, il porte fut déverrouillé.

Trowa poussa la porte et se glissa dans la pièce. Les autres le suivirent.

Quatre soupira pour la énième fois et se retourna dans son lit. Il avait aperçut les amis de son père et surtout, les enfants de ces derniers. Si beaux... Il frissonna. Il ne savait pas pourquoi son père lui interdisait tout contact avec des hommes depuis cet incident.

Il entendit un léger grincement. Il se redressa, sa longue chemise de nuit blanche de soie lui couvrant le corps. Il quitta son immense lit, enveloppa ses frêles épaules d'un châle de laine blanc. Lentement, il s'avança vers la porte.

Il se figea, il y avait quatre hommes dans sa chambre, les enfants des amis de son père. Il poussa un petit cri étranglé, reculant, effrayé. Il les regarda, tremblant. Ces derniers sourirent et s'avancèrent sur lui.

Celui avec la mèche brune lui saisit le corps, plaquant sa main sur sa bouche pour l'empêcher de crier. Puis, moitié portant, moitié tirant, il l'amena vers le lit. Il le jeta dessus puis grimpa, à quatre pattes, le dominant.

« Laisses toi faire gamine, tu verras, on sera gentils.

Quatre essaya de crier mais la bouche de Trowa le bâillonna. Il sentit la main de cet homme glisser sur sa jambe, remontant sa chemise, jusqu'au haut de ses cuisses. Il essaya de les refermer mais l'homme les écarta d'un doigt avant de se poser sur son sexe.

Il sentit le corps du brun se tendre puis reculer, sa main continuant de tâter le sexe du blond avant d'éclater de rire.

« Les mecs, la vierge blonde de L4 est un mec.

Il y eut un long silence puis, les autres s'avancèrent, le regardant curieusement. Trowa l'immobilisa d'une main avant de déboutonner la chemise et de l'enlever complètement, exposant le jeune homme nu au regard de ses amis.

Celui avec la tresse fixa le sexe du blond, ses yeux brillaient de gourmandise. Il se lécha les lèvres.

« Ho, le plus beau des cadeaux...

Le chinois attrapa les mains du blond, les immobilisent en croix sur le lit. Les deux autres maintinrent ses jambes ouvertes.

« Je m'appelle Trowa, voici Wufei, Heero et Duo. On te fera pas de mal. Mais, ne te débat pas, sinon, ce sera beaucoup moins bon...

Il lui embrassa le cou avant de se reculer et d'enlever son pull. Il était musclé, Quatre sentit ses joues rougir. Il ouvrit son pantalon avant de sortir plusieurs anneaux de métal doré. Quatre les regarda longuement, interrogateur.

Surprenant son regard, Duo demanda :

« Tu ne sais pas à quoi ça sert hein ?

« Non...

« C'est un appareil crée par Trowa, ça va t'empêcher de jouir tout en te donnant l'impression que quelqu'un te suce. C'est trop bon et trop horrible en même temps.

Quatre sursauta. La main de Trowa saisie son sexe plus fermement et se mit à le masturber.

« Il faut que tu sois en pleine érection.

Quatre cria plus fort, tremblant. Son sexe se redressa, ses hanches se mirent à bouger au même rythme que la main. Il vit le sourire triomphant de Trowa.

« Nonnn... murmura Quatre.

Trowa le regarda avant de sourire. Il posa un anneau sur la base du sexe, encerclant, il en posant un second après les testicules et un à la base du gland.

Quatre poussa un long gémissement, sa respiration était rapide, saccadé. Trowa sortit un tube de plastique de la poche intérieure de sa veste, il le passa sur le sexe, le cliquant sur les anneaux. Quatre cria, un crie bref, son corps se mit à trembler.

« Laisses le plaisir te pénétrer... Ca ne peut te faire que du bien.

Le brun le regarda puis lécha rapidement le gland dépassant de l'appareillage. L'arabe se tendit mais se retient de crier. Duo se pencha et renifla son entrejambe avant de le lécher rapidement.

« Hummm, il est succulent... Si tendre, si fin, si sucré.

Heero se pencha légèrement à son tour, accomplissant les mêmes gestes. Il se redressa lentement, léchant ses lèvres.

« Je passe le premier, les coupa Trowa.

Quatre se tendit essayant encore une fois de se libérer. Trowa lui saisit la gorge et serra, ses yeux étaient devenu froid.

« Si tu veux pas je te dépucelle de force, c'est pas un problème pour moi, tu te calmes et tu obéis.

« Laisses moi !

« Non, tu es trop tentant pour que je te lâche...

Il l'embrassa, plongeant sa langue bien au fond de sa gorge, ses mains serrant les hanches fines, marquant la peau.

Le blond s'immobilisa, son corps tremblait de plus en plus. Le français sourit, il se pencha et lécha les larmes.

« Tu es si beau. Tu dois être si étroit... Je me languis de connaître ton exiguïté.

Il sourit, enlevant complètement son pantalon. Quatre prit alors pleinement conscience que ce n'était vraiment pas un jeu, il se débattit, envoyant des coups dans tous les sens, luttant pour se libérer.

Ses agresseurs éclatèrent de rire. Ils allaient bien s'amuser avec lui. Ils raffermirent un peu plus leurs prises sur lui. La nuit ne faisant que commencer.

Ch

J'espère que ça vous a plu. A bientôt pour la suite.