Auteur: fantay112

Rating: M

Disclaimer: Harry Potter appartient à J.K.ROWLING…

Prairing: DM/HP

Cette fic est un défi de BloodyVampireDevil

Défi: « Vous avez marre des filles qui vous courent après ? Osez dire : Sorry girls I'm gay avec le sourire »

Voilà l'agence où travaille Draco pour apprendre aux hommes à être ce qu'ils sont vraiment, oser le dire à leur famille (et autres) ou a

faire de l'escorte (gigolo aussi?) etc...

Voilà l'agence où Harry se retrouve, perdu… ou pour fuir

Quand on confond les clients, quand on n'aime pas ce ''genre'' de personne ça donne des étincelles.

Un peu de romance, de tragédie… d'humour?

Comme l'indique mon pseudo, j'adore tous ce qui appartient au domaine de la fantasy,

je dois avouer que cela représente un véritable défi pour moi d'imaginer un histoire dans un monde sans magie.

P.S. : Les goûts et les couleurs, je les respecte alors homophobes, âmes terriblement sensibles ou que sais-je encore cliquez

immédiatement sur le lien PRECEDENT, pour les autres…

Prologue

Ce mec je vais le…

POV HARRY

()Seigneur, dans quoi donc me suis-je encore fourré?

ZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ

Le matin même, il se faisait expulser de son minable studio par le propriétaire. Ce vieil acariâtre de Rusard s'était pointé avec deux mastodontes pour le forcer à mettre les voiles. Bien entendu, il savait pertinemment qu'il avait trois semaines de retard pour le paiement du loyer… Il savait aussi qu'il aurait du faire preuve de plus de tact en repoussant les avances de ce vieux vicelard…

Du tact…

Etait-ce de sa faute si il démarrait toujours au quart de tour? (Quoique le concernant, ce serait à la moitié du quart.) Bien sur que non, chaque action entraînait une réaction. La réflexion venait après. En tout cas, ce précurseur (édenté) de l'espèce humaine avait mal digéré le faite de se faire traiter de tous les noms par son locataire. C'est pour cette raison qu'il se retrouva le lendemain à la porte, avec simplement un sac à dos qui contenait quelques fringues. Ses voisines, deux charmantes jumelles avaient accepté de garder sa valise qui contenait tout le reste de ses possessions.

Il les regretterait.

Non pas les quelques vêtements élimés, mais les deux nymphes Indoues d'une trentaine d'année tout à fait en adéquation avec leur temps. Leurs petits week-ends coquins lui manqueraient au plus haut point. Elles lui glissaient toujours quelques billets dans la poche à la fin de leurs ébats débridés, lui signifiant ainsi qu'il pouvait regagner son appartement. Et si l'envie leur prenait de convier une amie à leurs jeux, il n'en était que plus ravi. Il devenait alors un prince dans son harem matant sans vergogne trois sublimes créatures qui se caressaient devant lui.

La fois dernière, il avait torturé Padma jusqu'au point de rupture en demeurant simple spectateur de la scène qui se jouait devant lui, pour son plus grand amusement. La folle avait eut l'audace de parier que sa libido ne lui permettrait jamais de rester inactif plus de quinze minutes. Grave erreur, depuis le temps, elle aurait dû savoir qu'il possédait une maîtrise parfaite de son corps. Cette chère Pady soumise aux assauts de ses deux amantes ne tarda pas à se jeter sur lui.

Et Rusard l'avait privé de ça! N'importe quel homme saint de corps et d'esprit aurait des envies de meurtres. Seul l'idée de passer un long séjour à Azkaban le retenait de trucider la chose qui habitait au rez-de-chaussée.

Perdu dans ses pensés, il se heurta à une jeune femme qui avançait les bras chargés de dossiers. Elle poussa un petit cri à cause de la violence du choc mais Harry la retint par la taille, la serrant involontairement contre lui.

()Navrée…

Leurs regards se rencontrèrent.

()Non, c'est à de m'excuser!

()Whaou, est-ce que tu portes des lentilles?

Face à cette demande incongrue, il mit un certain temps avant de lui répondre. Elle inclina la tête sur le côté pour mieux le dévisager durant le laps.

()Non, pas du tout.

Leurs corps finirent par se détacher, il en profita pour l'examiner à son tour. Sur son échelle allant de un à dix et bien, il lui donnerait la note maximale. Il la détailla avec un petit sourire en coin. De longs cheveux bruns ramenés en une queue parfaite dont pas une mèche n'osait se rebeller, un visage avec des pommettes hautes savamment maquillée… Elle était vêtue d'un tailleur blanc haute couture fait sur mesure, dont la jupe indécemment courte dévoilait deux jambes longues magnifiques. Evidemment, elle portait des talons hauts qui la rendaient plus grande que lui. Harry se mordit la lèvre se trouvant contraint de changer sa notation. Il lui donnerait neuf et demi car il détestait avoir une petite amie qui lui rappelait quotidiennement son seul complexe. Un mètre soixante treize, c'était pourtant honorable comme taille, non? Bah, ce qu'il perdait en centimètre, il le gagnait en savoir faire sous le plumard.

Il se baissa pour l'aider. Elle ramassa le journal qu'il tenait précédemment à la page des petites annonces. Elle eut une petite moue déçue lorsque son visage se posa sur lui à nouveau, elle ne perdit pourtant rien de son sourire charmeur.

()Tu es ici pour l'annonce?

()Pardon?

()Tu es affreusement en retard, il est plus de dix heures et nous pensions avoir fini.

Elle lui fit un clin d'œil.

()Allez va, ne t'inquiète pas. Si tu m'aides à rapporter ces documents, je demanderais à Dray de te laisser ta chance. Je ne te garantis rien, tu aurais pu au moins faire un effort vestimentaire.

Elle ne lui laissa pas le temps de répondre.

()Excuse-moi, j'ai vu des jeunes hommes en grande difficulté venir postuler, c'était malvenu de ma part d'autant que l'habit ne fait pas le moine.

Le brun réfléchi, il détestait les filles qui parlaient trop, finalement, huit et demi serait une bien meilleure note. Elle lui proposait visiblement un emploi, autant jouer le jeu…

()Allez vite, j'ai laissé mon manteau à l'intérieur.

Il la suivit dans l'immeuble jusqu'à un ascenseur. Harry ignorait totalement à quel étage, la pile ne lui permettait pas de faire un pas sans l'aide de la jeune femme. De temps à autre elle saluait des connaissances. Elle le guida dans ce qui était apparemment son bureau. Il posa le tout sur un grand canapé rose bonbon. En fait toute la pièce était décorée dans ce ton, de l'armoire en passant par les bibelots…

()Je te rassure, lorsque je suis entrée la première fois, j'ai fais la même tête que toi. Un nouveau décorateur devrait arriver d'ici demain pour décaper un peu tout ce rose. Je travaille avec Dray depuis deux semaines. Il a fini par s'avouer qu'une touche féminine ne serait pas mal venue. Suis-moi.

Il lui obéit en se répétant pour la troisième fois au moins que c'était une assez mauvaise idée, il n'avait aucune qualification après tout. En s'enfuyant à seize ans et demi, il avait abandonné le lycée, et plus encore…

Il S'appuya contre le mur, alors que des échos de voix lui parvenaient.

()C'est non, la ponctualité c'est une vertu indispensable dans ce métier.

()Sev, je parlais à Dray.

()J'ai vu assez d'horreur pour aujourd'hui!

()Nous avons quand même eu deux recrues.

Il y eut un silence assez court puis le cri d'un homme se fit entendre. Harry déglutit, mais que pouvait-il bien se passer? Il ne tenait pas à avoir affaire aux flics…

()Pannnsyyyyy décolles-toi immédiatement!

()Mais Drakinounou, je veux juste un câlin.

()Severus, je t'en prie…

()J'suis pas assez payé pour ça, démerdez-vous!

()Drakinouchet un bon gros câlin, nous sommes presque frère et sœur…

()Pansy le jour où j'aurais une espèce de nymphomane doublée d'une menthe religieuse…

Il y eut le bruit de ce qui semblait être un gros baiser mouillé, un ricanement, puis le bruit d'une chute.

()Je vais le recevoir, tu as gagné.

Moins de deux secondes plus tard, la brune lui apparut un sourire radieux aux lèvres, par la porte entrebâillée. Elle lui fit un clin d'œil puis l'invita à la suivre à l'aide d'un gracieux mouvement de l'index. L'endroit plût tout de suite à Harry. Il y avait une grande baie vitrée qui laissait passer la lumière qui contrastait agréablement avec le mobilier design, noir pour la plupart. Des touches de couleurs avaient été savamment réparties dans le bureau. Il adora la lampe rouge orangée, posée dans un coin. Un homme élégamment vêtu ne l'avait pas quitté des yeux depuis son entrée. Avec le prix du costume qu'il avait sur le dos, le brun savait qu'il aurait pu tenir six mois dans son petit studio. La jeune femme s'était assise sur le bureau, les jambes croisées. Un troisième individu armé d'un kleenex s'essuyait furieusement la joue. Il dut sentir son regard sur lui car moins d'une seconde plus tard, leurs yeux se croisèrent. Les iris de l'homme le déroutèrent, le gris possédait un éclat qu'il trouva incomparable. Il ne devait pas en avoir d'autres semblables et pourtant, il savait qu'il avait déjà vu ces yeux là…

La jeune femme se pencha pour souffler quelque chose à son oreille, il utilisa immédiatement le mouchoir pour tamponner les commissures de ses lèvres. Harry de son côté admirait, les jambes qui venaient de se décroiser devant lui. Un peu plus et il aurait vu son charmant string… A nouveau, les jambes se croisèrent et là le brun manqua de s'étouffer… Cette délicieuse jeune fille ne portait pas de string, encore moins de culotte et ses bas visiblement n'atteignaient que le haut de ses cuisses…

()Comment vous appelez-vous?

()Harry… Harry Potter…

Encore rêveur, il éluda complètement le stylo qui inscrivait ses quelques paroles sur un feuillet en plusieurs exemplaires.

()Signez-je vous prie.

Les petites lèvres rouges comme des pétales de roses esquissèrent un sourire. Elle lui fit un discret signe de la tête et il obtempéra conquis par cette beauté.

()En bas…

Harry eut un instant d'hésitation mais son épineux problème passa inaperçu car un doigt lui indiqua où il devait apposer sa signature. L'autre se leva pour lui faire une accolade. Il se retrouva serrer contre un type qu'il ne connaissait pas du tout mais qu'il était certain d'avoir déjà vu. Soudain, la lumière fut… ce matin en déambulant dans les rues il avait croisé un bus sur lequel le visage de ce type était placardé. Comment avait-il pu oublier? Un peu partout les affiches étaient étalées… Les cheveux plus blancs que blonds, un sourire narquois aux lèvres, un regard qui défiait et ce slogan insultant:

« Vous avez marre des filles qui vous courent après ? Osez dire : Sorry girls I'm gay avec le sourire »

(Oh. mon. dieu.)

()Prenez une chambre!

()Pansy chérie, moi au moins j'aime avoir un peu de conversation avant. Il faut un minimum d'élégance avant une soirée d'orgie effrénée.

()Draco, ton baratin…

Un regard cinglant la fit taire.

()Je… tenta faiblement Harry sans pouvoir trouver ses mots.

L'homme au costard se leva:

()Draco, c'est de l'argent gaspillé.

Le blond finit par le lâcher.

()Parrain, c'est un diamant à l'état brut.

()Et moi, je dis que tu as dépassé ton seuil de tolérance et qu'il te faut tirer ton coup du midi!

()Une telle vulgarité pour un homme qui m'a porté sur les fonds baptismaux est outrageante.

Severus et Pansy échangèrent un regard entendu.

()J'ai rendez-vous avec mon époux.

()Et moi, je te laisse avec ton nouveau, ex-petit ami.

Une quinte de toux attira leur attention, le nouveau, ex-petit ami le visage aussi pale que celui d'un mort avait des difficultés à s'exprimer.

()Je…

()Il te faut peut-être un verre d'eau… Tu sais, nous sommes ici en famille désormais ne te gêne surtout pas. Mais c'est vrai que tu as de la chance, tu dois une fière chandelle à Pansy, sans elle, nous ne t'aurions même pas reçu.

Draco s'empara d'un verre en cristal alors que la porte s'ouvrait sur un quatrième individu.

()Ouah, quel cul! Tu l'as engagé, j'espère?

()Blaise…

Harry n'eut pas le temps de se retourner, une main lui administra une claque sur les fesses.

()Pas touche, chasse gardée!(prévint tardivement Draco)

Le blond posa le pichet d'eau mais il se figea sur place.

()Pour la dernière fois…

Le sublime regard émeraude qui avait captivé son attention s'assombrit brusquement. Les sourcils fins se froncèrent ostensiblement. Avec une grâce et une rapidité foudroyante, la nouvelle recrue pivota sur sa jambe gauche afin d'administrer un magistral uppercut à son ami.

()Je ne suis pas gay!

Draco désaltéra sa soudaine soif en jetant un œil appréciateur au postérieur pour lequel, son pote venait de perdre le plombage qu'il s'était fait installé hier.

()C'est une erreur! Je n'ai jamais eu l'intension de venir à votre fichu casting, j'ai rencontré cette jeune femme par hasard. Je me suis fais viré de mon studio ce matin, dès qu'elle m'a proposé un boulot, j'ai sauté sur l'occasion! Je répète une fois de plus, je ne suis pas homosexuel!

Pansy avec une joie évidente se jeta dans ses bras.

()Il est à môôôa, Dray!

C'était comme-ci on avait présenté une friandise à une enfant impatiente.

()Ma chérie, tu as perdu tous les droits sur lui dès l'instant où tu l'as fais pénétrer dans ce bureau! Alors fais-moi plaisir, ôte tes tentacules de poulpe aguicheur sur lui et emmène Blaise chez le dentiste. Je paierais la note!

Elle voulut se rebeller mais elle avait tôt fait de comprendre que son ami d'enfance risquait de lui marcher dessus si elle se mettait en travers de sa route. Le compresseur Malfoy était en marche, et rien ne saurait l'arrêter. Cette fois cependant, le match promettait d'être des plus ardu voir injouable. Dans tous les cas le spectacle serait de toute beauté!

La brune empoigna le superbe métisse aux yeux clairs, taillé comme un mannequin, avant de sortir sans ajouter un mot. Severus leur emboîta le pas. Une fois à l'extérieur la conversation reprit.

()Je donne six mois à Draco pour le mettre dans son lit! (dit Severus)

()Moi, quatre.

()Deux, (proposa Blaise avec un sourire carnassier malgré sa molaire douloureuse.)

A l'intérieur l'ambiance c'était considérablement refroidit. Ce mec qui devait avoir son âge le fixait avec une déplaisante arrogance. Derrière son bureau, il lui tendit un post-it sur lequel il avait inscrit quelque chose. Harry le prit, il y avait un chiffre de porté, il remercia le ciel, les maths ne lui posaient jamais de difficulté.

()C'est la somme que je pense que tu pourrais gagner une fois relooké à mes frais. Je parle du premier mois bien entendu. Par la suite, tu pourras doubler voir quadrupler ce chiffre… tout dépend de jusqu'où tu veux aller. En plus, tu seras loger dans ma maison de campagne à une heure de voiture, avec d'autres garçons qui travaillent pour moi. Pouddlard t'offrira une très grande autonomie.

()Je n'ai jamais dis que j'acceptais!

()Elle est dirigée par deux de mes amis, Vincent et Grégory deux grands gaillards aussi doux que des agneaux…

Le nouveau venu vit le visage au teint pâle se rembrunir.

()Comme tous tes prédécesseurs, je vais t'avertir… Grégory est très malade… en phase terminal je dirais même… Oh, je te vois hausser les sourcils et tu dois croire que c'est le sida, n'est-ce pas? C'est bien connu pédé et VIH, ça rime.

A nouveau ce silence entre eux. Harry détourna le regard ne parvenant pas à soutenir ceux de son interlocuteur qui semblait vouloir lire au tréfonds de son âme. Ses yeux là, le brûlaient… Il alla à la baie vitrée pour retrouver une contenance et protéger les secrets qui résidaient dans ses abysses… Il haïssait ce type pour lui faire ressentir ça, un seul homme avait jamais eut le pouvoir de le scruter sans un mot et de le rabaisser plus bas que terre: James Potter…

()Greg est né avec une malformation cardiaque, il ne peut plus être opéré. Son cœur peut lâcher à tous moment alors respect le calme de la propriété.

Draco rassembla quelques documents et rangea le tout dans une pochette qui fut déposé sur le bureau.

()Au fait, tu as signé un contrat sans même le lire où poser des questions, ce qui est stupide je dois dire! Sache que je ne t'ai pas arnaqué, tout est règle. Si tu tentais de le rompre je lâcherais immédiatement mes avocats à tes trousses. Ce sont des hyènes mais ils sont efficaces et crois-moi quand je te dis que si aujourd'hui tu n'as rien, ce sera mille fois pire quand ils en auront terminé avec toi! Je déteste les gens qui me font faux bond!

Harry la mâchoire serrée s'empara de la sacoche.

()Okay, mais mettons les choses au point! Celui qui pose ses sales pattes sur moi je lui fais bouffer son dentier.

Son nouveau patron se leva pour venir se planter à quelques centimètres de lui. Harry ragea en s'apercevant qu'il devait bien mesurer au moins treize bon centimètres de plus que sa petite personne. L'autre remarqua son malaise.

()D'accord, je te toucherais seulement si d'une façon où d'une autre, tu le réclames.

Les lèvres se rapprochèrent de son oreille répandant un souffle chaud qui le fit frémir… de dégoût…

()Je te préviens, je sais lire le langage du corps… alors muselle le tien car je répondrais au moindre appel et je suis un homme obstiné.

()Un pervers!

A nouveau leurs yeux se rencontrèrent mais le plus grand cassa bien vite l'échange en rigolant. Il alla prendre son manteau.

()Oui, j'avoue que je le suis un peu. Juste de quoi pimenter ma vie sexuelle…

Il sortit sans se retourner!

Harry vit à nouveau la porte s'ouvrir.

()Et mini-moi, tu te magnes où il faut que je te pousses? On a du boulot aujourd'hui, je dois te faire relooker entièrement et ça va être du boulot!

Il lui fit un clin d'œil.

()Pour l'instant, je n'ai d'inspiration que pour les sous-vêtements que j'aimerais te voir porter.

La porte se referma.

()Ce mec, je vais le buter… le lyncher… le massacrer… le décapiter…

Et c'est sur ces bonnes pensées que Harry fit le tour des boutiques les plus huppée de la ville. En début de soirée, Draco Malfoy-Black le présenta à quelques locataires du château rénové qu'était en fait Pouddlard.

Le jeune homme ferma la porte de la chambre à clef et se jeta sur les draps de soies qui ornaient son lit. Dobby, le majordome, avait fait apporter tous les achats dans sa chambre, il put ainsi recommencer à maudire la cause de son exaspération.

()… le zigouiller… le liquider… couper ses bijoux de famille, beurk… je laisse ça à un autre.

Il finit par sentir les effets de sa trop longue journée en compagnie de l'autre qui, non content de lui avoir donné des ampoules aux pieds l'avait épuisé mentalement. Il n'eut qu'une seule pensée alors que ses paupières se fermaient inexorablement:

()Seigneur, dans quoi donc me suis-je encore fourré?

A Suivre…

Le mercredi 21 juin 2006 13H36