--Vous le saviez, accusa un Génis enragé, ses yeux bleus lançant des étincelles.

--Bien sur que je le savais. C'était actuellement un piège. Nous trois, on savait que vous et Roseline étiez tombés amoureux, et nous aurions dû faire quelque chose.

Raine était calme, casuelle, sans colère. Elle pouvait s'associer avec un Génis stupéfiant – elle avait aimé quelqu'un, elle aussi («Mais c'est qui? Vous vous demandez. Qui?»).

--Et ton piège a marché, finit Génis en levant les sourcils.

--Exactement, admit-elle, les bras croisés. Alors, tout le monde avait gagné dans cette petite, euh, «expérience».

Génis n'était pas entièrement satisfait :

--OK, je peux te comprendre, mais j'ai remarqué que tu étais beaucoup moins sérieuse que d'habitude quand tu étais là avec nous autres.

--Là, là, tu vas le regretter en deux secondes, dit-elle dans un ton sec. Et, sans préemption, elle frappa le pauvre Génis jusqu'au milieu de son cou. Des flammes de douleur écoulaient dans ses veines, et il grimaça avec un petit grognement.

--Ouf, gronda-t-il en frottant où Raine l'avait frappé. Dans un moment, son cou était devenu tout rouge et il avait mal ; c'était comme il y avait une incendie dans ses os. Qu'est-ce j'ai fait?

--Je ne sais pas, mais tu le mérites, Raine répondit sèchement avant de quitter la pièce.

Génis regardait la porte de la chambre, claquant dans l'entrée. Tant pis – il avait su depuis toujours qu'elle était insane.

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--Donc, comment fonctionne-t-il? Génis demandait.

Lloyd dressa sa tête au côté, exactement comme son chien blanc et vert, Noishe.

--Il n'a pas vraiment une façon à fonctionner, lui expliqua-t-il. L'amour c'est l'amour, et laisse-le comme il est déjà. Les choses vont s'améliorer si tu les laisseras.

--Oui, mais tu aimes Colette, et tu le sais, répondit Génis. Il n'avait pas pu résister.

La tête de Lloyd s'abaissait et ses joues sont devenues toutes rouges.

--Mêles-toi dans tes propres affaires, menaça-t-il furieusement.

Genis sourit, triomphant :

--Mais qu'est-ce que je dois faire pour le maintenir comme ça?

--Pas beaucoup, Lloyd s'assura-t-il en levant sa tête de nouveau. Sa colère était disparue (Oui, c'était rapide, ce changement de comportement). Tu dois t'habituer à tout ça, mais tu n'auras pas trop à faire. Tu es encore trop jeune pour faire des grandes choses. Même si vous sortirez tous les deux ensembles plus tard, vous êtes beaucoup trop jeune pour l'amour maintenant.

Ses yeux pâlirent pour un instant, comme s'il était en train de se rappeler de Colette. En sachant Lloyd, c'était probablement le cas.

--Mais, qu'est-ce que tu l'appelles?

--Quoi? demanda Génis. Il crut comprendre ce que Lloyd lui demandait, mais il n'était pas certain.

--Tu sais, cette grande affaire d'amour et des copains et des petits amis. Je pense que tous les gens qui sont tombés amoureux des autres en ont leur propre nom. Moi, je l'appelle, «la chose qu'on comprend pas mais qu'on l'aime sans doute. »

--Wow, compliqué, dit Génis, un sourcil levé. Pour moi, c'est trois mots : «la vie d'amour.»

--Et c'est une phrase beaucoup plus courte que la mienne, mais c'est mieux aussi. Tu sais, Génis, t'es intelligent pour ton âge.

--Euh, Lloyd, je suis un génie. Et – je vante pas – mon surnom est Sage.

Lloyd rougit et une gouttelette de sueur coula à côté de son visage. Génis et regarda le ciel azure qui était recouvré des nuages blancs comme des guimauves.

--Et c'est la vie d'amour, chuchota-t-il – pas à Lloyd, ni à lui-même, mais au ciel bleu, à Roseline, et, surtout à sa nouvelle vie pleine d'amour.

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--…mais pas pleine des erreurs grammaticales, comme cette histoire, dit Gémissements.

Fanficcer le frappe, énervé.

--Vraiment, là, ça grogne en fronçant les sourcils, au moins elle a pu être encore pire… (se cogne la tête) Je dois pratiquer mon écriture dans les autres langues!

--N'oublie pas de réviser vos histoires et, pour maintenant, ayez une belle journée! L'histoire détestable se finit maintenant!