salut c'est moiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Me revoilà ! avec une fic NCIS cette fois ! euh le rating le plus éléver ! (j'en rougit rien que de penser a ce que j'ai écrit )

JE REPETE ATTENTION SLASH ET LEMON vous êtes prévenu si vous êtes choquer ce n'est pas de ma faute !

enfin bref voilà une Gibbs Tony bien sur !

alors en premier merci a cybélia ! je t'aaaaaaaaadore !

amuser vous bien !


Tout change

Tony zappa de nouveau, il fixait l'écran de télé sans vraiment le voir... Seul dans son appartement, il s'ennuyait à mourir ! Il avait appelé Patricia, Sarah, Mélanie mais chacune d'elle était occupée. Il soupira : que faire ? Maxence serait peut-être libre et disposé à venir le divertir... Il grimaça en se souvenant que son beau capitaine de corvette était en mission pour les prochains mois. Résigné, il éteignit la télé avec un sourire machiavélique, il attrapa le téléphone, composa le numéro qu'il connaissait par coeur et attendit. Après quelques sonneries, la voix de Kate légèrement agacée répondit :
« Allô ? »
« Bonjour Madame, je vous appelle au sujet des vidéos érotiques que vous avez commandées... »
« Quoi ? Quelles vidéos... Tony ! Tu n'as vraiment rien à faire un samedi soir à cette heure tardive, à part m'appeler pour débiter des âneries ? »
« Et bien non, toutes mes conquêtes ont décidé d'être occupées au même moment... »
« Donc tu as décider de m'em... »
« Chuuut... »
« Quoi ? Ne me dit pas que tu vas t'offusquer pour un simple gros mot... »
Tony se releva doucement et chuchota :
« Il y a quelqu'un dans mon appart... »
« Quoi ? Tony, c'est vraiment pas drôle ! Si tu crois que je vais avaler ça ! »
DiNozzo se dirigea vers la porte d'entrée : le bruit provenait bien de là. La porte d'entrée entrebâillée, un courant d'air la fit s'ouvrir en grand. Des yeux, le jeune homme observa le couloir :
« Tony ! Tony c'est pas drôle je te dis ! »
Une nouvelle bourrasque de vent fit claquer la porte et l'agent sursauta quand il sentit deux puissant bras l'encercler. Une voix grave et forte retentit dans la pièce silencieuse :
« On ne bouge plus DiNozzo ! »
Il lâcha alors le téléphone pour se retourner vivement...

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« Tony ? Tony ? »
Cette fois, vraiment inquiète, Kate se releva du canapé où elle s'était allongée pour finir son livre :
« Oh c'est pas vrai ! »
Elle recomposa bien vite le numéro de son ami ; elle pesta quand ça sonna occupé. La jeune femme se mit à faire les cent pas dans son appartement. Il y avait tellement de choses qui pouvaient se passer en ce moment même chez DiNozzo, un de ses potes avait très bien put lui faire une blague...
Mais ses amis n'avaient pas la clé, ils n'auraient pas pu rentrer.
Un mari jaloux avait pu le retrouver et forcer la porte...
C'était aussi peu probable que le copain qui passe.
Kate blêmit d'un coup : le suspect dans l'affaire de meurtre dont l'équipe s'occupait avait menacé Tony à plusieurs reprises. Ils ne s'en était pas vraiment préoccupés parce qu'il était interné a l'hôpital psychiatrique mais...
Au risque d'avoir l'air ridicule si il ne s'agissait en fait que d'une mauvaise blague, elle décrocha de nouveau son téléphone pour appeler Gibbs.

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Tony grimaça. La douleur irradiait son poignet, il sursauta légèrement quand une main le saisit :
« Désolé je ne pensait pas que tu aurais un mouvement si brusque ! Et puis quelle idée de mettre la lampe là aussi ! »
« Tu es venu me parle de l'agencement de mon appartement ? »
L'homme fronça les sourcils, Tony l'observa un instant : aussi grand que lui, blond aux yeux bleus, musclé au sourire charmeur, il était le type même de ce que les femmes appelaient le mec idéal. La voix de son interlocuteur sortit l'agent du NCIS de ses réflexions :
« On croirait que tu n'es pas content de me voir ! »
Retirant son poignet des mains de l'homme, Tony soupira :
« Si Maxence je suis ravi ! Mais à l'avenir, évite de pénétrer chez moi par effraction ! Et je croyais que tu étais en mission sur je ne sais plus quel navire ! »
Le blond le fixa un instant :
« Je suis pas entré par effraction, j'ai les clés et je suis en perm ! »
DiNozzo fronça les sourcils :
« Comment ça, tu as les clés ? »
« Tu me les as données, tu ne te souviens pas ! »
Sa voix se fit plus dure :
« Je t'ai rien donné du tout ! »
« Ah bon ? Je suis peut-être entré par effraction alors ! Dites-moi monsieur l'agent, combien je risque pour ça ? »
Tony ne put s'empêcher de sourire. D'une voix sulfureuse, l'autre continua tout en s'approchant :
« Mais fut un temps où tu adorais que je te surprenne... »
« Et si j'avais été occupé ! »
Un sourire coquin sur les lèvres, l'autre répondit :
« Je me serais invité. Ton lit est assez grand pour trois ! »
Les mains de Maxence se plaquèrent sur son torse musclé, des lèvres mutines embrassèrent la peau tendre de son cou. Tony ferma les yeux, évitant de se demander pourquoi il avait réagit si vivement, il n'y a pas si longtemps, cette surprise ne l'aurait pas dérangé, bien au contraire, mais là...
Pour oublier l'image de son patron qui venait de s'imposer à son esprit, il se jeta sur les lèvres de son amant. Bien que le baiser soit passionné, les pensées de Tony dérivaient alors que la langue du blond jouait avidement avec la sienne.
Il avait rencontré Maxence il y a quelques années, l'homme n'avait pas été son premier amant mais l'un des meilleur pour le moment. Ils se voyaient régulièrement quand l'un ou l'autre en avait envie... Il n'avait jamais caché à personne qu'il avait eu des amants mais aucun des membres du NCIS n'était au courant. Comment réagirait Jethro si il l'apprenait ? Pourquoi fallait-il toujours que ses pensées dérivent vers son patron ces dernier temps... :
« Dis-moi Tony, tu le dit si je t'ennuie ! »
Tony le regarda, étonné :
« Hein ? »
« Je n'ai pas l'air de te faire beaucoup d'effet ce soir ! »
« Désolé je pensais à autre chose ! »
« C'est bien ce que je dis... Je peux m'en aller si tu t'ennuies autant quand je t'embrasse ! »
Avec un sourire pervers, Tony se jeta sur les lèvres de son amant, il glissa bien vite ses mains sous le pull beige du blond et le fit gémir en titillant ses tétons :
« Tu as raison, je m'ennuie, il est temps que je prenne les choses en main ! »
Il glissa alors ses doigts dans le pantalon de son amant et saisit sa virilité.

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Un café à la main, son téléphone portable dans l'autre, Gibbs écoutait Kate :
« Tu dis qu'il y a eu une détonation ? »
De l'autre coté de la ligne, la jeune femme soupira :
« J'en sais rien, Gibbs, ça aurait très bien pu être le claquement d'une porte ! »
« Mais tu n'en es pas sûre ! »
« Nooon ! »
« Que t'a t'il dit avant que ça coupe ? »
Pour la troisième fois, elle répondit :
« Qu'il y avait quelqu'un chez lui et puis il y a eu le claquement et une voix qui disais "on ne bouge plus DiNozzo !" »
Gibbs jeta son gobelet de café dans la corbeille de son bureau et se leva :
« Très bien on y va ! Réveille McGee ! »
Devant l'appartement de leur collègue, les trois agent du NCIS hochèrent la tête, leur arme à la main, ils se mirent à couvert. Gibbs frappa alors à la porte :
« Ouvrez NCIS ! »
Il n'eut aucune réponse, seul une musique aux sonorités étranges parvenait de l'intérieur de l'appartement, Gibbs frappa de nouveau :
« DiNozzo ouvre cette porte ! »
Jethro hocha la tête de nouveau et força la porte.

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Le chanteur hurlait dans son micro, couvrant les gémissements sonore de Maxence alors que son amant le pénétrait doucement...
La cadence s'accélérait bien vite ainsi que les gémissements des deux hommes...
Tony se mordit les lèvres et se libéra à l'intérieur de son amant. Au même moment, la porte s'ouvrit violemment. Par réflexe, l'agent du NCIS attrapa son arme et grimaça en voyant ses collègues :
« Putain, mais qu'est-ce que vous faites là ? »
Bien sûr, ils ne répondirent pas. Ils le regardaient, l'air hagard. McGee fronçait les sourcils, la bouche ouverte, les yeux de Kate étaient exorbités et Gibbs le fixait sans bouger. Doucement, Tony baissa son arme, il couvrit leur nudité d'un drap et ses trois amis rengainèrent leur armes :
« Vous m'avez fichu une de ces trouilles ! »
« C'est animé chez toi Ton' ! »
« Mes amis passent souvent sans prévenir, que veux-tu ! »
Ce trait d'humour ne dérida personne, sans même dire un mot, avec des gestes agacés, Gibbs sortit de la chambre.
Kate secoua la tête en fixant les deux amants et sortit à son tour :
« Tu as besoin d'une invitation pour sortir, le Bleu ? »
Une fois que les intrus eurent quitté la pièce, Tony se laissa retomber sur l'oreiller. Il remit son arme à sa place et soupira bruyamment.
« Je crois que je vais m'en aller, ça vaut mieux ! Je n'aurais pas dû venir ! »
Le brun soupira de nouveau :
« T'en fais pas, c'est pas grave ! »
Max l'embrassa doucement. En quelque minutes, Tony prit sa douche et s'habilla. Quand il entra dans le salon, Kate et McGee étaient assis sur le canapé, il se levèrent à son approche :
« Ca va, asseyez-vous ! Gibbs est parti ? »
Les deux amis se regardèrent embarrassé :
« Faites pas cette tête là... »
Kate s'avança vers lui :
« Ecoute, je suis désolée, j'ai entendu des bruits bizarres et puis... »
Elle jeta un œil au nouveau de l'équipe comme si il pouvait l'aider mais l'homme ne dit rien :
« On a cru que tu avais des ennuis ! Je ne... nous... »
A la surprise des deux agents, l'italien se mit à rire :
« Vous êtes bien embêtés tout les deux ! Pourquoi ? Parce que vous m'avez surpris au mauvais moment ou parce que j'étais avec un homme ? »
Tony prit une tasse et se servit du café, Kate murmura difficilement :
« Mais tu... Enfin Tony, qu'est-ce que c'est que cette histoire ? »
« Quelle histoire ? Tu veux un dessin ? »
La voix de la jeune femme se fit plus dure :
« Et toute ces histoires de femmes, c'était des mensonges pour cacher la vérité ? »
Tony s'installa dans son fauteuil et porta de nouveau la tasse à ses lèvres :
« Pas du tout ! Et tu le sais très bien ! »
« Alors... »
« Alors quoi ? Je fais ce que je veux, que je sache c'est ma vie ! Je ne te savais pas aussi intolérante ! »
La porte de la chambre s'ouvrit et Maxence s'approcha :
« J'y vais ! Je serais chez ma sœur si tu veux me voir ! »
« Dis bonjour au petit monstre pour moi ! »
« Promis ! »
Avec un coup d'œil provocateur pour les deux intrus, l'homme se pencha sur les lèvres de son amant et l'embrassa, il passa la main dans les cheveux du brun et sortit en prenant son sac. Kate se mit alors en colère en reconnaissant l'écusson du sac :
« C'est un Marine en plus ? »
« Qu'est ce qui te gêne, Kate ? J'ai couché avec des dizaines de femmes, je t'ai raconté des trucs sur ma vie sexuelle que même mon confesseur n'a pas entendu et... »
« Et tu as omis de me dire que ça t'arrivait de coucher avec des mecs aussi ! »
« Vu comment tu réagis, je ne pense pas avoir eu tort ! »
La jeune femme soupira et sortit. Timothy fronça les sourcils :
« Enfin je... Tony... »
« Oui le bleu ? »
L'homme ouvrit la bouche, la referma et sortit. Tony soupira et passa ses mains sur son visage.

a suivre ...


alors sa vous a plus ? j'espère ! l'avertisement en début de chapitre ce n'est pas pour le petit lime qu'il y avait la je vous rassure !

la suite bientôt !