Titre : A broken child
Auteur : Lady FoxFire
Chapitre traduit par : Miss Chatelle
Bêta traductrice : Flo
Rating : M
État de la fic en anglais : Fini
État de la fic en français : Fini
Disclamer : Rien ne nous appartient sauf la traduction
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Bonne lecture
Onarluca et Eni
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Épilogue.
Ils disent que le temps guérit toutes les blessures, et bien que ce ne fut pas tout à fait vrai, c'était suffisant pour Harry Potter.
La famille Malfoy fit le don d'une jolie statue de la déesse Artemis, connue comme la déesse de la chasse, mais aussi la déesse des enfants, au parc pour enfants du chemin de traverse.
Tom Jedusor garda en laisse ses chiens de garde assez longtemps pour laisser à Harry le temps de se rétablir, grâce aux soins attentifs de sa famille.
Le jour vint, où Harry et Tom se firent face sur un champ de bataille. Dire que les gentils gagnèrent et que les méchants perdirent aurait été un mensonge. Car dans une guerre, il n'y a pas de héros, ni de vilains. Il n'y a que des hommes et des femmes qui se battent pour ce en quoi ils croient, qui se battent pour le changement, pour la justice, pour ceux qu'ils ont perdu et ceux qui doivent encore naître.
Et avec la défaite du mage noire Voldemort et de ses fidèles, la guerre ne prit pas fin, mais prit une autre forme. Au lieu du sang et de la souffrance sur le champ de bataille, on se retrouva plutôt à négocier dans des rencontres, et derrière des portes fermées. Ce n'est que plusieurs années après la défaite de Tom que le projet de loi Elizabeth Riddle devint une loi. Cette simple loi s'assura que tous les enfants, peu importe leurs ressources financières, puissent recevoir une éducation magique, et avoir une chance de réussir. La loi s'assura aussi que, peu importe leur statut dans le monde magique – Pur Sang, Sang Mêlé ou Né-Moldu – ils devaient payer le même montant pour leur éducation.
Sept ans après la signature du projet de loi, le rêve d'un des fondateurs prit réalité; Poudlard put remplir toutes ses places, à pleine capacité.
Mais comme le dirait tout raconteur, c'est là une toute autre histoire.
FIN