Auteur : Leviathoune
Bêta : Sinelune, la choupinette trop choupinounette que j'aime.
EPILOGUE
CHIMERIA OBSESSIONAL
Je t'aime, et c'est tout…
Pff …
Non, ce n'est pas tout !
Est-ce que tu sais ce que ça veut dire, pour moi, ces mots-là ?
Est-ce que tu comprends ce que je ressens en t'aimant ?
Non, je ne pense pas que tu le saches, moi-même je me démène pour me comprendre vraiment.
C'est si difficile, si… inexplicable.
Ce n'est qu'un aggloméra de sensations au fond de moi, voilà tout. Et tu ne peux le voir car ce ne sont ni mon visage, ni mes paroles qui t'en diront plus, ce serait même le contraire. Tu me le reproches bien.
Pourtant, dans ma tête, quoi que je fasse, tu es là. Je ne cesse de penser à toi et je te parle.
Quand je suis seul, ou simplement sans toi, je t'imagine. Et tu es à mes côtés, tu marches, tu ris et je te regarde.
Et quand tu es là, vraiment, je te regarde encore plus, vraiment. Et je me dis que tu es beau, que je t'aime et je suis triste parce que je ne te trouve pas de défauts valables à mes yeux, ou plutôt j'aime tes défauts, c'est horrible ! Et j'enrage…
Pourtant, objectivement, si je puis l'être encore te concernant, tu n'es pas si beau, tu ne peux pas être si intéressant. Et pourtant… tu l'es ! Au-delà de ça, au-delà de moi, je ne pense qu'à toi. Tu as remplacé ma vie, tu as pris la place de tout ce qui me semblait important !
Et qu'est-ce que je suis, moi, sans ses petites choses ?
Moi si égoïste, si amoral et infidèle ! J'aimais ce que j'étais, j'aimais ma vie ! Je me fiche de tout, des autres et même de moi.
Maintenant je vis dans la peur et la rage. Je suis partagé entre me battre contre moi-même afin de rester ce que je suis et te perdre et me battre aussi contre moi même afin de te garder auprès de moi, sachant que cela peut très bien ne pas être payant.
Qui me dit que tu resteras même si je deviens un ange ? Qui me dit que… ce n'est pas moi, le connard, que tu aimes ?
De toute façon, tu as plus de chance de disparaître que de rester, et puis, même si tu restais, même si notre vie était parfaite, tu vas vieillir, devenir con, laid et incontinent pour finalement mourir !
Alors merci pour le conte de fée, on repassera ! C'est bien beau, toutes ces histoires qui finissent bien, quand les couples s'aiment, s'adorent, ont surmonté toutes les difficultés, etc, etc…
Mais la vie, ce n'est pas une belle histoire qui finit bien, la vie finit toujours de la même façon, par une absence de vie, point.
Et l'histoire de notre vie aurait pu finir cent fois au cinéma dans une apothéose de rose bonbon. Mais non, on vit, on continue, et on ne crèvera pas dans les bras l'un de l'autre, bébé.
Si j'ai de la chance, je mourrai dans la force de l'âge et je ne verrai rien de tout ça, t'attendant tranquillement dans l'au-delà - quel scénario édifiant et parfaitement con !
Mais… et si j'étais malchanceux ? Et si tu mourais jeune d'une atroce maladie qui te ferait longtemps souffrir le martyr sans que je ne puisse rien y faire ? Et si tu mourais d'un accident de la route ou en tombant connement dans les escaliers? Si et si et si !
La mort n'a rien de glamour, en vrai.
J'enrage, j'ai peur, je doute, je me questionne et je te parle… dans ma tête.
Oui, à ton contact, je suis devenu tout autre… pas pour toi, pas pour nous, ni pour préserver quelque chose, pas parce que je m'en empêche… Simplement parce que c'est comme ça… Que je t'aime, que je ne vois que toi et que les autres sont devenus invisibles, insipides.
Pff, là c'est moi qui me mens à moi-même. Si tu m'entendais, tu rirais bien !
Il est vrai que je peux encore remarquer la beauté des gens, le charme, la prestance, le charisme. Ça ne va pas plus loin, je les remarque, point. Je n'ai pas envie de les séduire et ils ne me séduisent pas, même quand ils essayent ! Tu comprends ?
Il est vrai qu'il m'est arrivé de m'extasier faussement devant le cul d'un grand noir athlétique ou de vénérer un personnage de papier, d'encre, mais c'était souvent pour t'agacer et avoir le plaisir de voir tes yeux se plisser de jalousie, pour me moquer et te voler un baiser canaille.
Crois-tu que je fasse tant de mise en branle, lorsque tu n'es pas là ? Ne doute pas, je suis juste seul avec mes pensées, lorsque tu n'es pas là…
Parfois j'aimerais que l'on soit relié par la pensée, ce serait tellement plus simple. Tu entendrais toutes ces choses qui me traversent l'esprit à tout allure, tu verrais mon passé, cela coulerait dans ton esprit, tu serais moi, je serais toi le temps d'une étreinte mentale et il n'y aurait plus rien à dire.
Tu saurais… Je saurais…
J'aime ce vieux mythe de l'androgyne, mais je ne l'aime que depuis que je te connais, avant je ne me sentais pas incomplet, déchiré…
Et j'aimerais tellement que tu sois ma moitié, mais je ne crois pas aux contes pour jeune fille.
Et j'en ai assez de te dire que je t'aime parce que c'est vide de sens, alors j'essaye de trouver les mots, de tourner mes phrases pour te faire comprendre que c'est fort, que je pense que sans toi, je resterais vide, dévasté et seul.
Oui, c'est ça le plus atroce. Il ne me resterait même pas moi. Tu vois ?
Comprends-tu que tu es irremplaçable dans ma vie ?
Comprends-tu le pouvoir que tu as sur moi, sur mon bonheur, sur le sens de ma vie ?
Non… Tu ne le sais pas, tu te contentes de vivre, tu ne te poses pas tant de questions, toi.
Je n'y arrive pas, à te le faire comprendre, peut-être que je ne le veux pas, me mettre à nu ainsi, me rendre ridiculement faible, voir pitoyable et pantelant d'amour.
C'est si difficile…
Pourtant, je ne semble pas avoir de problème pour m'exprimer, aucunement. Mais mes sentiments sont erratiques, je n'arrive pas à les cerner, à les mettre en mots sans trouver la situation stupide.
Non, peut-être que tu ne sais rien et, tu sais, je m'en fiche parce que je te le dis sans cesse, sans cesse dans ma tête, dans mes regards froids, comme tu dis. C'est suffisant.
Ainsi mon honneur est sauf et si tu me laisses un jour, tu ne sauras pas à quel point tu m'auras blessé. Non, jamais.
Jamais… Jamais je n'ai autant songé à la fin que maintenant, depuis deux ans et demi que nous sommes ensembles, réunis comme le plus parfait des couples, le plus proche de la perfection sur cette planète où la perfection n'existe pas.
Je suis tellement, tellement heureux à tes côtés et je le sais ! Comment ne pourrais-je pas être cruellement conscient que cela puisse prendre fin, que cela prendra fin ?
Je suis sans cesse étonné, depuis que l'on vit ensemble, de constater que la routine n'a pas raison de mon amour pour toi. Ça ne s'étiole pas, ne se fane pas au gré de nos disputes.
Merde, je t'aime toujours autant ! Je t'aime toujours passionnément !
Non, ça ne diminue pas en moi, et tant mieux, oui. Mais je me dis alors que ça ne peut qu'être toi ou la vie qui t'enlèvera à moi. Et ça arrivera !
Quand on vit, on meurt un jour, c'est la théorie universelle du refroidissement, c'est ainsi. Même quelque chose d'aussi grand que l'univers qui est si absolu qu'on le dit infini, infini bordel , est voué à disparaître. Comment quelque chose de si incommensurable peut-il disparaître ? Comment nous, qui sommes si insignifiants, ferons-nous ?
C'est comme si on n'était rien, qu'on n'était déjà plus rien, qu'il ne nous restait qu'une respiration, voilà tout. Une longue respiration…
Et moi, en attendant, je te regarde vivre. Ce n'est pas que j'aime ça, c'est ainsi, c'est tout. Je ne peux m'en empêcher, mes yeux agissent ainsi, à l'affut du moindre de tes gestes. Je m'en repais, je veux en être ivre. Il n'y que lorsqu'on fait l'amour que je perds enfin complètement pied avec la réalité.
Alors, pose tes mains sur moi, embrasse-moi, toujours…
Tu es si beau quand tu te déshabilles presque nonchalamment, quand tu es fatigué par ta journée, que tu n'as même pas de pensées salaces que ça me donne envie de te plaquer au lit pour réveiller tout ça.
J'aime tellement tes yeux, que tu les poses sur moi, que tu me regardes. Pourquoi tu ne me regardes pas ainsi ?
Parce que je t'aime plus que tu ne m'aimes…
Toi, tu dis que c'est toi, mais moi je sais que c'est faux.
Continue à penser cela, ça veut dire qu'on s'aime encore comme des fous, qu'on est ensemble.
Mais moi je sais que toi, tu as le cœur tellement ouvert, tellement grand et épanoui. Pourquoi ma perte détruirait ce cœur-là de façon si irrémédiable ?
C'est simplement impossible. Tu es l'amour, c'est tout. Tu es aimé de tant de gens, ça t'aidera, tu verras. Tu aimeras à nouveau et à nouveau encore et ce durant ta vie entière, je le sais, je le sens. Tu ne seras jamais malheureux, c'est réconfortant.
Oui…
Je te veux heureux, avec ou sans moi.
Ça, je m'en fiche bien, si tu savais…
Parfois, quand on a fini de faire l'amour, je me dégage de tes bras, je me lève pour aller pisser, prendre une douche, du moins c'est ce que je dis… En fait, je pleure dans la salle de bain, seul, silencieux...
Pourquoi ?
Parce que… je t'aime…
Parce qu'il y a une vague d'émotion qui me submerge et je ne sais pas comment la gérer, elle me fait mal ! Je ne sais pas d'où elle vient, si c'est normal !
Non… ça n'est sans doute pas normal de pleurer après avoir pris un pied d'enfer dans les bras de son amour. Il faut être fou ou gravement dépressif ou encore être un handicapé émotionnel, comme tu dis.
Mais je ne suis pas un handicapé des sentiments, qu'est-ce que tu crois !
Que je n'ai pas de cœur ?
Pff…
En fait, je crois que tu ne peux pas me comprendre - me comprendre vraiment, j'entends.
C'est ainsi, tu n'es pas dans ma tête, tu n'as pas vécu ce que j'ai vécu, je ne vois pas pourquoi je devrais te l'expliquer d'ailleurs, parce que c'est impossible à dire.
Je suis le résultat de tout cela, tu n'as qu'à me regarder et en déduire le vrai, ou pas. Fais ce que tu veux, non… plutôt… fais ce que tu peux.
J'ai bien compris une chose en grandissant : c'est que, dans la vie, il ne sert à rien de prévoir, de faire des projets de rêves, de voir grand… Car l'existence est ainsi faite, elle te mènera là où elle le veut, elle.
Tu peux être au sommet de la chaîne alimentaire et te retrouver le lendemain comme un moins que rien, et moi j'en sais quelque chose, et toi aussi.
Je préfère vivre simplement à présent, profiter de ce que j'ai quand je l'ai, aimer des choses simples, t'aimer toi, surtout…
Alors la vie peut t'enlever à moi, je peux souffrir, je peux… tout ce que le destin voudra !
Cela arrivera, c'est inéluctable, j'en resterai conscient pour mieux profiter de ce que je peux, tant que je le peux.
Mais je crois que rien au monde ne pourra m'enlever une seule et unique chose.
Je t'aime… maintenant et peut-être à jamais, je t'aime.
Et c'est tout.
OoOoO
Draco était assis à califourchon sur une chaise toute simple.
Ses bras sur le dossier, il fumait en regardant le reflet d'Harry dans la vitre de la fenêtre entrouverte. Il pouvait le voir en reflet sur le fond noir, brillant. Dehors, il faisait sombre, il pleuvait même.
Et Draco avait le cafard à chaque fois qu'il faisait un temps pareil.
Harry, lui, aimait ce temps là, il le trouvait romantique ; un temps à rester calfeutrer douillettement chez soi avec son amoureux ; un temps qui ressemblait à son amoureux…
Harry était donc joyeux.
Tandis que Draco pensait, ressassant des idées noires en le regardant comme s'il ne le regardait pas vraiment, Harry s'affairait dans le salon, semblant compter les livres sur une étagère. Il en choisit un avant de s'affaler dans le canapé de tout son long pour le lire avec un verre de Porto à la main.
Il lu ainsi un moment avant de réclamer, de quémander Draco auprès de lui, disant qu'il était trop loin de lui et qu'il voulait un tendre câlin.
Draco soupira et écrasa sa cigarette sans même la finir. Il l'a fit disparaître après cela, il aurait pu le faire simplement, ou encore lui jeter un sort de Reparo, mais c'était l'acte d'écraser qu'il aimait dans le fait de fumer, alors il les écrasait toujours avec application.
Il se leva et s'allongea sur le canapé en enroulant ses bras autours de son amant, calant des mains possessives sur lui - l'une sur son ventre, l'autre au creux de son dos. La tête posée sur son torse, dans son cou, peu importe…
Dans ces moments là, ils n'étaient que des chatons blottis, point.
Au bout d'un moment, Draco vola le verre d'Harry et en vida le contenue. Le brun fut faussement désespéré par ce geste mais déjà les mains de Draco vinrent lui arracher doucement son livre, ses lèvres avides lui ravissaient des baisers et son corps se plaquait fortement sur lui.
N'était-ce pas lui qui lui avait réclamé un… câlin ?
Harry demanda innocemment ce qu'il faisait mais Draco ne répondit pas, continuant ses investigations dans le pantalon du brun.
Le Survivant le prévint en bougonnant qu'il devrait en assumer les conséquences lorsqu'il se mit à bander de plus en plus durement. Mais Draco, ce soir-là, n'était pas d'humeur simplement taquine, il ne l'excitait pas dans le but de le laisser en plan, frustré pour mieux se moquer de lui, non…
Et il ne lui répondit rien, continuant simplement ses caresses de plus en plus intimes, son effeuillage…
A moins que le fait d'ôter un pantalon veuille dire quelque chose.
A moins que le fait de prendre le sexe de son amant dans ses mains, dans sa bouche et de le sucer comme un affamé soit une quelconque réponse.
Après quelques petites choses de ce genre, ils firent l'amour, brutalement.
Souvent, ils leurs arrivaient de trouver leur acte trop bestial, trop de la… baise ?
Cela leur faisait de la peine, parce qu'ils s'aimaient, parce qu'ils avaient l'impression de mal s'aimer.
Pourtant, c'était si bon…
A chaque fois, quand Harry s'enfonçait en Draco, ou le contraire… les cris en réclamaient toujours, toujours plus.
Ils étaient si impatients, parfois, qu'ils s'en faisaient mal…
Il était arrivé une fois ou deux qu'Harry s'en morde les doigts parce qu'il y avait été trop rapidement et qu'il avait fait crier Draco de douleur. Il se retirait alors bien vite et pleurait de dépit en demandant pardon, pardon, pardon… Et Draco riait parce qu'il s'en fichait bien, ça ne faisait pas mal longtemps, même si ça faisait vraiment un mal de chien sur le coup. Il riait, le consolait et lui assurait que ça ne le faisait déjà plus souffrir et qu'il ne voudrait échanger son amant impétueux contre rien au monde.
Mais ce soir là, c'était Draco qui plaquait Harry sous lui, le pénétrant avec rudesse, le faisant crier et gémir mais vraiment pas de douleur.
Le blond ralentissait et se collait un peu plus à l'autre en lui murmurant des choses dégueulasses au creux de l'oreille, des choses qu'il ne pensait pas, des choses avilissantes, des choses qui faisaient gémir Harry et le faisait venir au moindre effleurement tellement cette étalage de débauche dont il était le phare l'excitait.
Après cela, c'était Draco qui regrettait de s'être laissé emporter par l'excitation et d'avoir dit toutes ses choses à propos de son cul et de ce qu'il aimerait en faire, de sa bouche qu'il voulait remplir, de son visage qu'il voulait lécher à n'en plus finir.
Mais Harry s'en fichait bien, parce qu'il aimait ça, qu'il le réclamait et que de toute façon… ce n'était que des mots… des mots excitants, certes, mais ils n'avaient pas de véritable portée, aucune profondeur, juste des mots comme ça… un peu comme des mots d'amours, finalement.
Et Draco l'aimait, s'il ne le lui disait pas vraiment, ça se voyait dans tout ce qu'il faisait, et lui, il aimait Draco, il l'aimait plus que tout - surtout après le sexe, lorsqu'ils étaient blottis tous les deux dans leurs cocons humides de transpirations et de spermes et qu'alors tout allait bien dans le meilleur des mondes.
Alors Harry s'en fichait de tout…
Mais c'est vrai qu'ils ne rentraient pas dans la norme.
Quand ses amis voyaient Draco, ils ne trouvaient en lui qu'un abominable grincheux qui se la jouait grave, certains avaient encore peur de lui. Et lorsque les amis de Draco voyaient Harry, il le trouvait tout bonnement stupide, laid et stupide.
Il ne le mérite pas, il est beaucoup trop bien pour lui. Un jour… Il ouvrira les yeux, il comprendra… ça ne durera pas éternellement, impossible…
Voilà le genre de choses qu'ils devaient se dire, tous…
Et c'est vrai qu'ils se disputaient parfois violemment, parfois en public, comme avant…
Et c'est vrai que leurs parties de jambes en l'air, même si elles n'étaient pas données en public, pouvaient être encore plus violentes que leurs disputes puisqu'elles étaient physiques, frisant légèrement avec le masochisme.
Mais Draco était toujours là pour Harry, et inversement, pour le moment de la réconciliation, dans ses doutes, dans ses peurs… il était là, toujours.
Et Harry, enturbanné dans sa joie de vivre et son optimisme s'emboitait à merveille en lui, dans le sexe, dans la vie, dans leur lit, encore, encore et encore.
Ils étaient, en cet instant d'extase, en cette année de folle jeunesse passionnée, un couple parfait, aussi parfait que l'on puisse l'être sur cette petite planète ou la perfection n'existe pas.
Alors cette histoire finira là, tandis que Draco arrache des cris de jouissance à Harry, tandis qu'ils s'abandonnent dans les bras l'un de l'autre, essoufflés, enfin doux l'un envers l'autre.
Aucun des deux ne sera jamais un prince charmant, personne n'aura envie de les prendre en exemple car si les gens savaient comment ils baisent ensembles, comment ils s'aiment, sûrement les mépriseraient-ils, ou bien seraient-ils jaloux ?
Alors cette histoire finira là, et c'est tout.
FIN
NDA : J'ai écris un petit OS, un soir après m'être disputé avec mon copain et en écoutant Let Outside Alone d'Anastacia. C'était une petite chose vraiment très très personnelle et j'avais l'impression que ça ne servait absolument à rien mais je l'ai fait lire à une amie, la belle Sinelune, et elle m'a dit que ça lui faisait penser à Chimeria Obsessional, et que c'était ce qu'aurait pu penser le Draco de cette fic. Et là ! Je suis resté sur le cul, grave ! Parce qu'elle ne savait pas à quel point elle avait raison ! Trop merci, Sinou !
Je sais pas comment j'ai fait pour ne pas le remarquer quand je l'ai écris, j'étais sans doute trop retournée à cause de la dispute, mais c'était exactement ce que je voulais mettre dans le prologue de Chimeria, un Draco un peu énigmatique qui observait Harry tout le temps mais à la dérobée. Sauf qu'alors, je ne voulais pas que l'on plonge dans son esprit, juste que le lecteur se demande s'il n'était pas resté un peu timbré. Enfin, puisque c'est exactement ça, voilà ! Un petit POV de Draco ! Yeah ! Alors j'espère que ça vous a plu, voilà. C'est la fin, de la fin, là. Snif, oui, oui, c'est triste…
Gros bisous !
Levia