Harry Potter, mage gris? Livre 1: L'école des sorciers :
Disclaimer : Tous les personnages appartiennent à J.K.Rowling. Aucun argent n'est fait sur cette histoire, celle-ci a pour but que de divertir.
Cette fic a pour base les 6 tomes de Harry Potter. Elle contiendra donc des informations sur le tome 6. Si vous n'avez donc pas lu ce livre, et que vous ne voulez pas savoir certaines choses, je vous déconseille de lire cette histoire.
Laissez moi une petite review, cela fait toujours plaisir.
NDA: Je vous promets que cela n'affectera en rien mon autre fic en cours d'écriture, Harry Potter et la chasse aux Horcruxes. Cette nouvelle histoire parlera d'un Harry bien différent des livres et couvrira les sept livres de JKR, c'est un peu les sept livres à ma manière. Un Harry s'intéressant à la magie noire, à la magie blanche et à l'amour et détestant par dessus tout Voldemort et le vieux fou de Dumbledore. Je vous laisse avec deuxième chapitre.
Bonne lecture :
Mellon
Résumé du chapitre précédent : Harry, 10 ans, vient de découvrir un don merveilleux, il peut contrôler les Dursley rien qu'avec sa voie. Le jour de l'anniversaire de Dudley, Harry va au zoo, il se découvre un nouveau don : il peut parler au serpent, grâce à cet découverte, il se lie d'amitié avec Dûr anor, un serpent qui lui fait découvrir la communauté magique. Pétunia lui donne la lettre de Dumbledore, qui l'a abandonné au pied de la porte. Sa haine se tourne sur Dumbledore et Voldemort. Au moment d'acheter ses affaires, il fait la connaissance de Draco Malefoy avec lequel il devient ami. Il continue ses coures et achète un magnifique oiseau qu'il appelle Mellon.
Il se fait placé à Serpentard où il revoit Draco et fait la connaissance de ses deux gardes du corps, Crabbe et Goyle, de Pansy Parkinson et de Millicent Bulstrode. Draco lui promet de lui prêter les quelques livres de magie noire qu'il possède. Il fait ensuite la rencontre du professeur Rogue qu'il trouve aussitôt sympathique, contrairement à la vieille chouette de McGonagall, il fait un tour dans le bureau du directeur puis apprend d'Hagrid que son parrain, Sirius Black est enfermé dans les geôles d'Azkaban pour haute trahison sur la famille Potter.
Harry fait ensuite la connaissance d'un cerbère de l'enfer qui protège une trappe au deuxième étage. Harry en déduit que le chien protège quelque chose, grâce à Draco, il pense que la pierre philosophale se trouve sous la trappe. Maintenant, Harry est bien décidé à chiper la pierre au nez et à la barbe de tout le monde, surtout de Quirrell, qui après qu'un troll ce soit introduit dans Poudlard veut « vérifier » si la pierre était toujours là. Lui et Draco cherchent donc un moyen de rendre inoffensif le cerbère mais se rende vite compte que ce n'est pas au premier venue. Harry qui à tué la chatte de Rusard et aveugler son maître voit le remplacent, un auror chevronné, Maugrey dit Fol œil.
Harry et son équipe gagne au Quidditch face au Gryffondors par un score incroyable (770 à 240). Pour pouvoir s'amuser avec sa famille d'accueil, il rend intraçable ses deux baguettes. Arrivé là-bas, il envoie balader son cousin dans le mur avant de s'installer dans sa chambre. Après avoir été attaqué par la bande à Dudley, il décide d'y remédier et prend des cours spécifique d'arts martiaux où pour son plus grand plaisir il excelle. Il règle aussi son problème avec l'eau en apprenant à nager. En rentrant de son entraînement de natation, il surprend Dudley en train de fumer, la cigarette déliant les langues, il devient amis avec son cousin.
De retour à Poudlard, il trouve une salle et contemple un miroir selon lequel son plus grand désir serait de voir Voldemort mort et de voir sa famille. Dumbledore lui dit ensuite que le miroir sera déménager et qu'il ne devrait pas le rechercher. /b
Je remercie pour leurs review Nepheria, Istehar x 6, naeloj malefoy, eni, miss fouinette972, spicy marmelade, tchaye, 666Naku. Merci beaucoup pour ce nombre important de review, j'espère que 'en aurais autant pour ce chapitre qui est le dernier de cette fic.
Chapitre 7 : Sous la trappe :
- Une bonne paire de chaussette, répondit Dumbledore. Harry en était sûr, Dumbledore était un génie, certes, mais un génie complètement siphonné.
Harry voyait bien que Quirrell devenait de plus en plus pâle et maigre, c'était encore plus flagrant avec sa robe qui flottait autour de ses épaules. Harry se doutait que c'était le Pr. Rogue qui devait le repousser dans ses derniers retranchements et Harry savait qu'il était très doué pour ça. Surtout qu'on ne pouvait pas dire qu'il était très courageux, dans sa jeunesse, il était allé sûrement à Poufsouffle. Cela faisait bien un mois que Harry et Draco passaient presque tout leurs temps dans la bibliothèque ou dans une salle désaffecté de Poudlard pour s'entraîner.
Alors qu'ils perdaient leurs temps à apprendre les différentes propriétés d'une plante inutile, selon Draco, un personnage improbable entra dans la bibliothèque. Hagrid passa devant eux sans les voir et se dirigea vers le fond de la bibliothèque, renversant quelques chaises au passage. Harry se leva en premier, suivit de Draco et allèrent rejoindre le garde chasse. Il passèrent devant plusieurs rayon avant de d'apercevoir que Hagrid prenait un livre dans la section des dragons et autres reptiles. Lorsque Hagrid se retourna, Harry regarda le livre (L'élevage des dragons pour l'agrément ou le commerce) puis leva les yeux vers le visage de Hagrid qui ne savait plus où se mettre. Il continua donc à avancer et leurs dit de le rejoindre à sa cabane dans une heure. Les deux Serpentards acquiescèrent de la tête et repartirent vers leur salle commune où ils prirent leurs capes avant d'allaient se balader dans le château en attendant que l'heure passe.
Quand Harry frappa à la hutte de Hagrid, la porte s'ouvrit aussitôt avant de vite se refermer une fois que lui et Draco furent rentrés. Il faisait une chaleur pas croyable, la différence avec l'extérieur se sentait aussitôt. Un grand feu ronflait dans la cheminée, et ils virent qu'un œuf était à l'intérieur des flammes, sous la bouilloire. Harry, inquiet, se retourna et demanda :
- Je peux savoir ce que fait un œuf de dragon dans ta cheminée, je ne pense pas qu'il est venu avec la pluie de ce matin.
- Tu sais, j'aime particulièrement les dragons et quand un client de passage m'en à proposer un, je n'ai pas refuser, dit Hagrid un peu gêné.
- C'est quel type de dragon, demanda directement Draco. Sa forme ressemble à un norvégien à crêtes.
- Selon mon livre, dit Hagrid en sortant le dit livre, c'est bien ce type de dragon. Une espèce rare, rajouta-t-il, ravi.
- Vous courrez droit à la catastrophe, dit Draco, votre cabane est petite et en bois, quelqu'un s'en rendra compte. Un dragon adule mesure bien treize mètre. Même la grande salle n'est presque pas assez haute.
Hagrid ne l'écouta pas et se leva pour remuer les braises, Draco faillit en rajouter mais il se ravisa en voyant le regard de Harry. Ce dernier se leva et dit :
- On va s'en aller, mais je veux que tu me préviennes quand il commencera à éclore.
Hagrid répondit qu'il leurs enverrait un hibou puis les deux amis partirent vers la grande salle pour manger. Ce ne fut que deux semaines plus tard que Hedwige arriva un matin dans la grande salle, portant entre ses serres un simple parchemin que Harry ouvrit aussitôt. Il lut qu'il était en train d'éclore, il en parla à Draco puis se turent quand ils virent que Moon les écouter peu discrètement. Harry devait le surveiller celui-là, sinon, il leurs apporterait beaucoup d'ennuie. Ils allèrent donc en botanique puis une fois que la cloche sonna, ils partirent aussitôt à la cabane de Hagrid, sans prendre la peine d'attendre les devoirs pour le prochain cours. Hagrid les accueillit, tout excité, le teint écarlate.
- Il est presque sortit, annonça-t-il.
L'œuf était posé sur la table. Il y'avait de profondes crevasses dans la coquille et quelques choses remuait à l'intérieur avec un drôle de bruit, comme une sorte de claquement. Ils s'assirent autour de la table et Hagrid retint son souffle.
Presque aussitôt, il y'eut un craquement, la coquille s'ouvrit en deux et le bébé dragon s'avança sur la table d'une pas maladroit. Ce n'était pas un top modèle. Des ailes hérissées de pointes énormes, comparées à son corps grêle d'un noir de jais. Il avait un long museau avec de grandes narines, des cornes naissantes et de gros yeux orange et globuleux comme les elfes de maisons. Alors que Hagrid choyait son dragon, Harry se leva et vit avec horreur que quelqu'un les observait par la fenêtre. Il le reconnu aussitôt, Moon avait vu le dragon.
-Je crois qu'on a un problème, dit Harry aux deux autres qui étaient restés près de la table.
Il fallut une semaine entière pour convaincre Hagrid qu'il était dangereux de garder Norbert ici alors que un élève était au courrant. Harry savait par les jumeaux qu'ils avaient un frère éleveur de dragon. Il leurs demanda donc si il pouvait demander à Charlie de venir récupérer Norbert. Il leurs prêta Mellon qui était plus rapide que les simples hiboux. Celui-ci revint une semaine plus tard avec la réponse affirmative de Charlie. Le plus ennuyant fut que Drac se rendit compte que la lettre avait été volée, alors qu'elle était soigneusement rangée au fond de sa malle. Harry se mit à penser qu'il aurait mieux fait de la brûler. Il était malheureusement trop tard pour prévenir les amis de Charlie qu'il avait peut-être été repéré.
Le samedi de la transaction, il faisait nuit noire, ils enfilèrent la cape d'invisibilité et se rendirent à la cabane où Hagrid leur tendit une grosse boîte qui contenait Norbert. Les adieux furent longs mais ils purent s'en aller après une dizaine de minutes. Ils virent avec bonheur Moon se prendre une retenue par la vieille chouette qui remonta un peu dans l'estime de Harry puis montèrent les marches rapidement, il était bientôt minuit. Lorsqu'ils sortirent sur le balcon, ils virent quatre balais surgirent et se diriger vers eux, Harry passa la boite à un grand jeune homme qui attacha la boîte solidement avec un harnais assez compliqué. Ils se serrèrent la main puis ils les regardèrent décoller et disparaître dans le ciel noir d'encre. Ils remirent la cape et redescendirent de la tour, le problème fut qu'ils se cognèrent à quelqu'un dans un des tournant de l'escalier, la cape glissa pendant qu'ils chutaient des dernières marches de l'escalier. Harry se reprit vite et cacha sa cape dans sa poche de justesse.
-Mais que vois-je, dit Maugrey. On a fait une belle chute mais cela me fera pas oublier que vous êtes hors des dortoirs à minuit. Je ne vous conduis pas chez Rogue, je ne l'aime pas trop, néanmoins, je vous retire dix pointes et vous donne une retenue. Je crois que Hagrid à un problème dans la forêt interdite, je lui demanderais si il peut accepter votre aide.
Harry et Draco ne répondirent rien, trouvant qu'ils s'en tiraient à bon compte et se laissèrent raccompagner aux dortoirs par le nouveau concierge. La semaine prochaine, Harry joua son deuxième match de Quidditch contre Serdaigle, l'attrapeuse adverse était très jolie mais aussi bien plus fort que l'autre idiot de Gryffondors et il gagnèrent de peu par rapport à l'autre match (360 à 270) avec un joli plongeon de Harry. Ce fut donc deux mois avant les examens que Harry et Draco sortirent dans le parc, rejoignant Hagrid pour subir leurs retenues. Ils virent avec surprise que Moon attendait devant la cabane où se trouvait aussi Hagrid auquel ils dirent bonjour, « oubliant » Moon.
-Alors les jeunes, on va allé dans la forêt…
-Je refuse, dit Moon aussitôt.
-Tu aurais peur, dit Draco moqueur. Attention, un loup-garou. Moon se retourna apeurer, Harry en rajouta une couche en hurlant à la pleine lune ce qui fit frissonner Moon. Ils éclatèrent de rire.
-Bonne ambiance, dit Hagrid, il vous en faudra. Il se mit à marcher et ils le suivirent Ce que l'ont va faire est assez dangereux. Il leva sa lampe et montra une trace argentée. Ceci est du sang de licorne, continua Hagrid. Il doit donc avoir une licorne blessé par je ne sais quoi dans le coin, et je vous préviens, ce n'est pas facile de blesser une licorne et ce n'est pas la première que je retrouverais je pense.
-On fait quoi si la bestiole qui à tué la licorne nous trouve, dit Moon sans parvenir à dissimuler sa terreur qui altérait sa voix.
-Il ne se passera rien si tu ne t'écartes pas trop de moi et de crockdur, je te conseille de ne pas aller hors des sentiers. Harry et Malco, vous allait prendre la direction là, dit Hagrid en montrant un sentier sur la gauche, je vous laisse crockdur, tandis que moi et Draco, on prend l'autre. Si on trouve la licorne, des étincelles vertes, si vous êtes en danger, projeter des étincelles rouges, on viendra le plus vite possible.
La forêt était noire et silencieuse. Un peu plus loin, ils atteignirent une bifurcation. Moon et Harry prirent le chemin de droite. Ils avancèrent sans bruit, les yeux fixés au sol. De temps à autre, un rayon de lune traversait les feuillages et faisait briller une tâche de sang argenté sur les feuilles mortes. Harry était inquiet et alluma une cigarette sous l'oeil interrogateur de Moon. Cela l'apaisa et il continua sa route. Ils passèrent à côté d'un ruisseau et ils le longèrent un long moment avant de se renfoncer dans la forêt. L'arbuste en face se mit à bouger, Harry leva la main et fit arrêter le groupe, il s'accroupit derrière un arbre et visa de sa baguette. Harry se releva aussitôt quand un centaure apparut. Il tourna le bout de sa baguette vers lui en signe de paix avant de la remettre dans sa poche.
-Bonjour, vous êtes de Poudlard? Je suis Ronan.
-En effet, dit Harry, on est en retenue et on nous a chargés de retrouver une licorne gravement blessé, auriez vous des renseignements ?
-On voit bien mars, dit Ronan en levant la tête, les innocents sont toujours les premiers à payer, retiens-le, c'est toujours ainsi. Harry voyant qu'il ne retirerait rien de lui, s'éloigna en compagnie de Moon qui tenait fermement crockdur. La forêt s'assombrit et et épaissit, le sentier commençait même à disparaître à certains endroits et Harry dû jouer à la DDE avec sa baguette pour que le chemin soit à peu près praticable. Ils arrivèrent à une clairière où une chose d'un blanc brillant reposait à même le sol. Ils s'approchèrent et Harry dit:
-Je crois que la licorne a été retrouvé, et son meurtrier rajouta Harry en voyant une forme encapuchonné sortirent d'un buisson et ramper vers la licorne. Harry jeta les deux étincelles à la suite.
-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARGH!
La silhouette se releva, Moon et crockdur s'enfuirent rapidement. Harry leva ses deux baguettes, une douleur lui traversa la tête, au niveau de sa cicatrice. Mais sa rage prit le dessus quand il vit les yeux, deux yeux rouges. Voldemort était devant lui. Voldemort leva sa baguette et Harry n'eut le temps de réagir que déjà, ses deux baguettes s'éparpillaient au loin. Il s'approcha de lui, il leva sa baguette, Harry se baissa, évita le sort de peu. Il prit le bras de Voldemort et le brisa net. Il se trouva derrière lui, il lui envoya un bon coup de pied dans le dos qui l'envoya s'écraser contre un arbre. Il se releva, Harry fonça sur lui, puis sauta, les deux pieds devant. Les genoux ne résistèrent pas et cassèrent aussi facilement que le bras. Harry trouvait heureux qu'il avait pris des cours de judo qui avait raffermit ses réflexes. Voldemort disparu d'un coup dans un POP sonore; il avait transplané. A ce moment là, un centaure surgit, arc en main et flèche encochée. Il regarda autour de lui puis s'approcha de Harry qui profita du moment de répit pour reprendre ses baguettes.
-Tout va bien ? demanda le centaure.
-Ca peut aller, répondit Harry, quelle est votre nom?
-Je suis Firenze, et je crois qu'il est temps pour toi de rentrer, monte sur mon dos, cela ira plus vite, ils partirent au moment même ou Ronan et un autre centaure apparut.
-FIRENZE ! Cria se dernier mais il était trop tard. Harry passa ses mains autour du torse de Firenze, le voyage ne fut pas très long mais éprouvant. Ils s'arrêtèrent à l'orée de la forêt, Harry descendit aussitôt sachant que les centaures avaient leurs fiertés.
-Merci, dit Harry, est ce que vous savez pourquoi Voldemort boit du sang de licorne?
-Tuer une licorne est une chose monstrueuse, dit Firenze. Pour commettre un tel crime, il faut n'avoir rien à perdre et tout à gagner. Le sang de licorne permet de survivre, même si on est sur le point de mourir, mais à un prix terrible. Car il faut tuer un être pur et sans défense pour sauver sa propre vie. Et dès l'instant où les lèvres touchent le sang, ce n'est plus qu'une demi-vie, une vie maudite.
-Tout à fait le genre de Voldemort, dit Harry d'une voix neutre. Et après il boira l'élexir de longue vie, n'est-ce pas, ce serait dans la logique des choses.
-Tu es sur la bonne voie, j'espère juste que pour une fois, les étoiles se trompe et il s'en alla sur ces paroles incompréhensibles pour le jeune garçon.
Il attendit que les autres reviennent avant de partir en compagnie de Draco et de Moon qui tit un peu plus loin devant. Il dit auparavant à Hagrid la position de la licorne décédé. Une fois rentré dans la salle commune, Moon alla s'enfermer dans son dortoir et Harry put raconter à tout loisir son combat contre Voldemort, le meurtrier de ses parents. Il supposa aussi que Quirrell voulait la pierre pour la refourgué à Voldemort.
Ils passèrent leurs deux mois restant à travailler, les études pour Poudlard ainsi que la transformation de la cage. Harry avait appris que sa mère était très intelligente et avait des notes exceptionnelles, Harry voulait lui donner honneur et se donna à fond sur ses études, délaissant quelque peu le Quidditch. Il prit même de l'avance sur l'année prochaine et lisait un livre intéressant sur la magie corporelle qu'il utilisé déjà un peu au Quidditch. Harry et Draco penchaient toujours sur la magie noire mais avec plus de précautions, les sorts devenaient très dangereux. Draco lui fit même découvrir les trois sorts impardonnables mais il n'avait pas assez de puissance ni de savoir selon Harry pour les essayer. Ils les étudièrent donc théoriquement avant de reprendre l'apprentissage de sort moins dangereux et interdit mais pas forcément moins dévastateur. Le sort de démembrement était un bon exemple.
Grâce à son travail sérieux, il passa sans problème les épreuves écrites ; il fit danser parfaitement son ananas devant Flitwick, la transformation d'une sourie en tabatière se déroula sans anIcroche. Il concocta, selon le Pr. Rogue une très belle potion d'amnésie. Il restait une semaine avant de connaître les résultats, Harry et Draco décompressèrent dans le parc, aidant Fred et George à chatouiller les tentacules du calamar géant. Deux jours plus tard, Draco vint voir Harry qui flemmardait dans son lit. Il semblait très fier de lui.
-Je crois que ce soir est le bon, j'ai entendu le préfet dire que Dumbledore avait reçu un hiboux urgent du ministère et qu'il était aussitôt partit là-bas.
-Bien, dit Harry, il sera plus facile de voler la pierre si Dumbledore n'est pas présent. Nous irons cette nuit, continua Harry d'une voie douce, sous ma cape d'invisibilité. Prépare le sac et lustre ta baguette mon ami, car ce soir, nous serons riches.
-Ils planquèrent dans une salle désaffectée le sac en toile contenant les canettes de soda puis Harry mit sa cape en dessous de sa cape d'école et allèrent manger. Harry put remarquer que les renseignement était vrai, Dumbledore ne participant pas au repas. Ils ne rentrèrent pas dans la salle commune et foncèrent vers le sac en toile que Harry rétrécit et mit dans sa poche avant de se cacher sous la cape avec Draco. Ils rejoignirent le deuxième étage, les torches s'allumèrent sur le passage, la porte était fermée. Harry regarda autour de lui et lança un caillou, l'objet rebondit aussitôt. Harry murmura l'anti-sort du charme d'impassibilité mais il dû s'y remettre à fois avant que cela réussisse puis il n'eut qu'à jeter le sort d'ouverture. Touffu dormait, il en profitèrent pour museler le chien puis éparpillèrent au quatre coin de la salle les canettes. Ils levèrent leurs baguettes et s'exclamèrent, réveillant Touffu :
-Medromia fera mit cagèss!
Les canettes se mirent à briller faiblement, puis commencèrent à se diluer, Touffu quand à lui regarder ce joli spectacle. Le matériau se dilua et forma une grande flaque dans la salle. La flaque s'éleva et enferma entièrement Touffu. Il y'eut un grand flash puis ils virent que le sort avait fonctionner, mais ça les avait un peu essouffler, heureusement qu'il s'était bien entraîner, sinon, ils seraient mort de fatigue. Draco s'avança en premier et tira sur l'anneau de la trappe qui s'ouvrit facilement. C'était tout, et aucun moyen de descendre, ils devraient sûrement se laisser tomber.
-Honneur au blonde, dit Harry malicieusement.
-Hi-la-rant, mais dit plutôt que tu as peur, dit Draco avant de sauter. Harry le suivit aussitôt.
Il sentait l'air humide lui souffler aux oreilles tandis qu'il tombait, tombait, tombait… Puis soudain, avec un drôle de bruit sourd, il atterrit sur quelque chose de mou. Il se redressa aussitôt et alluma le bout de ses baguettes, il jeta un regard au sol et s'enfuie aussitôt et se réfugia difficilement contre une paroi humide. Draco fit de même en voyant que des lianes essayait d'entourer ses pieds.
-Le cadeau de Chourave, renifla Draco, un filet du diable…
Ils s'engagèrent ensuite dans un passage qui s'ouvrait devant eux et s'enfonçait sous la terre. Ils parcoururent ainsi quelques dizaines de mètres avant d'entendre un bruissement confus auquel se mêlaient quelques tintements, des bruits d'ailes, supposa Harry. Parvenus à l'extrémité du passage, ils découvrirent une salle brillamment éclairée, avec un haut plafond en forme d'arche. Dans le mur d'en face, il y avait une grande porte en bois.
-Des oiseaux, dit Draco, tu crois qu'ils vont nous attaquer. Harry regarda ces oiseaux et dit en souriant.
-Du Flitwick tout craché, dit Harry en souriant, ce son des clefs volante et je ne pense pas qu'elle vont nous attaqué tant qu'on n'est pas dangereux pour elles. Et sur ses paroles, il traversa la salle aussitôt suivie de Draco. Il tira la poignée, la porte était verrouillée.
-Je suppose, dit Draco, que ces balais sont pour nous. Il examina la serrure. Une grosse clef ancienne, en argent.
Ils enfourchèrent les balais et se mirent à chercher la clef. Harry et Draco la remarquèrent en même temps, ils se concertèrent du regard et foncèrent, la clef évita la main de Draco mais c'est pour mieux allait se loger dans la main de Harry. Ils redescendirent et Harry ouvrit la porte sur une salle obscure.
-Prend tous les balais, dit Harry, cela ralentira Quirrell si il vient ce soir. Draco fit ce qu'il lui demanda et emporta les quatre balais et entrèrent en même temps dans la salle qui s'éclaira. La porte derrière eux se referma et Harry s'exclama d'une voix incertaine.
-Tu sais jouer aux échecs ?
-Oui, mon père dit que les échecs et semblable à la guerre et si je dois être un bon stratège, je dois être excellant à ce jeu. J'ai débuté quand j'avais 6 ans. Je prend le cavalier et tu prends le fou, et admire le maître.
…………...
-Harry, je dois me sacrifier si la partie veut être gagné. Une fois que cela sera fait, tu pourras faire échec et mat au roi. N'oublie pas ma part de gloire. Harry se mit à rire.
-T'inquiète, dit Harry.
Il s'avança et la reine blanche abattit son bras de pierre sur sa tête. Draco s'effondra et la reine le traîna jusqu'au bord de l'échiquier. Harry se déplaça de rois cases sur la gauche.
-Echec et mat, dit Harry d'une voix froide et hargneuse, le roi blanc balança sa couronne, Harry mit Draco sur un brancard et s'élança vers la prochaine porte. Il la poussa et aussitôt, une répugnante odeur lui frappa les narines, Draco avait bien de la chance d'être KO, un troll se tenait devant lui et lui tournait le dos. Harry en profita :
-Clapsynaps! Le rayon gris frappa le troll à la tête et il s'effondra, mort car le sort avait pour but d'exploser les synapses puis tout le cerveau. Un bon petit sort de magie noire quoi. Harry continua son chemin avec Draco derrière lui, toujours sur son brancard. Il ouvrit la porte et découvrit qu'une table sur laquelle était étalées sept bouteilles de différentes formes.
Harry s'approcha de la table mais soudain, la porte qu'il venait de franchir fut remplacée par un feu magique violet et la porte était obstruée par des flammes noires. Il soupira et prit le rouleau de parchemin, il lut :
Devant est le danger, le salut est derrière.
Deux sauront parmi nous conduire à la lumière,
L'une d'entre les sept en avant te protège
Et une autre en arrière abolira le piège,
Deux ne pourront t'offrir que simple vin d'ortie
Trois sont mortels poisons, promesse d'agonie,
Choisis, si tu veux fuir un éternel supplice,
Pour t'aider dans ce choix, tu auras quatre indice.
Le premier : Si rusée que soit leur perfidie,
Les poisons sont à gauche des deux vins d'ortie.
Le second : différentes à chaque extrémité,
Si tu vas de l'avant nul n'est ton alliée.
Le troisième : elles sont de tailles inégales,
Ni naine ni géante en son sein n'est fatale.
Quatre enfin : les deuxièmes, à gauche comme à droite:
Sont jumelles de goût, mais d'aspect disparates.
Sacré Rogue, une devinette rien que pour lui. Harry trouvait ça très rusé de sa part car beaucoup de sorciers n'avaient aucune logique. Harry regarda attentivement les bouteilles puis relut plusieurs fois le parchemin. Il fit fonctionner ses méninges et trouva la réponse. Il prit la plus petite bouteille et en fit boire à Draco qui était toujours dans les vaps. Il mit dans sa poche la bouteille qui permettait de retourner vers le troll puis but une longue gorgée de la bouteille qu'il emporta avec lui. C'est comme si il était aller tout nu en arctique, il frissonna puis s'engagea vers les flammes noires. Les flammes lui léchèrent les corps, mais il ne ressentit aucune chaleur. Pendant un moment, il ne vit plus que la couleur noire du feu magique, puis il se retrouva de l'autre côté, dans la dernière salle.
Personne n'était là, il s'avança dans la grande salle, déposa Draco derrière un pilier puis s'avança vers le miroir du rised, seul objet qui se trouvait dans la pièce. Il regarda le miroir et la seule chose qu'il vit, ce fut lui en train de fabriquer de l'or puis de boire l'élexir de longue vie. Harry siffla de mécontentement, pour avoir la pierre, il lui faudrait quelqu'un d'innocent, qui voudrait la pierre sans la prendre pour son propre compte. Ce fou de Dumbledore était un génie. Cela ne servirait à rien, il faudrait qu'il ramène quelqu'un, genre Granger, pur récupérer la pierre mais il n'avait plus le temps. Alors qu'il se retournait, une grande explosion eu lieu à l'endroit où se trouvait le feu magique.
-Vous voilà enfin arrivé, Quirrell, s'exclama Harry, où dis-je plutôt Voldemort.
-Que fais tu là, dit Quirrell après avoir enlevé la poussière. C'est donc toi qui à neutraliser le cerbère, ainsi que les balais qui se trouvait une salle plus tard, et que dire de l'épreuve de Rogue où tu ne t'ai pas gêné pour prendre la bouteille pour avancer.
-Je viens juste pour prendre la pierre, dit Harry, je veux renflouer mon coffre à Gringott's en revendant cette pierre, je m'en garderais un bout bien sûr.
-Tu fais de la magie noire, dit Quirrell, intéressé.
-Vous avez pu voir l'effet sur votre troll, répondit Harry en souriant.
-Laisse moi lui parlé. Harry regarda suspicieusement Quirrell enlevait son turban puis se détourna. Il vit un visage blanc comme de la craie, des yeux rouges et un nez comme ceux de son serpent.
-Bonjour Harry Potter, siffla l'homme. Tu m'intrigues, comment ce fait-il que le survivant face partit de la noble maison de mon ancêtre alors je te propose quelque chose…d'inhabituel pour moi. Rejoins le côté des ténèbres et je t'apprendrais tout mon savoir.
Harry se mit à réfléchir, Voldemort avait bien 70 ans de pratique intensive de la magie noire, il pourrait le rejoindre et faire style de devenir son allié puis quand il aurait tout appris, il le tuerait. C'était un plan magnifique et diabolique.
-J'accepte, dit Harry. Peut-être pourriez vous m'aidez pour la pierre.
-Bien, bien, murmura Voldemort, nous verrons les modalités quand j'aurais retrouvé un corps. Il s'approcha et se mirent côte à côte. Ce vieux fou va me faire perdre la tête, siffla Voldemort après avoir regardé dans le miroir.
-Peut-être fait-il briser le miroir, dit Quirrell.
-SURTOUT PAS, cria Voldemort d'une voie haineuse et inquiète.
Ils entendirent soudain un bruit de pas, quelqu'un venait par ici, Voldemort et Harry sortirent leurs baguette et se mirent face à face. Harry en rajouta un peu et dit :
-Vous avez tué mes parents, croyez vous vraiment que je vais me joindre à vous, Voldemort.
-Tom, dit Albus Dumbledore, vas t'en de mon école. Bania èt Poudlard meliet ! Le sort jailli de la baguette et frappa Quirrell qui s'effondra en poussière, une fumée s'éleva puis disparu en hurlant.
-Tout va bien Harry ? demanda Dumbledore en approchant. Harry secoua la tête pour affirmer et se dirigea vers le pilier où il avait caché Draco, celui-ci commença à s'éveiller.
-Professeur Dumbledore, peut-on emmener mon ami à l'infirmerie dit Harry en revenant avec Draco.
-Raconte moi maintenant avec précision ton aventure dans les sous sols de Poudlard, demanda le directeur après avoir laissé Draco à l'infirmerie et s'être installé dans son bureau.
-Le chien ne m'a pas posé de problèmes, commença Harry, il était déjà enfermé dans la cage, on ne s'est pas fait surprendre par le filet du diable, j'ai attrapé la clef facilement grâce à mon entraînement d'attrapeur. Draco à diriger la partie de l'échiquier de McGonagall mais a du se sacrifier pour que je puisse passer. Le troll était déjà vaincu par un sort de Voldemort et j'ai résolu l'énigme du professeur Rogue, j'ai d'ailleurs gardé la potion de retour dit-il en sortant la bouteille. Quand je suis arrivé dans la dernière salle, Voldemort réfléchissait devant le miroir, j'ai eu le temps de cacher Draco avant de me faire surprendre. On s'est affronté verbalement puis on allait venir à la baguette quand vous êtes arrivé. Il semble que Voldemort apportait une grande importance au miroir car quand Quirrell à proposer de le briser, Voldemort lui à crier dessus que ce n'était pas ça, il doit avoir une grande valeur pour Voldemort.
-Je te remercie pour cette information, dit Dumbledore.
La Grande salle était décorée aux couleurs vert et argent des Serpentard pour célébrer leur septième victoire consécutive. Une immense bannière déployée sur le mur, derrière la Grande table, montrait un serpent, symbole de leur maison. Grâce à la victoire d'il y a trois jours face aux Poufsouffles (300 à 0), il était très loin devant. A son entrée dans la grande salle, tout le monde lui jeta un coup d'oeil avant de repartir dans leurs conversations. Harry subissait ça tranquillement, répondant avec légèreté aux questions de ses admirateurs et admiratrices. Dumbledore arriva à son tour et la rumeur des conversations s'évanouit.
-Une autre année se termine, dit joyeusement Dumbledore- Harry détestait son sourire bienveillant, un peu trop hypocrite à son goût- et je vais vous importuner avec des bavardages de vieillard avant que nous entamions enfin ce délicieux festin. Quelle année ! Fort heureusement, vos têtes sont un peu plus remplies qu'auparavant...et vous avez tout l'été pour les vider à nouveau en attendant le début de l'année prochaine... Le moment est maintenant venu de décerner la coupe des Quatre Maisons. Néanmoins, de récent évènement sont à prendre en compte. Voyons voir, je débuterais par Mr Draco Malefoy. Pour la plus belle partie d'échecs qu'on ait jouée depuis de nombreuses années, je donne à Serpentard cinquante points.
Tout la table éclata en applaudissements, certains serrant la main à Draco en souriant. Draco répondait simplement par un signe de tête. Le silence finit par revenir.
-J'en viens maintenant à Harry Potter, pour la froide logique dont il a fait preuve face à des flammes redoutables, pour le sang-froid et le courage exceptionnels qu'il a manifestés, je donne à Serpentards 11O points.
Le vacarme fut assourdissant, car du fait de sa célébrité, une partie des autres tables rejoignit celle de Serpentard et ovationna le survivant.
-Nous atteignons donc un record, la maison Serpentard ayant amassé beaucoup de points en cours, pendant les matchs de Quidditch et n'ayant pas fait beaucoup de piscines. En quatrième place, Gryffondors avec deux cent douze points.
-J'aimerais félicité les Gryffondors, dit Harry tout haut, tout le monde se retourna, particulièrement Ronald Weasley qui est un vrai poids pour sa maison, Gryffondors, mes condoléances mes plus sincères. McGo sembla furieuse mais se retint de faire un esclandre en pleine Grande salle.
-En troisième, Poufsouffle avec cinq cent cinquante-deux points, reprit Dumbledore, imperturbable. Serdaigle cumule six cent deux points et Serpentard mille et un points.
Un tonnerre d'applaudissements, d'acclamations et de trépignements explosa à la table des Serpentard. Les chapeaux volèrent, en signe de triomphe et Harry et Draco lancèrent des étincelles bleues qui formèrent le signe victoire enlacé par un Serpent.
-Et maintenant, un peu d'histoire, reprit Dumbledore quand le silence ce fit. Il est écrit dans les annales de Poudlard que quand une maisons atteindra ou dépassera les mille points, elle aurait une avance de points pour l'année prochaine, il suffit de prendre la date de naissance du fondateur de la maison gagnante et d'y accoler un zéro, cette coutume ancestrale étant écrite par les quatre fondateurs, je l'applique aujourd'hui. Est ce que quelqu'un sait quel jour est né Salazar Serpentard. Harry leva la main et un sourire naquit sur son visage.
-Oui Mr Potter.
-Un jour sombre d'octobre, l'un des quatre fondateurs naquit... c'était un 31.
-Je vois que vous avez bien lu l'histoire de Poudlard, Mr Potter, j'accorde donc une avance de 310 points à Serpentard pour l'année prochaine. Les Gryffondors furent mécontent. Harry en rajouta une couche.
-J'aimerais aussi ajouter que Godric Gryffondor est né un 1er mai.
Cela plomba l'ambiance des Gryffondors. Rogue par contre, lui fit un magnifique sourire, contrairement à McGonagall qui le regarda d'un oeil mauvais. Ce fut la plus belle soirée que Harry eût jamais connue. Harry était aussi heureux pour une autre chose, il avait eu 99 pour cent de bonne réponse à ses examens, coiffant au poteau sa mère qui avait eu 97, 7 pour cent de bonne réponse. Draco était à 95 pour cent et Granger à 92. Weasley était quant à lui à 66 pour cent. Alors qu'il allait entrer dans sa salle commune, le Pr. Rogue le rattrapa et lui demanda de le suivre jusqu'à son bureau. Ils s'assirent et se regardèrent cinq minutes. Rogue dit :
-Je sais quel type d'accord vous avez passé avec Voldemort, ainsi que vos raisons, je ne sais pas pourquoi Voldemort ni Dumbledore l'ont vu, mais vous n'aurez pas deux fois la même chance. Harry en resta bouche bée. Il n'en n'avait même pas parlé à Draco.
-Vos raisons sont valables, les deux là sont très manipulateur mais extrêmement puissant. Ils savent si on leurs mentent. Pourquoi cela n'a pas marché avec vous mystère, mais il ne faut pas tenter le diable deux fois. L'homme se leva et prit un petit livre dans sa bibliothèque. Il lui tendit et Harry le prit. Je suis un mangemort, je fais croire à Dumbledore que je suis un traître et que j'ai retrouvé le bon chemin mais ce n'est qu'un leurre, je suis fidèle à l'autre camp d'une certaine manière. Je suis comme vous, entre les deux et je veux vous aider, ce livre est la première chose pour vous soutenir dans votre action, lisez-le et vous survivrez...comme moi. Stopper la cigarette serait une bonne chose aussi. Harry fit un signe de la tête et s'en alla, confus. Une fois dans son lit, il s'endormit.
Leurs armoires se vidèrent, les valises furent fin prêtes et Hagrid lui donna un album de ses parents, il le remercia chaleureusement. On distribua aux élèves des avis qui les prévenaient que l'usage de la magie était interdit pendant les vacances. Tout le monde parlait tandis que le paysage devenait de plus en plus verdoyant. On mangeait des Dragées surprise de Bertie Crochue et on enlevait les robes de sorcier pour remettre vestes et blousons. Enfin ils arrivèrent sur la voie 9 3/4 de la gare King's Cross. Ils mirent un certains temps pour quitter le quai. Un vieux gardien ridé les faisait passer par groupes de deux ou trois pour qu'ils n'attirent pas l'attention en surgissant soudain au milieu de la barrière. Inutile d'affoler les moldus. Le hasard fit qu'il se retrouvèrent avec Weasley, Harry lui fit un croc en jambes et il s'étala de tout son long, une moitié du corps de côté moldue, l'autre du côté sorciers, le vieux gardien soupira et releva l'imprudent et le refit passer. Weasley lui jeta un regard courroucé tandis que les jumeaux lui firent un grand sourire par derrière.
-Père n'aime pas trop les Potter, tu ne pourras pas donc venir au manoir, dit Draco.
-Et un Malefoy ne dors pas dans une pauvre maisons de simple moldue, répondit Harry en souriant.
-Tout à fait, envoie moi un hiboux si tu as un problèmes avec ta famille, mon père aime beaucoup torturé les moldue de ce genre.
-J y penserais, à dans deux mois, dit Harry en s'en allant vers sa "famille".
-Bonne vacances à toi aussi, s'écria Draco avant de partir vers la limousine grand luxe prêté par le ministère pour ses employé les plus haut placés...
THE END.
NDA: Et voilà une année de finie, j'espère que ce chapitre vous a plu ainsi que ses divers sursauts. Je commence aussitôt la deuxième année, le premier chapitre racontera l'été de Harry. Pour ce dernier chapitre, j'aimerais avoir pleins de reviews alors n'ayez pas la main légère lol. J'espère que cette histoire vous plaît toujours autant qu'au début; dans le cas contraire, j'en suis désolé. Je ne vais pas vous ennuyer avec mon barratin et je vous laisse. Reviews svp et merci de me lire.
mellon.