Auteur : Et non, désolée, je suis une inconnue qui se balade sur : Convalescence.

Genre : Romantique… oui madame, j'ai moi écris une fanfiction romantique. Fanfiction écrite lors d'une période d'insomnie. Je me disais que de toutes façons, avec ma chance, en trouvant le sommeil je cauchemarderai (oui, ce verbe n'existe pas vraiment madame mais je vous prout !)

Rating : Si je ne me trompe pas… petit pg-13. Enfin, je peux monter M pour la vulgarités. Mais bon, je ne fais qu'employer la langue française rire.

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Convalescence

Cela fait deux jours que nous sommes à l'infirmerie. Deux jours qui me semblent une éternité. Et déjà, j'espère en sortir.
Tout ça à cause de ce foutu survivant!
Nous sommes tous les deux épuisés et lui ne sait même pas pourquoi. De jour, nous nous battons. Pas magiquement ou même physiquement ! Je me suis pris tant d'endoloris que la simple énonciation de ce sort me fait maintenant frissonner ! Et Potter a tout de même vaincu Voldemort. Mais à quel prix… Mon sommeil. Mais ceci est un sujet que nous aborderons plus tard.

Tous les deux, nous sommes là pour qu'on « soigne » nos os. L'infirmière m'a même fait comprendre le jour de mon arrivée qu'une de mes côtes avait transpercé un de mes poumons. Oh joie, au merveille. Un moldu serait mort. Mais, je ne suis pas un moldu. Je suis Draco Malfoy dernier du nom en Angleterre. Mais, pourquoi sommes nous dans l'infirmerie de Poudlard, pourquoi ? De une, le service de Saint Mangouste a été sérieusement détruit lors de la guerre. De deux, il est bien sur impossible de faire soigner le survivant par une personne qu'il ne connaît pas. Système d'autodéfense, vous voyez le genre ? Enfin, qui voudrait sauver l'espion que je suis si ce n'est Dumbledore ? Merlin ait son bras gauche avant d'avoir le reste, Abracadabra.

Alors je suis là, dans cette simple chambre blanche (quand ma magie sera à nouveau utilisable, je change la couleur) avec Harry Potter dernier du nom à échanger des pics le jour et l'entendre pleurer la nuit. J'ai tant de chose à expliquer qu'avec de la chance, quand Potter se mettra en état de déshydratation avancée (comprendre quand il versera toutes les larmes de son corps. Pourquoi ce n'est pas silencieux ce genre d'action ?) je ne l'entendrai pas.

Pour tuer GMMN (Grand Méchant Mage Noir alias Le-cul-bordé-de-nouilles-second-du-nom alias Voldemort), notre bien-aimé survivant a puisé dans la magie de toutes les personnes qui l'aimaient un tant soit peu. Mais comme ce foutu connard m'a fait éviter un sort de mort, en prononcent un « Acio Draco Malfoy » (Salazar, que c'est honteux ! On lui apprend à manipuler la plus dangereuses des magies anciennes, il se bat contre face de serpent et ne perd aucun membre mais alors utiliser la magie de tous les jours ou faire une simple transplanation, non ! C'est trop « logique » pour monsieur !) je lui ai donné presque toute ma magie et lui-même en a perdu en grande quantité.

Donc, pour faire passer le temps de notre convalescence, on s'engueule.

Comme si les six années précédentes n'étaient qu'un entraînement. Pas pour moi bien sur ! Énoncer ce genre de vérités, je l'ai appris dès ma plus tendre enfance. Mais la nuit… nos affreuses nuits, chaque foutue nuit que l'enculeur de mouches professionnel qu'est Merlin fait, il les passe à pleurer. Car Monsieur Potter est d'une sensibilité extrême. Car Monsieur Potter est le seul a avoir perdu toutes sa famille dans cette guerre. Car Monsieur Potter y a survécu, comble de l'horreur ! Car Monsieur Potter est un assassin. Et ce n'est pas moi qui l'affirme mais bien lui.

Il ne comprendra jamais ce gosse ? J'ai vu un mioche pointer la baguette de son défunt père sur un Mangemort. Le gosse avait trois ans. Bon, d'accord il est mort. Mais théoriquement parlant, il serait lui-même devenu un assassin s'il lancé un sort !

Et si Monsieur Potter lisait dans mes pensées (il manquerait plus que ça. Mais bon, Monsieur Potter est, techniquement parlant, capable de tout faire), il me reprocherait mon détachement. Que voulez vous. Il faut bien que je me détache de quelque chose. Mon corps est cloîtré dans cette foutu chambre blanche, mon esprit est bloqué dans mon merveilleux corps, alors je me détache de ma « sensibilité ». Qui n'est pas inexistante.

Mais je parle de moi, je parle de moi… je sais que c'est terriblement intéressant mais reconnectons nous au présent. Le soleil est maintenant couché, l'infirmière est passée… Alerte, alerte ! Potter sombrant dans les limbes du sommeil droit devant !

« Alors Potter, on veut faire un gros dodo ?
...
Et ce lâche qui n'ose même pas me répondre ! »

… Il dort ? Et merde merde merdoum ! Si au moins je pouvais lancer un sort… Si j'avais tué mon père sans hésiter… je serai moins faible. Potter ne m'aurait pas acioté et je ne serai pas avec lui dans cette foutu chambre blanche !

3 – 2 – 1 – 0.

Et le voilà qui se met à sangloter. Tiens, il se débat. Mais, il va se casser quelque chose ! … Vu l'état dans lequel il est, ça ne se verra peut-être pas… Enfin, dans un geste de pur générosité à son égard, je vais l'aider (ou sous l'emprise d'une dette de vie… ça revient au même.). Je me lève et sans que je comprenne comment ou pourquoi, alors que je m'assois sur la chaise des « invités », il se calme. Il pleure toujours mais ne bouge plus.

Et on est reparti pour une nuit blanche !


La journée est passée, pareille à hier. Déjà, la nuit d'avant, je n'avait eu qu'a me rapprocher pour que ses mouvements se calme. Quelle sera la prochaine étape ? Le câliner pour qu'il arrête de chialer ? Plutôt mourir ! … On peut mourir pour manque de sommeil ?
Tien, il dort déjà ! C'et fou ce que le temps passe vite quand on se parle à soi-même.

3 – 2 – 1 – 0.

Et on y retourne ! Je m'assois à nouveau sur la chaise et là, paradis et virginité, il continue !

« Tu sais Potter, je déconnais quand je disais - pensais à te câliner si tu continuais à chialer. Potter ? Putain Potter mais réveille toi merde ! T'es le seul à dormir et tu dors mal ! Tu pourrais au moins profiter des heures de sommeil que cet égoïste de Morphée te donne ! Pourquoi à toi d'ailleurs ? Pourquoi pas moi ? Rah ! Toujours chouchouté, toujours bichonné… Potter ! »

Je le rattrape alors qu'il manque tomber de son lit. Mais putain de bordel de merde ! Ça fait mal ! Ça vient juste de craquer ! Mon corps vient de protester fortement contre mes mouvements et… c'est très douloureux. Et lui, toujours endormis.
Je suis mal positionné. Lui aussi je pense. … Drame, horreur, stupeur et tremblement, il referme ses… ses bras sur MA taille !
Je m'assois sur son lit. C'est bien plus confortable que ces chaises. Voilà pourquoi je ne vais jamais voir mes amis à l'infirmerie ! Comme si j'allais regarder un malade se prélasser dans son lit alors qu'on ne me donne rien d'autre que la « chaise spéciale visite «

Le tout maintenant, c'est de ne pas m'endormir. Il serait capable d'hurler au viol ce con !


« Malfoy… comment as-tu réussis à te blesser ici ?

Potter, ta gueule, je veux dormir ! »

Il ne répond rien. Je dois vraiment avoir une tête affreuse. Ou bien il est étonné. Il comprendrait mon énervement s'il savait… s'il savait que c'est à cause de LUI que j'ai entendu la voix de mon corps. Et vous savez ce que j'ai appris ? Vous savez ? J'ai appris que sa voix est affreuse ! Enfin, le sommeil m'ouvre ses bras. Si j'étais moldu, je remercierai… je ne sais pas qui. Morphée ? Moi ? Ah ! Quelle idée ! Je suis un sorcier. Donc je n'ai pas à remercier ces pseudo-divinités. La grande divinité ici, c'est moi. Morphine, je t'aime quand même !


Des sanglots. C'est la première fois que je ne suis pas là pour le décompte. Enfin, la deuxième. Mais les deux premiers jours ne comptent pas. Cela va être notre… sixième jour ? Oui…
Je me lève et m'assois sur son lit. Ses bras m'encerclent, ses mouvements cessent. Je m'installe un peu mieux. Le dos contre l'avant du lit. Sa tête se pose sur mes genoux. Il se tait…

Et dire que je ne peux pas dormir moi !

La première fois, je suis parti juste après qu'il ait cessé de pleurer. Ses sanglots ont directement repris. Et j'ai retenu la leçon.


« Bonjour Malfoy.
Bonjour Potter.
Tu as l'air épuisé. Tu dors mal ? »

Note à moi-même, dormir réussis magnifiquement bien à Saint Potter. Enfin, trouver le saint sommeil du saint. J'aimerai bien avoir un sein soit dit en passant. Mais passons les pensées que me donnent mes hormones. Et si Potter savait ? Et s'il faisait exprès ce petit con ? Il se moque de moi ?

« Je ne dors pas la nuit.
Il y a une… raison à cela ? »

Saint Potter est de retour pour nous donné la rédemption, le grand pardon et que sait-je. Mais, mon ennemi préféré (le seul qui n'a jamais cherché à me tuer !) sait-il qu'il est bruyant la nuit ? Je ne suis plus moi si ce n'est pas de la gêne et de l'inquiétude dans sa voix.

« Non.
Bon, bonne nuit Malfoy.
Bonne journée Potter. »


5 – 4 – 3 – 2 – 1 – 0.

Et on replonge dans cette nouvelle routine. Je me réinstalle comme la dernière fois avec lui. Et ma main (la gauche, elle est enfin totalement soignée ! La droite a encore quelques petites choses à réparer.) va se perdre dans ses cheveux.

Soudainement, ses yeux s'ouvrent. Il me regarde de ses yeux flou.

« Un ange… Je suis mort ?
Non. Je suis là pour veiller sur ton sommeil.
Tu es mon ange ?»

Mais mais mais… il nous fait quoi comme bad trip le pote Potter ?

« Dis, tu es mon ange gardien ?
Ah ! Euh… non ! Non non non !
Mais alors… qu'est ce que tu fais là ?
Je veille sur ton sommeil.
Tu es l'ange du sommeil ?
Hum-Oui ! D'ailleurs, tu dois t'endormir quand j'aurai compté jusqu'à trois ! Sinon, tu-euh… sinon voilà ! De toutes façons, je suis un ange alors tu m'écoute et à trois tu dors ! 1 – 2 – »

Il dépose un baiser sur ma joue et se rendort. Le premier qui ne fait ne serait-ce qu'un seul commentaire sur mon rougissement, je le tue !

Mais, je suis juste un ado bourré d'hormones !

Et puis, c'est un Saint Potter. Vous voyez, il y a sein dedans ! Et ça m'excite.

Enfin… non ! Un Malfoy ne souffre jamais d'une situation de manque quelconque ! Sauf dans le cas présent.

A trois, vous allez tous arrêter vos pensées perverses !

1 – 2 – 3 !


« Bonjour Potter.
Déjà réveillé ?
Je te l'ai dis, je ne dors pas la nuit.
C'est vrai… dis moi, est-ce que j'ai dis quelque chose cette nuit ?
Non pourquoi ?
Parfois, je parle dans mon sommeil… Enfin, bonne nuit ! »

Aujourd'hui, quand je me suis réveillé, il restait une heure avant que Potter ne sombre dans le sommeil. Nous avons parlé. Beaucoup. Puis, il s'est endormis. Cette fois, je n'ai pas compté. Je suis directement venu vers lui.
Et cette nuit encore, il s'est réveillé.

« Ange ?
Chut, dors Harry. Je te donne mon sommeil. »


Trois jours sont passés, identiques aux précédents. Encore et toujours. Enfin, il y a ce nouveau rituel. Le baiser dans la nuit. Enfin, baiser… je veux dire… Bon, vous voyez ? Juste, Potter pose ses lèvres sur ma joue à une distance tout à fait raisonnable de mes lèvres !

Quand je sors de cette foutu chambre bleu, je trouve quelqu'un ! Oui, parce que la chambre est bleu maintenant. Je vous rappel que mon bras gauche est à nouveau valide.

« Ange, je t'aime. »

Et Harry baise ma joue. Près de mes lèvres. Et se rendort. Il se rendort ? Il se RENDORT ?

« Potter ! C'est ton ange qui te parle ! Si tu ne te réveil pas, je-je… Je ne reviens plus ! »

Et il dort.
Demain, il faudra que nous parlions.


En fait, nous n'avons pas parlé. Ni le jour d'après. Ni le jour encore après. Ni aujourd'hui. Parce que, je ne sais pas comment il réagira.

3 – 2 – 1 – 0.

Et le temps passe. Vous savez, j'ai découvert quelque chose. Potter, il est beau en fait. Si si. Quand vous cherchez son regard, derrière ses lunettes. Bon, derrières ses mèches aussi.

Et puis, il a une mignonne petite bouille. Et de mignonnes petites lèvres. Attention, je n'ai pas dis que Potter était mignon ! Il a juste de mignonnes lèvres. Et une mignonne tête.
Bon, ses yeux sont beaux. Et son corps est peut-être vu comme sexy par les filles de Poudlard. Moi, je ne peux pas avoir d'avis là-dessus. Vous savez, je regarde pas trop les mecs. D'ailleurs, je ne sais pas à quoi ressemble les hommes autres que moi.
Et Potter.

« Je t'aime Ange.
Je sais, je sais.
Mais c'est vrai.
Oui oui. Tu parles ?
Oui pourquoi ? »

Il parle… il parle ! Il est donc réveillé ! Bon, avec Potter, on ne sait jamais quels mots employer.

« Pourquoi, POURQUOI, tu m'aimes ?
Parce que.
Pourquoi ?
Je sais pas.
Comment ça tu sais pas ? Quand on sait pas, on dit pas !
Tu me rappelles quelqu'un.
Ah-ah bon ?
Oui… mais je ne sais pas.
Passons. Tu aurais au moins pu dire que c'est parce que je suis beau !
Mais, je te vois mal. Tu sais Ange, j'ai des lunettes normalement. Enfin, tu dois déjà le savoir.
Oui. Je le sais.
Dis Ange, tu es l'ange du sommeil ?
Euh-Oui ! Je te l'ai déjà dis voyons !
Tu sais, tu devrais en donner aussi à Draco Malfoy. Il dort mal dit-il. Et puis, quand il dort, il cauchemarde !
Le verbe cauchemarder n'existe pas.
Ange, je vais dormir maintenant. Je suis si fatigué quand tu es là…
Dors bien.
Ange ?
Oui ?
Est-ce qu'un soir… est-ce qu'un soir tu viendras ailleurs… ailleurs que »

Il dort. Il est si mignon quand il dort comme ça. Et quand il lutte contre le sommeil. Il dort. IL DORT ? Mais qui m'a foutu un Potter amorphe ? C'est quoi ce gros délire ? Et qu'est-ce qu'il allait me dire ce con avant de dormir ? Oui parce que sieur Potter se permet de s'endormir PENDANT une conversation ! Il ne respecte vraiment rien celui là !


Je n'en reviens pas. Je suis libre. LIBRE ! Lorsque l'infirmière m'a mis à la porte, j'ai couru attraper mon balais et j'ai volé. Encore et encore. Et je me suis retrouvé face à une fenêtre. Je pense que je comprends pourquoi c'est face à cette fenêtre que je me suis retrouvé. Mais, je me refuse à y penser pour l'instant. Mais je ne le dirai pas là.

Harry souffle sur la vitre et écrit quelque chose. Je m'approche pour mieux lire.

« Bonjour Malfoy, bien dormi ? »

Vous savez, on a passé la journée à parler. Puis j'ai du partir pour manger.


Je viens juste de me réveiller. Je crois. Je ne sais pas trop. Si j'ai rêvé, c'était un mauvais rêve. J'espère que ce n'était qu'un rêve.


Trois jours. Trois jours que je dors mal. Que je me réveil en sueur. Sortant toujours du même cauchemar. Tout d'abord, c'est comme avant. Avant que je ne quitte l'infirmerie bien sur. Puis, quand Harry ouvre les yeux, il ne dit pas « Ange » mais « Démon ».

Démon…

Et il me repousse, les larmes au visage. Le corps tremblant. Et hurlant ce mot qui me poursuit. J'ai une imagination très fertile. C'est sûrement parce que nous avons étudiés les succubes glacées il y a trois jours. C'est terrifiant ces montres là ! Vous voyez, elles se transforment en houx ! Oui, en houx ! Dans les pires des situations ! Une fois, j'ai du embrasser Pansy à cause d'elles. … J'espère qu'il va mieux que moi.


J'ai horriblement mal dormis cette nuit et je ne suis pas le seul. Harry et moi parlons, avec le même moyen qu'hier. Un souffle sur une vitre. Et nos yeux sont si rouges. Parfois, on en pleure sans pouvoir s'en empêcher. Je crois. Mais un Malfoy ne pleure pas. Mais je ne suis pas un Malfoy quand il est là.


Je suis dans l'infirmerie. Dans notre chambre. Un malheureux accident de balais.

« Bonjour Malfoy. Bonjour Potter.
Bien dormis ?
Très mal et toi ?
Pareil. … Dis, tu crois qu'Ange pourrait venir un jour…
Ange ?
Tu crois qu'il pourrait venir ailleurs que dans mes rêves ?
Seulement si tu ne parles plus JAMAIS de ces piafs ailés devant moi !
Pardon ?
Non, pas Pardon ! Ni Ange ! Et oh grand jamais Démon ! Draco ! Je suis Draco ! Et rien ni personne ne pourra te voler à moi ! Personne ! Même pas.. même pas moi ! Et de toutes façons, tu n'as pas le choix. N'est-ce pas ?
Non… je n'ai pas le choix bien sur… Draco. »

Et notre premier véritable baiser est celui qui scelle la plus belle promesse que je n'ai jamais faite. La seule sûrement. Après tuer mon père, battre Potter. Mais Potter est mort. Maintenant, c'est juste Harry et Draco. Toi et moi.

HAPPY END !

Et voilà une véritable niaiser- euh, belle faim-fin ! Elle est pas belle la vie ? Bon, cette fanfiction là, je la commence et je la fini. Alors, vous pouvez effectivement m'applaudir rire.

Cette fanfiction n'est dédiée à personne. Je tiens juste à embrasser toutes celles que j'aime. Et tous ceux mais s'ils savaient que je les embrasse ici, … ils risqueraient de me demander des détails . …. Et avec eux, ça serait plus des menaces pour avoir un lemon mais je me trouverai obligée de faire DES lemons. Rah lala… la catastrophe.