Il suffit d'une fois
Disclamer : Les personnages de Smallville ne m'appartiennent pas mais sont la propriété de la WB.
Catégorie : nc17
Note : texte
entre ' ' c'est Chloé et texte entre " " c'est Lex.
C'est une fic que j'ai
choisi d'illustrer c'est pour ça que les mises à jours
risque parfois d'être un peu longue, mais elles viendront c'est
promis.
Sinon c'est une futurfic,
qui prend en compte l'éloignement entre Chloé et Lex de
la saison 4 mais c'est à peu près le seul lien avec la
série.
Voilà Bonne Lecture
"Cette nuit, comme les précédentes, je part en chasse. J'entre dans un bar au hasard, celui-là ou un autre, de toute façon, ça ne change pas grand chose. Quand j'entre, je la repère tout de suite. C'est étrange, d'habitude je n'aime pas les blondes, mais celle-ci m'hypnotise. Elle doit se sentir observée, car elle se retourne. C'est vraiment étrange, son visage m'est familier."
'Mais qu'est-ce qu'il fait là ? Il a l'intension de rester planté là à me regarder pendant longtemps ? Il s'avance, enfin, il a une démarche de prédateur s'approchant de sa proie. À quoi joue-t-il ? Il me prend pour l'une de ces filles qu'il ramasse au fil des soirs ?'
-Bonsoir !
-Lex !
"Elle utilise mon prénom comme-ci elle me connaissait. Pourtant je suis quasiment sûr de n'avoir jamais couché avec elle. Je n'affiche que des brunes à mon tableau de chasse. Une ancienne brune peut-être, de toute façon je ne me rappelle jamais leurs noms et leurs visages s'effacent rapidement. Au pire elle me met une droite et on n'en parle plus. Comme elle me voit hésiter, elle ajoute : "
-Visiblement tu m'as oublié. Remarque, ça ne me surprend pas, tu sembles avoir effacé de ton univers, tous ce qui pouvait te rappeler Smallville, depuis ta dispute avec Clark.
"Smallville ! Je n'ai connu qu'une seule blonde à Smallville."
-Chloé ! Tu as beaucoup changée.
-S'il te plait, Lex. Épargne-moi Les clichés et restons-en là.
"Elle cherche à me fuir, je ne sais même pas pourquoi je la retiens par le bras."
-Attend.
'Non, non, non !!! Chloé soit forte. Repousse-le, tu as eu suffisamment de mal à l'oublier, pour ne pas retomber dans le panneau.'
- Lex, lâche-moi s'il te plaît.
-Non.
"Pourquoi j'ai dit ça, je ne sais même pas pourquoi j'insiste. C'est étrange elle a l'air troublée, c'est peut-être ma réputation qui l'effraie."
-Ce... ça fait tellement longtemps qu'on ne s'est pas vu, prenons un verre. Rien de plus je te le promets.
'Je ne dois pas lui céder, si je cède maintenant et qu'il tente quoi que ce soit, je sais parfaitement que je ne pourrais pas lui dire non. Et je finirai comme toutes les autres...'
-D'accord.
'Lâche, je suis lâche, il va faire de moi ce qu'il veut et ensuite il ne me restera plus que mes yeux pour pleurer.'
"Je nous dirige vers une table vide. Je la sens rétissante. Peut-être m'en veut-elle d'avoir coupé les ponts ?"
-Alors tu vis à Metropolis ?
-Oui.
-Je croyais connaître tous les journalistes de Metropolis.
-Je ne suis pas journaliste.
"Tient, bizarre, d'aussi loin que je me souvienne, le journalisme était comme une seconde nature chez elle, une véritable vocation."
-Je suis surpris.
-Pour tout te dire, je me suis lancé dans le journalisme, comme je le souhaitais, mais il y a quatre ans, j'ai été arrêtée pour piratage informatique. J'ai fouiné là où il ne fallait pas et mis le nez dans des dossiers classé secret défense. Résultat, j'ai été accusé d'espionnage et même de trahison.
'Mais qu'est ce qu'il me prend de tout lui déballer comme ça. Ça fais même pas cinq minutes qu'on est assis et je lui raconte déjà tout de ma vie. Je suis mal partie, à ce train là, je vais me retrouver dans ses bras, sans même me rendre compte. Pourquoi faut-il qu'il y a dix ans je sois tombée amoureuse de Lex Luthor ? C'est étrange il a l'air surpris, choqué même, lui qui d'habitude n'exprime jamais rien.'
-Si je ne me trompe pas la trahison est punie de la peine capitale.
-C'est exact.
-Comment se fait-il alors que tu sois en vie et surtout que tu sois libre.
-Les autorités m'ont proposé un marché, désormais je mets mes compétences au service de notre beau pays. Et bien sûr j'ai du faire une croix sur le journalisme.
-Je vois.
"Elle a essayé de le cacher mais j'ai perçu comme un regret dans sa voix."
-Et toi ? Quoi de neuf ?
-Rien de spécial. Je suis devenu un homme d'affaire, cynique et froid, qui travaille vingt heures par jour et qui s'envoie en l'air tous les soirs avec une femme différente, pour décompresser. Je suis devenu mon père en somme.
'Je ne m'attendais pas à tant de franchise. Il a l'air amer, peut être a-t-il des regrets, lui qui ne voulait surtout pas devenir comme son père. C'est déprimant, malgré ça il m'attire toujours autant. Faut vraiment que je vois un psy, qu'il m'explique pourquoi je m'arrange pour que les hommes, qui me plaisent me fassent le plus de mal possible. Et voilà, j'ai instinctivement posé ma main sur la sienne, comme pour le rassurer, décidément je suis incurable.'
"Sa main me fait un drôle d'effet. Je n'avais pas ressentit ça depuis longtemps, ce frisson mêlé à cette impression de chaleur. Cette fille est vraiment déconcertante, malgré ce que je suis devenu, malgré toutes ces années qui nous séparent, elle porte sur moi toujours le même regard empli de compréhension et de gentillesse."
-Lex, ça ne te dérange pas qu'on sorte, je ne suis pas à l'aise ici.
-Que faisais tu dans ce bar alors ?
-Comme toi, je cherchais un peu de compagnie pour tromper mon ennui.
'Et voilà, je n'ai même pas besoin d'attendre qu'il me drague, je lui ouvre la porte toute seule comme une grande. C'est à croire que je le fais exprès.'
-Je te raccompagne ?
-Oui pourquoi pas !
"J'ai envie d'elle, depuis que je l'ai vu assise au bar tout à l'heure, j'ai envie d'elle. Ça fait des années que je n'ai pas eu envie d'une femme de la manière dont j'ai envie de Chloé Sullivan maintenant. En temps normal, je me contente de satisfaire un besoin primaire avec la première qui passe, c'est devenu comme une drogue. Mais là, c'est différent."
'Moi, Chloé Sullivan je marche au côté de Lex Luthor et je me sens bien. Sa présence à mes côté me suffit. Ça ne sert à rien de se le cacher de toute façon je suis déjà perdue. Alors autant profiter de ce moment comme si c'était le dernier puisqu'il sera unique.'
-Tu montes prendre un dernier verre ?
-Avec plaisir !
"Nous entrons dans son appartement, il est comme je l'imaginais, chaleureux, brouillon, entier. Elle prend mon manteau et m'invite à m'asseoir. Quand elle revient dans le salon elle met un disque dans la chaine."
-Tu veux un café ou quelque chose de plus fort.
-Un whisky, si tu as.
"Elle acquiesce d'un signe de tête. Je dois avoir l'air surpris parce qu'elle ajoute :"
-Mon père a des origines irlandaises. Sullivan tu crois que ça viens d'où ?
'Sa main effleure la mienne sur ce canapé, sur lequel je viens de m'asseoir. Il me fait toujours autant d'effet. Il saisit ma main, se lève et m'entraîne à sa suite. Puis il me fait tourner, m'attire et à lui et se met à danser.'
"Il y a des années que je n'avais pas dansé. Mais, ce soir, j'ai envie de prendre le temps. Son parfum m'enivre. Elle pose sa tête sur mon épaule dévoilant une infime partie de son cou. Je ne résiste pas à l'envie d'embrasser cette part dénudée de son anatomie."
'Il a posé ses lèvres dans le creux de mon cou pour y déposer un baiser aussi léger qu'une aile de papillon. Malgré sa douceur se baiser électrise tout mon être. Je redresse la tête pour le regarder, il dépose à nouveau un baiser-papillon, mais sur mes lèvres cette fois.'
"Je lui laisse le temps avant de déposer à nouveau mes lèvres sur les siennes. Elle ne me repousse pas. Elle approfondit même le baiser."
'Comme je l'imaginais, il embrasse divinement bien, c'est à ce demander, pourquoi je n'ai pas fais ça avant. Je sais, je n'étais qu'une petite lycéenne et c'était, c'est toujours d'ailleurs, Lex Luthor. Tout mon corps se réchauffe sous ses caresses, ses gestes sont lents, presque tendres. Il a l'air de vouloir prendre son temps, pas moi, ça fait trop longtemps que j'attend.'
"Elle m'attire jusqu'à sa chambre. Je peux donc en déduire qu'elle a autant envie de moi, que moi d'elle. Je l'enlace afin de l'embrasser à nouveau. Ses lèvres sont douces. Dans l'autre pièce la musique tourne toujours, les notes me parviennent comme de très loin. Elle a passé ses mains sous ma chemise. Ses mains sont froides, mais leur contact brûle."
'Dieu que sa peau est douce, c'est rare chez un homme. Je ne sais pas si c'est l'effet du désir, mais c'est comme si mes sens s'étaient décuplés. Le toucher surtout. J'ai l'impression de pouvoir sentir les moindres aspérités de sa peau. Ses mains se sont, à leur tour, frayées un chemin sous mes vêtements, il caresse mon dos doucement et m'attire plus près de lui.'
"Elle tremble. J'ignore si c'est de désir, de peur ou bien de froid."
-Tout va bien ?
"Elle se blottit contre moi."
-Oui. Serre-moi.
"Je m'exécute. Elle pose ses lèvres dans mon cou. Nous restons quelques secondes serrés l'un contre l'autre, avant qu'elle ne s'écarte. Elle retire son pull, son débardeur, puis fais tomber ma veste de mes épaules. Je m'en débarrasse, tandis qu'elle commencer à déboutonner ma chemise. Je la retire et elle se blottit à nouveau contre moi."
- J'ai besoin de ta peau.
'Ces mots, je les ai murmuré si bas que je ne suis pas sûr qu'il les ait entendu. Ses mains ont pris possession de mon dos. Elles me donnent l'impression d'être gigantesque. Leur chaleur s'insinue sous la peau jusqu'au cœur. Et voilà, irrécupérable, j'aurais préféré qu'il n'y ait pas de sentiments, mais c'est plus fort que moi.'
"Comme elle, je ressent ce besoin de l'avoir contre moi. Elle pose à nouveau ses lèvres dans mon cou, puis elle dépose une ligne de baiser le long de ma mâchoire. Je frissonne. Il y a bien longtemps que mon corps n'avait pas réagit de lui-même à la caresse d'une femme."
-Tu as froid ? C'est vrai que mon appartement n'est pas très bien chauffé.
-Tant que tu es là, tout va bien.
'Ça y est, mon cerveau a grillé. J'ai des hallucinations auditives. Pourtant j'ai envie de croire à ses paroles. Son corps semble réagir à mes caresses, peut-être me désire-t-il vraiment, peut-être ne suis-je pas qu'un corps parmi tant d'autres. Il m'embrasse à nouveau. C'est terrifiant, je n'ai qu'une envie, c'est de me perdre à jamais dans ses baisers.'
-Viens il fait plus chaud sous les couvertures.
"Elle m'attire jusqu'à son lit. Elle retire ses chaussures, je fais de même. Puis je rentre à sa suite sous les draps et je replonge dans ses bras. Elle tremble toujours un peu, mais maintenant je sais que ce n'est ni de froid, ni de peur. Mes lèvres repartent explorer les courbes de son corps. Elle pose une exclamation de surprise quand ma main se referme sur l'un de ses seins."
'Oh mon dieu, sa main est si... J'ai connu de nombreux amants depuis Smallville, mais cet instant est de loin le plus érotique de mon existence. Sa façon de me toucher, de m'embrasser est si... il n'y a pas de doute, ce type sait ce qu'il fait.'
-Lex !
"J'adore sa façon de prononcer mon nom. En général, j'ai horreur de les entendre gémir, crier, elles en font des tonnes, persuadées que ça m'excite, alors que ça m'exaspère. Pour résoudre cet épineux problème, j'avais trouvé une solution toute simple, mais remarquablement efficace : deux pièces de tissu, une pour les faire taire et l'autre pour les poignets. Comme toujours elles sont dans la poche de ma veste, mais là je n'ai aucune envie de m'en servir."
-Chloé !
'Mais d'où est-ce qu'il sort une voix pareille ? Elle fait vibrer l'air, en répandant une onde de chaleur. Rien que d'entendre sa voix prononcer mon nom, j'ai l'impression d'exploser.'
-J'ai envie de toi, Chloé !
'Cette simple phrase m'atteins en plein cœur. C'est plus que l'expression d'un simple désir physique je le sais, je le sens.'
-Prend-moi Lex !
"Les derniers vêtements, qu'il nous reste, commencent sérieusement à être de trop dans cette histoire. C'est elle qui tout à l'heure avait initié notre effeuillage, mais là c'est moi qui prend les choses en main. Je déboutonne son jean et je le lui retire ainsi que ses sous-vêtements. Je la contemple allongé là, nue, presque abandonnée. Sa respiration se fait plus difficile, je le devine aux mouvements anarchique de sa cage thoracique."
'Il a décidé de me torturer. Je suis allongée là, totalement nue, presque soumise et môsieur est encore à moitié habillé.'
-Lex ! Vite !
'Je ne m'attendais pas à ce que ma voix soit aussi suppliante. Il fait courir doucement ses doigts le long des courbes de mon corps. Son toucher est si délicat que je ne peux m'empêcher de fermer les yeux et d'apprécier la douce sensation de ses doigts sur ma peau. Quand je les rouvre, il est nu, enfin.'
-Viens !
"C'est comme si une barrière venait de céder. Je ressens le besoin de plonger en elle, immédiatement. Et c'est ce que je fais. Je ne vois même pas qu'elle essaye de m'arrêter, enfin pas à temps."
-Qu'est-ce qu'il y a ?
-J'aurais voulu que tu mettes un préservatif.
-C'est fait.
-Oh !
"Elle est soulagée, je le sens. Tous les muscles qu'elle avait crispés lorsque je suis entré en elle, se détendent. J'espère que je ne l'ai pas blessée de quelque manière que se soit."
-Je t'ai fais mal ? Peur ?
-Non, j'ai juste été surprise.
'Il reprend ses caresses avant de commencer à bouger en moi. C'est si bon. Je m'accroche à lui, j'ai comme un besoin vital de le sentir contre moi. Il en profite pour plonger en moi plus profondément encore. Ce que j'ai pu fantasmer ce moment, pourtant, j'étais très loin de la vérité. Dès l'instant où il a commencé à bouger, c'est comme si tout mon corps avait pris vie. Ses mouvements sont lents et doux. Chaque poussé fait déferler sur moi une vague de plaisir qui m'éloigne chaque fois un peu plus de la réalité.'
"Elle a l'air si petite, si fragile, que je veille à ne pas lui faire de mal. Elle s'est enroulée autour de moi, son petit corps chaud drapé autour du mien. Je m'enfonce dans le nid douillet que m'offre son corps pour y trouver un bien-être que je ne connaissais pas. Tout mon mal-être est chassé par la chaleur de ses caresses et la tendresse de ses soupirs."
'Je suis entrain de perdre pied. C'est comme si tous mes sens se mélangeaient. J'entends sa peau, je respire sa voix, je voix son parfum... Je suis sur le point d'exploser mais je voudrais que cette torture ne s'arrête jamais. Il a passé une main entre nous à la recherche du bouton.'
"Son orgasme est brutal. Tout son corps se cabre et ses muscles internes se referment violemment autour de moi, provocant ma propre libération, ma propre jouissance. Jamais le plaisir d'une femme ne m'avait donné autant de plaisir. D'habitude je donne et je prend en deux étapes bien distinctes, alors que là j'ai pris du plaisir à lui en donner."
'Il se laisse tomber mollement à côté de moi et me prend quelques secondes dans ses bras avant de se lever. Je ne peux m'empêcher de grogner de mécontentement.'
-Je reviens tout de suite.
'Il ressort de la salle de bain, entièrement nu. Je ne peux m'empêcher de le regarder, de détailler ce corps que je ne connaissais qu'habillé. Et je dois avouer que je ne suis pas déçue du spectacle.'
-Tu apprécies la vue ?
"Elle a rougi."
-J'avoue.
"Elle ouvre les draps, m'invitant à me réinstaller à ses côtés. Je la reprends doucement dans mes bras. Je suis presque d'humeur câline, décidément cette fille a un drôle d'effet sur moi. J'ai l'impression d'être allé un peu vite la première fois, aussi je reprend les préliminaires."
'Déjà ? Il a à peine fait un aller et retour jusqu'à la salle de bain qu'il est de nouveau repartit à l'attaque.'
-Oh mon dieu !
'Mais comment est-ce qu'il fait ça avec sa langue.'
-Désolé c'est pas dieu, juste Lex Luthor !
'Hein ? Lex Luthor est entrain de faire de l'humour, alors qu'il a la tête entre mes cuisses, y a vraiment un truc qui va pas ce soir. En attendant c'est le plus extraordinaire cunnilingus qu'on ne m'ait jamais fait. Quelques chose me dit qu'on en a pour la nuit...'
"Quelle heure est-il ? Et puis je suis où d'abord ? Des cheveux blonds ? Chloé ! Je me suis endormi là, à côté d'elle, dans son lit. Je réussi à voir son réveil, il est déjà huit heures passées. Normalement, à cette heure-ci, je suis déjà au bureau, même le dimanche, c'est ma secrétaire qui va être surprise."
'Huuummm ! Tient ? C'est quoi ce drôle de truc sous mes doigts ? On dirait de la peau. Lex ! Il est encore là. J'ai l'impression qu'il est déjà réveillé, étant donné sa main caressant mon dos.'
-Bonjour !
"J'entraperçois le vert de ses yeux entre les battements de ses paupières. Son regard a l'air un peu surpris."
-Bonjour !
"Sa voix est légèrement hésitante. Je prend sa main et la pose sur mon visage."
-Je suis bien là, tu vois. Malheureusement il va falloir que je m'en aille, je suis déjà en retard, ça ne m'était jamais arrivé depuis que je suis revenu à Metropolis. À cette heure-ci, je suis au bureau en temps normal.
'Là, c'est l'apothéose ! Tout ça, cette soirée, cette nuit, ce matin, c'est à classer dans la catégorie du bizarre. Il est déjà debout, il s'habille. Moi je reste encore un peu au lit, j'essaye de faire durer cet instant un peu plus longtemps. J'aurais voulu que ça ne finisse jamais, malheureusement c'est le cas et ça fait mal.'
"Je ne peux pas partir comme ça, elle doit savoir que cette nuit c'était plus qu'une simple histoire de sexe, plus que la satisfaction d'un désir physique. Je me rassois à côté d'elle sur le rebord du lit."
-J'ai passé une très bonne soirée, j'ai été heureux de te revoir, vraiment.