Auteur : StairwayToHell

Rating : M ! (R pour les anciens...J'en suis :P) Au début c'est pour des allusions et des actions (pas forcément sexuelles, désolée) que je déconseille aux âmes sensibles. Je dis ça, pour prévenir, je ne fais pas ma mère poule ou je ne sais pas quoi!

Genre : Romance, Drama

Avertissement : c'est un salsh, donc relation homosexuelle, alors s'il vous plait, juste pas de commentaire homophobe, c'est pas dur si on aime pas de faire page précédente !

Pairing : Harry/Drago

Disclamer : L'oeuvre appartient à JK Rowling, pas à moi, ce qui est franchement dommage. Par contre je suis vraiment contente de pouvoir dire l'intrigue me sort directement de la tête, contrairement à mes OS qui sont complètement inspirés de paroles de chanson et autre.

Note de l'auteure : Ah ah ! On dirait une blague, hein ? Genre : "Après presque un an d'absence tu reviens, auteure sale! Don't you daaaaaaaaaaaaare!"... Je suis VRAIMENT navrée, mais pour être honnête, je ne sais pas du où s'en va cette fic (et j'espère de tout coeur pas dans le mur ::S). Je ne sais pas si je l'ai déjà dit, mais quand j'ai écrit le prologue (il y a presque deux ans) c'était supposé être un Drago/...HERMIONE! lol! OUI! J'étais jeune et pure et naïve dans le temps (je me mettais à la place d'Hermione, voyez!). Quand ce plan est tombé à l'eau, j'ai juste deleté l'histoire de mon ordi et voilà, c'était fini, mais le prologue était en version papier. Un jour je l'ai relu, je le trouvais bon (des fois je trouve que ce que j'écrivais mieux l'année passée) alors je l'ai repris. Bref, le fait est que justement, je l'ai écrit il y a DEUX ans, ce prologue, après quelque mois, je l'ai réutilisé en slash pour cette fic et bon! ça fait longtemps, tout ça. Je ne suis plus vraiment dans le même mood, ces temps-ci et j'ai pas vraiment le temps d'écrire alors...Bin j'écris pas. Et l'autre jour, TADAM! Je suis tombé sur le chapitre 24 et 25 de SubEcst et j'ai décidé de les charger pour les retoucher et les poster (une chance d'ailleurs, parce que je ne suis plus capable...). J'ai changé le chap 25 en ATHAM(mon autre fic en cours) pour le poster alors je me suis dit "Bah! Fais une folie, poste le 24 de SubEcst !". Alors voilà où j'en suis. :D:D:D Vous êtes pas/plus fâchés, hein ?

Saaeliel Coucou ! Bon, tu ne dois plus te souvenir de ta review, je me souviens encore moins de la review que j'avais pu t'envoyer avant (on est quitte ? lol! Je rigole!), mais bon, on avait une belle "correspondance" avant que je fasse tout foirer, alors je vais tout de même tenter de te répondre de façon approprié, histoire que tu n'as pas la rancune trop tenace. Bon...déjà dans cette review tu me disais que j'avais mis les voiles pas mal longtemps...je crois que c'est officiel, I SUCK! Je m'excuse platement. XD Je te cite si tu permets : " Et puis, je sens d'instinc que je ne t'en voudrai pas pour ton retard. Nous jugerons à la fin du chapitre." La BONNE blague! C'est pas siiiii drôle, mais quand même, quelle coïcidence:P J'ai fini de relire ta review (je le fais chaque fois avant de répondre...je devrais peut-être répondre à chaud ça prendrait moins de temps d'un seul coup...hum?) et encore une fois, tes mots me vont droit au coeur. J'espère que tu seras encore là, malgré le temps que j'aurais mis à updaté et le souvenir certainement vague de cette histoire, parce qu'entend que lectrice et personne, tu m'es chère. Alors ? Quoi de neuf ? Es-tu toujours pompom girl emplatré ou pom pom girl tout court ? L'école ça va ? Qu'est-ce que tu fais, maintenant ? Niveau moral, ça va bien ? Tu sors? Tu bois? Tu fumes ? Sex, drugs and rock'n'roll ? As-tu ne serait-ce qu'encore une connexion internet ? Tellement de questions qui resterons peut-être éternellement sans réponses... Si tu lis ces quelques lignes, même si tu es trop fâchée pour me répondre d'une de tes impressionnantes review dont tu as le secret ou si tu trouves que je suis indiscrète, fais-moi juste signe, d'accord ? XxXxX, STH, à bientôt.

Read&Enjoy:)


Sublime Ecstasy

Chapitre 24

Deux jours. Cela faisait deux jours que Harry n'avait pas vu Drago et que Narcissa y veillait. En désespoir de cause, il avait essayé d'aller se plaindre pour des brûlures d'estomac, lui qui était du genre à banaliser la perte d'un membre, et là encore, il ne put le voir. Un mur magique avait été érigé autour de son lit, dans l'infirmerie, et il était impossible de le traverser sans mot de passe. Harry aurait le temps de mourir puis de revenir sous forme spectrale avant d'obtenir ce mot de passe. Il avait pensé demander à Peeves ou Nick-Quasi-Sans-Tête de lui apporter des nouvelles de Drago, mais Hermione le lui déconseilla. Tous les fantômes du château étaient si friands de potins qu'à peine auraient-ils rempli leur mission, ils s'empresseraient d'aller dire à tout Poudlard qu'Harry Potter demandait des nouvelles de Drago Malefoy.

 chaque heure qui passait, Harry détestait Narcissa Malefoy davantage et jalousait Pansy Parkinson. Si au moins il savait comment Drago était. Endormi ? S'était-il réveillé ? S'il était réveillé, se demandait-il où était Harry ou s'en moquait-il ? Ce silence tuait le Survivant et ces amis le ressentaient.

°§°§°

- Harry, murmura Hermione au beau milieu d'un cours d'histoire particulièrement plat. Je suis sûre que Drago va bien et qu'il ne va pas tarder à sortir.

- Hermione, c'est ce que tu dis depuis trois jours.

Mécontent, Harry s'affala à nouveau sur son bureau, remontant son volume de Histoire de la Magie de nos jours qu'il n'avait jamais lu avec autant d'attention. Pour la première fois de sa vie, hormis peut-être lors de son tout premier cours, il savait à quelle page, quel paragraphe, quel phrase et quel mot le professeur Binns était rendu.

Les deux dernières journées de cours avaient été les plus érudites de sa jeune vie. Il avait été attentif à chaque mot des professeurs. Il avait gagné des points dans presque toutes les matières et McGonagall avait sourit avec fierté quand il avait répondu à l'une de ses questions, ayant passé la nuit de la veille à réviser le cours.

Pour passer le temps et éviter de penser à Drago, il avait décidé de concentré toutes ses pensées sur le plan scolaire. Ses compagnons de Gryffondor, qui s'étaient à nouveau rapproché de lui en prenant l'exemple sur Hermione et Ron, le trouvaient beaucoup moins marrant qu'il ne l'eut été, mais déjà beaucoup plus que le restant de l'année.

- Tu pourrais aller demander à Parkinson, reprit Hermione en le coupant dans sa lecture.

- Laisse tomber.

- Tu veux que je lui demande pour toi ?

- Hermione, coupa sèchement Harry, je t'ai dit de laisser tomber, O.K. ?

Elle fit la grimace. Harry fronça sévèrement les sourcils, puis reprit le coure de sa lecture en annotant les paragraphes sur lesquels insistaient Binns. Derrière lui, Ron plaisantait avec Seamus tout en tapant des pieds la mélodie qui lui trottait dans la tête sur la chaise de Harry.

°§°§°

À l'heure du repas, Harry s'assit entre Neville et Hermione, en tête-à-tête avec Ron, et se servit une petite portion tout en discutant avec son amie. Elle avait fini par lâcher le sujet tabou, lui préférait les deux heures de Défense contre les forces du Mal qu'il aurait l'après-midi même avec Frank Blain. Elle abhorrait ce prof au moins autant que Harry avait honni Ombrage en cinquième année. Elle le trouvait absolument anti-pédagogue, n'ayant pas même le quart des capacités d'enseignement qu'avait le crapaud l'année précédente. Il ne leur avait encore jamais demandé d'ouvrir un livre, ne suivait aucun cursus, enseignait à chacun de ses groupes d'une façon singulière, craignant qu'il ne triche d'une façon ou d'un autre et avait divisé la classe par force, préférant n'enseigner qu'aux meilleurs. Quand elle se mettait à parler de lui, elle n'en tarissait plus de propos venimeux.

- …je vais retourner voir Dumbledore pour demander son renvoi, gronda-t-elle pour la vingtième fois. Je veux qu'il soit congédier comme le malpropre qu'il est ! Si c'était une option, il y a longtemps que j'aurais lâché, crois-moi, et je n'aurais pas été la seule.

- Il est trop tard dans l'année pour trouver un autre prof. Puis avec tout le boulot qu'il aurait, il ne réussirait pas à nous mener jusqu'aux examens.

- Pff ! Parlons-en des examens ! Tu penses que nous les passerons ? Je veux dire, bien sûr que nous les passerons, puisque ce sont des examens locaux, mais les cinquième et les septième années on des examens nationaux pour leurs Buses et leurs Aspics, comment veux-tu qu'ils réussissent ? C'est odieux !

Harry haussa les épaules. Il était puant d'égoïsme, mais franchement, il s'en moquait. Lui, passerait, les autres travailleraient d'arrache-pied, un point c'est tout. Celle qui prenait à cœur la cause de tous les pauvres et démunis de ce monde, c'était Hermione. Avant la SALE et maintenant ça. Il espérait seulement qu'elle ne fabriquerait pas d'immonde macaron qu'elle lui demanderait de porter, puis de vendre. Les elfes de maison lui avaient grandement suffit.

Puis ça le frappa soudainement.

- Oh mon Dieu ! chuchota-t-il.

- Quoi ?

- Je suis si con !

- Quoi ?

- C'est évident !

Un large sourire se forma sur ses lèvres au fur et à mesure qu'il y pensait.

- Harry ! s'exclama Hermione avec impatience. Quoi, bon sang ? Qu'est-ce que tu as ?

- Les elfes de maison, rétorqua le brun comme si c'était l'évidence même.

- Quoi les elfes de maison ?

- Hermione tu es brillante !

Il se leva d'un bond, prit le visage de sa jeune amie en coupe et lui plaqua un baiser sonore droit sur les lèvres. Il y eut un hoquet général de tous ceux qui les virent. Harry enjamba ensuite le banc et s'en alla par la grande porte du réfectoire, le pas conquérant, sous les regards ahuris de ses pairs.

Il se rendit rapidement dans la salle commune des Gryffondor et s'installa à une table en face du feu. Il sortit un parchemin et une plume et griffonna un mot bref, un peu emporté par sa bonne humeur.

- Dobby ! appela-t-il. Hé Dobby ! DOBBY !

Un pop ! et l'elfe apparut devant lui. Habillé d'une courte veste à carreau rouge et jaune et de ses bien trop célèbres chaussettes dépareillées, il s'approcha de Harry, le visage très anxieux. Il venait vraisemblablement des cuisines où il devait préparer le repas vu les tâches de sauce sur ses vêtements.

- Harry Potter monsieur, a appelé Dobby, monsieur ? Harry Potter a des ennuis ?

- Non, non, Dobby, s'empressa Harry en secouant la tête. J'ai un service à te demander.

Dobby sembla surpris, puis un sourire répugnant s'étala sur son visage. Il s'avança en acquiesçant vivement.

- Tout ce que Harry Potter monsieur voudra, monsieur.

- Pourrais-tu apporter ça à Drago Malefoy ? s'enquit Harry en lui montrant le mot qu'il venait d'écrire.

Dobby sursauta, puis resta interdit un instant.

- Drago Malefoy, monsieur ?

- Oui, Drago Malefoy.

- La maîtresse est là, monsieur, Dobby ne peut pas…

- Ce n'est pas ta maîtresse, Dobby, s'emporta Harry. Puis il ne faut pas qu'elle le voie, ajouta-t-il. Il faut que tu le donnes à Drago et que personne ne sache que je lui ai envoyé. C'est un secret. Tu dois lui donner en main propre, quand il sera seul et il faut qu'il te voie, d'accord ?

- Madame Narcissa Malefoy est toujours avec Drago Malefoy monsieur, monsieur. Dobby ne peut pas lui donner.

Harry commença à s'énerver. Ce n'était pas tant la réaction de Dobby qui le mettait en colère que cette maudite Narcissa Malefoy qui semblait très encline à réduire toutes ses chances à zéro. Quoiqu'il tente, elle était toujours là. Il était trop important qu'elle ne prenne pas connaissance de cette missive pour qu'il dise à Dobby de simplement donner le mot. Puis il ne pouvait pas non plus lui dire de la cacher sous l'oreiller de Drago, il pourrait ne pas la voir et quelqu'un finirait par tomber dessus.

Le jeune homme soupira de défaitisme en s'appuyant sur la table derrière lui.

- Dobby va essayer, monsieur.

L'elfe prit la main de Harry et la pressa, comme s'il tentait de l'encourager à garder espoir. Harry sourit faiblement.

- Tu l'as vu ? demanda le brun.

- Non. Ce n'est pas Dobby qui sert le repas de Drago Malefoy monsieur, monsieur.

- Mais il est revenu à lui, non ?

- Oui, monsieur. Selmy a dit à Dobby qu'elle avait vu Drago Malefoy monsieur, fâché.

- Fâché ? Pourquoi ?

- Selmy a dit que c'était à cause de Narcissa Malefoy madame, monsieur.

Harry fut surpris, puis un sourit incurva ses lèvres. Il donna à Dobby le mot et la créature la cacha dans la poche de son veston, juste à côté du cœur, puis la tapota en faisant un clin d'œil à Harry. Le Survivant le remercia et Dobby s'éclipsa dans le claquement sec caractéristique.

Suite à sa disparition, la cloche annonçant le début du cours de l'après-midi sonna et Harry se précipita en dehors de la salle commune.

°§°§°

Bien qu'il brise le système de caste qu'avait instauré le professeur Blain, Harry avait passé les deux heures du cours avec Hermione. A de nombreuses reprises, l'enseignant lui avait intimé l'ordre de rejoindre les adversaires à sa hauteur, des Serpentard pour la plupart à qui ça ne posait pas de problème de conscience de jeter des sorts dangereux. Harry avait fait semblant de faire un duel avec sa meilleure amie avant d'aller s'asseoir dans le fond de la classe pour parler plus librement en feignant étudier la technique des combattants.

- Vingt points en moins pour Gryffondor à tous les deux, glapit Blain en passant devant eux.

- Quoi ? s'écria Hermione.

- Pourquoi ? continua Harry, outré.

- Je désire plus de participation à mon cours de votre part, ainsi que plus de discipline.

- Nous ne sommes pas les seuls qui sont assis, grinça Harry.

Hermione lui donna un coup de coude dans les côtes.

- Nous observons les bottes de nos futurs adversaires, Monsieur, corrigea Hermione, studieuse. Il faut connaître son ennemi avant de l'affronter.

- Et vous pensez que vous saurez comment se battra votre ennemi en temps de guerre, mademoiselle ?

Hermione haussa un sourcil, nullement impressionnée, plutôt irritée.

- Pensez-vous que monsieur Potter, ici présent, s'est permis d'étudier les techniques de Vous-Savez-Qui ?

- Nous ne sommes pas en temps de guerre, nous apprenons à nous défendre contre les forces du Mal, ce qui passe par un période d'observation.

- J'espère bien que vous n'assisterez jamais à une guerre parce que vous mourriez, Miss Granger.

La jeune femme vira au rouge tant elle était hors d'elle, Harry l'observa en se répétant qu'il fallait un contrôle de soit impressionnant pour ne pas exploser à de telles paroles. Il ne pouvait qu'admirer son sang-froid.

- Allez vous faire voir, siffla-t-elle entre ses dents.

Elle se leva tranquillement et se dirigea vers la porte d'un pas déterminé.

- Je vous renvoie de ma classe, Miss Granger, s'écria Blain, devenu cramoisi. Ne vous avisez pas de remettre les pieds ici.

Harry, toujours soufflé, regarda Hermione fermer la porte, sans claquement théâtral, comme si elle ne venait pas de sortir de ses gonds. Bien sûr, il ne pouvait plus saluer son sang-froid et son respect plus qu'exemplaire face à son professeur, mais ce qu'elle venait de faire l'impressionnait plus encore que tout ce qu'elle avait fait jusque là. Il ne put retenir un sourire en revenant sur le visage gonflé et rouge de son enseignant.

- Potter ? lâcha Blain, la mâchoire crispé. Veuillez rejoindre votre groupe.

Harry se moqua ouvertement de lui en s'éloignant vers les Serpentard et entreprit un combat avec Blaise Zabini, le moins tête brûlée du groupe. Aucun des deux ne se souciait vraiment des combats ou du cours et il ne faisait qu'échanger des sortilèges comme on se lance une balle.

°§°§°

Le soir venu, Harry se coucha en même temps que les autres garçons tandis que Ron, comme les autres préfets, continuait sa ronde.

Aux alentours de minuit, le Survivant fut sorti de son sommeil par quelqu'un qui l'appelait et le secouait. Il battit des cils longuement avant d'ouvrir les yeux et vit une silhouette floue avec de grandes oreilles. Il mit ses lunettes sur son nez en reconnaissant Dobby et repoussa sa face plate bien trop près de son visage.

- Quelle heure est-il ? demanda l'élève. Qu'est-ce que tu fiches ici en pleine nuit ?

- Dobby a réussi, Harry Potter monsieur. Dobby a donné la lettre à Drago Malefoy monsieur, monsieur.

Cela eut le mérite de réveiller Harry aussi sec qu'un seau d'eau froide.

- Vraiment ? Est-ce qu'il a dit quelque chose ?

- Drago Malefoy monsieur a demandé à Dobby qui avait envoyé la lettre, monsieur, et Dobby a dit que c'était Harry Potter monsieur, monsieur. Est-ce que Dobby a fait une bêtise, monsieur ?

Harry sourit.

- Non, Dobby, non, non. Absolument pas, tu as très bien fait ça.

Dobby sourit, ravi d'avoir pu encore aider Harry.

- Drago Malefoy monsieur a aussi demandé à Dobby d'apporter quelque chose à Harry Potter monsieur, monsieur.

Harry se figea. Dobby chercha dans sa poche et sortit le même parchemin qu'il tendit à Harry au bout de ses longs doigts maigres. Harry hésita, puis prit le message.

- Merci, Dobby, tu peux t'en aller.

- Merci, Harry Potter monsieur. Bonne nuit, Harry Potter monsieur.

- Bonne nuit.

Pop !

Harry regarda le papier jauni sans trop vouloir le lire. Il se demandait si le fait que Drago ait pris le temps d'y répondre était bon signe. Peut-être était-ce seulement pour lui demander de ne plus lui écrire et d'oublier jusqu'à son existence.

La porte s'ouvrit sur Ron. Harry sursauta et cacha le papier sous son oreiller. Les deux amis se dévisagèrent en silence pendant de longues secondes. Ron se racla la gorge. Il prit son pyjama et partit s'enfermer dans la salle d'eau.

Harry se coucha sur le ventre, ferma ses rideaux et saisit sa baguette magique.

- Lumos, murmura-t-il.

Il reprit le mot et l'emmena sous le faible halot. Il déplia délicatement le parchemin et lut :

Tu me manques, j'espère que tu vas bien. H.

Je vais assez bien, merci.

Tu me manque aussi, j'ai envie de te voir.

Demain, attends Pansy à la fin du cours de Potion.

D.


À suivre...
Voilà, c'est tout pour le chapitre 24, je l'ai relu au grand complet (c'était presque comme lire une fic que je n'écris pas...:S) pour les fautes et les traits de dialogue alors j'espère qu'il n'est pas plein de faute et que vous l'apprécierez. Oui, il n'y a pas beaucoup de Drago, mais ce n'est qu'un chapitre sans son charmant visage...Vous pouvez tenir un chapitre, non :P

En espérant que personne ne m'en veut à mort.

STH