Disclamer : L'univers d'Harry Potter appartient à J-K Rowling et je ne tire aucun bénéfice de cet écrit.

Rating : PG-13 pour certains thèmes qui seront abordés tout au long de la fic. Eventuellement pour certaines injures….on sait jamais.

CINQUIEME CHAPITRE

Lord Voldemort…

« Alors chérie, on ne vient pas faire la bise à son papounet ? »

Mon père…

Non non vous ne rêvez pas, vous avez bien lu, cet enfoiré congénital mégalomane et psychopathe est bel et bien mon père… D'ailleurs si vous êtes étonnés, je vous rassure, vous n'êtes pas les seuls. A cet instant précis j'aurai pu danser la macarena en petite tenue sur les tables de la grande salle en criant « j'aime le rose » que l'effet n'aurai pas été différent. Stupeur, paralysie, décollement intempestif de la mâchoire, yeux exorbités, pneumonie foudroyante, il y eu même quelques évanouissements si j'ai bonne mémoire.

En fait je ne sais, même désormais, ce qui les a le plus choqué. Que Voldemort soit entré dans Poudlard ou bien qu'il soit mon géniteur ?

Et dans l'utopie même où certains d'entre eux auraient réalisé ces deux faits d'un seul coup, quels auraient alors été les symptômes ? Encore une nouvelle question existentielle, à n'en pas douter, qui vient s'ajouter à la très longue liste déjà existante, juste entre « Je pense donc je suis, si quelqu'un sait ce que je pense, est-ce qu'il est moi ? » et « Si on tirait les oreilles d'un Elfe pendant une partie de panpancucul, quelle serait sa réaction ? ». (1)

« Non, ma mère m'a appris qu'il ne fallait jamais parler aux inconnus avec des grandes capes qui veulent faire des papouilles aux pitits n'enfants, il paraît que ce n'est pas propre… »

« Sale gamine, j'aurai dû… »

« Me tuer lorsque tu en avais l'occasion ? Oui on me l'a souvent dit. Tu sais que tu te répètes Père, çà doit être l'âge qui veut çà… »

« Suffit ! Sale vermine, ton insolence te perdras….Doloris ! »

J'accusai le coup sans broncher.

« Aïe aïe ouille çà chatouille »

Il haussa un sourcil dubitatif et réitéra le sort suite à quoi j'éclatais cyniquement de rire.

« C'est ce que je vous disais à l'instant père, rien ne s'arrange avec l'âge. »

« Comment une sous vermine comme toi arrive à faire çà ? »

« La sous-vermine que je suis a des liens consanguins avec la pire raclure que cette terre ait pu porter jusqu'à présent, ça doit aider… mais ça tu le savais déjà, je me trompe ? »

« Tais toi ! Je ne veux plus t'entendre ! Tu m'as déjà causé assez de soucis comme ça… »

« Pourquoi ? Tu as peur d'entendre la vérité ? Tu sais, celle qui à été énoncée il y a des années de cela par la prophétesse la plus puissante de cette terre, ta propre femme, et qui disait, si mes souvenirs sont bons, Et dans ce chaos sombre, Une voix s'élèvera parmi les ombres, De son sang elle sera, De sa main il périra…

Alors je vais te parler franchement. Dans ce même Hall d'entrée sont réunies les trois seules personnes au monde potentiellement capable de t'anéantir. Harry Potter, ou autrement dit celui-que-tu-n'a-jamais-réussit-à-tuer-malgrè-tous-tes-efforts, Albus Dumbledore, un des sorciers les plus puissant de cette terre qui, dès qu'il aura digéré le fait que son école ai pu abriter ta fille, se réveillera de sa léthargie, et, le meilleur pour la fin…moi, ta fille, ou autrement dit, ton propre sang. Si aucun d'entre eux ne t'attaque c'est uniquement pour la sécurité de tous ces gnomes sur pattes, bien que personnellement cela ne poserai aucun problème qu'il y en aitune dizaine en moins… »

Tout au long de ma tirade je pouvais voir ses yeux, ces deux fentes macabrement rouges, luisantes de colère et de folie destructrice. Si un regard pouvait tuer, je crois que je serais morte depuis longtemps.

Les Mangemorts se rassemblèrent autour de lui, comme appelés par sa Force Mentale. (2)

Ils repartirent comme ils étaient venus…

En passant par la porte.

Avant de définitivement la franchir, il se retourna une dernière fois vers nous.

« On peut dire que vous avez de la chance. Mais cela ne s'arrêtera pas comme ça. Vous périrez. Tous. Bien que je réserve un sort particulier aux deux traîtres… »

« Va-t-en ou je te tue… »

« Tsss tss tsss, ces manières ne sont pas dignes d'une jeune fille comme toi, je me demande ce que ta mère à bien pu t'apprendre… »

Il transplana avant que je ne lui en fasse profiter un peu. Père ingrat.

Je restaislà, à fixer l'endroit où il se trouvait quelque secondes auparavant. Les poings crispés, je pouvais sentir mes ongles s'enfoncer dans mes paumes.

Pourquoi diable a-t-il parlé de deux traîtres ? Moi qui pensais être la seule personne de cet établissement doté d'une cervelle… encore un mythe qui s'effondre on dirait bien.

La pression d'une main sur mon épaule interrompit le cours de mes pensées.

Dumbledore à n'en pas douter.

« Melle White, il me semble que nous avons à parler. »

Gagné. Décidément, je suis trop douée…. Je vous ai déjà dit à quel point je suis douée ?

Le vieillard arborait une mine fatiguée, les traits tirés, son regard habituellement si pétillant de malice s'était changé en deux pupilles inquiètes. Cette vision d'un des hommes les plus puissant d'Angleterre me serra le cœur. Après tout j'en étais tout de même un minimum responsable. C'est donc avec un soupir résigné que je le suivis dans son bureau où je savais dors et déjà que nous aurions une longue, très longue discussion pénible et ennuyeuse pour moi, salutaire pour lui et le reste du monde…

Il appris comment Voldemort, Tom Jedusor à l'époque, avait mis ma mère enceinte suite à une soirée bien arrosée sans savoir que celle-ci était prophétesse, comment neuf mois plus tard j'étais née, comment il avait tenté de me tuer après avoir entendu la prophétie faite par ma mère, comment elle a pleuré de joie lorsque le ministère a annoncé sa mort peu de temps après, comment elle m'a tout enseigné pour que je puisse un jour accomplir la prophétie, comment elle a pleuré de douleur lorsqu'il nous a retrouvé 10 ans plus tard, comment j'ai hurlé de douleur lorsqu'il a essayé de me convaincre de me joindre à lui, comment j'ai plongé dans les paradis artificiels, comment je m'en suis sortie et comment je suis arrivée en ces lieux…

1.Bien que je connaisse déjà les réponses, vos propositions sont les bienvenues

2.A la base je comptai mettre « Mangemorts ! on rentre à la maison », mais après réflexion et sur un conseil de ma bétâ (oui, vous pouvez remarquer que les fautes se font moins nombreuses dans ce chapitre ), j'ai opté pour cette solution.

RaR :

Yumi : Ha mais si qu'on peut couper comme çà, la preuve, je l'ai fait :p

Moi1992 : #s'incline devant les applaudissements et les compliments# . Le pourquoi du comment-que-se-passe-t-il de la fille qui ne ressemble pas à une Mary-Sue malfaisante est que je n'ai pas cherché à « créer » le caractère du personne, j'ai juste pris exemple sur le mien (il y a certes une légère part d'imaginaire , moi j'ai pas de chaudron pour décompresser). Pour ce qui est de la contradiction, bah….#voir phrase précédente# #non non non, je suis pas du tout du tout une chieuse finie dans la vie de tout les jours, que néni#. Pour ce qui est des fautes d'orthographe, j'ai enfin investi dans une bétâ, j'espère qu'elles se feront donc beaucoup plus rares. Pour ce qui est de la tronche que tu tires, sache que les têtes de pischopathes ne me font pas peur ;p

Etoile Filante : la suite ? c'est maintenant

Mumy : J'avoue sans aucune honte :D

Tyto27 : si si je peut finir comme çà . Pour ce qui est de mon style, moi aussi je l'aime bien #se jète des fleurs#, d'ailleur……

#attention attention, danger, warning, moment de pure vénalité de l'auteur#

Si mon style vous plait un minimum, si vous voulez lire autre chose de moi que cette fic, je vous invite à venir faire un tour sur http / marjokismari01 . skyblog . com (sans les espaces, avec : et / en plus... ne veut pas les prendre apparement)

#fin de l'annonce purement publicitaire#

Aresse : je suis loin de me décourager, ne t'inquiète pas, je manque seulement de temps. Avant je manquai d'inspiration, maintenant je manque de temps. Et puis les reviews que je reçoit me poussent à continuer .

Je n'ai oublié personne ? Bon, et bien à la prochaine alors, je vous promet d'essayer de faire plus long en moins de temps. #j'ai bien dis essayer hein#.

Apluche tout le monde.