Diclamers : je rappel que seule l'histoire m'appartient les personnages et leur univers sont eux la propriété de JKR.
Je suis désolé, je ne peux pas répondre aux reviews pour ce chapitre, qui pourtant est le dernier...Mais j'avais le choix entre : ne pas répondre et poster aujourd'hui, ou répondre et poster en septembre, j'ai donc penché pour cette option. Ai-je eu tord ?
Merci tous ceux ou celle qui ont reviw, c'est à dire : Melhuiwen, Sly2Sy, Zazan, tête de noeud, Kitty-hp-16, Marine Malfoy, Lee-NC-Kass, Onarcula, Naera Ishikawa,Ingrid, Ivrian, Genevieve Black,Ariane Maxwell Shinigami, Kami, La Louve 79, Petite-crotte-seule-au-monde, Elelim, Zaz, Minerve, Celine 402, Kaorulabelle, lol, Lysbeth Berlawen , her-mio-neu et LADY
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Chapitre 10
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Qui était James ? Était il possible que Draco junior n'est pas toujours été comme il apparaissait aujourd'hui. D'après ce qu'il avait vu, Draco avait connu son frère enfant…
Était-ce réellement son frère ? D'après ce qu'il avait vu, d'après ce qu'il avait entendu le doute était permis.
Lucius sous-entendait qu'il n'en était pas le père du jeune Draco, était il possible que ce soit son Draco ? Toutes ces questions sans réponse, devenaient à une véritable torture. Il regardait Draco, et attendit son réveil.
Le temps passait, mais Draco ne se réveillait pas, il ne l'avait pas entendu revenir. Plus Harry le regardait se reposer, comme un bien heureux grâce à sa potion sans rêve, plus il se calmait. Les questions cessèrent de bourdonnées en lui, seules restaient l'images du jeune homme face à lui. Il se sentait partir, son esprit semblait s'éloigner de la pièce, et s'en aller vers un lieu inconnu. Il se remplit soudainement d'image de Draco.
Draco enfant le nez pincé, une expression pleine de mépris au visage…Draco sur son balai lors du match contre Griffondors en troisième année… Draco le regardant de ses grands yeux brillants juste avant de boire le Véritaserum… Draco allongé sous lui, criant son nom… Draco le regardant sur la voix 9 ¾ juste avant de disparaître... Draco au manoir, écoutant à la porte du bureau de son père, recueillant des informations pour l'ordre… Draco allongé sur un lit tremper de sueur… Draco marchant dans une pièce, étonnamment ventru… Draco se levant, une main soutenant son dos… Draco criant de douleur seul sur un lit… Draco serrant dans ses bras un nourrisson… Draco caressant le visage de l'enfant dans un geste de douceur immense…Draco, murmurant à l'enfant d'étranges paroles de bienvenues « Bonjour James, bienvenue parmi nous. Papa, n'est pas là mais je suis sûr qu'il viendra bientôt nous chercher »…
Dans un sursaut, Harry ouvrit les yeux, et sourit en voyant que ce n'était qu'un rêve. Il retint un rire moqueur en pensant au rêve, Draco enceinte, il ne manquait plus que ! Mais tout lui avait parut si réel, trop même, et en un sens si logique. Cela expliquerait beaucoup de choses.
Cela expliquerait pourquoi Lucius lui en voulait tant, pourquoi le visage de Draco junior lui semblait si familier. En y repensant, il se demanda pourquoi il n'avait jamais fait le lien. Le visage de l'enfant ressemblait à celui de son propre père d'une telle manière que s'en était effrayant, et si tentant. Il ne pouvait s'empêcher de rêver Si seulement ce rêve pouvoir avoir ne serait-ce qu'une once de vérité ! Il aurait ce dont il avait toujours rêvé, une famille. Hélas, les hommes ne pouvaient avoir d'enfant, il le saurait … Mais en même temps, si … non c'était impossible à moins que… non je le saurai. Mais si… il y avait plus que ça ? « Il y a des événements dans mon passée qui ont des répercutions dans ton future, dans le mien et pour d'autres encore… » Tels étaient les mots exactes prononcés par Draco.
Une naissance ?
Quel autre évènement pouvait avoir des répercutions sur tant de vies futures ? Il ne parvenait pas à imaginer autre chose. Son cerveau semblait comme focalisé sur cette idée folle. Il regarda Draco, si paisible dans son sommeil qu'il ne put se résoudre à le réveiller, il était toujours convalescent, il avait besoin de repos. Il sortit discrètement et il partit à la recherche de la personne qui pourrait sans aucun doute le renseigner : Hermione.
Elle avait dû lire tous les livres possibles et imaginables. S'il y avait la moindre chance pour qu'une telle chose soit possible, elle le saurait. Il avançait en direction des cachots, traversant sans bruit le château endormi.
Ce n'est qu'une fois la porte ouverte devant une Hermione, les cheveux en bataille, les yeux pleins de sommeil, et vêtue d'une courte robe de chambre, qu'Harry se rendit compte qu'il était tard. Il jeta un rapide coup d'œil à l'horloge derrière la jeune femme, et découvrit, non sans honte, qu'il était trois heure du matin.
« Harry ? Qu'est-ce que tu as ? » Lui demanda Hermione d'une voix roque.
« Excuse-moi, je.. je n'avais pas vu l'heure.. Je repasserais demain… »
« Harry, reste là, dis moi ce qui t'arrive ? Que je ne me sois pas levé pour rien ? Tu as fait un cauchemar ? »
Harry souris, « non pas vraiment… »
« Entre, expliques-moi, je vois bien à ta tête que tu ne vas pas bien… »
« Je ne sais pas par où commencer, ça a l'air tellement stupide…il pris une grande inspiration avant de se lancer. As-tu déjà entendu parlé de grossesse masculine ? »
« Pardon ? De quoi ? »
« Grossesse masculine »
La jeune femme le regarda surprise, réfléchit un instant avant de répondre.
« Non. »
Le visage d'Harry se décomposa en un instant, il y avait vraiment cru ! Il sentit des larmes lui piquer les yeux et se leva précipitamment, mais avant qu'il est pu sortir, Neville, qu'il n'avait pas entendu arriver, contredit les paroles de sa fiancée.
« Hermy, je crois que tu fais erreur. La grossesse masculine est une chose extrêmement rare, mais possible dans le monde magique. »
« Név, qu'est-ce que tu racontes, les hommes ne peuvent pas accoucher leur corps n'est physiquement pas conçu pour ! »
« Désolé de te contredire chérie mais tu te trompes. »
Harry regardait Néville et lui demanda comment il pouvait être aussi sur de ce qu'il affirmait.
« C'est simple, il y en a eu une dans ma famille. Mon arrière grand oncle si mes souvenirs son bon. D'après les dires de ma grand-mère, quand la magie de deux puissants sorciers se rejoint alors que rien en le prédisposent, leurs magies fusionnent jusqu'à crée un être unique, dont le potentiel magique peut être phénoménal si il est encouragé, correctement. Il me semble que le mage Grindelwakd, avait deux hommes comme parent. Évidement il n'a pas bien fini, mais après ça dépend vers quoi tu es encouragé ! »
Les paroles de Neville pénétrèrent dans le cerveau d'Harry, mais il ne réussissait pas à se faire à l'idée que cette idée qui lui semblait folle au départ avait de plus en plus de chance d'être vrai. La puissance de sa magie n'était plus à démontrer, quand à Draco, étant fils de sorcier eux-mêmes fils de sorcier depuis des générations, la question ne se posait même pas.
« Harry que se passe-t-il ? Assied toi tu es tout pale… Lui dit Hermione en le dirigeant vers le sofa. Harry parle, tu me fais peur, pourquoi toutes ces questions…Harry .»
Sous le choc de ce qu'il venait de découvrir, il raconta au jeune couple ce qui s'était passé au cours des dernières semaines…Il parla de Lucius, qui avait perdu la raison et se trouvait à st Mangouste, de Draco junior que n'était probablement pas le fils de Lucius, de l'autre Draco qu'il avait retrouvé prisonnier au manoir. Il révéla du bout des lèvres qu'il pensait que peut-être, Draco junior était leur fils, à Draco et à lui.
En entendant ça Neville eut un hoquet de surprise.
« Tu veux dire que toi et Malfoy vous étiez ensemble quand… AIE ! » C'était Hermione qui venait discrètement de lui mettre un coup de coude dans les côtes.
Harry hocha la tête en souriant.
« Et comment te sens tu vis-à-vis de ça ? »
« Je ne sais pas. Je suis venu vous voir car j'avais besoin qu'on me confirme que mon idée était folle, et maintenant qu'elle ne l'est pas, qu'elle est même plus que probable et …je ne sais pas quoi penser.
C'est atroce de se dire que on a peut-être un fils, et qu'on ne l'a jamais su, qu'on a été incapable de le protéger. Un fils qui se crois rejeter par un homme malade qu'il croit être son père, un fils qui est tout ce qu'on a toujours rêvé d'avoir sans pouvoir l'espérer. Un fils que l'on n'a pas vu grandir. Un fils qui a souffert d'un manque d'amour incroyable alors que moi, j'en avais plein à lui donner et qu'on ne m'en a même pas laissé l'occasion.. »
Au fur et à mesure qu'il parlait, il s'était levé, et approché de la porte.
« Je vais vous laisser dormir, merci. »
« Harry ! Tu veux dormir là ? Tu ne devrais pas rester tout seul… »
« Non, merci, je vais retourner à l'infirmerie et attendre qu'il se réveille. »
Il fit le trajet sans même s'en rendre compte, s'installa sur son fauteuil habituel et continua à penser, à se maudire pour ne pas avoir deviné plus tôt, Draco Junior, premier Malfoy depuis des générations à ne pas avoir les cheveux blonds. Il avait bien vu dans la galerie des portraits, et cela ne l'avait pas choqué… il aurait presque envie de se mettre des claques. Il finit par s'endormir, d'un sommeil sans rêve, lorsqu'il ouvrit les yeux, le jour se levait et des perles grises le fixaient intensément.
« Tu as regardé. »
Cette phrase, Draco l'avait dit simplement, sans la moindre trace d'accusation dans la voix, un simple constat.
Harry le regarda en répondant.
« Tu savais que j'allais le faire. Il resta silencieux un instant avant d'ajouter, je sais.»
Draco le regarda, haussant un sourcil.
« Je sais qui il est, qui nous sommes. »
Draco, pâlit et balbutia « Co.. com .. Comment.. ? »
« Je l'ai vu, tout simplement, j'avais un doute mais tu viens juste de me le confirmer… Dis moi… »
« Je ne sais pas où commencer. Tu as vu lorsque j'ai surpris mon père parler avec… »
« Ron ? Oui. »
« Ce jour-la, il m'a enfermé. Il a tenté de me mettre sous impérium, mais comme il m'avait lui-même appris à combattre le sort, ça n'a servis à rien. Ensuite a commencé la période des sermons. Chaque jour il venait me parler de mon devoir en tant que Malfoy, comme quoi je me devais de perpétuer le nom. Il a ensuite voulu me faire dire que c'était juste une expérience que j'avais fait pour te soumettre, pour te rabaisser à un état inférieur. Puis comme je persistais à nier, il a enchaîné avec l'idée que j'avais dû être contaminé, que c'était une sorte de maladie contre laquelle il cherchait un remède. Ça duré des semaines, jusqu'à ce que je sois malade, là il m'a dit que c'était une punition divine pour ma déchéance. Cette idée m'a fait rire, le voir se rabattre sur de soi-disant préceptes religieux, alors qu'il n'a jamais cru en Dieu m'a fait comprendre qu'il n'avait plus d'argument, qu'il jetait ses dernières cartes. Remarque qu'il ne m'a jamais parlé de ma trahison envers Voldemort, juste de ce qu'il appelait mes « déviances sexuelles ». Puis ma maladie s'est calmée, et pendant un temps lui aussi et j'ai cru qu'il avait abandonné. Mais quand j'ai commencé à me transformer, mon ventre s'arrondissant d'une manière qui ne laissait aucun doute quand à la raison. Il a recommencé, disant que je n'étais qu'un pervers dégoûtant, avec si peu de respect pour moi-même que je t'avais laissé me soumettre, qu'il ne comprenait pas qu'avec l'éducation que j'avais reçu je puisse devenir comme ça. Que j'avais pourtant eu l'exemple d'un homme, un vrai ! Il aurait pu me tuer, je l'ai parfois souhaité, mais il ne l'a pas fait. Quoique je fasse je suis et resterais un Malfoy, et je pense qu'il gardait cacher en lui le faible espoir qu'un jour, je revienne à la raison.
La grossesse c'est très bien déroulé, bien que je n'ai pas compris tous les changements que j'avais subi durant cette période, j'étais heureux de le sentir grandir en moi, malgré tous ce qui se passait autour. J'ai accouché seul, le 19 janvier. Dehors, le vent soufflait, la neige virevoltait, quand je l'ai vu, j''ai pensé à toi, à ta vie, et je l'ai appelé James, comme ton père. J'étais sûreque tu approuverais mon choix. Pendant, deux ans, nous avons vécut ensemble, dans une sorte de suite. Puis un matin, il avait disparu. Lorsque je l'ai revu c'était un nouveau moi. Ce soir là, j'ai compris que je n'avais plus qu'à attendre, soit que la mort me prenne soit qu'enfin les secoures arrivent, même si je n'y croyais plus… »
A cette instant, la porte claqua, puis ils entendirent des bruit de pas. Harry se leva et sortit sans réfléchir. Il savait que des paris avaient été lancés pour savoir quelle Maisons serait la plus rapide à découvrir l'identité du mystérieux patient. Mais il ne trouva personne.
Il était très tôt et de retour dans la chambre, ils parlèrent de l'enfant, de ce qui fallait lui révéler, Harry expliqua à Draco comment après s'être acharné sur lui pendant longtemps, il avait succombé à ses aires timides, à sa manière unique de s'exprimer, à la fois si incertaine et si charmante. Draco lui expliqua ce qu'il avait ressentit lorsqu'en ouvrant les yeux, il avait découvert ce visage prés de lui, ce visage dont il savait sans le moindre doute l'identité. Et combien il s'était sentit mal en prenant conscience que l'enfant, qui avait été la raison pour laquelle il n'avait perdu l'esprit dans toute cette histoire, ne savait pas qui il était.
Lorsque il fut temps pour Harry d'aller donner ses cours, la séparation fut plus dure que d'habitude. Les révélations avaient crée entre eux un nouveau lien, un lien indestructible. Lorsqu'il fut face à Draco junior, il sentit tout son corps s'inonder de bonheur, de fierté. Cet enfant était de lui. Draco et lui avaient su dépasser les frontière du possible et ils avaient crées cet être exceptionnel.
La personne qui les avait espionné était venue le voir d'elle-même. C'était Pansy. Elle voulait savoir si la rumeur disait vraie. Si le patient mystérieux était réellement l'ancien prince des Serpentards. Elle lui demanda quand elle pourrait aller voir le jeune homme. Harry, lui promit que Draco réapparaîtrait bientôt à la face du monde et qu'il serait heureux de trouver en elle un soutien. Elle le quitta en le félicitant. Elle était la première. Il en fut tellement heureux que les quatre maisons en profitèrent il distribua les points sans compter, d'une manière sommes toute irréfléchie, il voulait juste faire partager son bonheur.
Le soir venu, Harry et Draco étaient dans la chambre, et dans un silence tendu attendait l'arrivé du garçonnet, qui comme tout les vendredis passeraient après son cours de soin aux Créatures Magiques. Harry pensait qu'il lui faudrait aller voir Charlie, car il ne l'avait pas fait depuis l'arrivée du blond et son ami devait penser qu'il le fuyait. A cet instant la porte s'ouvrit sur la bouille joyeuse de l'enfant.
Le professeur Weasley vient de nous montrer des scroutts ? Vous connaissez ? C'est absolument horrible comme animal, j'imagine le tête de papa devant un tel truc !!!
A la mention du nom de 'papa' les deux adultes eurent un frisson : l'instant fatidique était arrivé.
Draco pris son courage àdeux mains, puis après une regard a Harry se lança. Il commença par expliquer que par le passé, Harry et lui s'étaient aimés, énormément, mais que les circonstances les avaient séparés. Il fit une pause, et lui expliqua que lui avait été d'une certaine façon enlevé et fait prisonnier, qu'il avait eu un enfant, ce qui était très rares, mais qu'entre eux c'était arrivé. Que être avec cet enfant, l'avoir, avait été ce qui avait de plus important à ses yeux mais qu'on lui avait retiré ce bonheur et que cet enfant… c'était lui.
Tout au long des paroles de Draco, le garçon les avait regardé l'un après l'autre, les yeux écarquillés, le visage plus blanc que d'habitude, en entendant les derniers mots, il s'était enfui en courant une expression d'horreur, de dégoût au visage.
Harry regarda la porte fixement attendant que l'enfant comprenne son erreur et revienne sur ses pas. Mais il ne revenait pas, la porte restait désespérément close. Il se tourna alors vers Draco qui, figé, pleurait en silence ;
« Draco ? »
Le blond tourna tête, ouvrit la bouche pour parler mais en fut incapable.
Harry le rejoignit sur le lit et le prit dans ses bras joignant ses larmes aux siennes.
Harry enfouit sa tête dans le cou du jeune homme, respirant son parfum, s'en enivrant. Sans y penser, il effleura de ses lèvres la peau sucrée du cou.
L'atmosphère se transforma en une seconde.
Harry embrassa alors chaque centimètre de ce cou tentateur, quand ce ne fut plus suffisant, ses mains se dirigèrent vers la chemise, qu'il commença à soulever, mais à sa grande surprise, Draco l'arrêta, il répondit à regard interrogateur d'Harry, les yeux baissés, presque honteux, qu'il avait changé, qu'il n'était plus le même qu'avant. Harry comprit soudain ce qui le gênait.
« Je suis comme toi. »
Regardant Draco droit dans le yeux, il ôta son propre T-shirt, révélant un buste, certes musclé mais où la guerre avait laissé des marques. D'un même mouvement, Draco, se retrouva lui aussi tosse nu.
Ils restèrent un instant immobile, perdu dans la contemplation d'un corps qu'ils pensaient ne jamais revoir, puis, d'un geste lent Harry se baissa et embrassa la longue cicatrice qui rebutait tant son amant. Il la lécha goulûment, voulant effacer les souvenirs de douleur qui y était lié. Il sentit un frisson les parcourir.
Et le départ fut donné. La passion qu'ils avaient tentée de contenir se déversa en eux, les submergeant. Ils furent nus sans qu'aucun ne sache comment cela était arrivé. Leurs deux corps se souvenaient, se touchaient, se frottaient frénétiquement, leurs mains partaient en terrain de reconnaissance, impatientes. Leurs bouches ne s'arrêtaient jamais, ou à peine un instant pour respirer. Elles embrassaient, mordaient, léchaient, caressaient, suçaient tout ce qu'elles trouvaient, chaque parcelle de l'autre était un véritable appel. Leurs membres se tendaient cherchant l'apaisement que seul l'autre pouvait lui donner.
Leurs mains, comme poussées par une même force, trouvèrent le chemin de leurs virilités, si douce et pourtant pleine de vigueur. Sans cesser de s'embrasser, ils commencèrent un long va-et-vient source de plaisir, et de souffrance. Ne pouvant attendre plus longtemps, Draca saisit le main de son amant, et la mit dans sa bouche, la lécha, puis dans un geste aussi doux que directe la posa sur ses fesses. Le regardant dans le yeux, Harry enfonça doucement un doigt à l'intérieur du blond gémissant, d'un mouvement de plus en plus rapide au fur et à mesure qu'il le préparait. Il ajouta un doigt faisant crié son aimé de plaisir, tout autant que de douleur. D'un mouvement brusque Harry retourna Draco, ne pouvant supporter de ne pas se sentir en lui, le blond se tendit vers lui, tout aussi impatient. En dépit de sa hâte, Harry le pénétra lentement, voulant à la fois faire durer cet instant magique et qu'il se passe sans douleur pour Draco. Mais cette lenteur était au yeux du blond le pire des supplices et dans un cri de frustration tout autant de plaisir il lui dit d'aller plus vite. N'attendant que ce signal, Harry accéléra, tenant dans sa main le sexe de Draco, il lui fit suivre son mouvement jusqu'à ce qu'ensemble, ils atteignent l'extase dans un cri de pure jouissance. Leurs corps s'apaisèrent doucement, puis Harry porta sa main à sa bouche et lécha la semence de son amant. Ils restèrent ainsi, emboîter, refusant que cela s'arrête. Ils séparèrent doucement, douloureusement. A moitié assoupi, Harry les recouvrit d'un drap, puis se serrant sur le petit lit de l'infirmerie. Ils se laissèrent envahit par le sommeil. Mais avant de sombrer complètement, dans son dernier sursaut de conscience ils murmurèrent simultanément.
Je t'aime.
Puis dans un soupir de bonheur, ils s'endormirent. En s'éveillant la lendemain, ils se retrouvèrent, heureux que cela n'ai pas été un rêve. Sans un mot, ils s'embrassèrent. Quand dix bonnes minutes plus tard, ils sortirent de leur bulle de bonheur, ils virent sur le seuil de la porte, un Draco junior, les regardez, gêner, tout rouge, mais avec le sourire aux lèvres.
Fin
Et voilà, c'est la fin. C'est la première fic que je finis alors je suis un peu émue…je voulais juste vous dire un grand merci, pour avoir lu et rewievé surtout que nous avons dépassé les 100reviews, donc MERCI. Entout cas, J'espère que la fin vous a plu. Bonne vacance au chanceux qui parte, bon courage aux autres et à bientôt..