INCONNU
DISCLAIMER : Les personnages de Harry Potter appartiennent à JK Rowling et la présente histoire sort tout droit du brillant cerveau de SilverDragon161.
RATING : R (lemon dans ce chapitre)
Je vous présente mes plus plates excuses pour le temps que j'ai mis à traduire l'épilogue. Il était assez long, comme vous pourrez le constater, et je manquais singulièrement de temps. J'espère que vous ne m'en voudrez pas trop.
RAR
Onarluca : Hello ! Merci beaucoup pour ta review, je passerai le message à l'auteur. Je pense que sa plus grande récompense c'est que son histoire t'ait intéressée jusqu'au bout. Mon couple de prédilection est Harry/Draco mais je me demande si je ne vais pas m'intéresser de plus près à Sirius. Je verrais bien un Sirius/Severus. Pour l'instant je ne pense pas traduire d'autre histoire, du moins pas jusqu'en février, après je verrai si je trouve l'histoire. Mistakes, du même auteur me plait beaucoup, quoique je préfèrerais rester dans l'humour (je ne suis pas très douée pour l'humour étant donné que j'ai le même que SilverDragon161, mes tentatives se rapprochent beaucoup trop de Inconnu). Il faut juste que j'aie un gros coup de cœur, comme celui que j'ai eu pour cette fic. Encore merci et à plus !
Alfa : Je transmettrai le message ! Merci beaucoup d'avoir suivi cette histoire, et de l'avoir reviewée. J'ai failli tomber dans le panneau au début. Je pensais que Draco était rentré chez lui. Mais tout est bien qui fini bien. Bisous.
Melhuiwen :
Coucou et merci à toi ! Toutes les bonnes choses ont une
fin mais c'est triste. J'adorais cette fic ! Mah non tu n'es
pas ridicule, si tu m'avais vu danser quand j'ai vu l'update !
lol J'ai vraiment cru que je n'arriverais jamais à finir
le chapitre cette nuit mais, hourra, je n'ai pas craqué lol.
Je suis trop contente que tu updates « Je t'aime moi
non plus, » je l'attendais avec impatience (moi non
plus, la patience n'est pas ma vertue. Lol)
Moi aussi j'ai
déliré sur le passage des coco pops, bonjour la
réflexion philosophique de Draco alors qu'il est en train de
parler avec Harry ! mdr
J'ai bien aimé le moment où
Draco essaye de dire à Harry ce qu'il veut. Et Harry,
grandiose, plein d'espoir, d'appréhension et d'humour.
L'homme idéal quoi.
Bisous !
Zazan : Merci beaucoup à toi ! - Attendons à présent l'épilogue, j'espère qu'il arrivera vite. A bientôt !
Chris52 :
Merci beaucoup pour cette review qui m'a encore fait écrouler
de rire sur mon clavier. ça va vraiment me manquer tes
délires avec Draco, Harry et Fred qui vient toujours mettre
son grain de sel dans l'histoire. Mdr. Meuh non Draco n'est pas
toujours la victime ! lol Je l'ai trouvé adorable dans
le chapitre 12, quand à Harry, c'est l'homme idéal
dans cette fic. J'espère que la suite ne tardera pas
trop…pour la dernière fois. Je vais pleurer.
Grosse bise
à vous tous (lol).
Melykumo : Hello ! Merci beaucoup à toi, je vais moi aussi attendre l'épilogue, même si je n'ai pas envie que ça se termine. « Adorables » est tout à fait le terme qui convient pour décrire Draco et Harry dans cette fic. Ils vont me manquer. Merci également pour Trauma, je suis contente que le chapitre 4 t'ait plu. A bientôt ! Kisu.
Jadou : Je suis assez triste que cette fic se termine. La traduction me prenait du temps mais j'adorais, moi aussi, ce Draco têtu et en plein déni, pendant que Harry se consumait d'amour. Au moment où je te réponds, je n'ai pas l'épilogue mais, promis, dès que je l'ai, je le traduis en vitesse. On ne peut pas dire que j'ai été lente sur le chapitre 12, je l'ai eu à 1h du matin, à 8h il était en ligne. Lol. Merci d'avoir suivi cette histoire et à plus ! Bonne dernière lecture ! snif. Bisoux !
Genviève Black : Holà Senora One Shot ! lol. Si tu déverses ta peine dans les mots et que tu nous offres des écrits aussi beaux que ceux que j'ai déjà lu, alors ne bouge pas, je vais te faire souffrir. Lol. Sérieusement, je te remercie pour l'attention que tu as porté à cette histoire, elle le méritait amplement car l'auteur a un talent hors du commun (me demande si je ne vais pas devenir sa traductrice officielle lol). Ça me fait, à moi aussi, un petit pincement au cœur de ne plus attendre de savoir comment Draco va encore nier son amour pour Harry et comment Harry va faire pour le calmer lol. Même si la traduction me prenait beaucoup de temps, c'était toujours un plaisir de m'occuper de cette histoire. J'espère que l'épilogue sera vite là. A bientôt sur un de tes One Shots vibrants ou sur une fic plus longue, qui sait ? Bisous.
Mifibou : Merci à toi. Il est clair que c'est facile de retrouver le fil de l'histoire, elle est plutôt marquante lol. Je transmettrai ton message à l'auteur, ça va lui faire très plaisir d'avoir des retours sur la fic en français (à sa place, j'aurais un peu peur qu'on fasse n'importe quoi avec mon histoire lol). Gros bisous à toi. A bientôt !
Shany-Blue Pendragon : Je suis d'accord avec toi, les meilleures fics sont toujours les plus courtes. Ça ne m'aurait pas dérangé de traduire encore 30 chapitres lol. Merci d'avoir suivi cette histoire. A bientôt !
Vif d'Or : Merci beaucoup à toi d'avoir suivi cette fic absolument géniale. C'est vraiment sympa à toi d'aller donner un retour à l'auteur, ça va lui faire très plaisir, c'est certain. Je me demande si je n'aurais pas un peu peur si une de mes histoires était traduite sans que je sache si c'est bien fait ou pas…elle a du courage lol. Merci à toi. Grosses bises et à bientôt. -
Luffynette 1, 2, 3, 4, 5, : Merci beaucoup à toi. Je suis touchée que tu aimes ma traduction. J'ai adoré ton idée de mettre un petit mot à chaque chapitre. Je suis contente que cette histoire te plaise, il est vrai que l'auteur a beaucoup de talent. XD
Lemoncurd :
Tu me connais trop bien ! mdr. C'est clair, j'ai trouvé
que Harry forçait un chouille la main de Draco en lui disant
je t'aime. Mais bon, j'ai bien aimé le « pareil »
de Draco. Cette fic va me manquer. Moi aussi (tu vas sortir de ma
tête ??!! lol) j'aurais voulu que Draco parle à
Harry de son passé mais SilverDragon161 pense qu'il vaut
mieux nous laisser imaginer que Draco réussira à se
confier et que Harry ira botter le cul des méchants (mouais,
un peu de flemme là-dessous à mon avis lol. C'est
clair qu'avec une telle discussion, il fallait rajouter un ou deux
chapitres. M'enfin, j'aurais bien aimé la lire cette
conversation.) Sinon j'ai trouvé les deux personnages trop
mimi aussi.
Merci beaucoup à toi et à bientôt.
Bisoux.
Sevie Snake : J'y ai cru aussi lol. Et j'ai aussi cru qu'il y aurait des badges pour la CDLA ! OO J'avoue qu'après une nuit complète à traduire, je vais fonder le CDLAbis, pour les Complètement Dégoûtés par la Langue Anglaise lol. Un petit mariage ou une belle petite demande en mariage dans l'Epilogue me plairait bien. Voici donc la toute fin. Snif. Merci à toi et à plus. -
Yohina : Hello. Merci d'avoir lu cette fic. Je suis vraiment contente qu'elle t'ait plue. J'en suis tombée raide amoureuse dès que j'ai lu les premiers chapitres lol. Je transmettrai tes compliments à l'auteur, ça va lui faire vraiment plaisir. « Adorable » c'est exactement le mot que j'utilise avec l'auteur pour décrire Draco dans cette fic. Il est touchant avec son coté tête de mule qui ne veut surtout pas admettre qu'il est fou de Harry. Et Harry est génial en mec parfait. Cette fic me manquera. Encore merci et bonne dernière lecture. A plus. Bisoux.
Aaliyah : Coucou. Magnifique pseudo en référence à une magnifique chanteuse. Je te remercie d'avoir suivi cette fic et je dois dire qu'elle va me manquer. Je suis contente que ma traduction t'ait plue, je n'aurais pas voulu traduire n'importe comment. Bonne lecture et à plus. Bisous.
Margarita6 : Merci d'avoir été fidèle à cette fic. Elle va me manquer (qu'est ce que ça va être quand je terminerai mes propres fics. Je vais pleurer, comme SilverDragon161 sur cette fic.) Je suis à 100 pour 100 d'accord avec toi, Draco est un sucre et Harry est le petit ami que tout le monde veut avoir. Je te fais d'énormes bisous ma puce. A bientôt.
Luffynette 6 : Merci, c'est vraiment excellent cette façon de commenter chaque chapitre. Lol. Et merci d'apprécier ma traduction.
Luffynette 7 : Tout à fait d'accord avec toi, ce chapitre était troppo bellissimo.
Luffynette 8 : Toi aussi tu trouves ? Personnellement, je ne pouvais pas la lire sans vouloir la traduire, elle est trop belle.
Lyffynette 9 : -
Luffynette 10 : N'empêche, heureusement qu'il était là Fred, sinon Draco n'aurait jamais compris.
Luffynette 11 : C'est clair ! On a failli croire que ça n'arriverait jamais avec ce Draco là ! lol.
Luffynette 12 : Je m'attendais aussi à ce que Draco parle de son passé à Harry mais visiblement, l'auteur ne veut pas. Elle préfère qu'on imagine la conversation. C'est dommage.
Yami-Aku : Coucou, je suis contente d'avoir de tes nouvelles. J'adore ta nouvelle fic, au passage…enfin, votre nouvelle fic. Moi aussi, je gagatise complètement. Ils sont si mignons dans cette fic. Elle va me manquer. Encore merci à toi et à bientôt ! Bisous. PS : ça fera très plaisir à l'auteur que tu lui laisses une review, merci !
Origine : Merci merci merci, j'adore vraiment ce que tu fais. Je crois que si je n'étais pas là pour traduire cette histoire, il y a fort à parier que quelqu'un d'autre l'aurait fait, parce qu'elle est vraiment excellente. Lol. L'auteur a un talent certain. A bientôt. Bizz.
Her-mio-neu : Personne n'a abandonné, surtout pas moi, j'adore cette histoire lol. Il est vrai que SilverDragon161 met beaucoup de temps à updater mais ça vaut toujours le coup d'attendre. Je suis aussi un peu triste que cette histoire se termine parce qu'elle est vraiment excellente. Je te remercie de l'avoir suivie jusqu'au bout et je te fais de grosses bises.
Tête de Nœud : Merci à toi d'avoir suivi cette histoire jusqu'à la fin. J'ai aussi beaucoup aimé cette réaction de fierté et de défense du territoire de Draco. Son coté « j'agis comme si de rien n'était » m'a bien fait délirer. Sa façon de déduire tout ce que Ginny attendait en arrivant m'a fait pas mal rire aussi. Elle va me manquer aussi cette fic. Bye bye.
Kamy : Merci beaucoup. Je suis vraiment contente que tu aies aimé cette histoire. Dommage que ce soit déjà la fin. Bonne dernière lecture. -
Lee-NC-Kass :
Coucou vous ! Alors vous travaillez quand même dur ?
Comment ça se passe ? Les profs sont sympas ?
(Remarquez, ce n'est pas la première chose qu'on leur
demande mais ça fait toujours plaisir d'avoir un prof
sympa).
Vous avez vu comme j'ai été gentille de
résister à l'appel du sommeil rien que pour vous ?
mdr. Bon ok, je me fais vieille et j'ai mis 15 ans à m'en
remettre. -
C'est clair que Harry serait allé chercher
Draco s'il était parti, et ça aurait pu être
marrant aussi. Lol. Au début, je pensais réellement que
Draco était rentré chez lui et je commençais à
le maudire.
C'est vrai que quand on voit comment est décrite
Ginny, on a du mal à croire que ce soit elle mais bon,
visiblement, la guerre l'a marquée. Draco est trop chou
quand il commence à voir rouge et Harry qui vient vite vers
lui…adorable.
Cette histoire va vraiment me manquer mais toutes
les bonnes choses ont un fin. Je vais aller pleurer dans mon coin
çç
Encore merci à vous d'avoir suivi cette
histoire et de m'avoir encouragée et fait rire avec vos
excellentes reviews. A bientôt. Kisses.
Loreilaï
Yuy (sans décliner tous tes titres lol) : Et pourquoi
ne seraient elles pas intéressantes tes reviews ?! Je te
remercie beaucoup d'avoir suivi cette histoire qui touche
maintenant à sa fin (snif).
C'est clair, Ginny a
vraiment changé et le passage avec elle et Draco qui
bouillonne intérieurement était drôle. Sinon oui,
le reste était un peu plus sérieux.
Alors là,
je suis tout à fait d'accord avec toi : Draco avec la
chemise de Harry, ça donne un peu envie de baver. (je me
répète donc ton troisième mantra lol). Le
dernier chapitre vient tout jute d'être publié et je
me suis démenée pour le traduire rapidement (mini hola
pour moi mdr)
Je te souhaite une bonne dernière lecture.
Bizuzz.
Poisson Rouge : Merci beaucoup à toi, je suis contente que cette histoire t'aie plue. J'ai transmis le message à l'auteur qui te remercie également. Elle est heureuse que son histoire ait été appréciée. Voici donc la toute dernière update, j'espère qu'elle te plaira. Bonne lecture.
Antedaemonia :
Merci beaucoup de ma part et de celle de l'auteur. Je suis d'accord
avec toi, cette histoire est excellente et elle va me manquer aussi.
J'ai adoré la traduire et je me suis, moi aussi, pris de
bons fous rires. J'aurai, effectivement plus de temps pour mes
autres fics lol. J'en ai commencé une, mais je vais attendre
d'avoir fini au moins une de mes fics en cours avant de la
continuer. Et puis j'ai écris un chapitre de fic
humoristique (ça me change) mais, comme l'auteur de Inconnu
et moi avons à peu près le même genre d'humour,
mon chapitre a l'air d'être un pauvre plagiat de Inconnu
donc j'abandonne.
Ouahhh, alors là, si tu illustrais une
de mes fics, ça me ferait vraiment léviter. Je ne te
propose pas d'illustrer une des tiennes car tu te retrouverais avec
un dessin digne des gamins de maternelle. - Voici donc l'épilogue,
j'espère qu'il te plaira. Pour ma part, je vais aller
pleurer cette fic terminée. A bientôt !
Maria : Merci beaucoup pour ton compliment sur ma traduction, je suis contente qu'elle t'ait plue. Je suis d'accord avec toi, Draco amoureux est trop chou. Voici la suite et la fin de l'histoire, en espérant qu'elle te plaise. A bientôt !
Dark Lizard : Bonjour et merci beaucoup à toi. Je passerai ton message à l'auteuse, sans tarder. Tu as tout à fait saisi de quoi il retournait avec Draco, ses insécurités qui l'obligent à se comporter d'une manière qui va à l'encontre de ce qu'il ressent. Tout cela le tourmente et, grâce au talent de l'auteur, on passe du rire à l'émotion en quelques lignes. Je te remercie également d'avoir aimé ma traduction et je dois dire que cette fic va beaucoup me manquer. J'espère que l'épilogue te plaira. Bonne lecture !
Vert Emeraude : Je te remercie pour ta review et je suis très contente que cette histoire te plaise. Personnellement, je l'adore, l'auteur est excellente. Voici donc la suite et la fin, en espérant qu'elle te plaira. Je suis désolé d'avoir tardé à la traduire, mais ce chapitre était vraiment long et je manquais de temps. Bonne lecture et à bientôt !
Sahada : Merci beaucoup de la part de l'auteur. J'espère que l'épilogue te plaira aussi.
Fébla :
J'espère que tu as pu récupérer un peu de
sommeil après ta lecture jusqu'à 2h00 du matin. Je te
remercie beaucoup d'avoir eu assez confiance dans mes goûts
pour lire cette fic de SilverDragon161. Tu as tout à fait
raison, elle est d'une grande qualité humoristique et
j'avais à cœur de la traduire en gardant le ton employé
par l'auteur. Le personnage de Draco y est vraiment très
attachant et Harry, qui ne parle pas beaucoup y est très
impressionnant.
Je suis vraiment contente que tu aimes cette
histoire dont voici l'épilogue. J'ai mis un temps fou à
le traduire car il est très long, et puis quelque part, je
n'avais pas envie d'en finir avec cette histoire que j'adore.
Encore merci et à bientôt !
Dawn456 : Merci de ma part et de celle de l'auteur. Je suis très contente que cette histoire te plaise. Je suis désolée pour le temps que j'ai mis à traduire l'épilogue, il était long et je n'avais pas beaucoup de temps. Encore toutes mes excuses, j'espère en tous cas qu'il te plaira.
Aresse : Coucou ! Je suis contente de te retrouver dans cette fic. Merci beaucoup pour ta review, je suis heureuse que l'histoire te plaise. Personnellement, je l'adore et dès que j'ai commencé à la lire, j'ai voulu la traduire. Ça a été un vrai plaisir pour moi (à part l'épilogue qui était très long) et je dois dire que cette fic va me manquer. Elle est tellement drôle et émouvante. Enfin bref, merci beaucoup et j'espère que les écrits de SilverDragon161 t'ont intéressé. Elle a écrit des one shot superbes, et sa fic « mistakes » est géniale, même si je ne suis pas très mpreg. Bisous et bonne lecture !
Synopsis : Hello. Je suis affreusement désolée d'avoir tant tardé à traduire l'épilogue. Je n'ai pas eu une minute et il était assez long. J'espère cependant qu'il te plaira autant que le reste de la fic. Bisous et encore toutes mes excuses.
Alinemcb54 : Je suis très heureuse que cette fic te plaise. Voici l'épilogue, très en retard et j'en suis vraiment désolée. Bonne lecture à toi et merci.
WendyMalfoy : Merci à toi d'avoir lu cette histoire et je suis désolée pour le retard que j'ai mis à traduire l'épilogue. Si tu es comme Draco, à tout exagérer en pensées, j'aimerais bien pouvoir lire tes pensées lol. J'ai particulièrement aimé sa façon de s'indigner en exagérant tout. Cette histoire va vraiment me manquer. J'espère que l'épilogue te plaira. A bientôt !
Zoomalfoy : Coucou miss ! Merci beaucoup pour le pull, avec tous ceux que tu m'as flingués ! lol. Tu es donc la 200eme ! Pour toi, je vais accélérer la traduction (honte à moi, j'en suis à 20 lignes au moment où je te réponds !) Promis, je mets le turbo pour te remercier d'être la 200eme et de me gratifier de tes supers reviews déjantées, où tu sors ton bazookàzoo ! Bonne année à toi et bonne continuation ! Bizzzz !
Kaorulabelle : Merci d'avoir lu cette fic dont voici l'épilogue (je vais aller pleurer ! lol). J'espère qu'il te plaira autant que le reste de l'histoire. A bientôt !
Dragon Tears Wing : Merci beaucoup, thank you so much. Je suis contente que tu aimes la traduction. SilverDragon161 est très amusante, c'est vrai. Kiss !
EPILOGUE
EN C-O-L-E-R-E. En colère, c'est ce que je suis – en ce moment même – en pleine éruption. La plus grosse colère que le monde ait jamais connue, la plus grosse et – selon moi – la plus grande. Oh oui, personne ne pourra jamais égaler mes colères.
« Draco, s'il te plait. »
Harry soupire à cause de moi, passant ses doigts dans ses cheveux sombres, les tirant presque pour rassembler sa concentration sur le travail qui s'étale devant lui. Mais je n'abandonnerai pas, il me m'aura pas à coups de « Draco, s'il te plait ! » Je mets une énergie considérable dans ma colère, et je ne me démène pas pour obtenir un simple « Draco, s'il te plait » de sa part.
« Harry, je vais compter jusqu'à trois. Trois ! Et après je m'en vais. » Je montre la porte fermée de son bureau, située derrière moi. « Et tu ne me reverras plus jamais, et si tu ne me crois pas…Un… » Voilà qui devrait attirer son attention.
Avec un grognement bruyant, il se tape la tête contre son bureau…plusieurs fois. Aie, ça doit faire mal à son petit cerveau.
« Deux… » Je ne cèderai pas, mais doit-il vraiment continuer à faire ça ? Quant même, il va se blesser s'il continue à se taper la tête de cette manière.
« Trois. Très bien, Potter. Je m'en vais ! Au revoir ! » Sur ce, je tourne les talons, sans lui accorder un autre regard alors que je me dirige vers la porte.
Au moment de l'atteindre, je ralentis un peu. Il ne va donc pas essayer de m'arrêter ? J'attrape la poignée. Bon sang, pourquoi ne me crie-t-il pas de m'arrêter ? J'abaisse la poignée. Il devrait me supplier de rester. Je la tire…
Elle est fermée à clés.
En tirant plus fort, je parviens à accepter le fait que cette porte est vraiment fermée à clés. Ça m'a été confirmé après que j'aie tiré pour la cinquième fois et qu'elle soit restée immobile – m'empêchant de faire ma sortie dramatique. Je vous jure que cette porte était ouverte il y a quelques minutes. Je le jure sur la tête de Merlin. Potter !
Je me retourne lorsque j'entends un petit rire – un petit rire ! – je lance à mon copain le pire des regards assassins. Quel genre de copain il est ! Il m'a enfermé. Enfermé !! Quels genres de copains vous enferment lorsque vous décidez de sortir de leurs vies ?…Et je préfère qu'on ne réponde pas à cette question.
Il est appuyé contre son bureau – s'étant, à un moment donné, levé de son fauteuil et ayant fait le tour du bureau. Ses bras sont croisés contre son torse, ses longs cheveux noirs tirés en arrière en queue de cheval qui tombe de manière désordonnée sur sa nuque, ses yeux dardés sur moi, dans lesquels danse un amusement impardonnable, que je ne pardonnerai pas.
Pour qui se prend il ? Me regarder avec amusement…Pourquoi, je devrais…Je sens un de ces grognements naître dans ma gorge, mais je ne lui donnerai pas le plaisir de l'entendre ; je sais qu'il trouverait ça encore plus amusant. Mes doigts me démangent. J'ai envie de m'arracher les cheveux, alors je serre les poings pour les maintenir à mes cotés.
« Déverrouille cette porte, Potter. » Oh, je veux voir un tressaillement. Je veux voir un tressaillement tout de suite !
Au lieu de ça, le bâtard se marre, et il secoue la tête, comme s'il ne pouvait croire que je soies assez stupide pour demander ça. Et si jamais il pense à dire une chose pareille, je n'hésiterai pas à le découper en morceaux.
Il se décolle de la table, en approchant de moi lentement. Son regard est plongé dans le mien, un doux sourire se dessinant sur ses belles… NON ! Laides – très laides- lèvres.
« Je suis désolé, » dit-il, sans avoir l'air désolé alors qu'il s'approche de moi. Le bâtard.
« J'en suis certain, » dis-je d'un air fâché, en croisant mes bras sur mon torse, alors que je le regarde précautionneusement.
Je me sens un peu – tendu avec ce regard qu'il me lance. Je veux dire, honnêtement, ai-je l'air d'un repas avec supplément de dessert ? Non, je ne crois pas.
Il sourit, et, il m'écrase contre son torse puissant, ses bras entourant fermement ma taille, et moi, pratiquement sur la pointe des pieds, je le regarde méchamment, et je le vois me sourire encore en retour.
« Je suis désolé, d'accord ? Mais j'ai du travail là, » dit-il en m'embrassant tendrement le front. Oh ça ne va pas le sauver, même pas un peu.
« Je m'en fiche ! Tu m'avais promis, Potter, et j'ai l'intention d'encaisser ton dû ! » J'aboie, en essayant – à contrecoeur, je l'admets – de m'échapper de ces méchants bras qui me tiennent serré contre son corps baisabl – laid ! Très laid.
J'ai vraiment envie de grogner à présent.
« Et je ne t'empêcherai pas d'encaisser, je te le promets. Je ne veux rien de plus que te voir encaisser. » Il y avait un double sens là. Je le sais. « Mais j'ai aussi besoin de rendre ces papiers à trois heures et ça – je suis désolé de le dire – c'est un tout petit peu plus important, » remarque-t-il.
Important ? Des papiers ? Des papiers sont plus importants que moi ! Oh je me sens insulté.
« Je t'ordonne de me lâcher tout de suite, Potter, ainsi je pourrai te quitter et ne jamais revenir. Si tu trouves que des papiers sont plus importants que moi, alors pourquoi ne les épouses-tu pas, bordel ? » Oh, je suis en colère.
En grimaçant un peu, il me serre plus fort alors que mes efforts pour m'échapper ne sont plus du tout fournis à contrecoeur.
« Draco, ce n'est pas ce que je voulais dire, je suis désolé. » Oh, je suis persuadé qu'il l'est.
« Je ne veux pas t'écouter, Potter. Et ne t'embête pas à m'inviter pour ton mariage. » Je siffle cela en poussant son torse…ce qui n'a aucun impact. Et si je le frappais à la tête. Mais je ne veux pas laisser de marque. Elle a assez de marques comme ça.
Soudain, mes pieds ne touchent plus le sol, et, avec un cri de surprise, je me retrouve transporté dans les bras de Harry, jusqu'à son bureau, où il me jette – oui, il me jette.
« Potter, qu'est ce que ça veut dire ? » je crie, en essayant de le repousser alors qu'il se penche sur moi, une main se perdant dans sa pile de papiers de l'autre coté de la table, l'autre main maintenant fermement ma taille, alors qu'il cherche quelque chose dans sa pile de papiers.
Il semble avoir trouvé et il se relève en me regardant droit dans les yeux, un air très sérieux sur le visage.
Je déglutis et je cherche quelque chose aux alentours…Juste – quelque chose. Quant il devient sérieux, c'est…Je ne sais pas, mais ça ne lui va pas. Il a l'air flippant. C'est comme s'il pensait réellement. Ça me terrifie totalement.
« Draco Malfoy… »
Merde, il utilise mon nom en entier ; j'ai un problème. Il respire profondément. Et, avec ces yeux verts qui brûlent d'une décision irrévocable, il hoche la tête. « Draco Malfoy. » Mon nom complet utilisé deux fois de suite, maintenant. Je suis vraiment dans la merde. « Veu…Veux tu m'épouser ? »
« … »
Oh putain !
Je suis – pour des raisons évidentes – incapable de penser. Ma bouche s'est ouverte, mes yeux sont aussi ronds que des soucoupes, tournés vers un Harry Potter qui se met lentement à flipper et à pâlir.
Oh putain !
Je parviens à fermer la bouche, pour la rouvrir à nouveau quelques secondes plus tard.
Merde !
A présent, Harry mordille sa lèvre inférieure, ses yeux dérivant vers un autre endroit dans la pièce.
Oh putain !
« Je… » Et voici mon vocabulaire pour la journée !
Merde !
Harry me regarde à nouveau, il semble sur le point de me supplier de parler ; ça ou me secouer sauvagement. Il a l'air d'avoir mangé quelque chose qui n'est pas passé…il ferait mieux de ne pas vomir sur mon nouveau costume.
Merde, cependant ! Harry putain de Potter – Mon copain depuis deux ans, cinq mois et vingt jours vient de me demander de l'épouser, bordel ! C'est une blague ? Non…non, il a l'air d'être sur le point de mourir pour une raison inconnue…Peut être parce que je me contente de le regarder, complètement choqué. Il est sérieux.
Je n'ai jamais, jamais imaginé quelque chose comme ça, jamais !
Merlin !
« Je… » Mon vocabulaire ne s'est pas amélioré.
Harry attrape mon bras, en me secouant légèrement. « Draco, je t'en prie, dis quelque chose ! » Supplie-t-il, ses yeux m'étudiant…Et puis ses yeux s'agrandissent. « Draco ? Draco ! Respire, Draco ! Draco, respire ! » Il panique, ses mains remontant sur mes épaules.
Oh putain !
« Respire, Draco, respire ! » Hurle-t-il, ses mains agrippant mes épaules pour me secouer encore. Il panique.
Moi, je mon coté, j'expérimente ma toute première crise d'asthme…ou alors peut être est ce de l'hyperventilation ?
Mon cœur bat trop violemment. Mes membres sont engourdis, et ma respiration est hors service. Tout ce que je peux faire, c'est regarder d'un air choqué mon copain qui panique et qui pâlit à vue d'œil.
Et puis je sors de mon état de choc – soudainement.
Je le regarde avec de grands yeux – plus grands qu'ils ont été – si c'est possible. Ma main remonte lentement jusqu'à ma joue gauche. « Tu m'as giflé ! »
Il ferme les yeux en poussant un soupire de soulagement. Il ne se préoccupe même pas de s'excuser. Je veux dire, il m'a frappé ! Je crois que des excuses sont sacrément nécessaires.
« Tu m'as giflé, » dis-je, incrédule.
En levant les yeux au ciel – il a l'air de s'être miraculeusement remis de son état de panique- il secoue la tête.
Et tout ce que je peux faire, c'est le regarder avec incrédulité, ma main sur ma joue. Ok, j'admets que ce n'était pas une gifle violente, mais c'était quand même une gifle.
Lentement, il recommence à être sérieux et nerveux en même temps. « Veu…Veux tu m'épouser, Draco ? » Demande-t-il, me rappelant ce qui m'avait causé ce soudain manque d'air.
J'ouvre la bouche, avant de la refermer. Et puis je l'ouvre encore. « Es…Es tu sérieux ? » Je sens mon cœur papillonner dans ma poitrine.
Doucement, ses yeux toujours plongés dans les miens, il hoche la tête. Et il prend quelque chose qui se trouvait à coté de moi. Il ouvre une petite boite de velours bleu.
Oh douce mère de Merlin !
« Harry, elle est superbe, » dis-je en regardant la petite bague en argent. Elle a l'air simple, mais elle est à couper le souffle. C'est un anneau d'argent, avec deux symboles celtiques entrelacés qui dansent autour. Il est d'une épaisseur moyenne et, au centre, brillant dans ma direction, il y a une petite pierre, bleue claire, enfoncée dans l'anneau, et les symboles celtiques l'étreignent.
Je cligne des yeux, et je sens quelque chose tomber sur ma joue…des larmes. Je relève lentement la tête, alors que Harry attend toujours. D'autres larmes coulent sur mes joues. « Tu…Tu veux vraiment m'épouser ? » Dis-je, en regardant son visage doux et souriant.
Il referme la boite, la replaçant à coté de moi, ses bras serrant ma taille alors qu'il vient se placer entre mes jambes en me regardant dans les yeux. « Non, je veux épouser cette saleté de paperasse et je me disais que ce serait sympa de m'entraîner sur toi avant, » déclare-t-il, d'un ton sérieux.
Je le tape derrière la tête alors que je sanglote ; un sourire danse sur mes lèvres même si je continue de pleurer. « Bâtard. »
Il embrasse légèrement mes lèvres, puis il recule pour me regarder dans les yeux. « Puis-je demander une réponse avant de mourir d'impatience ? » Demande-t-il en me faisant pleurer et rire en même temps.
Je regarde la petite boite qui contient la bague, puis les profonds yeux verts de Harry, et je sanglote à nouveau, sentant les larmes couler sur mes joues. Ensuite, avec un cri, j'entoure ses épaules de mes bras. « Oui ! Mon Dieu, oui ! » J'enfouis mon visage dans son cou.
Ses bras me serrent plus fort, et sa main caresse mon dos, alors que je sens qu'il dépose des baisers sur ma nuque.
« Mon dieu, Harry. » Je sanglote en m'accrochant encore plus à lui, sentant mon corps trembler d'émotion.
Harry m'embrasse le cou, les joues puis il me fait reculer. Il prend mon visage dans ses mains et il me regarde dans les yeux, profondément. « Es-tu sûr ? Tu veux vraiment m'épouser ? » Demande-t-il avec espoir.
Je souris un peu, en reniflant. « Non, je veux épouser ta paperasse. Oui, j'en suis carrément sûr. » Je suis récompensé par le plus grand sourire que la terre ait jamais vu.
« Merci, merci, merci ! » Crie-t-il en embrassant tout mon visage, avant d'embrasser enfin mes lèvres et de s'y attarder.
J'entoure son cou de mes bras, mes doigts dans ses cheveux, le tirant plus près de moi. C'est tout sauf un baiser lent et attentionné ; c'est l'opposé. Il est féroce, exigeant, faisant passer une émotion profonde à l'état brut.
Je grogne alors que mes jambes remontent pour se lier autour de sa taille, le tirant plus vers moi, et je me couche lentement sur le bureau en l'emportant avec moi. Harry monte sur la table, ses lèvres ne quittant jamais les miennes.
Je resserre mon étreinte autour de sa taille pour le garder collé à moi.
Il grogne dans ma bouche – c'est le même grognement que celui que je voulais pousser il y a quelques minutes à cause de ma frustration et de ma colère contre lui. Mais je crois que son grognement à quelque chose à voir avec ma chemise, étant donné qu'elle a choisi ce jour particulier pour résister sous ses doigts. Harry tire la chemise par le haut, laissant tomber les boutons pour juste l'enlever.
Ma chemise enfin enlevée – perdant trois boutons dans le processus – il la jette, me faisant haleter lorsque ses lèvres quittent les miennes pour se coller sur mon sternum. Je grogne bruyamment, ma tête frappant le bureau dans un bruit sourd.
Mes doigts descendent le long des épaules de Harry, jouant toujours avec de longues mèches brunes. Je fonds sous lui quand je sens une main remonter le long de l'intérieur de ma cuisse, son autre main soutenant son poids.
Un grognement vient du fond de ma gorge lorsque je sens Harry bouger au dessus de moi, la main qui errait sur ma cuisse s'étant posée sur ma taille, me maintenant sur la table.
Je peux sentir des papiers sous moi, et même – je crois – un stylo sous mon épaule. Quelques papiers sont tombés sur le sol, mais je suis bien trop intéressé par ce que se passe au dessus de moi.
Harry fait rouler ses hanches sur les miennes. Je me cambre vers lui quand je sens qu'il mord mon téton, me faisant gémir. Mes mains tremblantes parviennent à descendre le long de son dos pour sortir sa chemise de son pantalon noir.
Je grogne lorsque je parviens seulement à la moitié de son dos, incapable de la faire passer au dessus de sa tête. Je sens qu'il commence à m'embrasser sur tout le torse : il le mordille aussi.
« H…Harry, s'il te plait. » Je me colle à lui, poussant mes hanches contre les siennes, le faisant bouger plus fort contre moi alors qu'un profond gémissement s'échappe de ses lèvres.
« OH MON DIEU !!! »
Et voilà.
Harry, qui était en train de sucer mon autre téton en se frottant furieusement contre moi, se jette en arrière et titube jusqu'à ce que son dos se cogne contre le mur, ses grands yeux verts regardant la porte.
Je me redresse sur le bureau, haletant alors que je regarde la porte, pour y voir Serine (la secrétaire de Harry), une main sur la poignée, l'autre sur sa bouche, ses grands yeux marrons voyageant de Harry à moi.
Je descends précipitamment du bureau. « S…Serine… » Dis-je. Ce n'est pas la phrase du mois, je sais.
Elle se contente de cligner rapidement des yeux en nous regardant.
Harry s'éclaircit la gorge, revenant vers moi avec ma chemise à la main. Il me la tend vite fait, pressé de me couvrir. Il a ce problème avec ceux qui peuvent me voir découvert. Je crois que ça a commencé quand je lui ai parlé de mon passé.
Serine nous fixe toujours. Ça me fait gigoter.
« Heu…Vous…Vous vouliez quelque chose, Serine ? » Demande Harry en défroissant un peu sa chemise alors qu'il la regarde et qu'elle n'a toujours pas fermé la bouche.
Elle secoue la tête. « Je…Je voulais savoir si vous aviez fini avec les papiers, » dit-elle.
Harry hoche la tête et il jette un œil sur son bureau par-dessus son épaule. Je suis son regard. Hum, la table a vraiment l'air propre...Je ne peux pas en dire autant du sol.
« Je…Je vous les donnerai plus tard, » déclare-t-il en la fixant d'un air un peu penaud.
Elle se contente de hocher la tête, sa main toujours sur sa bouche.
« Vous pouvez vous retirer, » dis-je en la regardant.
Encore une fois, elle hoche lentement la tête, avec l'air un peu confus. Elle ferme doucement la porte derrière elle, mais il ne lui faut pas longtemps avant de l'ouvrir à nouveau, sa tête dans l'entrebâillement, ses yeux fermement clos.
« Ah…Aussi, » dit-elle.
Harry, je le vois, a du mal à retenir son sourire amusé. « Oui, Serine ? » Demande-t-il.
« Un…Un appel. Hermione Weasley. Elle a dit que vous deviez apporter à manger pour la fête…Et…Et ne pas être en retard, » bégaye-t-elle, ses yeux toujours fermés.
Harry se marre dès qu'elle sort.
Il s'accroupit, et il ramasse la boite en velours qui était tombée par terre. Il se relève et il me regarde, ouvrant la boite alors qu'il s'approche de moi. Je jette encore un coup d'œil sur la bague.
Tout cela est-il réel ? Harry veut-il réellement m'épouser ? Je ne rêve pas, je ne suis pas sur le point de me réveiller pour vivre une autre journée normale au travail, comme le copain d'Harry ? Enfin, je suis vraiment là, debout, regardant Harry qui tient la bague de fiançailles toujours dans sa boite, juste en face de moi ? Je ne peux pas le croire.
Il sort l'anneau de sa boite. Sa main vient lentement attraper la mienne, la levant au niveau de son torse, ses yeux plongés dans les miens.
Tout cela est-il réel ?
Je sens la bague glisser autour de mon doigt, et je baisse le regard pour voir la grande main de Harry la passer sur mon annulaire.
Je peux sentir les larmes emplir mes yeux alors que je regarde la bague qui trône joyeusement sur mon doigt.
Je sens qu'il se rapproche, ses bras puissants entourant ma taille, me serrant contre lui. Il enfouit sa tête dans mon cou.
J'enroule mes bras autour de son cou, soupirant d'aise, les yeux clos et je pose ma tête sur son épaule.
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Nous sommes un petit peu en retard, juste un peu, quand même. En jetant un coup d'œil à ma montre, je peux dire que ce petit retard s'élève à une demie heure. Alors on est à peine en retard.
Mais qui ça intéresse ? Je me sens bien, c'est une certitude. Tout ce que je peux dire, c'est que le monde pourrait s'effondrer autour de moi, je serais toujours en train de sourire et de regarder mon copain. Attendez…Non. Mon fiancé ! Oh, quelle expression élégante. Il assassine la route du regard, comme si elle était responsable de notre retard. Ce n'est pas comme s'il avait été retenu au bureau à cause de sa paperasse.
De mon coté, j'ai dû aller chercher à manger, étant donné qu'il était trop occupé. Puis j'ai dû m'habiller, et choisir sa tenue – ce qui n'était pas trop difficile puisque je l'ai traîné dans les magasins la semaine dernière ; ensuite j'ai dû retourner au bureau et l'aider à s'habiller. Puis il m'a poussé dans la voiture, où nous sommes actuellement, roulant vite en direction de la maison des Weasley, où a lieu la fête – nous sommes en excès de vitesse, si ça vous intéresse.
« Oh, arrête de mater méchant, Harry. » J'aboie en quittant le paysage des yeux pour le regarder.
Il jette un œil rapide dans ma direction avant de se concentrer à nouveau sur la route – je vous ferai remarquer que son regard est toujours aussi noir. Il continue à accélérer.
On ne croirait jamais qu'il y a six heures, il rayonnait en me demandant en mariage.
« Très bien. » Avec un haussement d'épaules, je reprends ma contemplation par la fenêtre, sentant de temps en temps le regard de Harry se poser sur moi.
Le paysage est joli. J'ai enlevé mes chaussures, et mes pieds sont posés sur le tableau de bord devant moi, ma tête repose contre ma main et je peux sentir le vent sur mon visage et dans mes cheveux. Hum, je peux aussi voir la bague de fiançailles. Je n'arrive toujours pas à croire qu'il m'ait demandé de l'épouser.
Je l'entends soupirer au bout d'une minute, et je sens sa main glisser sur ma cuisse. Je le regarde à nouveau.
« Je suis désolé, ok ? C'est juste que j'avais un horaire à respecter pour remettre ces papiers, et tu sais comment sont mes supérieurs. Ils sont sur mon dos vingt quatre heures sur vingt quatre, pensant que si les papiers ne sont pas remis à temps, c'est parce que Voldemort est de retour, ou un truc dans le genre, » dit-il en serrant ma jambe et en me faisant un sourire contrit.
Je lève les yeux au ciel mais je ne peux pas m'empêcher de lui sourire. « Et ça n'avait rien à voir avec le fait que tu avais couché ton séduisant employé sur ton bureau, » dis-je en secouant la tête. « Qui l'eut cru ? »
Ça le fait rire.
« Mais honnêtement, la route ne mérite pas ta fureur ; garde ça pour la pétasse. » Maintenant, c'est moi qui regarde méchamment la route.
Harry me regarde en souriant. Comment peut-il sourire ? Je suis sérieux ! Je veux voir du sang – et celui de la pétasse de préférence. Et si une goutte du sang de mon Harry est versée, je la tuerai personnellement : oubliez la promesse que je viens de faire. Je la ferai souffrir.
« Tu es toujours en colère à cause de ça ? » Demande-t-il, levant un sourcil amusé. Amusé ! Il a du culot !
« Harry, elle s'est incrustée sur tes genoux – devant moi ! Et elle a eu le putain de culot de t'embrasser – toujours devant moi ! » Je grogne, m'imaginant en train d'étrangler cette pétasse.
Harry presse ma jambe en riant ; sa main était restée confortablement placée à cet endroit. « Je croyais que je m'étais excusé et que je m'étais fait pardonner pour ça ? » Il sourit et il me fait un clin d'œil, cherchant clairement à s'assurer que je me souviens exactement de la manière dont il s'était fait pardonner. Oh, je m'en souviens et je ne risque pas de l'oublier. Merlin, je rougis toujours en y pensant.
Je lève les yeux au ciel et je secoue la tête, essayant vainement de me vider l'esprit. Sa satanée main commence à errer un peu plus haut sur ma cuisse. Je frappe sa main, et je le regarde méchamment. « Oui, tu as fait ça. Mais ça ne veut pas dire que tout est oublié et pardonné ; surtout pour elle ! »
Il se contente de secouer la tête, un petit sourire sur ses lèvres. Regardez moi ça : au début j'étais heureux et il matait méchant. Maintenant c'est l'inverse. Quand est-ce arrivé ?
Il y a eu un court silence, au cour duquel j'ai repris ma contemplation du paysage, voyant les arbres et quelques voitures me croiser. Puis j'ai senti la main de Harry quitter ma jambe et attraper ma main pour jouer négligemment avec la bague de fiançailles à mon doigt.
« Quoi qu'il en soit, tu peux lui dire la bonne nouvelle, » déclare-t-il, ne quittant pas la route des yeux.
Cette fête ne me semble plus si gâchée finalement.
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« Harry ! » Harry, oh, tu m'as tellement manqué, est-ce que je t'ai manqué ? Oh, embrasse moi Harry, serre moi Harry…sors avec moi Harry…Putain de pétasse.
« Hey Ginny. » Harry lui sourit, pensant clairement à la tête qu'elle va faire d'ici peu. Oh, je suis impatient.
Elle l'entoure de ses bras et elle le serre étroitement, comme s'ils étaient deux anciens amants se retrouvant après dix ans de séparation. Qu'elle aille se faire voir !
« Oh, Harry, pourquoi ne m'as-tu pas appelé ? Tu as bien eu mon message, n'est ce pas ? » Demande-t-elle en me regardant méchamment, me blâmant de tout et n'importe quoi – mais surtout de vivre, et de vivre avec Harry.
Je hoche la tête, me plaçant à coté de mon Harry – pas le sien, le mien – et je mets ma main dans la sienne. Je lui souris. « Oui, on a bien eu les trente messages, ou bien tu parles des trente messages de la semaine d'avant ? » Je penche ma tête sur le coté, en signe d'interrogation.
Je sens Harry qui se rapproche de moi alors que nous voyons son visage rougir, ses mâchoires se serrant aussi fort que possible. Oh, la vie est belle pour moi.
« Oui Ginny, j'ai eu tes messages. Je suis désolé de ne pas avoir répondu, mais c'était la folie au boulot, » dit-il. Ce n'est pas vraiment un mensonge, je vous ferais remarquer. Il nous a fait travailler comme des forcenés, et il ne m'a pas permis de rester à la maison lundi, tout ça parce qu'il ne pouvait pas se permettre d'échouer. Ha ! Quelquefois, c'est nul de sortir avec son patron.
« Oh, ce n'est pas grave. Ça doit être dur de trouver de bons collaborateurs, » remarque-t-elle avec une – fausse – compassion. Et là, Harry me serre la main, parce que j'étais en train de lâcher la sienne pour pouvoir la gifler. Cette pétasse, elle recommence, elle m'insulte bien en face, une fois de plus !
« Non, ils travaillent tous bien. Mieux que ce que je pouvais espérer. » Ahh, mon petit héros à la rescousse.
Elle ouvre la bouche pour dire quelque chose mais je tire Harry vers les tables. « Harry, j'ai faim. C'était sympa de te revoir, Ginny. » Dis-je par-dessus mon épaule, amenant avec moi un Potter au sourire sardonique.
« Pétasse imbécile. » Voilà que je marmonne.
Je pousse un soupir de soulagement lorsque j'atteins la table. Je m'effondre contre le torse de Harry et je sens ses bras se refermer automatiquement autour de ma taille. Je lève les mains, comme si j'étais en train d'étrangler quelqu'un ; et vous pouvez deviner à qui je pense. « J'étais à ça de l'attraper par son petit cou de sac d'os, » dis-je en pressant mon pouce contre mon doigt en les agitant devant son visage. « A ça ! »
Harry abaisse ma main de son visage en riant. « Et je suis fier de toi parce que tu n'as pas mordu, » déclare-t-il, en embrassant rapidement mes lèvres. Et puis les tables l'appellent, le suppliant de devenir leur roi, une immense assiette de nourriture lui sera offerte s'il accepte. Qui est-il pour refuser une telle offre ?
Alors je laisse Harry s'empiffrer avec toute la nourriture qui lui tombe sur la main et je vais rejoindre Pansy et Blaise, qui sont debout sous un arbre, une petite assiette de nourriture à la main.
« Vous vous amusez ? » Dis-je en approchant. Pansy relève prestement la tête – comme d'habitude. Avec un cri aigu, elle se jette sur moi, laissant son assiette à Blaise.
Sans que j'aie le temps de réagir, ma main est saisie et Pansy examine avec attention mon annulaire.
« Enfin ! » Crie-t-elle en direction de la table. Harry lève la tête, presque caché par une montagne de bouffe. Voyant de quoi elle veut parler, il rougit, nous fais un sourire plutôt écoeurant – la bouche toujours pleine – et il recommence à manger.
« Beurk, » grogne Pansy en se retournant vers moi. « Tu as accepté de vivre avec ça pour le reste de ta vie ? » Mais elle dit cela avec un grand sourire alors que je hoche la tête.
« Félicitations, mec, » dit Blaise en s'approchant de moi et en souriant.
« Merci. Comment vous l'avez su ? » Je regarde à nouveau Pansy qui se tient devant moi, penaude.
« Il est venu me voir pour me demander conseil. Il voulait être sûr qu'il agissait correctement et il ne voulait pas t'effrayer. Je l'ai rassuré et il est allé t'acheter cette bague, et quelle belle bague c'est ! » S'écrie-t-elle.
Je regarde dans la direction de la table avec un sourcil relevé, mais mon copain a plutôt l'air de vivre pour manger et il garde les yeux rivés sur la montagne de bouffe qui diminue lentement.
Mon pauvre, Harry, peu sûr de lui, a dû aller voir mes amis pour leur demander de l'aide. Ça me donne envie d'aller le serrer contre moi. Si seulement Pansy voulait bien lâcher ma satanée main…
Nous sommes vite appelés à nous installer à la longue table, sur laquelle on allait mettre la nourriture, et Harry fait déjà de l'œil aux assiettes qui seront bientôt remplies.
« Ton estomac n'est jamais rempli ? » Je le regarde, incrédule, alors qu'il saisit trois saucisses du plateau qu'Hermione a à peine eu le temps de poser sur la table.
Il me regarde, une saucisse à mi-chemin de sa bouche, et il cligne plusieurs fois des yeux. Il se contente de hausser les épaules en souriant, et il commence à manger, s'assurant que je vois bien tout ce qu'il est capable d'ingurgiter. Je pourrais faire fortune si je l'avais comme client régulier dans mon restaurant.
Je prends juste une saucisse et je la mange lentement. Du coin de l'œil, je vois mon fiancé qui s'empiffre. C'est une des pires choses que j'ai jamais vues. Mais je ne peux pas m'empêcher de trouver sa façon de manger, comme un gosse surexcité de quatre ans, légèrement adorable.
Fiancé ! J'essaie toujours de m'habituer à cette idée. C'est un mot tellement adulte. Je croyais que jamais je ne me marierais, à moins que ce ne soit avec Harry Potter. Mais fiancé, Draco Malfoy, sur le point de devenir Draco Potter…Ou…Bon, un truc comme ça. Je ne peux pas le croire.
Ça discute tout autour de la table, et j'écoute seulement la moitié de la conversation. J'ignore les regards meurtriers de Ginny, qui est assise en face de Harry. Si je la surprends en train de lui faire du pied, comme elle l'a déjà fait une fois, je les balance dans une piscine pleine de requins qui haïssent Ginny.
A coté de moi, Blaise est en grande conversation avec les jumeaux.
Ce truc qui est arrivé il y a des milliers d'années avec Fred, j'ai découvert que c'était une sorte de pari. Fred avait dit à Harry – lorsque nous étions en septième année – qu'il pourrait m'avoir avant Harry. Mon petit Harry, étant peu sûr de lui, a trouvé la menace très – menaçante.
Oh, je ne le laisse jamais tranquille avec ça, c'est vraiment trop drôle. Se sentir menacé par un Weasley…Et je ne parlerai même pas de Ginny. Elle sait pertinemment que Harry et moi sommes ensemble, et elle continue à le draguer jusqu'à plus soif, et elle me descend dès qu'elle en a l'occasion.
Mais Fred ne faisait que plaisanter et il voulait juste provoquer Harry, et quand je me suis trouvé au barbecue, il a décidé de faire bouger Harry et plus vite que ça. Il s'est sincèrement excusé pour son comportement auprès de moi et de Harry. Je frémis tout le temps quand j'y pense. Beurk !
Harry reste un peu protecteur cependant.
Apparemment, même Ron et Hermione ont parlé avec Ginny mais elle refuse d'écouter. Elle a amené un copain à une soirée le mois dernier, essayant de rendre Harry jaloux mais au lieu de réagir comme elle l'espérait, il l'a félicitée et lui a souhaité le meilleur…Je ne l'ai jamais vu inviter un autre mec après ça. Je pense qu'elle devrait grandir un peu et passer à autre chose. Nous sommes tous passé par là. Mais elle reste accrochée à son amour d'écolière. Quelquefois, je suis désolé pour elle, mais d'autres fois, j'ai l'impression qu'elle mérite ce qui lui arrive, en particulier quand elle se jette sur mon copain.
Je veux dire, tout le monde semble avoir accepté le fait que nous soyons ensemble, et je soupçonne même la moitié des convives d'être au courant de la demande en mariage que m'a faite Harry, surtout quand je vois tous les petits clins d'oeils que je reçois. C'est ça ou alors ils sont tous tombés amoureux de moi, et je ne peux pas les en blâmer.
Je mets des légumes dans mon assiette et je recentre mon attention sur Harry.
« On va faire ce truc samedi ? » Je demande, essayant de toutes mes forces de détourner son attention de la nourriture qu'il surveille comme si elle allait soudain se lever et partir en courant. Combien de fois dois je lui ai répété qu'elle était morte et qu'elle n'avait aucune chance de se sauver, et même si elle essayait, il aurait de meilleures chances de la rattraper puisqu'il ne la quitte jamais des yeux.
Il me regarde, sourit et il hoche la tête ; heureusement qu'il avale avant de me parler. Ça m'a pris un temps fou pour lui apprendre à le faire.
« Ouais, j'espérais qu'on pourrait aller au cinéma d'abord. »
« Quel film ? » Je le regarde précautionneusement. Le dernier film qu'il m'a emmené voir était un gros thriller. Je vous promets que s'il m'emmène voir un autre thriller, je vais hurler. J'ai passé la majeure partie du temps sur ses genoux, mon visage caché contre son torse lors du dernier film. Je me demande si c'est pour cela qu'il veut qu'on en voie ? Nan, ce n'est pas possible, ce serait trop cruel. Mais quand même…
Il ri. « Rien d'effrayant, je te le promets. C'est une comédie, » déclare-t-il, faisant ce sourire qui signifie 'je suis en train de préparer quelque chose et tu ne le sais pas'. Je déteste ce sourire.
« Ah – ha, et je vais te croire parce que… ? » Je lève un sourcil en signe d'interrogation.
Avant que Harry puisse ouvrir la bouche et répondre, une autre voix s'élève ; une voix qui me ferait presque grogner fortement.
« Oh, Harry, où as-tu eu cette bague ? Elle est superbe ! » Et toute l'attention se reporte sur la pétasse.
Harry lève un sourcil interrogateur, et ce n'est qu'au moment où Ginny lui montre son annulaire, avec la bague presque identique à la mienne à part qu'elle est un peu plus large, qu'il comprend de quoi elle parle et qu'il sourit.
Oh, je pourrais presque me perdre dans la contemplation de nos bagues. C'est comme un grand symbole, qui dit que quelque chose d'incroyable vient d'arriver dans ma vie et que je suis sur le point d'entamer un beau voyage, avec Harry comme compagnon – un voyage peut-il être plus beau ?
Harry me regarde et il prend ma main, montrant mon anneau identique au sien alors que Ginny se met à lentement pâlir. « Je les ai achetées chez les joailliers, dans le quartier des Sorciers. Ce sont des bagues de fiançailles. » Oh, comme c'est rude !
Maintenant, nous sommes en présence d'une Ginny Weasley très blanche, qui nous regarde avec des yeux aussi ronds que ceux que je devais avoir lorsque Harry m'a demandé de l'épouser. Sa tête bouge lentement de gauche à droite, et je crois que je peux entendre les mots « ce n'est pas vrai » et « non » répétés inlassablement.
Je jette un œil vers Harry, qui me regarde avec hésitation. « Ginny, » tente-t-il en se penchant un peu, l'inquiétude se lisant dans son regard. Je ne peux pas lui en vouloir : elle a l'air d'être sur le point de faire une crise d'asthme pire que la mienne.
Elle continue à marmonner – ça fout la trouille, vraiment.
Je m'avance lentement. « Ginny ? Tu te sens bien ? » Nous sommes le centre d'attention de presque toute la tablée à présent.
Ron, à l'autre bout de la table, s'est levé et il s'approche de Ginny. Hermione, quant à elle, a l'air de peser le pour et le contre avant de se lever. Avec le poids qu'elle a dans le ventre, je ne me lèverais pas.
Ron pose sa main sur l'épaule de sa sœur et il la regarde avec soin. « Ginny ? »
Elle le regarde lentement, ses yeux sont suppliants. « Ce n'est pas vrai. Ça ne peut pas être vrai, » murmure-t-elle pour elle-même.
Elle reporte son regard sur Harry et moi, ses yeux s'arrêtant sur nos doigts entrelacés, ma bague de fiançailles s'offrant entièrement à sa vue.
Je n'aime vraiment pas sa façon de marmonner.
Ron l'aide à se lever, faisant un sourire d'excuse à toute la tablée. Il la conduit dans la maison, probablement pour qu'elle se repose.
Je regarde à nouveau Harry, un sourcil un peu relevé. Il se contente de hausser les épaules et de me faire un petit sourire penaud.
« Harry, y a-t-il quelque chose dont tu ne nous as pas encore parlé ? »
Je reporte mon attention sur Hermione, qui regarde Harry en reposant sa fourchette sur la table, croisant ses mains sur son gros ventre, où se trouve le troisième mini-weaslaid. Elle a beau poser la question, je vous jure que l'étincelle dans ses yeux révèle qu'elle connaît déjà la réponse.
Je me tourne vers mon cop…fiancé. Ses yeux se posent sur elle, puis tout autour de la table alors que tous les regards sont dirigés vers lui, ce qui le fait rougir.
Moi, comme les autres, j'attends qu'il réponde.
« Heu…Bien – oui. Je crois que je devrais dire quelque chose. » Ah, il a bégayé. C'est rare d'arriver à le faire bégayer. Peut être que je n'essaye pas avec assez de conviction d'habitude.
Je le regarde bouger inconfortablement sur sa chaise, cherchant les bons mots à dire, et même, cherchant mon aide. Non mais qu'est ce qu'il veut que je fasse ? Je ne fais pas l'annonce – c'est son problème. Quoi qu'il en soit, il semble avoir été capable de le dire à Ginny, alors pourquoi n'arrive-t-il pas à le répéter pour les trente personnes qui le fixent ? Allez ! Ce n'est pas si difficile.
Voyant que je ne l'aiderai pas, il me fusille du regard, puis il se redresse sur sa chaise, comme s'il était à une de ses réunions très importantes.
« Draco et moi allons nous marier. » Oh, il est champion pour annoncer les choses rudement, n'est ce pas ? Voilà mon sauveur du monde – incapable de manier les mots, mais il se rattrape dans d'autres…domaines.
J'entends des hoquets de surprise, et je ne peux pas m'empêcher de sourire. J'essaye toujours de m'en remettre.
Mariés ! Harry et moi ! C'est tellement – étrange ! Je n'ai jamais pensé qu'il me demanderait de l'épouser. Enfin, j'étais déjà assez surpris lorsqu'il m'a demandé d'emménager dans son pavillon de la banlieue de Londres. Mais maintenant que nous allons nous marier, ça a l'air tellement…définitif.
Mais je ne pense pas que je voudrais changer ma réponse. Je ne pourrais imaginer quelqu'un de mieux à ennuyer pour le reste de ma vie – et à aimer, bien entendu – mais vraiment ennuyer aussi. Oh, cet homme n'a aucune idée de ce qui l'attend.
Nous vivons ensemble depuis neuf mois ; nous sommes très heureux. Mais j'ai pensé que c'était tout – nous allions vivre ensemble comme des amants ; jamais comme un couple marié. Mais je suis tout aussi heureux.
Quand j'ai parlé à Harry de ma vie passée – j'ai raconté ce que j'ai pu – j'ai cru que j'avais tout gâché, mais au final, Harry a juste obtenu quatre ordonnances de la cour, et trois hommes ont été jetés dans une prison moldue. Deux autres se cachent par delà les mers, je crois. Rien de plus ; et il m'aime toujours.
Il y a des choses dont on n'a toujours pas parlé, mais il connaît une grande partie de l'histoire et, quand je serai prêt, je lui en raconterai plus.
« Félicitations, vieux ! » S'écrie Ron de retour après s'être occupé de sa sœur. Il n'a pas l'air choqué du tout, et ça ne fait que confirmer le fait qu'il savait déjà que ça allait arriver. Parce que s'il venait de l'apprendre comme d'autres – même si nous avons comblés certaines de nos différences – il serait quand même un peu pâle et…Comment puis je formuler ça ? Ah, oui. Il adopterait un peu le comportement de Ginny.
« Il était temps, vieux, » hurle George en riant.
Beaucoup de convives semblent hocher la tête en accord avec lui, et je vois avec émerveillement Harry se faire tout petit sur sa chaise tellement il est embarrassé.
Pourquoi est ce que je n'arrive jamais à le faire réagir comme ça ? Je veux leur secret ! Je veux le faire rougir comme ça ! Tout ce que je parviens à faire, c'est de le faire rougir quand je…Cependant…Quand j'y pense, ce n'est pas quelque chose dont je devrais me plaindre. Et je ne partagerai ce secret avec personne !
« Quand tout cela est-il arrivé ? » Demande Hermione, en souriant. J'ai l'impression qu'elle se retient de faire un clin d'œil.
Toujours rougissant, Harry me sourit. « Plus tôt aujourd'hui, au travail, » explique-t-il en frottant son pouce sur mes articulations.
Je souris, sentant une petite rougeur envahir mes joues.
« Etait-ce romantique ? » Demande Pansy en se penchant sur Blaise.
A présent je baisse la tête pour cacher mon rougissement. Harry semble s'en remettre lentement, il fait ça. Il retrouve des forces lorsque je commence à montrer des signes de faiblesse, comme lorsque je commence à rougir comme une petite écolière.
« Bien, je l'ai porté dans le bureau et je l'ai assis sur la table, puis j'ai fait ma demande, » dit-il en me souriant.
Pansy pousse un cri aigu et je vous promet qu'elle la poussé dans mon oreille, mais je refuse de lever le nez.
« Quelle a été ta réaction, Draco ? » Oh ouais…ça c'est la question à laquelle je ne veux pas répondre. J'imagine la scène : 'oh, j'ai pleuré comme un bébé.' Ouais, je me vois bien dire ça.
« Je parie qu'il a été choqué. » Vous pouvez faire confiance à Weasley pour penser à tout.
« Un peu, mais il s'en est remis et il a accepté. » Déclare Harry, souriant de manière démentielle en me regardant.
J'ai vraiment envie de me cacher maintenant. Comment Harry peut-il me faire ça ? Je croyais qu'il m'aimait ! Ah ! Je peux sentir tous les yeux posés sur moi. Ils essayent tous de lire en moi ! Arrêtez les ! Que quelqu'un les fasse arrêter !
« Quand aura lieu le mariage ? » Demande Tammy, qui semble bien à l'aise près de Fred, et qui se penche en posant ses grands yeux bleus intéressés sur nous.
Je tente une oeillade vers Harry, qui me regarde avec ce sourire farfelu. « Dès que nous pourrons, » répond-il.
Je rougis un peu plus et je me maudis silencieusement pour ça. Comment fait-il pour me faire rougir comme une gamine alors que j'ai passé la majeure partie de ma vie à ne pas rougir ? Il devrait me donner son secret afin que je l'utilise contre lui !
« Oh, c'est si mignon ! » Braille encore Pansy dans mon oreille.
Harry sourit légèrement, puis la bouffe l'appelle à nouveau.
O
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« H-Harry ? » Oh, Merlin, je sens mes jambes se transformer en quelque chose qui s'apparente à de la gelée. Même mon souffle est tremblant. Mes bras sont autour de son cou et j'essaye de rester debout, ce qui semble impossible en ce moment.
La bouche de Harry est actuellement sur ma clavicule, et je peux sentir sa langue caresser ma peau. Mon corps tout entier semble être en feu, j'ai l'impression que mon sang est en train de bouillir. Je n'arrive même pas à retenir un fort gémissement alors que je sens des mains chaudes et un peu dures glisser sous ma chemise, le long de mes côtes.
C'est le cadeau qu'on reçoit lorsqu'on est aimé par Harry Potter. Hm, le paradis sur terre.
Il me fait marcher à reculons pour me guider. Ses lèvres remontent le long de mon cou, m'incitant à pencher la tête sur le coté alors que le reste de mon corps se dématérialise plus ou moins dans ses bras. L'arrière de mes genoux touche le coté du lit, et je tombe en arrière, l'entraînant avec moi quand je tire sur sa chemise.
Dès que j'atterris sur le lit, je sens les mains de Harry sur ma taille, me guidant jusqu'à la tête du lit, sa langue pénétrant mes lèvres afin d'explorer ma bouche. Je l'entends gémir alors que mes jambes entourent sa taille, mes hanches poussant contre les siennes, essayant de l'avoir encore plus contre moi. Je pense que je vais mourir si je ne sens pas de contact de peau à peau.
Au dessus de moi, je sens ses mains qui glissent de ma taille à mes côtes, emportant ma chemise au passage et je suis obligé de retenir ma respiration lorsque je sens son ventre pressé contre le mien. Comme il insiste, je dénoue lentement mes bras de son cou et je les lève au dessus de ma tête pour qu'il puisse enlever ma chemise et qu'il la jette au dessus de son épaule. Je grogne, mes yeux se fermant et ma tête se tournant sur le coté alors que je sens ses lèvres chaudes emprunter le chemin menant de mes lèvres à mon cou, le suçant comme un vampire qui vient d'émerger. La chaleur de mon corps augmente quand ses mains passent sur mon corps, l'explorant avec besoin et passion.
J'ai besoin d'enlever cette satanée chemise !
Avec un gémissement qui ressemble à s'y méprendre à un miaulement, je tire sur sa chemise, mon corps se vrillant d'anticipation. La chemise remonte, et je l'aide avec avidité, la tirant au dessus de la tête de Harry, puis je la jette qui sait où.
Je lève des yeux aux paupières à moitié closes. Les cheveux de Harry sont en bataille, et ils retombent devant ses yeux verts, lui donnant cet air mystérieux, qui promet une belle nuit. Et avec la pensée de cette belle nuit, je gémis, mes bras se nouant à nouveau autour de ses épaules afin de le ramener près de moi, nos torses nus écrasés l'un contre l'autre.
Harry roule des hanches sur les miennes et ça me fait presque crier de plaisir. Maintenant, il faut qu'on se débarrasse de ces foutus pantalon…Comment on va faire ça ?
J'entends le son si particulier d'une fermeture éclair qu'on descend. Les mains de Harry sont à l'intérieur de mon jean, se dirigeant lentement sur les cotés de mes cuisses alors qu'il le fait lentement descendre, et je veux vraiment dire qu'il fait ça lentement.
Il est d'humeur…D'humeur à aller si lentement que j'aurai atteint les cinquante quatre ans et que je découvrirai que je suis en train de mourir d'un manque d'orgasme avant qu'il arrive à son but. Il aime jouer lorsqu'il est d'humeur, mais je ne vais sûrement pas trop me plaindre alors que je sais quel sera le résultat final de tout ça.
Et, alors que les lèvres, les dents et la langue de Harry se fraient un chemin le long de mon corps, ma lèvre inférieure commence à attirer l'attention car j'essaye de retenir certains bruits. Harry n'a rien fait d'autre que jouer la dernière fois que j'ai été bruyant. Alors tuez moi si jamais je suis encore bruyant pour lui.
« Ne te retiens pas. » J'entends Harry grogner cela, alors qu'il remonte lentement le long de mon corps.
J'ouvre la bouche pour lui renvoyer une petite – probablement sarcastique – réponse, mais je suis coupé dans mon élan et forcé de pousser un long gémissement, presque un cri, en rejetant ma tête en arrière. Ses dents ont trouvé cet endroit sensible, dans le creux de mon cou. Mes mains serrent ses épaules fermement lorsque je sens ses dents mordiller et titiller mon cou, sa langue dansant de temps en temps sur ma peau, ses petits baisers balayant la peau qui rougit lentement. Il sait vraiment comment laisser la marque de son passage.
Je remonte mes hanches quand il mord la partie de mon cou se situant sous ma pomme d'adam. Mes doigts s'enfoncent dans ses épaules, essayant de me maintenir connecté à la réalité. Je sens qu'on enlève totalement mon pantalon, et enfin, je suis nu sous son corps, haletant comme un chien. Il a toujours son pantalon cependant, et ça, c'est un problème.
Mes mains descendent en tremblant sur son dos, s'arrêtant sur sa taille, une main descendant plus bas pour caresser ses fesses, l'autre glissant un peu dans le pantalon, s'assurant qu'il comprend l'idée générale. Et il comprend.
Il fait facilement descendre sa fermeture éclair et il se débarrasse de son pantalon, nous laissant enfin nus et libres de nous toucher.
Je mords ma lèvre inférieure comme je sens ses mains courir de haut en bas sur mes côtes, ses hanches roulant contre les miennes. Je gémis, je me tords et j'essaie d'inspirer de l'air. J'ai l'impression que mes jambes sont des tas de gelée frémissants, tout comme mes bras. Et on vient à peine de commencer. J'ouvre les yeux en haletant lorsque je sens que Harry se détache de moi et il redescend pour s'installer entre mes jambes, me regardant avec ses yeux verts qui semblent guetter leur prochaine victime. Je crois que je sais ce que ressent sa bouffe à présent.
Ses mains courent le long de mes jambes, puis elles remontent par l'intérieur de mes cuisses, les écartant alors que son corps se glisse le long de mes cuisses. Je le regarde en haletant et en désirant beaucoup plus.
« H-Harry ? S'il…S'il te plaît. » Je supplie, ma tête rejetée en arrière, les paupières closes. J'essaye de calmer ma respiration, mais elle s'affole à nouveau lorsque je sens un doigt frôler mon entrée – il me touche pour jouer. « Harry ! » J'ai l'impression que je vais éclater en sanglots.
Je suis certain qu'il fait ça pour jouer. Il aime lorsque je le supplie, comme le bâtard sadique qu'il est. Je sens que mes chevilles sont empoignées par des mains chaudes, puis lentement relevées. J'ouvre les yeux, et je le regarde à travers mes cils alors qu'il lève mes jambes pour les faire reposer sur ses épaules, ses yeux ne quittant pas les miens. Un fois que mes jambes sont sur ses épaules, il remonte vers moi, plaçant des baisers sur mon corps alors qu'il avance. A certains moments, il s'arrête aux endroits qui me feront supplier en me vrillant sous lui. Enfin, je sens ses lèvres sur les miennes, et je me jette la tête la première dans le baiser, ma langue sortant pour retracer sa lèvre inférieure, suppliant pour qu'il me laisse entrer. Il me laisse entrer avant même que ma langue ait touché sa lèvre inférieure.
Je pousse un hoquet dans sa bouche alors que je sens ce frôlement joueur contre mon entrée. J'essaye de m'empaler sur son doigt, mais je suis bloqué sur place, ses bras puissants s'assurant que je ne puisse rien contrôler. C'est une nouvelle façon de torturer. Je vous jure que je lui dirai tout ce qu'il veut savoir : mais pitié !
Je gémis dans son oreille quand je sens son membre frotter contre le mien, ses doigts restant près de mon entrée.
« Harry, s'il te plaît…Arrête…Arrête de jouer, s'il…S'il te plait ? » Je. Le. Tuerai. Demain. Pour. Ça. Personne n'a jamais fait supplier un Malfoy comme il le fait, et vécu assez longtemps pour en raconter l'histoire. Merlin, il va payer pour ça. Je le vois me faire un sourire goguenard – il me fait un sourire goguenard ! Mais je crois qu'il a compris que trop c'est trop, parce que j'entends qu'il murmure une formule, et je sens qu'un doigt pénètre en moi, lubrifié.
Je gémis, la tête rejetée en arrière contre les oreillers, les yeux clos, mon corps poussant contre son doigt, suppliant pour en avoir plus. Je sens que Harry pose sa tête sur mon épaule ; j'entends ses gémissements gutturaux alors qu'il fait pénétrer un autre doigt en moi, rapidement suivi d'un troisième. Je pousse des hoquets en haletant alors que je me tords sous lui, mes jambes glissant lentement de ses épaules à sa taille, mes chevilles se nouant dans son dos.
« Harry. » Je supplie en ouvrant les yeux lorsque je sens un léger baiser sur mon front. Je lève les yeux et je vois ses prunelles grises voilées qui me regardent. Son front vient se poser sur le mien.
Je gémis quand je sens qu'il retire ses doigts. Il embrasse mes lèvres tout en se positionnant. Il entre très lentement en moi et je gémis en mordant ma lèvre inférieure, relevant ma tête pour toucher ses lèvres et l'entraîner dans un baiser qui vient du cœur. Je peux sentir la sueur recouvrir nos corps alors qu'il s'insère totalement en moi, provocant mon soupir de satisfaction.
Je fais glisser mes mains le long de son dos, pour les poser sur sa taille, lui donnant la petite impulsion qui l'autorise à commencer à bouger ; ce qu'il fait dès qu'il a mon approbation. Et très vite, nos corps bougent en rythme, au début, un rythme si lent qu'il en est douloureux, avant d'atteindre une cadence plus acceptable.
Je m'accroche à lui, me moquant totalement du volume de ma voix maintenant. Tout ce que je sais, c'est que Harry est au dessus de moi, autour de moi, en moi et avec moi, c'est tout ce que j'imprime : les lèvres de Harry, les mains de Harry, le corps de Harry, le souffle de Harry et les gémissements de Harry. Rien d'autre ne compte pour moi, et tout ce que je veux, c'est la délivrance.
Je sens une main descendre pour entourer ma virilité dressée, me faisant gémir, et j'enfouis ma tête dans le cou d'Harry.
Je sens que j'atteins un niveau supérieur alors que je jouis, et je suis pratiquement sûr que j'ai crié le nom de Harry. J'entends vaguement qu'on crie mon nom, mais je me sens trop perdu pour enregistrer l'information.
Je me sens faible ; épuisé. Mon corps est un bol de gelée fondante. Pas juste de la gelée – de la gelée qui fond. Ma gorge est douloureuse à force d'avoir crié, et je halète comme si j'avais couru le marathon pendant un siècle.
Harry est, je ne sais pas comment, parvenu à détacher son corps du mien, en haletant dans mon cou, un de ses bras enroule ma taille, avachi comme une bûche assez lourde.
Je grogne, tournant ma tête sur le coté pour l'enfouir dans les cheveux de Harry. Je me sens fatigué alors que je respire son odeur.
J'entends qu'on murmure quelque chose, et la dernière chose que je sente est la couette qu'il remonte sur nos deux corps et Harry qui roule sur le coté. Je me blottis contre lui, calant ma tête sous son menton, confortablement installé dans ses bras, sous l'édredon.
Je cligne des yeux et je baille en regardant mon fiancé. Ses yeux endormis me regardent, accompagnés par un sourire endormi. Il me fait un baiser humide, et il resserre ses bras autour de ma taille, soupirant d'aise lorsque je me blottis contre lui.
« Joyeux anniversaire, Draco, » entend-je avant de tomber dans un merveilleux sommeil.
FIN
Et voilà, cette fic est terminée, c'est triste. J'aurais bien suivi leurs délires un peu plus longtemps. Si vous voulez me laisser vos commentaires, j'y répondrai, comme toujours. Encore toutes mes excuses pour le temps que j'ai mis à traduire.