Salut tout l'monde !! . Et non, je ne suis pas morte. Je suis sincèrement désolée de vous avoir fait poireauter pendant aussi longtemps mais 'avais perdu le goût à Harry Potter et j'avais besoin de prendre du recul. Quand j'ai commencé, j'étais en 3ème, maintenant, je suis en hypo-khâgne (prépa lettres). Mon appréhension de la langue anglaise a vachement changé du coup et je pense que ça doit s'en ressentir sur mon style.

Vous pouvez dire un ENORME MERCI A ONARLUCA qui m'a convaincue de finir cette fic et de la porter à terme. Par contre, emploi du temps de prépa oblige, vous comprendrez que j'aurai pas beaucoup de temps pour poster (vraiment désolée). Sinon, pour mes anciens lecteurs et lectrices (surtout ceux qui m'ont suivi depuis le début de cette fic), je tiens vraiment à m'excuser, je ne vous ai même pas laissé d'explication et en conséquence vous avez tous les droits de me bouder. Sachez que j'ai quand même toujours pensé à vous (et ça c'est pas un mensonge). Gros bisous tout le monde. Jvous aime fort !!

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Contrôlant sa panique, il essaya de penser rationnellement.

Ils avaient été capturés par des Mangemorts. Ça c'était le plus logique : qui d'autre aurait pu vouloir les enlever ? Le plus difficile allait être de trouver un moyen de s'échapper. Fouillant les poches de sa robe, il vit qu'on lui avait pris sa baguette tout comme il s'y attendait ; Si seulement il pouvait parler avec ses amis…

Bien sûr ! Harry eut envie de se gifler pour avoir été si stupide. Il saisit son pendentif en forme d'étoile et prononça le code d'activation : «Phoenix Flamboyant. » Le pendentif se mit à briller lorsqu'il pressa l'émeraude du doigt.

Une seconde plus tard, une voix lui parvint : §Sebastien ?§

§Draco !§ s'exclama Harry avec soulagement. §Est-ce que tu vas bien ?§

§Ca va§, répondit le blond d'une voix néanmoins confuse. § Euh…Est-ce que tu sais où on est ?§

§J'en ai une assez bonne idée, oui. Mais dis-moi dans quelle genre de pièce tu es, d'abord.§

§ Je suis dans une pièce très grande et éclairée§ fut la réponse. §Elle a l'air assez cossue : il y a beaucoup de tableaux accrochés au mur§

Harry eut une légère grimace §Intéressant§, dit-il. §Je suis dans une pièce complètement noire donc je ne sais pas de quoi elle a l'air. Draco, tu peux ouvrir la porte ? »

Il y eut un peu de bruit, puis une réponse. §Non, désolé, on dirait que je suis enfermé de l'extérieur. Alors tu as une idée de l'endroit où on est ?§

§Je pense que nous sommes dans un repère de Mangemorts et que Voldemort s'y trouve également.§ déclara Harry le plus posément possible. §Ecoute Draco, essaie de ne pas paniquer, il faut que je parle aux autres.§ Et sur ces mots, il pressa le rubis du médaillon.

Au bout de dix minutes de discussion, Harry découvrit que Ron et Hermione allaient bien qu'ils soient quelque peu mal à l'aise. Respirant un grand coup, il appuya sur le garnet noir.

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PDV de Severus

Je sortis du Grand Hall, mon masque moqueur fermement en place. Je sortais juste du déjeuner. Si Dumbledore ne m'avait pas « persuadé » de sortir, je ne serais pas venu manger là-bas. Après avoir enlevé plusieurs points à des Poufsouffles malchanceux, j'atteignis les donjons et ouvris la porte de mon bureau. J'allais commencer à noter quelques tests lorsque je sentis quelque chose autour de mon cou devenir brûlant. J'enserrai le garnet de mes doigts et murmurai le code d'activation.

§Bonjour ?§

§Severus§, dit une voix familière. Je la reconnus immédiatement.

§Sebastien ?§, demandai-je, inquiet. Je ne pouvais m'empêcher de me sentir concerné. J'avoue que je suis assez surprotecteur avec lui. §Dis-moi ce qui ne va pas.§

§Tu vois… on est pas vraiment à Poudlard en ce moment§

Il me fallut quelque temps pour comprendre toutes les implications de ces mots. Je grognai intérieurement. §Sebastien ? Dis moi où tu es.§ ordonnai-je fermement.

§Je ne sais pas exactement où on est§

§On ? C'est qui « on » ?§

§Moi, Draco, Ron et Hermione.§

Je grognai réellement cette fois-ci. § D'accord. Est-ce que tu as la MOINDRE idée de l'endroit où vous êtes ?§

§Je…Je crois qu'on a été enlevés par les Mangemorts.§

Je restai figé. §Sebastien ?§demandai-je. §Est-ce que…est-ce que tu es blessé ?§

§Pas encore. Je n'ai que quelques bleus pour l'instant§ Nous comprîmes tous les deux le sous-entendu de cette phrase. Je savais ce qui arrivait aux prisonniers des Mangemorts : quatre-vingt-quinze pour cent d'entre eux étaient assassinés.

Je venais à peine de réaliser la portée de tout cela lorsque mon bras gauche se mit à brûler. §Il m'appel…§commençai-je avant de réaliser que Sebastien ne savait pas pour ma marque. §Je veux dire…je préviens Dumbledore immédiatement, tiens bon, d'accord ?§

§Je ferai de mon mieux.§, répondit-il d'un ton sinistre alors que nous coupions tous les deux notre conversation. Jurant, je me précipitai vers le bureau du Directeur complètement fou d'inquiétude. J'aboyai le mot de passe en faisant irruption à l'intérieur.

« ALBUS ! », m'écriai-je. Une seconde plus tard, le vieux sorcier apparut de nulle part. « Severus ? », demanda-t-il en remarquant mon air échevelé. « Qu'est-ce qui ne va pas ? »

Je lui expliquai rapidement la situation. « Je dois partir », ajoutai-je. «Voldemort m'appelle. »

Albus se contenta d'hocher la tête. « Bonne chance, Severus. », dit-il en me tendant quatre plumes. « Ce sont tous des portoloins pour l'Infirmerie. Les mots de passe qui permettent de las activer sont 'Ordre', 'Lumière', 'Phoenix' et 'Serpent'. Si tu vois les élèves, fais de ton mieux pour les ramener. Si tu n'y arrives pas, on essaiera de trouver un autre moyen »

J'acquiesçai tout en rangeant les plumes dans la poche de ma robe. Je me dépêchai d'atteindre les limites de Poudlard jusqu'à la clairière. Je respirai un grand coup et transplanai serrant mon avant-bras gauche d'une main.

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Harry venait juste de couper la connexion avec Severus lorsqu'il vit une lumière diffuse se rapprocher de lui. Il cacha rapidement son collier sous son tee-shirt et après y avoir appliqué un sort d'Invisibilité, il attendit.

Une seconde plus tard, un homme portant la tenue des mangemorts s'approcha de lui. En voyant ses cheveux blonds platine, Harry comprit qu'il avait affaire à Lucius Malfoy.

« Malfoy », constata-t-il calmement. Intérieurement, il se sentait anxieux et angoissé mais il était déterminé à ne rien laisser paraître.

« Frostpine », proféra-t-il avec dédain. Son nom fut craché comme si c'était une malédiction. « Comme c'est gentil de ta part de bien vouloir te joindre à nous »

« Qu'est-ce que vous avez l'intention de me faire » Pas de peur ou de colère dans ces mots. Juste un calme apparent.

Lucius eut un sourire de dédain : « J'aimerais vraiment discuter avec toi maintenant, seulement tu vois le Seigneur des Ténèbres nous attend. Viens » L'homme agita sa baguette et Harry se retrouva attaché. Le blond l'attrapa par le bras et le traîna jusqu'en bas du couloir.

Ils finirent par entrer dans un grand hall. Il y avait environ vingt personnes rassemblées en un cercle. Le cercle des initiés. Il examina les hommes rassemblés là et son regard finit par s'arrêter sur une silhouette mince et longiligne. Le masque laissait voir de longs cheveux noirs. Ca ne pouvait être que Severus. Enfin, debout parmi toutes les silhouettes enveloppées de noir, se tenait Voldemort.

« Ah, jeune Frostpine ! Tu n'as pas envie de mourir dis-moi ? »

Un rictus déforma le visage d'Harry : « Plutôt mourir que de me mettre à ton service, Tom » Et pour montrer son mépris, il cracha aux pieds de l'homme.

Des exclamations se firent entendre à travers la pièce. Voldemort leva la tête, une lueur dangereuse dans les yeux. « Je pourrais te punir pour ça, Sang de Bourbe, mais je sais que ça ne te ferait absolument rien. Mais, cela n'est rien puisque je te connais ton point faible. » Il se tourna vers l'un des sbires : « Fais les entrer »

Deux secondes plus tard, deux autres personnes attachées par des cordes furent amenées dans la pièce. Le cœur d'Harry cogna douloureusement dans sa poitrine en reconnaissant Ron et Hermione.

Une autre avec les cheveux blonds les suivait avec plus de dignité. Draco. Le Serpentard sembla trébucher légèrement, lorsque, levant la tête, il aperçut son père et Lord Voldemort en train de le regarder.

« Je vais torturer tes amis que voici, Frostpine, dit Lord Voldemort à Harry. Tu vas les entendre crier et tu sauras que c'est à cause de toi qu'ils souffrent. »

Harry sentit la colère s'emparer de lui. « Qu'est-ce que tu m'veux Tom Jedusor ?! », demanda-t-il durement. « Arrête de jouer avec moi !!»

« Moi ? Mais, je veux juste que tu me serves voyons. », dit-il en riant froidement. « Et tes amis t'y contraindront ». Il se tourna : « Lucius, il est temps pour ton fils de faire ses preuves »

« Draco ! », dit Lucius. « Viens ici »

Draco avait l'air absolument terrifié mais se dirigea docilement vers son père. Harry pouvait voir ses jambes trembler.

« Ah, mon jeune Dragon, dit Voldemort avec un ricanement. Ton père est l'un de mes plus fidèles serviteurs. Il est passé sous mon commandement à la fleur de l'âge dès ses seize ans. Et c'est ton tour maintenant. Voilà ton épreuve : torturer l'ennemi. Fais les hurler. Utilise le Doloris. »

Le Serpentard tremblait de tous ses membres lorsqu'il prit la baguette qu'on lui tendait. Il dirigea vers Ron et Hermione. Ses lèvres s'entrouvrirent, prêtes à prononcer le l'Impardonnable : « Endol.. »

Il s'arrêta d'un seul coup. Non, il ne pouvait pas faire ça ! Il ne pouvait pas !...Il abaissa sa baguette avec lenteur.

« Draco !! Par Salazar, qu'est-ce qui te prends de faire ça !! », siffla Lucius. « Torture-les !! Tu les détestes de toute façon! »

Le blond ne put que secouer la tête en s'éloignant de Ron et Hermione. « Je ne peux pas, chuchota-t-il, bégayant. Je n'peux vraiment pas.

« TU NE PEUX PAS ?!! » vociféra son père. « COMMENT CA TU NE PEUX PAS !!! C'est l'opportunité de ta vie Draco. Fais-le, et tu pourras rejoindre le Seigneur des Ténèbres !»

« Je…Dans ce cas, je préfère ne pas devenir Mangemort », bégaya Draco avec appréhension. Son regard restait déterminé malgré tout : « Je refuse de vous obéir ».

« Lucius, que signifie tout ceci ? » gronda Voldemort.

« Mes plus plates excuses, Mon seigneur. » Il se tourna vers son fils : « TOI !! OBEIS ET FAIS LE TOUT DE SUITE. TU VAS LES TORTURER ET ENSUITE DEVENIR MANGEMORT TOUT COMME TON PERE ! »

« JE REFUSE! », s'écria Draco avec défi.

« ENDOLORIS !! »

Un jet de lumière argentée jaillit de la baguette de Lucius fonçant droit sur Draco. Celui-ci se raidit se préparant pour le choc imminent mais pour Harry, il était hors de question qu'une telle chose se produise. Il marmonna rapidement l'incantation d'un puissant bouclier et le cristallisa autour de Draco

Le Doloris rebondit contre le bouclier et se retourna contre son expéditeur. Lucius, l'anticipant, eut le temps de l'esquiver en faisant un bond de côté. L'impardonnable se désintégra en heurtant le mur.

Lucius était sur le point de reprendre la parole lorsque Voldemort leva une main pour l'arrêter. « Pas la peine Lucius. Nous nous occuperons de ton fils plus tard. » Il eut un sourire cruel : « car maintenant… »Il se tourna vers Harry. « Puisque tu as empêché Draco de le faire, alors je n'ai plus qu'à m'en charger moi-même. Il s'avança vers les amis d'Harry, baguette en main. « Tes amis vont être punis pour tout ce que tu m'as fait Frostpine »

Harry se mordit la lèvre en fermant les yeux, préférant ne pas répliquer. De toute façon, il avait un moyen pour protéger ses meilleurs amis. C'était le seul moyen, en fait.

Il commença à concentrer ses pouvoirs élémentaux, puis forma un bouclier autour de Ron, Hermione et Draco. C'était le boulier le plus puissant que les Fondateurs lui aient jamais enseigné : il pouvait même parer les sortilèges de la mort.

« Endoloris ! Culter ! Scindere ! », les trois sorts de magie noires filèrent droit vers ses amis. Toujours plus près, encore plus près…Harry pria pour que son bouclier tienne le choc. Il n'avait aucune envie de les voir souffrir.

Les sortilèges heurtèrent le Bouclier et s'évaporèrent immédiatement. Les exclamations de surprise fusèrent dans la pièce. Harry eut un soupir de soulagement. Ca avait marché.

« TOI ! », hurla Voldemort. « Comment OSES-tu ? » Le silence. Et puis…un nouveau rictus de contentement. Se tournant vers ses Mangemorts, il dit : « Comme vous l'avez constaté, le jeune Mr Frostpine que voici a été assez… protecteur pour décider de se sacrifier pour sauver ses amis. Et bien, soyons polis et permettons-lui de finir ce qu'il a commencé, n'est-ce pas ? Vu que nous ne pouvons plus faire joujou avec ses amis, il n'a qu'à devenir notre nouveau jouet à leur place. Vous avez droit à deux tours pour jouer avec lui tel que vous l'entendez. Et moi, je regarderai. Commencez maintenant ! »

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PDV de Severus

Merde !

Pourquoi ?

Comment ?

Par Merlin, pourquoi a-t-il fallu qu'une telle chose se produise ?

Ca devait sans doute être une partie de ma punition pour tout le mal que j'ai pu faire dans ma vie. Sans doute oui.

Je regardai Voldemort faire son « allocution » en sentant mon esprit s'engourdir peu à peu. Deux tours. Ca allait durer au moins trois heures. Je me demandai comment Sebastien allait bien pouvoir en réchapper. Ce n'était encore qu'un enfant. Comment pourrait-on supporter ça à tout juste seize ans ?

Je baissai de nouveau les yeux vers le garçon. Il était attaché par des cordes trop serrées qui s'enroulaient plusieurs fois autour de ses bras. Sous mes yeux, le Seigneur des Ténèbres claqua des doigts et les liens tombèrent sur le sol.

Lucius s'avança, baguette en main. « Tu vas payer », siffla-t-il. « Pour avoir osé me prendre mon fils. Endoloris !»

Je regardai avec horreur le jet de lumière fuser droit vers lui. Il s'arrêta brièvement avant de venir heurter Sebastien en plein cœur. Il se tordit de douleur mais aucun bruit ne quitta ses lèvres.

Par Salazar, pourquoi le garçon n'avait-il pas eu recours à un bouclier ou à ses pouvoirs de guérison. Presqu'en transe, incapable de réagir, les Mangemorts défiler un à un et les sorts de Magie Noire avec : Fangere, Endoloris, Peccatum, Angere… Chaque fois, les sortilèges s'arrêtaient brièvement avant de finir par le heurter. J'eus la nausée en comprenant soudainement pourquoi le garçon n'utilisait pas ses pouvoirs : il s'était épuisé en formant les boucliers pour Draco, Granger et Weasley. L'enfant devait maintenant être trop faible pour pouvoir former autre chose que des demi-boucliers.

Mon tour approchait de plus en plus. Je finis par m'avancer. J'avais les jambes en coton. Je sortis une potion de sous ma robe et c'est alors que mon regard croisa ces orbes bleu glacier. J'eus un moment d'hésitation. Je ne pouvais pas faire ça. Non, je ne pouvais pas…Comment pourrais-je jamais me pardonner ensuite ? Je ne pouvais pas. Mais, j'avais désespérément besoin de temps.

Ces incroyables yeux bleus continuaient de me fixer sans ciller. Pendant un instant, je crus qu'il m'avait reconnu. Mais c'était impossible. Le garçon n'était pas censé savoir qu'il était un espion, si ? Je me laissai aller pendant une seconde à me perdre dans ces yeux glacier. Je fus surpris de n'y voir ni peur ni colère. Que de la sérénité. Une simple et tranquille acceptation des faits. Je frissonnai. Non, impossible de faire ça. J'étais sur le point de faire volte-face, quand l'enfant me regarda et hocha la tête.

Avec lenteur, je m'avançai et m'agenouillai devant le garçon l'obligent à ouvrir la bouche. Sebastien n'opposa absolument aucune résistance. Je lui fis avaler le liquide puis me relevai.

Un silence. Puis, des hurlements. . Je serrai les yeux et derrière mon masque, je sentis les larmes se mettre à couler silencieusement le long de mes joues. Je ne m'étais jamais autant haï qu'en cet instant. Comment avais-je pu faire ça ? A un enfant innocent qui plus est ?

Mes mains se serrèrent pour former des poings sous les cris de souffrance répétés de Sebastien. J'avais utilisé du Ossis-Scissura. Ou en d'autres termes, la Potion du Déchir-Os qui réduisait en miettes tous les os de la victime avant qu'ils se reconstituent sous l'effet de la dose de Poussos qui y était contenue. Et croyez moi, ça faisait mal. Ca faisait même plus que mal.

Je pouvais toujours entendre mon élève crier son agonie. J'avais fermé les yeux. J'aurais voulu mourir de honte. Je méritais de mourir. J'en étais sûr et certain désormais. Je pouvais entendre le rire de Voldemort fort et clair, se mélangeant avec ces plaintes.

Le bruit cessa graduellement à mesure que la potion finissait de faire effet. Baissant les yeux, je vis que le regard de Sebastien s'était de nouveau arrêté sur moi. Le bleu glacier scintilla d'un étrange vert émeraude et lumineux pendant une fraction de secondes. L'enfant ne demandait ni merci ou pitié. Ses yeux semblaient percer les miens comme ceux d'Albus l'avaient toujours faits…

Je fermai les miens, priant pour qu'il tienne encore le coup. Pour qu'il vive. Je reculai et laissai un autre Mangemort prendre ma place.