Bonjour ! Je m'appelle Lilya Potter et je fais mon entrée dans le monde des écrivains de fictions. Alors je vous demande d'être indulgents avec moi svp. Bon...commençons
Titre : Les temps changent...
Disclamer : Rien n'est à moi, à part l'histoire. Tout est à J.K.R. et je ne suis pas payée pour écrire ça (et puis quoi encore ? Manque plus que ça !)
Chapitre 1 : Une proposition bien alléchante...
...Mais avant, petite mise en place de l'auteur : Alors, pour que vous compreniez bien, je ferais un petit résumé de chaque chapitre avant de commencer le suivant. Vous me suivez ? Et pour pas tout embrouiller les persos qui vous ont rien fait, je vous ferais un rappel des persos évoqués dans le chap. au bout d'un moment devrait pu y'en avoir et vous devrez tout piger sinon...interro écrite ! Alors faites gaffe parce que je n'hésiterais pas ! air et rire sadique
Mise en place : Harry est Auror (maintenant dans le coma à cause du combat final) et vient de tuer Voldemort (mais il existe toujours en tant que Tom Jedusor !). La femme du premier (vous saurez qui c'est plus tard, je vous le dis pas nananère !) tient une boutique d'animaux et est enceinte de triplées. C'est bon pour vous ? Alors c'est parti !!!!!!!!!!!!!!!!!
PS : Les notes de l'auteur seront toutes écrites en gras. Maintenant je n'ai plus qu'à espérer que vous ferez une bonne lecture...
« Ce matin, c'est l'euphorie sur le Chemin de Traverse. C'est comme ça depuis une semaine. Forcément, avec la rentrée qui approche... vivement qu'Harry soit sur pied et qu'il puisse enfin m'aider à tenir la boutique ; parce ce qu'avec ces trois petites pestes qui n'arrêtent pas de bouger, je suis épuisée ! » Pensa Mme Potter en ouvrant la boutique.
A peine eut-elle tourné la clé dans la serrure que tout un tas de gamins se précipitèrent dans le magasin pour faire leurs achats. Elle regarda, émerveillée, la plupart des petites filles aller du côté des félins tandis que les garçons, ou une grande partie, se dirigeaient vers les oiseaux.
« -Oh ! S'exclamèrent deux jeunes filles. Il est magnifique ! Dites Mme, il est à vendre ? »
La jeune femme s'avança pour voir que les filles regardaient un magnifique Phœnix au plumage rouge et or et aux yeux verts émeraude brillant. Elle s'apprêtait à leur dire non quand une voix douce et mélodieuse retentit des escaliers situés non loin de là :
« -Je suis désolé les enfants, mais Duncan n'est pas à vendre. »
Les fillettes eurent l'air peinées mais s'intéressèrent bien vite à un autre oiseau, une chouette lapone exactement. Harry descendit les escaliers en spirale et rejoignit sa femme, caressant Duncan et Hedwige (qui étaient venus sur les épaules de leur maître) au passage. Il enserra la taille de sa femme dans ses bras, lui donna un doux baiser en guise de bonjour, puis toucha tendrement son ventre grossit en demandant :
« -Elles ne te font pas trop vivre un enfer ?
-Aujourd'hui si ! Lui répondit sa femme en souriant. Je pense qu'elles avaient senti, tout comme moi, que leur Papa allait se réveiller pour de bon ... »
En effet, cela faisait trois mois que le jeune Harry Potter avait tué Voldemort. Trois mois que les mondes Sorcier et Moldu vivaient sans la crainte de voir apparaître le Mage Noir devant leur porte. Mais aussi trois mois que Harry enchaînait coma sur coma, se réveillant brusquement pendant quelques heures pour retomber ensuite dans un coma magique profond qui durait des semaines. Malgré son handicap majeur, qui était le fait de n'avoir que 18 ans à l'époque, le Survivant avait terrassé par un duel surprenant le Seigneur des Ténèbres. Maintenant, il avait 19 ans depuis deux semaines et contait vivre pleinement sans se soucier du monde comme il l'a fait plus jeune. Aujourd'hui il voulait profiter de la vie et avoir une famille. Donner à ses futures filles tout l'amour dont elles auront besoin, l'amour dont il n'a pas pu profiter...
Harry se sentait mélancolique. Durant ses comas, il avait revécus les pires moments de son existence, et maintenant il connaissait par cœur ce funeste soir d'Halloween 1981. Il savait parfaitement que son père et sa mère étaient morts pour lui, pour qu'il puisse redonner sa chance au monde. Et il l'avait fait. Mais ces moments, bien qu'ils les aient vécus, lui sont moins poignants que les morts de Cédric, Sirius, Hagrid, Severus, Ron et Hermione. Ces personnes avec qui il s'était lié et qui étaient mort sous ses yeux. Morts soit par sa faute, soit pour le protéger. Morts en le protégeant. C'était pour eux qu'il n'avait jamais laissé tomber la guerre, pour eux et pour tous ceux qui avaient souffert à cause de l'être abject qu'était Voldemort.
Harry décida de se changer les idées en aidant les gosses à trouver leur bonheur parmi tous ces petits animaux. Ce n'était pas son boulot mais ça le détendait. Dans le lot, quelques uns leurs appartenaient, Pattenrond (qu'ils avaient pris en charge à la mort d'Hermione et Ron), Hedwige, Duncan mais aussi une petite fée en robe mauve et aux yeux bleus saphirs, s'appelant Mina, qui virevoltait un peu partout. Il y avait aussi l'ancien serpent de Voldemort, Nagini, que Harry avait dressé. Il était maintenant très obéissant, ne mangeait que ce qu'on lui donnait et restait sans bouger derrière le comptoir.
Alors que les deux époux allaient fermer boutique après une dure journée de labeur, ils reçurent la visite un peu incongrue de Draco Malefoy et sa femme Alexandra. Cette dernière était une Moldue (eh non, vous ne rêvez pas !) que Draco et Harry avaient secourut lors de leur septième année. Draco a été renié par son père, en fin de 7ème année parce qu'il ne voulait plus (pour on ne sait quelle raison) rejoindre le Seigneur des Ténèbres. Harry, malgré l'antipathie qu'il éprouvait encore à l'époque pour le jeune Malefoy, l'avait aidé a affronter les Serpentard qui commençaient à le traiter comme un moins que rien ;et depuis, ils étaient devenus très proches et se confiaient tout, surtout après la mort des meilleurs amis d'Harry. Alexandra, Alex pour les intimes, était, du moins physiquement, tout le contraire de son mari. Elle était brune avec des mèches bordeaux, (caprice pour son mariage auquel Harry avait participé malgré lui. Il avait à présents ses cheveux noirs en bataille parsemés de mèches bleues électriques) ses cheveux lui descendaient jusqu'à la taille, elle était très svelte, mais ne ressemblait pas pour autant à un sac d'os ; enfin, maintenant qu'elle était enceinte d'un petit garçon, elle était beaucoup moins maigre qu'avant, avait un visage fin et délicat, doux comme la peau de pêche. Moralement, elle était faite pour Draco : dominatrice mais douce, espiègle, rebelle ... oui, tout comme son mari, vraiment.
« -Alors ma petite fouine, t'es ce qui t'amènes dans le coin ? demanda Harry avec entrain et un sourire aux lèvres.
-Je vois que ma marmotte est réveillée pour de bon, répondit Draco en reprenant le surnom « affectueux » qu'il donnait à Harry depuis quelques années, en fait, on voulait vous inviter à dîner ce soir pour fêter ton réveil, ton anniversaire et les naissances futures parce qu'il s'avère que nous ne l'avons pas encore fait.
-Pourtant, continua Alex, quatre naissances, plus l'anniversaire et le réveil du sorcier le plus puissant du monde ça se fête non ? »
Harry regarda sa femme d'un œil interrogateur. Elle avait des yeux bleus comme des saphirs, un visage doux et était calme la plupart du temps. Quand elle s'énervait par contre, on croirait avoir Mrs Weasley devant les yeux. Ses longs cheveux roux flamboyants lui descendaient aux omoplates et elle était tout aussi svelte qu'Alexandra avant qu'elle tombe, elle aussi, enceinte. Ginny Weasley Potter (j'ai essayé d'attendre le plus possible pour mettre son nom, vous aviez deviné qui c'était ?) répondit à sa question muette par un hochement de tête, puis elle déclara :
« - Très bien, c'est parti pour une soirée à Espérance alors !
-Super ! s'exclama Draco, à dans deux heures alors.
-Pas de problème les amis, dit Harry, on y sera ! »
Et le couple Malefoy s'en alla laissant les deux Potter à leurs préparatifs. Une heure et demie plus tard, les Potter étaient prêts. Ginny avait mit une élégante robe de soirée couleur argent et avait légèrement bouclé ses cheveux. Harry lui, revêtit un robe de sorcier bleue qui mettait en valeur ses cheveux qu'il essaya de lisser, bien que maintenant qu'ils étaient plus longs, ils étaient un peu moins en bataille, sans réussir pour autant. A huit heures pile, le couple était devant Espérance, la magnifique demeure des Malefoy. Car elle était vraiment belle et tout en elle symbolisait le bonheur, la joie et l'espérance. Elle portait donc très bien son nom. Ils entrèrent pour voir que tout était éteint. Harry murmura :
« -A ton avis, ils sont combien ? Moi je dirais une dizaine.
-Raté ! dit une voix enjouée en allumant les lumières d'un coup de baguette. Nous ne sommes que sept, avec vous deux...Ou plutôt...oui tu as raison en fait, nous sommes dix avec vous cinq. Même onze avec le futur Malfoy. Ajouta la voix après réflexion. »
Et Harry se retrouva sous les étreintes de Minerva, Remus, Draco, d'Alexandra et d'Ablus. Et ainsi commença la fête du jeune sorcier le plus puissant du monde. Car, bien qu'il essaye avec toute la modestie possible de réduire les faits, Harry Potter était, est et sera toujours, le sorcier le plus puissant que la Terre ait portée depuis Merlin. Le jeune homme déballa ses cadeaux sous les yeux moqueurs des autres. Il reçut de la part des Malefoy une montre bracelet qui permettait de localiser n'importe qui, donnait l'heure (Il le fallait bien non ?), le calendrier lunaire et qui servait également de Glace à l'Ennemi miniature. De Minerva, il reçut un manuel intitulé : « Le Mal et ses amis, comment s'en protéger ? par Alphonse Dodu »ce qui l'étonna beaucoup car il en savait plus en matière de DCFM que quiconque et puis, le livre datait de 1977. Il fit un signe interrogateur à l'adresse de son ancien professeur de Métamorphose qui lui répondit par un signe qu'elle lui expliquerait plus tard. Remus lui donna un album qui contenait des photos de James et Lily et des photos de lui durant ses années à Poudlard. Pour la deuxième fois de la soirée, il interrogea quelqu'un du regard, en l'occurrence Remus, qui lui dit :
« -Celle de tes parents étaient les miennes et celles de tes années à Poudlard m'ont été confiées par Colin Crivey. »
Mais le cadeau qui étonna le plus Harry fut, sans contexte, celui de Dumbledore. Ce dernier lui avait offert une lettre qui lui disait que le poste de directeur de l'école de Sorcellerie de Poudlard lui appartenait à partir de l'année prochaine. La première réaction qui suivit fut d'une stupidité étonnante. Harry était en train de lire et relire la lettre les yeux ronds comme des balles de ping-pong, la bouche aussi ouverte que possible et tenant le papier à bouts de bras. Une fois cela passé, il se posa une autre question : Pourquoi à partir de l'année prochaine ? Il aurait très bien pu attendre ou y aller tout de suite. Albus répondit à cette question par une toute petite phrase :
« -J'ai une mission à te confier cette année. »
Une mission...cette déclaration le hantait depuis qu'Albus le lui avait dit. Qu'est-ce qu'il devait bien avoir à faire cette année encore ? Il décida de ne plus y penser, du moins jusqu'à demain, jour où son mentor avait promis de tout lui expliquer. Il parti donc s'éclater avec sa femme et les Malefoy, une fois que les plus vieux soient partis « régler des affaires urgentes », dans une boite Moldue. Ils s'amusèrent comme des fous et, à quatre heures du matin, Harry décida qu'il était temps de « se montrer un peu plus raisonnable » et de rentrer chez soi. Harry et Ginny rentrèrent donc au Paradis des Animaux, (le nom de la boutique, et par conséquent de la maison, des Potter), et allèrent se coucher sans autre cérémonie.
A dix heures, Harry était debout. Il n'avait pas besoin de beaucoup de sommeil pour se régénérer, physiquement ou magiquement, après trois mois de coma où il n'a fait que ça, se régénérer, quand même ?! Et puis, la nouvelle mission qu'Albus devait lui donner l'empêchait de dormir. Il ne savait pas à quelle heure son ancien directeur prévoyait de venir et, vu que la rentrée est pour un peu moins de deux semaines, Harry était persuadé que Dumbledore n'allait pas s'attarder trop longtemps, il avait trop de choses à faire en parallèle. Aussi tout en préparant le déjeuner, qui fut prêt d'un claquement de doigts, (merci à la Magie sans Baguette, pensa aussitôt Harry), Mr Potter ne fut pas surpris le moins du monde quand la cloche au dessus de la porte tinta, signe que quelqu'un était entré. Harry sut immédiatement qui était dans le salon à l'attendre. Il avait appris ça lors de sa première et seule année de formation d'Auror, pendant ses cours de DCFM appliqués donnés par un ancien ami de son père. « Première leçon : Comment savoir qui se cache ou arrive derrière vous sans vous retourner ? ». il alla donc accueillir son professeur de DCFM, lors de sa troisième année, qui s'était assis dans un fauteuil rouge devant la cheminée.
« -Bonjour Remus ! s'exclama t-il, le faisant sursauter. Qu'est-ce ce qui t'amène ici ? Il y a un problème ? demanda t-il, son ton se faisant tout de suite plus inquiet.
-Non, non, répondit Lupin avec un sourire rassurant, je voulais juste te dire au revoir avant que tu ne partes pour ta mission. Albus te fait dire à ce sujet, qu'il passera vers seize heures.
-Tu sais où je vais ? demanda aussitôt Harry. Tu sais quand je reviendrais ? »
Lupin lui fit un sourire indulgent, signifiant qu'il savait parfaitement où l'Auror allait, et quand il reviendrait mais qu'il ne pouvait, bien évidemment, rien lui dire.
« -J'aurais du m'y attendre, dit le jeune homme en regardant le feu, dit-moi au moins, si je serais revenu pour la naissance de mes filles ?
-Normalement, Ginny devrait pouvoir venir avec toi.
-Cela veut dire que ce n'est pas trop dange...
-Ne crois pas ça, le coupa le loup-garou, c'est aussi dangereux que tes anciennes missions, seulement, Ginny pourra être mise à l'abri avec vos enfants.
-Mais le seul endroit où elles seraient en totale sécurité c'est Poudlard ! s'exclama Harry. Attends, ne me dis pas qu'il va...
-Stop ! Tu en sais déjà trop Harry, Albus t'expliquera les points que l'intelligence que tu as hérité de ta Mère n'a pas compris. » Dit Lupin tout en lui lançant un regard lourd de sens pendant qu'il lui faisait une dernière étreinte avant de disparaître du salon. Puis la cloche retentit de nouveau, signe que Remus venait de partir.
Harry réfléchissait. Pourquoi Remus avait-il autant insisté quand il avait prononcé le mot « mère » ? Se pourrait-il qu'Albus ait trouvé le moyen de faire revivre ses parents ? Et qu'il doive les protéger ? C'est impossible ! Mais Harry se remémora une phrase dite par Hagrid avant le combat final, durant lequel le professeur avait péri ainsi que Ron et Hermione, « Dans le monde de la Magie, tout est possible Harry ». Cette simple phrase lui donna l'espérance qu'il pourrait peut-être connaître ses parents autrement que par des volutes de fumée, d'un reflet dans un miroir ou en souvenir...
Trois coups à la porte, Harry se leva du divan où il était installé avec sa femme, et ouvrit la porte pour laisser passer Minerva et Albus. Ce dernier s'installa confortablement puis prit la parole :
« -Bonjour les enfants, si je suis venu avec le professeur Mac Gonagall aujourd'hui, c'est pour vous proposer quelque chose d'assez... bizarre en fait.
-Plus que d'habitude ? Plaisanta Ginny
-Oui, répondit le professeur de Métamorphose en riant, plus que d'habitude. En réalité, il y a 22 ans, l'avant-veille de la rentrée, je suis allée ouvrir les portes du château, il devait être six heures, et j'ai trouvé un jeune couple du nom de Harry et Ginny Parker qui venaient l'un pour le poste de DCFM et l'autre comme infirmière pour animaux. Mais ensuite, le trou noir.
-Ca voudrait dire, reprit calmement Harry après avoir tout assimilé, que nous avons remonté le temps. Mais si tu ne t'en rappelle plus c'est que...
-Vous avez changé le passé, oui Harry. Finit leur ancien directeur.
-Mais, comment on y est allé ? demanda Mrs Potter.
-Grâce à ceci je pense, dit Dumbldore tout en lui tendant un sablier qui ressemblait beaucoup à un Retourneur de Temps. C'est un Portotemps, un mélange de Portoloin et de Retourneur trafiqué.
-Professeur, demanda le jeune homme, vous dites que nous avons changé le passé, mais en quoi ?
-Harry, répondit Dumbledore avec un immense sérieux, toi et ta femme avez changé le cours du temps, pas seulement du passé, mais aussi notre présent sera changé quand vous reviendrez. Bien sur, vous pourrez empêcher Peter et Severus de passer du coté des forces obscures...et, Harry, si jamais tu es en forme...je ne t'oblige pas du tout à le faire évidemment mais...
-Vous voulez que je tue Voldemort de nouveau c'est cela ? Finit Harry, les yeux flamboyant d'une lueur que l'on n'avait vu qu'une seule fois auparavant : Lors du dernier coup lancé par le garçon à la fin du combat final. Coup qui mit fin à l'existence de Voldemort. Ce dernier était devenu tout comme était son père : un Moldu. Il était redevenu Tom Elvis Jedusor.
-Nous l'aimerions tous Harry, intervint Mac Gonagall, mais si tu n'as pas assez de force pour cela, ramener à la vie James, Lily et probablement Ron, Hermione, Cédric, Rubeus, Sirius et Severus sera amplement suffisant.
-Mais comment faire ? s'exclama Harry. Je veux dire, comment peut-on être sur que ce que l'on fait change notre présent ?
-Oui, l'appuya sa femme, je suis toute embrouillée, comment savoir si ce que l'on a fait change le temps ? En bien ou en mal d'ailleurs.
-Eh bien...là, je dois dire que vous me posez une colle. Dit Dumbledore tout en réfléchissant. Je crois que Fumseck et Duncan peuvent voyager à travers le temps. Nous pourrons donc échanger des messages sur les changements d'une époque à l'autre. Mais vous devez aussi savoir que vous n'êtes pas obligés d'accepter...
-Stop Albus ! s'écria Harry mettant fin aux conversations. Après le speech que tu viens de nous faire, je me sens, personnellement, obligé d'y aller. Pas toi Gin' ?
-Oh si, répondit-elle, et puis Albus tu n'es pas venu pour rien. Ca fait presque deux heures que tu es arrivé. J'ai l'impression que tu serais franchement déçu si on ne partait pas là-bas.
-En fait, expliqua Dumbledore de nouveau joyeux, j'y aurais envoyé quelqu'un d'autre, car le passé doit être changé. Mais c'est vous qui connaissiez le mieux les Maraudeurs, Lily, et Severus. Et, en réalité... ajouta t-il en regardant Harry qui savait parfaitement ce qui allait suivre...Harry est le seul qui peut vaincre Voldemort. »
Les jours qui suivirent cette conversation furent emplis de préparatifs pour le voyage des deux, ou cinq cela dépend du point de vue, Potter. Les Malefoy furent informés du voyage de leurs amis et, la veille du départ, tous se retrouvèrent pour une immense fête, qui fit grand bruit, au Paradis des Animaux.
Puis arriva le moment où tous durent se quitter. Ce fut des adieux déchirants, malgré le fait qu'Harry et Draco ne purent s'empêcher de se faire des saluts dignes d'une tragédie grecque. Quand tout le monde fut parti, il était six heures moins cinq (du matin), Harry se tourna vers sa femme et lui dit doucement :
« -On y va ? »
Elle acquiesça lentement puis, tout en se logeant dans les bras de son mari, enclencha le Portotemps.
Une avalanche de couleurs s'abattit sur eux et les animaux qui partaient avec eux. Un éclair aveuglant transperça la maison, venant droit sur eux. Puis ils disparurent.
Fin du premier chapitre.
Alors ??? Actions et réactions please !!!
Kiss
Lilya Potter !