Titre : Du coq à l'âme

Auteur : Ben moi… Tenchi Liloo Manson

Base : Gundam Wing…

Genre : je sais pas trop encore… ça reste à définir. OOC de sûr.

Disclaimer : comme d'hab', les persos ne sont pas à moi, je fais que les emprunter (mais je vais peut-être les garder qui sait… ça se verra peut-être pas… si ? Vous croyez ? Tant pis, j'aurais essayé…)

Notes : Je ne sais pas du tout où je vais, alors je vais me laisser porter, et voir ce que ça donne. En clair, aucun scénario précis, j'attends donc vos suggestions (Traduction : REVIEWS SVP).

Réclamations : tenchi_liloo_manson@hotmail.com

Remerciements : A Choupette (Elle se reconnaîtra. Heu tu tiens ta promesse hein? même si tu n'aimes pas !!!!) et à mon petit Kiwi (tes mails sont très motivants et me font toujours très plaisir, merci Papa Noël !!!!!^^) qui m'ont motivée et m'ont soutenue ces derniers jours (au fait j'attends les vôtres... de suites...). Sans vous cette... chose n'aurait jamais vu le jour (il aurait peut-être mieux valu, non ?). Merci aussi à tous ceux qui ont lu et aimé (ou pas d'ailleurs) ma première fic. Promis ce sera moins triste. Enfin, je crois...

Salut les hommes, salut les femmes / Et salut la marmaille / Huit heures sonnent, mon coeur s'enflamme / J'ai tout un éventail / D'émotions fortes à vous transmettre / Comme toutes sortes de lettres / Que j'écris, puis que je vous donne / Et que ma voix fredonne / Je serai logique ou je serai folle / Je serai laide ou je serai belle / Je vais m'lancer du haut du ciel / Jusqu'au dernier sous-sol / Je serai mauvaise ou je serai bonne / Angélique ou démone / Je vais passer du rire au drame / Passer du coq à l'âme ! / Salut les hommes, salut les femmes / Salut les retraités / Et si y'a des anges qui planent / Salut les regrettés / J'vous ai invités dans mon coeur / Pour qu'on s'amuse ensemble / Faisons comme si, pour quelques heures / Vous étiez dans ma chambre / On va s'retenir un petit sanglot / On va trouver ça drôle / On va s'pleurer sur les épaules / S'bécoter les bobos / On va se faire des confidences / Dédramatiser l'pire / On va s'avouer tout ce qu'on pense / Qu'on n'oserait jamais s'dire… ! / Salut les pères, salut les moines / Salut les mères et les enfants / Salut les hommes que trop souvent je blâme / Salut les femmes que je comprends / On va s'enlever notre maquillage / On va s'faire des grimaces / On va trouver l'courage de s'dire / Nos vérités en face / Est-ce la vie que je raconte / Qui fait que l'on s'rencontre / Ou n'est-ce pas parce qu'on se ressemble / Que ce soir on s'rassemble ?... / Bienvenue messieurs, bienvenue mesdames / Mes jeunes et mes vieux / Bienvenue les coqs, bienvenue les âmes / Et tout c'qu'y'a au milieu / Bienvenue dans tout ce que j'incarne / Tout ce que je refoule / Ces craintes qui me montent au crâne / Et m'attirent des foules / Bienvenue à vous que ça défoule / De voir que j'me désâme / A rester calme, à rester cool / Quand la vie tourne au drame / Merci les hommes, merci les femmes / De comprendre qu'y vaut mieux / Passer bêtement du coq à l'âme / Que rester silencieux…

                                                                                                                                                     DU COQ A L'ÂME

                                                                                                                                             Chapitre un : Rien ne se voit

J'y gagne à cause de la couleur des blés... C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante... Tu deviens pour toujours responsable de ce que tu as apprivoisé... Mais les yeux sont aveugles. Il faut chercher avec le coeur... On risque de pleurer un peu si l'on s'est laissé apprivoiser... Tu as eu tord. Tu auras de la peine. J'aurai l'air mort et ce ne sera pas vrai…

Quatre tomba en arrêt. Cette jeune femme aux cheveux de jais, attablée au café à dix mètres de là, ses traits lui rappelaient quelqu'un. Une personne qu'il avait connue pendant la guerre, et qui avait brusquement disparue il y avait quelque mois de ça. Quatre hésita. Il était sûr que c'était elle. Son cœur ne lui avait jamais menti. Et pourtant elle était si différente. Il prit son courage à deux mains et s'approcha de la table où elle était assise, seule, plongée dans ses pensées.

_ Excusez-moi… Relena ?

La jeune femme leva la tête et son regard se planta dans celui de Quatre. Un éclair de surprise passa dans ses yeux bleus. Elle l'avait reconnu. Pourtant son expression reflétait un état d'incompréhension totale, comme si elle le voyait pour la première fois de sa vie.

_ Pardonnez-moi, mais vous devez me confondre avec quelqu'un d'autre. Je ne m'appelle pas Relena, et je ne vous connais pas.

_ Je sais que tu m'as reconnu. Les yeux sont le reflet de l'âme. Et les tiens, ma chérie, n'ont  vraiment jamais su mentir. J'ai vu que tu m'avais reconnu, Relena Peacecraft.

Sur son visage si expressif, il put lire le combat intérieur qu'elle se livrait. Puis vaincue, elle baissa la tête, se recroquevilla légèrement sur sa chaise comme pour se protéger. Son attitude étrange perturba Quatre. Qu'est-ce qui avait bien pu lui arriver pour qu'elle le craigne, lui, qui avait été un de ses plus proches amis. Il s'assit lentement en face d'elle et posa sa main sur celle de la jeune femme, crispée sur la table.

_ Relena… murmura-t-il.

_ Oh Quatre… j'ai pourtant tout fait pour me protéger, pour disparaître. J'ai changé de nom, d'apparence physique, de pays… Mais apparemment ce n'était pas suffisant. J'ai échoué…

_ Pas du tout, tu te trompes. Nous t'avons cherchée pendant des mois, sans succès. Nous avons abandonné les recherches il y a seulement quelques semaines. Si je suis là, devant toi, c'est totalement par hasard. J'ignorais que tu étais ici.

Elle releva brusquement la tête, ses yeux humides remplis d'espoir. L'affolement disparut lentement, cédant la place au soulagement. Les émotions étranges qui se succédaient sur le visage de Relena, accentuaient le malaise déjà grand de Quatre.

_ C'est vrai ?

_ Bien sûr. Nous étions tous tellement inquiets ! Les autres vont être tellement heureux et soulagés d'apprendre que…

_ NON!!!!

Son cri fit se retourner plusieurs clients. Elle jeta un sourire embarrassé à la ronde, et reprit doucement.

_ Non. Surtout pas. Personne ne doit savoir que je suis ici, Quatre.

_ Mais Heero…

_ Non. Surtout lui. Tu dois me promettre de garder le silence. Sinon je serai encore obligée de fuir, et je n'en ai ni l'envie, ni le temps.

_ Mais enfin, pourquoi ?

_ J'ai mes raisons, Quatre, et je t'assure qu'elles sont bonnes. Je t'en prie, fais-moi confiance.

Son visage se fit implorant, ses yeux suppliants. Quatre hésita, pesant toutes les conséquences qu'impliquait cette promesse. Mais son amie avait sûrement une excellente raison d'agir ainsi. Depuis qu'il la connaissait, elle avait toujours eu l'art de prendre les bonnes décisions et d'amener les autres à les accepter sans ciller, de savoir retourner les situations difficiles à son avantage, de s'imposer avec ses idées novatrices par la douceur et avec tout le naturel qui la caractérisait. Durant toutes ces années où elle avait été ministre des Affaires Etrangères, elle avait défendu la paix avec tant de courage et de passion malgré son jeune âge, que beaucoup l'admirait et l'aimait. Elle savait désamorcer les conflits en respectant les sensibilités de chacun. Elle avait tant apporté au monde grâce à sa fermeté, sa détermination, sa grâce et sa douceur. Mais aujourd'hui, elle ne ressemblait plus à cette jeune fille décidée qui avait accompli tant de miracles. Elle paraissait plutôt effrayée, épuisée, rongée par l'anxiété. Et il savait que s'il brisait le secret, elle disparaîtrait aussitôt et il n'aurait peut-être pas autant de chance de la retrouver la prochaine fois. Alors il céda.

_ C'est d'accord. Mais promets-moi de ne pas disparaître à nouveau. Quels que soient tes problèmes, je veux t'aider. Tu m'as tellement manqué Relena.

Elle lui sourit avec tendresse et serra sa main dans la sienne. Malgré tout, son sourire ressemblait toujours à celui d'un ange.

_ Ca me fait énormément plaisir de te revoir Quatre. Tu ne t'imagines pas à quel point. Je me suis sentie tellement seule ces derniers mois… et perdue. Ca fait du bien de voir un visage ami.

_ Et si tu me racontais tout… ?

_ Heu… ça risque d'être plutôt long…

_ C'est pas grave. J'adore les histoires longues, et j'ai tout mon temps. Après tout, personne ne m'attend…

Relena fut surprise par la nostalgie contenue dans le ton sur lequel le jeune homme avait prononcé les derniers mots. Mais elle ne posa aucune question. Si Quatre voulait en parler, il se confierait quand il se sentirait prêt. Pour l'heure, c'était à elle de se confier, et elle en avait rudement besoin. Mais pas ici.

_ Je te propose d'aller chez moi. Nous serons plus à l'aise et plus tranquille. Ici il y a trop d'oreilles indiscrètes.

_ Très bien. Je n'y vois aucun inconvénient, je te suis.

Relena se leva alors, et les yeux de Quatre s'arrondirent comme des billes, sous l'effet de l'immense surprise qui le saisit. Relena se figea et le regarda, l'air penaud et embarrassé.

_ Désolée. Je comptais te le dire Quatre, mais je ne savais pas comment aborder le sujet.

_ Whaou… tu disparaîs brusquement sans prévenir, je te retrouve quelques mois plus tard, totalement par hasard, t'as changé de style de fringues, de couleur de cheveux, et même de nom d'après c'que tu m'dis ! Et maintenant ça…

_ Je me doute bien que ça doit te faire un choc. Mais il faudrait partir là, parce que les gens commencent à s'intéresser un peu trop à nous, et ça devient dangereux pour ma sécurité… et la tienne. Alors allons-y si ça te fais rien.

_ Heu… d'accord, répondit Quatre toujours aussi hébété.

Il se leva à son tour et suivit la jeune femme, en essayant de retenir le flot de questions qui lui montait aux lèvres.

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Tenchi : YOUKIIIIIIII !!!!!!! J'ai fini ! Ok, c'est court. Mais en une semaine et des poussières, c'est tout ce que j'ai pu écrire. Mon sentiment sur ce nouveau chapitre est plutôt mitigé. Alors j'attends vos commentaires. N'hésitez surtout pas. Bonnes ou mauvaises, les critiques sont les bienvenues. Promis je serai forte !!! Bon, je vous laisse, je vais m'atteler tout de suite à l'écriture du chapitre 2 !!!

Manson : Ayez pitié de nous, Seigneur !

Liloo : Heu… Tenchi… je sais pas si c'est une bonne idée…

Tenchi : Ca suffit maintenant toutes les deux ! J'ai des fans quand même, qui attendent la suite avec impatience !

Lectorat : …

Manson et Liloo : Heu… je sais pas mais… tu t'avances un peu là… -__-'

Tenchi : Pourquoi ?

Manson : Ouais, c'est pas la modestie qui t'étouffe, toi.

Tenchi : Pourquoi ?

Liloo : Heu, j'crois qu'on devrait arrêter tout d'suite, parce qu'elle est encore partie dans le délire des 'pourquoi'.

Tenchi : Pourquoi ?

Manson : Overdose de chocolat ?

Tenchi : Pourquoi ?

Liloo : Ouais, c'est Noël. Bon, Lecteur, désolée, mais l'auteur a pété les plombs (la preuve sa schizophrénie l'a reprise ! Non pas la camisole !… pas la camisole !...). Alors au revoir et peut-être à bientôt.

Tenchi : Pourquoi ?

Manson : Mais elle va se taire !