Salut cheres lecteurs! C'est sur une dystopie que je devais creer pour une evaluation... Je me suis beaucoup inspire de 1984 de Goerge Orwell, The Hunger Games de Suzanne Collins, et la planete Camazotz dans A Wrinkle in Time de Madeleine L'Engle. Ceci est ecrit dans le point de vue de Victor Nikiforov de Yuri on ice!, si il etait dans le futur. Disez ce que vous en pensez! J'espere que vous l'aimerera!


La ville où tout est en parfaite harmonie n'est nulle autre que Artemisia, synonyme de l'excellence. Elle surpasse toutes les villes voisines en matière de beauté, de progrès technologique et d'organisation. La création d'Artemisia est également impressionnant. Légende dit qu'il y a au moins deux mille ans que cinq rescapés du partie communiste soviétique qui s'est écroulé 1991 ont voulu fonder une ville ou gens de tous horizons pouvaient y vivre en paix. En plus, au fil des siècles elle s'est développée et atteint un tel niveau de sophistication que l'être humain pensait impossible, qu'on aura cru qu'elle était la modèle du ville idéale. Un vrai paradis qui se trouvait ici, sur Terre.

Mais cela aurait été trop beau pour être vrai.

J'ai quelques coupures et vilaines ecchymoses sur mes bras à force d'avoir grimpé le mur entourée de barbelés invisibles qui entoure la cité. Dierdre m'avait déjà prévenu que c'était très risqué, mais c'était la seule façon d'entrer clandestinement. Comme je ne fais pas partie de la ville sans avoir déclarée ma citoyenneté et mon allégeance au gouvernement, on m'aura considérée un hors-la-loi.

Non seulement est la ville fortifiée par des murs qui mesurent une vingtaine de mètres et des clôtures électriques, il y a des caméras thermiques partout qui peuvent détecter un intrus et déclenchent les alarmes de la ville. Et il y a un champ de force qui propulse quiconque essayant d'entrer. La sécurité est très bonne ici. Mais j'ai découvert qu'à partir de douze heures le matin et le soir, le champ mortel est éteint temporairement pour se recharger et l'électricité aussi. Donc j'ai simplement saisi l'opportunité.

Regardant tout autour de moi, je peux voir plusieurs immeubles imposants identiques en taille et il me semble qu'ils sont tous bâtis sur le même plan de construction. Ils ont des centaines d'étages et beaucoup de grands fenêtres qui reflète le Soleil, d'où vient leur aspect multicolore. La seule usage pour le balcon devant chaque vitre n'est que pour le transport. Partout où je vais, il y a de magnifiques parcs et lacs. Dans chaque logement, je peux voir une famille regroupée. Ils ont tous les choses nécessaires pour vivre : la nourriture, des lits, la lumière, l'air qui circule librement et une belle vue dehors. Mais je sais qu'ils ont beau tout ce qu'ils ont besoin, qu'ils sont malheureux. D'où vient son fameux surnom Desdemona, qui résume toutes leurs souffrances et chagrins en un mot. Ils sont constamment surveillés, non seulement depuis leur fenêtre, mais aussi par des caméras cachées. Leur "vie privée" est entièrement publique.

Je remarque que plus que j'approche la centre de la ville, plus les résidences sont luxueuses. Cela explique pourquoi les logements des habitants forment un cercle. Ces maisons ont leur jardins et piscines respectifs sur le toit. Je soupçonne que c'est pour les hauts fonctionnaires du gouvernement. Les dirigeants de Desdemona sont des bâtards manipulateurs corrompus et sournois qui ne se soucient que d'eux-mêmes, pas de leur peuple. La seule raison, je crois, que le gouvernement ne s'est pas détruite est qu'ils ont appris des erreurs que la partie communiste soviétique dont elle a essayé de s'échapper. Il gardée une des ses principes, l'égalité pour tous. Personne n'a plus qu'un autre, ni moins en biens, en vivres, tout. C'est pour cet raison qu'ils ne rebellent pas, le peuple de Desdemona. Ils se contentent de leur sécurité en échange pour leur liberté. Ils pensent qu'ils ne peuvent rien changer. Sauf les dirigeants, bien sur.

"Comment vas-tu?" j'entends un jeune garçon portant un combination noir demander à une jeune fille portant une elle aussi, sauf qu'elle est blanc. Les filles et les garçons sont séparés par leurs habits. Ca me fait presque rire; cet tradition est si démodé. Mais je me souviens que je suis horriblement exposé dans cette ville où je pourrais me retrouver à tout moment. "Bien, comme toujours," répond-t-elle.

Même la langue a été changé. Le vocabulaire a été réduit mais à quelques mots, assez pour communiquer, mais pas pour exprimer leurs pensées. Contrairement à ma cite Felya, il n'y a pas la liberté d'expression. Felya faisait partie autrefois de Desdemona, actuellement. Ensemble, avec d'autres villes qui ont été conquis, ils formaient un parfait cercle, le symbole de l'équité. Tout allait bien. Mais un jour, ils furent attaqués. Depuis, ils ont un fort désir de sécurité qui leur a fait faire les mauvais choix et opter pour la conformité et et éliminer tous les risques. Et c'est de cette manière que Artemisia est devenu Desdemona. Et qu'un parfait cercle une ovale en sorte.

Felya refusait de se soumettre à un autre régime de tyrannie. On avait déjà assez souffert dans le passé. Et c'est quand la guerre était déclarée contre les rebelles. Plusieurs années se sont passés il y a cela. C'est pourquoi tous les bâtiments sont délabrés et la population sévèrement diminue. Nous sommes tous appauvris, mais nos souffrances nous a seulement rendus plus forts. La vie n'est pas devenue plus facile.

Je retrouve la cantine centrale au centre de la ville. Dans ce dôme de verre il y a plusieurs tables majestueuses où toute la population peut s'asseoir et manger. Tout le monde reçoit une part égale du serveur-robot à l'avant de chaque table. Pour s'assurer que personne ne prenne plus que ce qu'il est censé faire, ils doivent remettre leurs cartes d'identité. Il leur est rendu après leur repas.

Une claque sur mon épaule me fait sursauter et me fait sortir de mes pensées. "EHM-450, j'ai pensé que tu n'y arriverai pas." Je me retourne et je vois l'homme que je suis sensée de rencontrer : Yakov, aka EHM-195. Yakov n'est pas si grand et il est un vieillard d'une bonne soixantaine d'années. Ou de moins pense-t-on. Il est l'un des seuls des fonctionnaires du gouvernement à avoir fait défection et fait officiellement partie de la rébellion. Il est bien étrange, considérant que tout le monde ici n'est pas capable de penser librement et sont tous soumis au lavage de cerveau par le régime. "Bien sur. J'aurai apprécié un peu plus de confiance en moi." je réponds sèchement. Il me souris. "Toujours aussi négatif, hein?"

Il me tend la main et je la prends, sachant qu'ils me dirigera dans sa maison luxueuse, le seule endroit ou on peut parler en secret. Nous avons beaucoup de choses à discuter, des plans de bataille à la chasse pour plus d'informations sur le gouvernement. Felya a peut-être été affaiblie auparavant, mais nous nous battrons encore et encore pour libérer les autres villes de leur sort. C'est le seul moyen de finir cet regime de Terreur; en travaillant tous ensemble. On peut pas mener ce combat pour la liberté tout seuls - on doit se réunir.

Et nous avons besoin de toute l'aide possible.