Bonjour et bonsoir à tous. On se retrouve pour cette toute nouvelle fanfiction. Enfin, "nouvelle". Pas tant que ça à vrai dire. Si vous venez d'atterrir ici, le chapitre que vous lisez est en réalité une version réécrite d'une ancienne fanfiction écrite il y'a longtemps. Entre le confinement et l'ennui, l'envie m'a prise d'écrire de nouveau ici, histoire de me changer les idées, et surtout si possible aider les gens à se changer l'esprit aussi.
Cette fiction est inspiré d'une fiction en particulier qui a pour thème Hermione et les frères Weasley pendant l'été. Donc oui, celle-ci en est largement inspirée mais malheureusement cette fiction a été abandonnée ( depuis 2008, plus aucun chapitre ). C'est une très bonne fiction - point de vue personnel - que je vous invite à lire. J'essaierai de retrouver le titre et je vous le donnerai dès que je l'aurai.
Je ne sais pas encore combien de chapitre il y aura, à voir.
Je vous invite donc à laisser une petite review - je ne sais pas vraiment si des gens tomberont sur ça, à vrai dire -. J'aimerai beaucoup avoir vos retours, d'autant plus que cette petite fanfiction "changeons-nous les idées pendant le confinement", évoluera en fonction de vos demandes, si vous préférez tel ou tel personnage, ou autre.
Je reprends ce système de l'ancienne version (toujours disponible par ailleurs sur mon compte, mais promis juré celle-ci est mieux... je crois) : Si vous laissez une review, les jumeaux apparaîtront dans votre jardin pour vous rafraîchir avec un jet d'eau. - j'aime le chantage -.
Je tiens à préciser que jusqu'au chapitre 4, je ne fais "que" réécrire l'ancienne version, donc même si j'essaie de l'améliorer, je colle à ce que j'avais déjà écrit il y'a de ça... beaucoup trop longtemps. A partir du chapitre cinq, j'innove :fait craquer ses poignets:.
J'espère que cette lecture vous plaira ! Bien sûr c'est à lire d'un œil détaché. Ce n'est pas de la grande littérature, seulement des petits chapitres pour vous amuser, divertir, puis, bon, aussi, revoir nos très chers Weasley... Bonne lecture !
Chapitre Un : Le Début de la fin.
«
Des boules d'hormones mobiles. Voilà comment je vois les frères Weasley depuis maintenant plus d'une semaine. Vous voyez, avant, ils étaient simplement les « frères de Ron », mon meilleur, ami… Entre les jumeaux Weasley et leurs farces stupides, Percy et ses petites lunettes avec son air important, Bill et Charlie, dont je pouvais difficilement parler ne les ayant pas réellement côtoyés avant ce fameux début d'été, autant vous dire qu'ils n'étaient pas prioritaires dans mes pensées.
Mais voilà le problème. C'est l'été, les vacances, il fait terriblement chaud, et moi je passe deux mois dans une maison remplie de garçons torse-nus, sans parents à l'horizon – Monsieur et Madame Weasley ayant gagné un voyage au Pérou, pour deux. En bref, c'est dangereux, je ne le vous fais pas dire… mais avant, je n'y avais pas pensé… je veux dire à… Enfin vous verrez. Mise à part les chers frères Weasley, il y'a leur sœur, Ginny, et Harry. Alors. Vous ne voyez toujours pas le fameux problème ?
Laissez-moi l'expliciter. J'ai dix-sept ans et je me retrouve entourée de jeunes hommes torses nus, s'amusant à faire des batailles d'eau parce qu'il fait bien trop chaud – m'arrosant aussi au passage, ça les amuse visiblement -, en me lançant des regards lubriques dès que je suis en maillot de bain. Et tous ont… bien grandi. Percy a troqué ses lunettes ringardes pour une paire plus épaisse, moderne, qui souligne étrangement bien les traits de son visage. Ses cheveux sont désormais coupés courts, bouclés, sans oublier les quelques ondulations qui viennent parfois lui cacher la vue. Et s'il n'est pas du genre musclé-joueur-de-Quidditch, il compense largement avec une excellente culture et son intelligence – on lui en pardonnerait presque son arrogance. En suivant, les jumeaux Weasley. Ils ont bien grandi eux aussi. Leurs cheveux sont courts, de même que leur frère, sans cesse en bataille, avec leurs sourires en coin si craquants- et, hum, leurs blagues – que je trouve au passage toujours aussi stupides mais qui parviennent à m'arracher parfois un sourire -, ainsi que leur fâcheuse tendance à tout faire ensemble – tout, ou presque -. Ron… Ron n'est pas un sujet de mes fantasmes. Il reste Ron, empoté, maladroit, goinfre…. Malgré ses abdos – qu'on s'entende, il en a. Passons cependant aux deux restants… Ils sont plus vieux que moi, donc par conséquent plus matures – tout dépend du sujet à vrai dire – et ça change, des élèves de Poudlard que je croisais pendant les cours, qui n'ont rien d'intéressant à raconter.
Tout d'abord Bill, avec sa coupure au visage – due à l'attaque d'un loup-garou, sous sa forme humaine -, son humour, et ses fichus sourire en coin labélisés Weasley – oui, vous ne les connaissez pas encore mais ça ne tardera pas. Il est grand, musclé, adulte – d'accord, ok, quand il est dans la même pièce que moi, j'ai… très chaud – et a même visité l'Egypte ! Et vient enfin Charlie, spécialiste des dragons, habile, grand, musclé – encore une fois, et je ne croyais pas pouvoir dire ça, merci au Quidditch -… Comment rester impassible face à ça ? Je suis certaine que je rougis dès que je croise le regard de l'un d'entre eux…
Jusqu'à présent, les journées se passaient plutôt tranquillement : je me levais avant tout le monde, déjeunais, Billa arrivait en souriant – et moi je bavais à moitié, me saluait, s'installait, tout ceci dans le silence, venait ensuite Charlie, arrivant en traînant des pieds, grognant en passant une main dans ses cheveux en bataille, encore endormi, puis lui aussi s'installait silencieusement, sans rien dire, somnolant – laissez-moi reprendre ma respiration j'ai écris ça d'une traite -. Puis descendaient les jumeaux, toujours aussi énergiques, descendant les escaliers en tapant des pieds comme il le fallait, déboulant dans la cuisine en discutant à voix haute et, nom de Merlin, arrivaient les cheveux mouillés de leur douche commune – et déjà torses nus, évidemment, il fait trop dès le matin… Ils déposaient chacun un baiser de chaque côté, sur mes tempes, geste qui était fait à la base je crois bien pour m'embêter, et allaient déjeuner tranquillement – tandis que je balbutiais un bonjour -. Percy descendaient ensuit avec Harry et Ginny, déjà bien coiffé et habillé, un manuel d'utilisation d'on ne savait trop quoi dans les mains. Autant vous dire que Ron se levait en dernier et se goinfrait pendant que tout le monde vaquait à ses occupations. Bref. La journée continuait – lentement – et vers midi, on mangeait. Parfois, je sentais la jambe de Charlie – qui avait établi sa place à ma droite – m'effleurer… autant vous dire que je rougissais, et que lui souriait sans réelle ambiguïté. De temps en temps, ma main rencontrait celle de Percy, à ma gauche, alors que je tentais d'attraper quelque chose, et je retirais ma main vivement en balbutiant des excuses.
Je n'étais définitivement pas faite pour être une femme fatale, mystérieuse, non, on lisait bien trop facilement mes émotions – et mes intentions -.
Puis, l'après-midi, soit ils avaient chaud et se mettaient tous torses nus, décidant ainsi de faire une bataille d'eau – c'était une véritable torture, je pouvais voir des gouttelettes d'eau ruisseler sur leur peau, dessinant davantage le contour de leurs muscles, tandis que, eux, riaient. Des fois, je me retrouvais légèrement mouillée par Fred ou Georges mais, généralement, je partais me réfugier en haut. Bref. Soit ça, soit ils décidaient de se faire un petit match de Quidditch. Torses nus, évidemment. Ah, bon sang, je n'étais jamais tranquille. Car évidemment, en plein match, je pouvais les observer… - ils sont vraiment musclés bon sang, vraiment -, en train de rire, tous, et il n'en fallait pas plus pour que je me mette à avoir vraiment chaud. Abrégeons.
Le soir, tout se passait bien, généralement – bien qu'en guide de bonsoir, j'avais été gratifiée du droit à un baiser sur le front de la part de chacun, j'avoue ne pas savoir d'où cette subite envie leur venait -, puis, au moins, il faisait plus froid… chacun avait son tee-shirt.
Tout ça pour dire que tout allait pour le mieux, jusque-là. Jusque-là, oui. Si mes hormones étaient déjà bien agitées, eux ne semblaient pas vraiment faire attention à moi – en tant que réelle représentante de la gente féminine et non en tant que la meilleure amie coincée mais gentille du petit frère de Ron, 'voyez.
Tout a basculé il environ une semaine après mon arrivée au Terrier, soit quelques jours avant le moment où je vous parle – vous suivez ? Bien. Alors… hum… Sur ordres de Ginny – je n'ai littéralement pas eu le choix, elle me fait plus peur que Mme Weasley quand elle a une idée en tête -, j'ai dû emporter quelques sous-vêtements en… en dentelle… - ne me regardez pas comme ça ! -. Et donc, erm, je disais, j'en avais mis, ce jour-là. Noirs, en dentelle et-, bref, pas de détails ici… et je précise que c'était simplement pour les essayer ! D'accord ?
Et donc ? Où en étais-je ? Ah, oui. J'étais donc parée de… de ça, ainsi que d'un haut blanc et un simple pantacourt noir, quand, lors du repas du soir, Fred qui se trouvait en face de moi a « malencontreusement » renversé le tiers du pichet d'eau sur moi – je ne suis à vrai dire pas bien sûr que ce soit une simple maladresse, voyez-vous -. En soi… pas de quoi se plaindre, il faisait chaud… mais le tee-shirt blanc est soudainement devenu transparent. Tous les regards se sont alors tournés sur mon soutien-gorge en dentelle. Ca n'a duré que quelques secondes, simplement le temps que je me lève et cours aller me changer, mais visiblement… il y'a dû avoir un déclic dans leurs esprits, puisque depuis, je n'ai plus l'impression d'être Hermione Granger mais un objet de convoitises.
C'est là que commence les réels ennuis. Les regards notamment. Parfois, Charlie caresse légèrement ma cuisse pendant le repas, les jumeaux tentent de m'attirer dans leur chambre… et des tas d'autres choses que je vous raconterai prochainement. Pour l'instant, je vais essayer d'aller dormir. Essayer.
Ron ronfle, c'est insupportable. »
