Chapitre IV- L'histoire se répète

POV - Clarke

Cela fait une semaine que j'ai croisé Lexa à l'Hôpital la première fois, et depuis ce jour là malgré ma mise en garde, je ne cesse de sentir son regard sur moi à la moindre occasion. J'ai eu beau lui dire de rester loin de moi, j'ai l'impression qu'elle fait tout le contraire. Je n'arrive pas ni à la comprendre ni à la cerner.

Pourtant je connais sa réputation et une partie de son histoire : Lexa Woods, elle a perdu sa partenaire i ans lors d'une mission et depuis elle n'accepte personne à ses côtés malgré l'avis plus que contraire de ses supérieurs. Elle ne se lie avec aucune des personnes que l'on lui colle sur le dos, selon ses propres mots.

Et pourtant, elle est en train de faire tout l'inverse avec moi. Et le pire c'est que son physique plus qu'appréciable est loin de me laisser indifférente.

Je passe nerveusement ma main dans mes cheveux en me perdant dans la contemplation de ma fameuse galaxie. Depuis ces derniers jours, je ne cesse de la dessiner, elle et son regard terriblement profond ! Heureusement que personne n'est là pour voir ça, je serais bien en peine de m'expliquer.

Sans m'en rendre compte, je me mords la lèvre inférieure. Après tout, il n'y a rien de mal à prendre du bon temps avec quelqu'un sans pour autant vouloir la connaître non ?

Je fixe un instant ce énième regard émeraude couché sur le papier avant de sourire. C'est décidé, je ne compte pas faire amis amis avec elle, mais rien ne m'empêche de passer un bon moment.

Tu as voulu t'approcher du grand méchant loup petit agneau, il va te dévorer.

POV Lexa

Il est 20h lorsque je remonte dans ma chambre. Les séances d'entraînement de ces derniers jours ont été particulièrement difficiles. Il y a évidemment une raison à cela : dans une dizaines de jours, nous partirons pour plusieurs opérations dans des lieux à haut risque. La particularité de notre base est que nous somme une unité spéciale et intervenons partout dans le monde, pour les situations les plus délicates.

Habituellement, le Général nous accorde au moins quelques jours de repos entre chaque sortie du territoire, mais cette fois-ci, il faut frapper fort et vite. Azgeda est de plus en plus active et influente et s'est même alliée aux Mountains selon nos dernières informations. Nous devons les faire tomber rapidement.

Je m'allonge sur mon lit en plaçant le creux de mon coude sur mes yeux, repensant aux diverses informations données lors des différents briefings de ces derniers jours. Il y a beaucoup de choses à retenir en une fois, mais j'ai l'habitude, nous avons l'habitude, après tout nous passons notre vie à assimiler des techniques de combat et des plans de bataille, pour ensuite les exécuter .

Je suis sortis de mes pensées lorsque la porte s'ouvre. Je me redresse un instant étonnée, puis me rends compte de quel jour nous sommes en croisant deux iris océans posées sur moi. La mise à pied de Clarke était terminée. Elle aurait dû revenir demain, mais comme à son habitude, elle est toujours en avance. J'ai eu l'occasion de la croiser plus d'une fois, car j'avais décidé de faire un tour à l'hôpital où je l'avais croisé, tous les jours. Les raisons m'échappent encore, mais je n'avais cessé de l'y voir. Peut-être était-ce là une explication à mes agissements incohérents.

Très vite ses yeux quittent les miens. Elle entre dans la chambre et referme la porte en lançant sans grande cérémonie son sac sur son lit. Je la regarde ensuite récupérer quelques vêtements dedans et se diriger vers la salle de bain. C'est au moment où la porte se verrouille que je me rends compte que mes yeux ne l'ont pas lâché une seule seconde.

Je soupire en me rallongeant dans la même position que précédemment. Récapitulons ce sur quoi j'ai réfléchis cette semaine : depuis 5 ans j'empêche quiconque d'entrer dans ma vie, et quand enfin arrive une personne qui n'en a que faire, je change d'avis. Peut-être est-ce à cause de ces yeux que je vois en rêve. Je suis hantée par l'or de ses cheveux sans ne pouvoir y faire.

J'ai finis par me résigner. J'étais attirée par cette fille, depuis le jour où je l'ai vu pour la première fois à moitié nue devant moi, elle m'obsède. J'ai pourtant essayé de penser à tout autre chose, mais je me suis rendue compte que malgré tout, cette semaine loin de sa présence m'avait envahie d'une sensation de vide.

Elle qui ne faisait que peu attention à moi, qui ne souhaitait aucun rapprochement me faisait vouloir tout le contraire. Et je ne savais pas du tout comment me sortir de cette situation.

Après en avoir discuté avec ma belle sœur qui est également ma meilleure amie, elle m'a dit de foncer, et, je cite « depuis quand tu t'arrêtes devant le premier obstacle ? Pulvérise le ! » J'avais rie en lui disant qu'elle était comme toujours très excessive, mais finalement je sais qu'elle a raison.

Décidée à engager la conversation, je m'assois sur mon lit au moment où la porte de la salle de bain s'ouvre. Mais ce que je vois en face de moi me laisse sans voix.

Clarke ne porte qu'un simple short en guise de pyjama, et une brassière, ce qui me laisse libre vue sur son ventre, ses clavicules et ses jambes. Elle se sèche les cheveux comme si tout allait parfaitement bien, mais moi je ne vais pas bien, pas bien du tout !

Mon coeur bat bien trop vite pour ma santé. Ma gorge est devenue sèche et le peu de détermination qu'il me reste disparaît à la seconde où elle relève la tête pour me fixer. A nouveau je suis incapable de me détacher de ses yeux.

Et c'est à cet instant que quelque chose que je ne pensais jamais voir m'apparaît : Elle sourit. Je vois son sourire sans barrière pour la première fois, et ce simple geste me retourne l'estomac.

Mais son sourire n'est pas normal, non, je m'en rends d'autant plus compte à l'instant où elle s'approche de moi. Elle ne s'arrête que lorsque ses genoux touchent les miens. Je la regarde avec une incompréhension non dissimulée alors que l'éclat de ses yeux s'est transformé en quelque chose de plus violent, loin de la mer paisible. Oui, une tempête, ses yeux ressemblent à une véritable tempête tant ils se sont assombris.

Je n'en comprends le sens que lorsqu'elle attrape mon menton de sa main droite avant de presser ses lèvres contre les miennes. Je sens sa langue demande l'accès, que je lui accorde sans même m'en rendre compte. Sans que je ne contrôle mes mains non plus, elles viennent se poser sur ses hanches.

C'est elle qui met fin au baiser pour ne pas manquer d'air. Je ne comprends toujours pas pourquoi elle a fait ça, mais ce que je sais, c'est que j'ai adoré.

-je t'avais prévenu...

Sont les seuls mots qu'elle prononce avant de me pousser à m'allonger sur le lit. Elle se place à califourchon au dessus de moi avec ce regard que je comprends maintenant être noircit par le désir. Le miens ne doit d'ailleurs pas être très différent.

Oui, elle me désir autant que je la désire, je le vois, et le sens dans ses gestes. Durant plusieurs heures, j'oublie toutes mes préoccupations, j'oublie tout. Nos corps dansent un balais des plus majestueux, qui se déroule à huit clos, pour notre seule plaisir.

Je ne sais trop à quel moment je me suis endormie, mais je sais que c'est le cas car lorsque j'ouvre les yeux, le soleil perce à travers les volets. Je regarde mon réveil pour découvrir qu'il est 7h. En sentant la sensation de fraîcheur sur ma peau, je me souviens immédiatement de ce qu'il s'est passé.

Je balaye la pièce du regard mais ne la vois nulle part. Elle n'est plus là. La seule preuve de ce que nous avons fait cette nuit est mon manque évident de vêtements. Je ferme les yeux pour me laisser envahir par les souvenirs de cette nuit des plus agréables.

Nous n'avons pas fait l'amour, nous avons couché ensemble. Il n'y avait aucun sentiment là dedans, et cela se sentait. Notre appétit était presque bestial par moments, comme si nous en manquions toutes les deux.

Et j'ai adoré. Je ne regrette rien, même en me rendant compte des conséquences. Mon corps lui même me fait comprendre qu'il a vécu la meilleure nuit de sa vie et qu'il souhaite recommencer. Mais le souhaite elle également ? Était-ce là seulement un coup d'une nuit ?

Je secoue la tête. Je n'ai pas le temps de réfléchir, je dois me lever. J'ai dormis plus que je ne le fais habituellement, ce qui m'oblige à me dépêcher si je ne veux pas être en retard. Je n'ai pas la moindre envie d'avoir un entraînement supplémentaire.

Il est 7h30 lorsque je rejoins mon équipe déjà au complet devant la salle de briefing. Elle aussi est présente mais je me force à ne pas la regarder.

-Bah alors Lexa, on a fait la grasse matiné?

Lincoln me sourit en posant sa question. Il sait que je passe souvent de mauvaises nuits, et c'est sa façon à lui de me demander si ça s'est arrêté, avec humour.

-Pour une fois en effet, mais je doute que cela se reproduise.

Je souris faiblement à sa mine inquiète. Il sait ce par quoi je suis passée, il m'a toujours soutenu, a toujours été là pour moi, et je lui en suis vraiment reconnaissante. Encore aujourd'hui alors qu'il a une vie de famille, il continue de prendre des nouvelles et de venir me voir lorsque nous avons des permissions.

Il est l'un des seuls que j'accepte dans mon cercle privé, et ce depuis toujours. Il a été mon pilier quand j'ai chuté. En vérité il n'est que mon demi-frère, nous n'avons pas la même mère, mais je me fiche de ce mot composé, il est trop long a prononcer, pour moi il est et restera mon seul frère.

La porte s'ouvre, nous indiquant par la même occasion que nous pouvons entrer. Nous saluons notre Général puis chacun s'assoie sur une chaise sans un mot. Je ne peux m'empêcher de remarquer que Clarke s'est assise à mon parfait opposé, ce qui renforce ce que je pensais tout à l'heure : elle ne veut pas aller plus loin que ce que nous avons eu.

Je n'ai pas le temps de penser plus que cela car la voix de mon supérieur me ramène à la réalité.

-J'ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer. Nous avons perdu la possession de plusieurs villages en Iran, signe que les terroristes se sont déplacés et ont accéléré leur opérations. Nous ne l'avions pas prévu aussi tôt, c'est pourquoi nous n'avons plus le temps. Vous partez dans deux heures, préparez vos affaires, un avion vous attends. Ce sera tout, disposez.

Nous restons de marbre à cette annonce mais je vois les muscles de mes hommes se tendre. Nous avons l'habitude d'être en danger, mais cette fois-ci, ces opérations vont nous demander beaucoup d'énergie, de concentration sur une longue période.

Je me lève, tout comme eux. Après un signe de tête entendu, je pars jusqu'à ma chambre pour exécuter les ordres et préparer mon paquetage.

Alors que je commençais tout juste à placer mes vêtements dans mon sac, je sens son regard sur moi. Je me retourne, et je la vois effectivement, assise sur son lit, me fixant de ses magnifiques iris.

-Tu veux quelque chose ?

-Simplement te dire que ce qui s'est produit cette nuit ne change en rien ce que je t'ai dis il y a une semaine.

Je fronce les sourcils alors qu'elle se détourne de moi pour commencer son sac également. Au moins, me voilà fixée, mais entendre ces mots me fais ressentir quelque chose d'inhabituel, je sens mon coeur se serrer sans en comprendre les raisons.

Oui, je ne comprends pas mon coeur, je ne la comprends pas elle non plus. Qui es-tu à la fin Clarke pour que je me sente à ce point démunis.

Cela fait une semaine que nous intervenons tous les jours auprès des forces armées Iraniennes. Nous sommes tous épuisés. Il ne se passe pas une seule journée sans qu'une de mes balles n'achève quelqu'un. Le temps défile sans que je n'en ai conscience.

Je dors, je me lève, je passe ma journée un fusil à la main, et je me recouche, jamais trois repas par jour, deux quand on a de la chance, un seul la plupart du temps. La situation commence à nous peser, mais heureusement, nous avons réussis à faire reculer ces enfoirés. Demain est censé être le dernier jour de tout ce bazar, je l'espère sincèrement.

Sans grande cérémonie, je me laisse tomber sur mon lit, sur le ventre, en poussant un long soupire. Quelques secondes après, je sens un poids sur mon dos. Je devine aisément que Clarke vient de se placer à califourchon sur moi.

Notre relation n'a pas évoluée amicalement parlant, mais physiquement si. Nous couchons ensemble tous les jours depuis que cet enfer a commencé. J'ai l'impression que nous en avons toutes les deux besoin pour relâcher la pression, alors je ne me pose aucune question, j'agis.

Je m'étonne d'ailleurs en ne sentant pas ses lèvres sur ma peau presque dénudée, mais ses mains sur mes épaules.

-Détends toi, j'ai remarqué aujourd'hui que tes muscles étaient vraiment au plus mal, je vais m'en occuper, nous n'avons pas le droit à l'erreur demain.

Et c'est ainsi que je sens ses mains experte exécuter des mouvements précis et maîtrisés pour détendre tous les muscles de mon dos, mes bras, mes épaules, et pour finir par mes jambes.

Je ne saurais dire combien de temps a duré cette séance massage. Lorsqu'elle s'arrête et se relève, je suis encore un peu dans le brouillard. Ce n'est qu'au moment où elle éteint la lumière que je reprends pleinement mes esprits.

Cette soirée est différente. Elle n'a jamais eu auparavant ce genre de gestes doux, ou d'attention. Elle vient tout de même de passer je ne sais combien de temps à prendre soin de tour mon corps. Elle a même dit qu'elle avait remarqué la tension excessive de mes muscles, cela veut dire qu'elle me regarde, non ?

Elle ne m'a pas non plus rejointe pour une étreinte charnelle, ce qui n'a rien d'habituel. Malgré tout, je me rends compte que je m'étais habituée à nos moments avant de dormir, je les aime même beaucoup. Je me rends compte que son contact me manque en ce jour où je comprends que rien ne se passera.

Je retiens un soupire. Je suis dans une situation vraiment compliquée. Bravo Lexa, à ne pas vouloir t'attacher tu as fais tout le contraire.

Je grogne. Je suis en colère contre moi même. Elle n'en a rien à faire de moi, je dois me le rentrer dans le crâne. Il faut que je m'éloigne de ce doux poison qu'elle représente, je ne veux pas continuer à ressentir cette douleur dans ma poitrine.

Je me tourne face à son lit de camp. Je ne distingue que ce que les rayons de la lune me permettent de voir. Elle est dos à moi, et ne semble pas dormir car son corps ne semble pas paisible. Je me prends à me demander ce à quoi elle peut bien penser, avant de me donner une claque mentale.

Dors Lexa, arrête de te torturer l'esprit. Et c'est en suivant mon propre conseil que je finis par trouver le sommeil, au bout de seulement 5 petites minutes, complètement détendue.

Malheureusement notre sommeil n'aura été que de courte durée. Je me réveille en sursaut d'un coup en entendant un bruit sourd, comme une explosion, provenant de tout prêt d'ici.

C'est lorsque je vois débarquer dans ma tente mon frère avec une mine à la fois inquiète et remplis de colère que je comprends que quelque chose de grave est en train de se produire.

Un coup d'oeil sur ma gauche m'apprend que Clarke a également les yeux grands ouverts. Sans attendre je saute dans mes chaussures et mon uniformes et cours jusqu'à l'armurerie.

Je comprends rapidement que notre camp est attaqué. Je jure en grinçant des dents alors que je rejoins tout juste la salle d'opération.

-Comment cela a-t-il pu se produire ?!

Je hurle presque, pour faire sortir toute ma frustration. Je récupère la radio que me tend l'un des soldats présent dans la tente.

-Mon Général, quels sont vos ordres ?

-Je suis désolé de vous demander ça Commandant Woods, mais ce camp ne doit en aucun cas tomber aux mains de l'ennemie. Défendez le, coûte que coûte, nous vous amenons du renfort aussi vite que possible.

-Compris mon Général.

-Et Lexa ? Je suis surprise en entendant à nouveau sa voix

-Oui Monsieur ?

-Faites attention à vous.

Puis le signal se coupe. Je ne prends pas le temps de réfléchir plus longtemps et fonce avec mes hommes qui avaient eu le temps de me rejoindre jusqu'à l'armurerie. Nous prenons le nécessaire très rapidement, pendant que je donne mes ordres. Je dois être efficace et ne mettre personne en danger, réfléchir très vite en donnant mes directives, mais je sais que mes hommes ont confiance en moi et j'ai confiance en eux.

Ensemble nous y arriverons. Après mes bref commandes, on se disperse tous avec nos binômes. Clarke part se placer dans un endroit couvert et légèrement en retrait pour user de son arme de précision, ce qui me laisse seule au front. Mais j'ai confiance en mes capacités, alors je ne réfléchis pas et fonce.

A chaque fois que je croise un homme qui n'est pas un soldat, il finis avec une balle, peu importe où, tant qu'il gît à terre ensuite. J'entends les balles parfois passer si près de moi que mes oreilles se mettent à siffler, mais je n'ai pas peu pour autant, je continue, je fonce, je défends ce qui nous appartient, ce qui nous permet de défendre d'autres personnes.

Ce camp est stratégique, je le sais, et ils le savent aussi, c'est pour cela qu'ils nous attaquent, surtout après que nous les ayons mis en déroute.

Alors que je tournais à un carrefour de tentes, je me prends un coup de coude droit dans la figure. L'adrénaline m'empêche de tomber et m'aide à reprendre plus que rapidement mes esprits. J'esquive un coup de couteau qui devait m'être porté à l'abdomen pour attraper son bras et le désarmer en lui brisant le poignet. Je l'envoie ensuite au sol, et le regarde un instant en pointant mon arme sur lui.

Je grogne et lui tire dans la jambe avant de l'assommer. Je ne tue jamais pour le plaisir, donc quand je peux l'éviter, même sur le champ de bataille, je le fais.

Je reprends très vite ma course, vérifiant le poul de chaque corps à terre que je trouve. Malheureusement je n'ai encore vu personne de vivant dans notre camp. Je suis déjà sûr que nous avons perdu beaucoup de personnes, et je le regrette.

Cette bataille acharnée dure une heure, peut-être deux, avant que les coups de feu ne se calment et fassent place au seul silence des pas, des respirations et des cris des blessés.

Je prends rapidement contact par radio avec mon équipe et apprends que tout va bien, certains ont bien quelques blessures, mais elles sont loin d'être graves.

Alors je me relâche, je laisse mes membres se reposer et commence même à sentir mes muscles endolories. Mais c'est cela le champ de bataille, rien de moins. Des morts, du sang, des efforts surhumains pour survivre.

Mais à cet instant si je n'avais pas été aussi sûr de moi, si je n'avais pas crû que tout était finis. Oui, si je n'avais pas relâché ma garde, alors Clarke ne serait pas en train de se vider de son sang dans mes bras.

Voilà pour ce chapitre numéro 4, j'espère que les amateurs de suspens sont conquis et que les autres ne sont pas actuellement en train de lister les mille et une façons de torturer ma personne~

A la semaine prochaine pour la suite ;)