Oui, c'est encore moi. Je sais que j'abuse un peut. Que cœur de Glace n'est pas fini, que je dois le finir, mais j'ai toutes ces idées qui me tourmentes… Et impossible d'écrire une ligne de cette fic qui me tiens plus que tout a cœur. Mais voilà, tout ce que mon imagination me sorts, c'est ce genre de fictions. Donc voilà.
Un petit Charry, légèrement citronné, et plutôt triste, je préfère vous prévenir.
Disclamer : Les personnages ne m'appartiennent pas, ils viennent tout droit de l'imagination de J.K.R et je ne l'en remercierais jamais assez.
Résumer : Quand deux personnes amoureuses veulent des choses différentes, les couples exploses. Comment récoler les morceaux quand on pense que tout est fini ?
Warning : Ceci est une fiction sur un couple homosexuel, je ne vous oblige pas a lire. Le début est légèrement citronné, alors attention aux yeux.
Surement en trois partie, Trois sur, mais la fin est encore flou, donc peut-être plus de trois. ^^ !
J'espère que ça vous plaira.
Leave a light on
(Tom Walker)
Partie 1, le réveil.
Je papillonne doucement des yeux, le soleil est haut dans le ciel, mes pupilles ont du mal à s'habituer à la luminosité. Je tourne le regard vers la fenêtre derrière moi pour voir que les lourdes tentures bleu ne sont pas tirer comme elles auraient dû l'être, mais les voilages blanc ondule de la brise qui passe par la fenêtre ouverte. Je soupir doucement, il fait chaud se matin, et l'envie de me lever pour fermer n'est pas là.
Je me tourne donc pour enfouir mon nez dans mon oreiller quand j'aperçois un éclat noir dans les draps blancs de mon lit. Un petit sourire aux lèvres, je tire sur le drap.
C'est d'abord de longs cheveux ébènes qui partent dans tous les sens et qui me donne envie de rire. Ensuite une peau dorée par le soleil, une épaule indéniablement musclée et masculine, un dos ciselée ou roules des muscles apetissant, souvenir de notre soirée. Une chute de rein a damné un sain vient ensuite. J'abaisse le drap encore légèrement, pour laisser apparaitre deux globes de chaires fermes et musclées qui me donne l'eau a la bouche.
Mon cerveau a peine réveiller quelques minutes plus tôt, est cependant en surchauffe devant ce spectacle. Et ma virilité est dresser et douloureuse…
Je retiens mon souffle quand mon amant gémi doucement, et bouge. Il enfouie la tête dans son oreiller, s'étirant a moitié pour finalement s'écraser de nouveau et plier une jambe sur le côté. Faisant se cambrer ces reins. Mon sexe tressaute à cet vue.
Je lâche le souffle que j'ai retenu, et aventure ma main vers ces magnifiques vallées. Du bout des doigts, je trace les muscles de sa cuisse, remontant vers ces deux globes. Je caresse ces montagnes de chaires à la peau si douce. Sous mes doigts, je sens le frissons qui parcourt mon amant et la chair de poule recouvrir sa peau. Ça me fait sourire.
Doucement, je remonte sur la courbe de son dos, j'entends un soupir de contentement alors je continue. Je connais cette peau sur le bout des doigts. Chaque monts, chaque creux, chaque vallée. Je connais les endroits qui le font rire, les autres qui le font gémir, ceux qui le font crier d'extase.
Mes doigts continuent de tracer des arabesques invisibles, passant sur les épaules, sur les bras, sur les côtes, seul sa virilité m'est inaccessible. Mais puisque je n'ai accès qu'au côté pile, je fais avec ce que j'ai.
Quand mes lèvres se pose sur les peau douce du haut de ces cuisses, un violent frisson parcourt mon amant. Et je sais ce qu'il aime, alors je me relève légèrement et défait le cordon de cuire qui attache mes cheveux roux, passe une main dedans pour les mettre correctement et repose mes lèvres sur la cuisse que je m'apprête à martyriser. Comme je me doute un doux halètement se fait entendre, mon amant se tortille légèrement, signe de son réveil imminant.
Et je souris, les lèvres toujours sur la peau douce de l'intérieur de sa cuisse. J'embrasse avec révérence, cette peau que j'admire. Les soupires, gémissement et halètement qui sortent de sa bouche sont une merveille à mes oreilles. Je remonte cette peau et arrive à la jonction de l'endroit que je convoite. Je souffle doucement sur cette peau humide de mes baiser, me déplaçant entre les cuisses mes bras de part et d'autre de mon bel amant. La vue est parfaite, et je souris de toutes mes dents de ce qui va suivre.
Doucement, je reprends ma douce torture, et sans attendre je donne un coup de langue bien placé qui fait relever la tête de mon amant tout en gémissant mon nom. Je sais qu'il est réveillé a présent et ces fesses son cambré, comme pour demander plus. Ce que je fais, avide, je parcours la peau douce, mordillant, l'aichant, ces deux globes musclées.
Après quelques minutes de ce traitement, grâce à un sort de lubrification, j'écarte les globes pour insinuer mon doigts dans cet antre qui n'appel que moi. Commence un long vas et viens, une préparation en bon et due forme. Quand trois doigts son entré et ont étendu se muscle qui se crispe quand je touche cette petite boule de nerfs au fond de mon ange brun, qui supplie, gémis et halète d'un plaisir sans nom.
-Charlie ! S'élève une voix encore rauque de sommeil. Charlie… Vient je t'en supplie.
Alors je me lubrifie et entre en lui. Et comme chaque fois je me sens chez moi, à ma place, dans ce doux fourreau de chaire.
Après quelques coups de reins, je sors de l'antre de mon ange brun et le retourne délicatement, la vue est toujours aussi fabuleuse. Il est toujours si beau après tant d'années passées à ces cotés. Les cheveux ébènes en batailles, bien plus longs que ce que la communauté sorcière se souvient. Les paupières à demi fermer sur des orbes d'une couleur indéfinissable, mais pourtant aussi beau que deux joyaux. Une ligne fine en forme d'éclaire beaucoup plus estomper qu'il y a quelques années, et surtout, un corps moins fin, plus musclé, moins rachitique et plus proportionner. Et l'élue du monde sorcier et bel et bien le plus beau à mes yeux.
Mais…
Parce qu'il y a forcément un mais n'est-ce pas ?
Mais, Harry Potter, l'élue, le survivant, celui-qui-a-un-nombre-incalculable-de-surnoms… Plus ridicules les uns que les autres… Ou alors en cette instant, juste Harry… A disparut depuis cinq ans de la communauté sorcière. Il a disparu et n'y a jamais remis les pieds. Donc, notre relation est secrète. Personne ne sait. Pas même mes proches. Pourtant, en se jours, pour nos trois ans ensemble, j'aurais voulu marquer le coup. J'ai une bague, bien cacher, à l'abri de son regard trop vert. Mais je ne sais pas si c'est une bonne idée. Nos disputes le prouvent.
Je voudrais crier au monde mon amour pour lui, quand il ne veut que des chuchotis. Je voudrais lui prouver mon amour en public, quand il ne veut que des preuves dans notre intimité. Je lui cache, du moins j'essaie, mais cette réalité me fait peur, me fait mal. Mentir à mes proches me fait mal. Parce que ma mère essaie de me caser dès que je mets les pieds au terrier.
Depuis quelques temps, malgré l'amour que je lui porte je doute. Je comprends qu'il ne veuille plus être celui qui se fait aduler puis descendre dans les journaux. Je comprends qu'il ait peur de la réaction des gens face à son homosexualité. Qu'il en ait marre de faire la une des journaux… Je voudrais seulement me marier avec celui que j'aime depuis plus de cinq ans.
Un soupir tremblant passe la barrière de mes lèvres, toute envie couper. Je ne suis pas en colère, seulement triste. J'ouvre les yeux que je n'avais pas conscience d'avoir fermé quand j'entends un sanglots étouffer.
Harry c'est détourner de moi, ce n'est plus des halètement qui secoue ces épaules mais de lourds sanglots. Je soupir encore. Se ci beau réveil se transforme en cauchemar.
Je sais que c'est inévitable, pourtant je redoute ce moment. Je pousse un soupir tremblant, le cœur au bord des lèvres. Je me lève en silence, je m'approche de la commode, et je sors cette écrins qui me pèse sur le cœur. Je me tourne, les larmes aux bords des yeux. Harry est recroquevillé sur le lit. Et cette vue me brise le cœur.
Je m'approche est m'assied près de se tète, a même le sol, dos au matelas, dos à l'amour de ma vie. Je replie mes jambes contre mon torse, et pose la petite boite dessus. Un soupir tremblant traverse malgré moi la barrière de mes lèvres. Je ferme les yeux et prends une profonde inspiration.
-Joyeux anniversaire pour nos trois ans Harry… Ce n'est qu'un murmure.
Et les sanglots reprennent plus durement.
-Je… Je suis désolé Charlie… Chuchote Harry. Charlie… C'est une supplique.
Et malgré moi, une larme roule doucement sur ma joue, mon cœur se serrant douloureusement.
Je tourne et retourne cette boite, celle qu'il y a quelques mois, je me faisais un plaisir de choisir, d'acheter. Qui me donnait du baume au cœur et enflais mon être de chaleur. Mais qui me pèse tant aujourd'hui. Et me fait souffrir.
-Je ne peux plus Harry. Je n'arrive plus à regarder ma mère dans les yeux, à lui mentir, à lui cacher la vie que je mène avec toi. Chaque fois que j'y vais, elle me fait une liste de toutes les prétendantes et prétendants qu'elle voudrait me présenter… Chaque fois, qu'elle menace de couper mes cheveux, qu'elle me hurle qu'elle en a marre de me voir seul et triste, chaque fois que mes frères se moque de moi… Chaque fois que bill pose suspicieusement ces yeux sur moi, comme pour dire silencieusement qu'il sait. Qu'il attend juste que je lui dise. Chaque fois que je dois sourire alors que mon cœur saigne. On s'est déjà disputer, on a déjà discuté longuement. Je comprends tout ce que tu m'as dit. Mais je ne peux plus. Ça fait trop mal…
Les larmes roulent sur mes joues, creusant des sillons dans mon cœur, elles sont toute la douleurs que je garde enfouie depuis longtemps maintenant. Je sers la petite boite contre mon cœur. Essuie les larmes qui coulent toujours. Je ne suis pourtant pas quelqu'un à pleurer pour un rien. Pourtant en se jours, tous ce que je garde enfouie en moi depuis maintenant longtemps, dois sortir. Parce que si notre histoire se termine la, il me faudra me raccrocher à quelque chose pour pouvoir avancer.
Je sors de la chambre après un mouvement de baguette, j'ai posé la petite boite sur le lit, devants le visage de mon amour. De l'homme que j'aime du plus profond de mon cœur. Celui avec lequel j'aurais voulu me marier, fonder une famille… Mais mes rêves se sont écroulés…
Ce n'est pas faute de l'aimer, de l'amour, cet homme, il en demande sans cesse, il en a à revendre. Il a manqué de beaucoup de chose dans sa vie mais surtout d'amour, de tendresse et de reconnaissance… J'ai tenté, du plus profond de mon cœur, mais aujourd'hui, je suis simplement fatigué.
Je m'habille à la va vite, et sors de mon cottage. Je ferme les yeux, mon cœur douloureux, brisé en mille morceaux.
Je m'avance doucement pour la journée, je sais qu'elle va être dur, vraiment. Mais je n'imaginais pas à quel point. J'ai frôlé la mort et mon chef ma donner des vacances forcés. Il m'a dit de revenir quand j'aurais retrouvé mes esprits.
Et ce sont les yeux rouges et cernés, une nouvelle cicatrice sur le dos de la main que je pénètre dans ma petite maison… Rien n'a bouger, c'est comme s'il ne s'était rien passé le matin même. Je soupire doucement. C'est le cœur au bord des lèvres que je range le bazar d'hier soir. Quand je pénètre dans ma chambre, mon cœur se fissure un peu plus. Ces affaires ont disparu. Comme la petite boite. Je prépare un sac à la va vite, prend une douche et m'écrase dans mon lit. Demain je pars en Angleterre. Un besoin de me ressourcer.
.
PDV Harry
Charlie vient de sortir de la chambre, et mon cœur est en miette. Je ne sais combien de temps je passe à laisser les larmes couler, à la limite de l'asphyxie… toutes mes peurs remontent à la surface. Toutes ces terreurs qui se terres en moi depuis bien trop longtemps déjà.
Je sais au fond de moi que je suis irrationnel. Mais j'ai trop souffert du regard des autres. Je voulais simplement vivre pour moi. Pour moi et pour l'amour que je portais à cet homme… Charlie Weasley. L'homme à qui j'ai donné mon cœur. Mais aussi mon corps, ma virginité… Je comprends ces doutes et ces peurs. Et je sais qu'il comprend les miennes, peut-être pas toutes… j'ouvre doucement les yeux, et tombe sur une boite d'un vers bouteille. Je tends la main et l'ouvre pour y trouver une magnifique bague de couleur argent, elle est simple avec quelques émeraudes qui brille de mille feux et qui forme le symbole de l'infini… Et je pleure plus encore… Parce qu'aujourd'hui, j'ai perdu la confiance, l'amour et la tendresse de cet homme si bon… De l'amour de ma vie.
Je referme la boite, douloureusement après avoir sorti la bague, j'ouvre la chaine autour de mon cou et y place la bague, comme un souvenir de ce que je n'aurais plus jamais. Je me lève et m'habille avant de faire le tour de cette maison qui a vue tant de belle chose, tant de souvenir magnifiques… D'un geste de la main, j'appelle toutes mes affaires et transplane sans un regard en arrière. Le cœur briser, anéanti. J'entre dans mon appartement et d'un coup de baguette je range tous dans la malle que je me suis acheter.
Finalement, une heure après, je quitte la Roumanie pour l'Angleterre. J'arrive devant un immense portail en fer forger, qui s'ouvre doucement devant moi. Alors je marche, les mains dans les poches, doucement pour aller jusqu'à la grande porte qui est ouverte.
J'avance comme un automate, au bout de ma vie. La tête basse les cheveux cachant mon visage d'où coulent toujours les larmes de douleurs.
Les pensées s'entrechoquent dans mon esprit.