Bonjour à tous, voila la fin tant attendue. Bonne lecture :)

Hermione n'avait jamais été douée pour dire non à Harry, surtout quand il s'agissait de le réconforter. Alors, elle hocha la tête et se glissa à côté de lui. Ils ont enroulé les couvertures autour d'eux, et Harry a mis son bras sous son cou, la tenant contre lui. Hermione n'avait pas partagé de lit avec Harry depuis leur fuite pendant la seconde guerre sorcière. Les nuits qui ont suivi le départ de Ron, il y avait eu des soirées de froid glacial, où Harry et elle avaient dû dormir dans le même lit pour préserver leur chaleur corporelle. C'était si innocent, à l'époque, mais ce soir, cela ne l'était en aucun cas. Ses doigts montaient et descendaient le long de son bras alors qu'il baissait les stores et soufflait sur toutes les bougies sauf une avec un geste de l'autre main.

"Tu deviens vraiment bon avec la magie sans baguette", a-t-elle fait remarquer.

"J'avais un bon enseignant", répondit-il.

Elle a souri. "Je suis content de savoir que tu avais prêté attention."

"Je ne veux pas en parler à Ron... à propos de tout ça. Pas encore."

"Tu allais le dire à l'un d'entre nous ?" demanda-t-elle.

Harry s'arrêta, considérant sa réponse. Puis il dit : "Je savais que tu le découvrirais avant tout le monde. Je pense que c'est pour ça que j'ai voulu faire des recherches avant toi. Je ne voulais pas avoir l'air d'un idiot à propos de ma propre condition."

"Harry..."

"Je ne fais que taquiner. En quelque sorte." Il l'a serrée contre lui. "Je suis content que tu sois venue ce soir."

"Moi aussi."

Il fit une autre pause, et ensuite, "Voudrais-tu venir... dans l'autre sens ?" (1)

Hermione se mit debout dans le lit et regarda Harry avec un air renfrogné. "Harry !" Elle a ramassé l'oreiller derrière lui et l'a frappé au visage avec.

Il a ri attrapant l'oreiller et le jeta par terre. "Je suis désolé, Hermione ! Je n'y peux rien ! Je suis... « excité » comme tu dis."

"Je devrais peut-être y aller."

"Oh, allez. Je ne fais que m'amuser. Tu sais, pour détendre un peu l'atmosphère. Ta meilleure amie découvre ton plus sombre secret avant même que tu puisses l'assimiler, cela peut vraiment te mettre la tête dans le brouillard." Il l'a frappée sur son côté. "Trop maline pour ton propre bien."

"C'est ce qu'on m'a dit", elle a roulé des yeux, le poussant en retour.

"Ne te méprends pas, je pense que votre intelligence est incroyable. J'aimerais être aussi intelligent que toi. Ça m'éviterait d'avoir à deviner beaucoup de choses."

"J'imagine que ta vie doit être moins ennuyeuse, puisque tu ne peux jamais rien comprendre par toi-même !"

Harry se roula sur le côté et posa une main sur son ventre. "Très drôle." Puis il lui enfonça ses doigts dans son estomac et se mit à la chatouiller impitoyablement, obligeant Hermione à se retourner et à jeter sa tête en arrière dans un éclat de rire.

"Ahaha ! Stop ! Stop ! Stop !" Elle ricana, fermant les yeux alors que les endorphines inondaient son cerveau. L'instant d'après, la main sur son ventre avait cessé de bouger alors que Harry fermait ses dents autour de son lobe et le tirait tendrement.

Confuse, Hermione était si confuse. Et submergée. Et... oh, ça fait du bien. Un gémissement involontaire lui échappa alors que la paume de la main d'Harry appuyait contre son nombril, les doigts écartés. Il a lâché son lobe pour lécher doucement la coquille de son oreille et lui chuchoter : "Tu as le plus beau des sourires."

La paume de sa main s'enfonçait fermement dans son abdomen pendant que ses doigts la caressaient. Sa bouche trouva la peau juste sous son oreille, et elle commença à traîner des baisers chauds et sensuels dans son cou.

Hermione n'était pas sûre de ce qui se passait, mais son corps réagissait positivement, appréciant la peau lisse des lèvres d'Harry et l'humidité de sa langue. Son haleine fantôme contre sa peau, la séduisait.

"Mmm..." elle s'est entendu gémir quand sa langue a léché à son pouls. "C'est... c'est..."

" Shh," dit-il, "Ça te plaît ?"

"Oui-oui..."

"Bien." Un doux baiser sous sa mâchoire fut sa récompense. "C'est bien, Hermione." La façon dont Harry a prononcé son nom était comme s'il marmonnait un sort magnifique. Elle ne savait pas que son nom pouvait paraître si attrayant sur la langue de quelqu'un. "Je vais continuer maintenant, d'accord ?"

Timidement, et contre son meilleur jugement, elle hocha la tête. L'instant d'après, Harry enroula son bras autour de son ventre et et se pelotonna sur le côté, lui faisant face, et la recula jusqu'à ce qu'ils soient en cuillère. Leurs corps s'emboîtent comme deux pièces d'un puzzle ; ses jambes imbriquaient derrière les siennes de la même façon que le reste de son corps. Il poussa ses boucles sur le côté et recommença à lui embrasser le cou, cette fois avec beaucoup plus de zèle.

"C'est tes hormones qui parlent," essaya-t-elle de le raisonner, alors même que sa main serpentait sous sa chemise et caressait son ventre tonique.

"Je m'en fous", murmura-t-il contre sa peau.

"Tu n'es pas vraiment attiré par moi."

Le bras autour d'elle se raidit, et elle fut ramenée encore plus près de lui. "J'ai toujours été attiré par toi." La preuve évidente de son attraction était pressée contre le derrière d'Hermione, prouvant son point de vue. "Tu me fais toujours sortir la confiture" (2), lui dit-il en léchant l'arrière de son cou, "Crois-moi," sa main libre bougea vers l'arrière de son cou et saisit les cheveux sur sa nuque, "Et il n'y a pas eu un moment où je ne t'ai pas appréciée". Il a bougé conte elle". Laisse-moi te montrer combien je t'apprécie."

"C'est juste le loup en toi."

"Eh bien, le loup en moi veut être en toi aussi."

C'était peut-être les mots, ou la façon dont Harry les a grognés contre son épaule, ou la chaleur de son corps, ou la manière presque animale avec laquelle il l'a tenue contre lui, mais Hermione a senti un flot d'humidité se déverser entre ses jambes et a rougi au magenta. "Harry..."

La main sur son ventre traînait vers le bas, plus bas, jusqu'à l'ourlet de sa jupe. Puis, il a inhalé. "Tu es déjà si mouillé pour moi." Il lui a mordu l'épaule à travers son chemisier. "Elle sur le chemin. Enlève-la pour moi."

"Je-"

"Maintenant." Ce n'était pas un ordre, mais c'était certainement une demande. Une à laquelle Harry voulait qu'elle obéisse. Hermione n'avait jamais ressenti cela, être pressée contre quelqu'un qui avait peu ou pas de maîtrise de soi. Etait-ce que cela venait des instincts charnels d'Harry et de la testostérone qui, sans doute, pulsait en lui en ce moment même, ou était-ce que cette tension sexuelle avait toujours existé, sous la surface, attendant juste une excuse pour se faire connaître ? Quoi qu'il en soit, cela a poussé Hermione à descendre à la recherche du bas de sa chemise et à la tirer vers le haut. Harry l'aida avec le reste, en le faisant glisser sur ses bras et sa tête avant de la jeter par-dessus le lit.

Une fois de plus, Hermione s'est retrouvée entraînée par les bras puissants d'Harry, cette fois pour se faire rouler sur le dos alors qu'il grimpait sur elle, la clouant sur le matelas à l'aide du poids de ses jambes autour de ses hanches. De là, il la fixa, ses pupilles emportées par le désir, sa respiration soulevant un voile de convoitise sur ses traits. Il lécha sa lèvre supérieure absorbant la texture crémeuse de sa peau jusqu'à son soutien-gorge noir.

"Ça aussi, ça doit partir", dit-il en souriant, poussant vers le soutien-gorge. Quand il a essayé de l'enlever, en tirant violemment sur l'avant pour le déchirer, Hermione le frappa sur le bras et lui dit : "C'est cher !" Les deux se mirent à rire. Elle ne savait pas que cela lui semblerait si... naturel d'être en dessous de lui comme ça. Elle était si à l'aise.

"Désolé", sourit-il. "Tu veux te retourner, alors ? Je serai gentil."

"Devons-nous faire cela ?"Elle s'est mordu la lèvre inférieure et regarda Harry se tortiller à la vue.

"Je suis tout à fait pour", lui répondit-il, tendant la main pour prendre sa joue en coupe. C'était chaud et familier, et ça faisait fondre Hermione de l'intérieur. Il y avait un soupçon d'Harry l'humain qui perçait à travers l'extérieur de ce nouveau côté lupin. Cela l'a mise à l'aise et elle hocha la tête. Pour une raison ou une autre, elle savait qu'elle ne reculerait pas maintenant. Même si c'était soudain et interdit. Après tout, la route des amis qui menait vers quelque chose de plus était toujours pavée de bonnes intentions, bien qu'il n'y eût aucune garantie que cela ne part pas dans un gâchis. Alors pourquoi permettait-elle que cela se produise ? Pourquoi ne pouvait-elle pas voir la raison et lui dire d'aller se coucher, et qu'elle le verrait demain matin ?

Peut-être parce qu'au fond d'elle, elle voulait ce genre de satisfaction sexuelle depuis très, très longtemps.

Peut-être parce qu'elle aimait secrètement ce nouveau côté d'Harry, si audacieux et autoritaire.

Peut-être parce qu'elle n'avait pas besoin de raison.

Avant qu'elle n'ait pu lui dire qu'elle était complètement d'accord, Harry glissa sa main de sa joue vers l'arrière de son cou et l'inclina vers le haut, l'exposant. Puis il se pencha vers l'avant et lui captura la gorge dans un florilège de baisers excitants et sensuels. Il était vraiment comme un loup dévorant sa proie en ce moment, et Hermione gémissait en dessous de lui, les yeux se fermant et le dos s'arquant vers l'avant. Le rude auror glissa son bras libre sous elle et, d'un geste rapide, détacha son soutien-gorge et le tira vers l'avant. L'air froid frappa sa poitrine, et Hermione sursauta, son dos tombant contre le lit, permettant à Harry de glisser les bretelles du sous-vêtement sur ses bras et de le tenir entre eux avec fierté. "Oh, regarde. Tu n'avais pas besoin de te retourner après tout." Puis il jeta le vêtement par-dessus son épaule et captura les lèvres d'Hermione dans un baiser velouté.

Ses mains trouvèrent ses cheveux et sa langue trouva son chemin contre la sienne. Il avait un goût de thé à la menthe et sentait comme une énergie chargée sexuellement. Son corps attira son attention alors qu'il épinglait un bras, puis l'autre, autour de sa tête, l'encadrant. Entre deux baisers, il attrapa ses lèvres entre ses dents et la mordilla. Ses doigts jouèrent avec les douces boucles de ses cheveux, faisant tournoyer les boucles de couleur café autour de ses doigts.

"Mmm..." il cassa le baiser pour brosser son nez contre son oreille. "Je peux sentir à quel point tu es stimulée. Je peux entendre ton pouls battre sous la surface de ta peau. Et ton goût", il lui lécha le cou, "délicieux".

"Dieu..." Hermione sursauta, serrant ses cheveux plus fort.

"Puis-je goûter le reste de toi, Hermione ?"

"Oui", s'est-elle entendu dire entre deux halètements.

Harry voyagea plus bas, mordant sa clavicule. "Ron était un idiot. Il ne pouvait pas apprécier ce qu'il avait sous les yeux." Ses lèvres glissèrent le long de son sternum, se reposant entre ses seins qui se soulevaient sous la force de son souffle. Il a traîné son nez sur sa peau et balaya son mamelon gauche avant de le capturer entre ses dents.

"Merlin", gémit Hermione alors qu'il faisant rouler le petit bourgeon entre ses dents. Il tira sur la petite bosse, la faisant durcir au maximum de son potentiel. Quand il commença à battre le mamelon de sa langue, tout en suçant et en massant sa poitrine, Hermione fut perdue et frotta ses hanches contre la sienne, suppliant, "Ne t'arrête pas, Harry. Mon Dieu ... c'est incroyable ..."

À son grand désarroi, Harry arrêta ses soins, mais seulement pour se déplacer vers l'autre sein et répéter les mêmes mouvements, ce qui fit frémir de plaisir la brune en dessous de lui. Personne ne l'avait jamais touchée de cette manière, oui, elle avait eu des amants, mais aucun n'avait agi à un tel désir primitif de lui faire plaisir. Elle sentait l'humidité entre ses jambes, sachant que c'était Harry qui l'avait rendue ainsi. D'une manière ou d'une autre, cela a rendu l'événement encore plus excitant. Il connaissait ses espoirs, ses rêves, ses faiblesses et ses forces. Il savait presque tout ce qu'il y avait à savoir sur la jeune sorcière, et maintenant... maintenant il la connaîtrait entièrement.

Quand il eut terminé d'adorer ses seins, Harry traîna sa langue au centre de son estomac, dans le creux de son nombril, et plus loin encore jusqu'à ce qu'il rencontre le bord de sa jupe. Se léchant ses lèvres, il lui jeta un coup d'œil et dit : "Écarte les cuisses pour moi." Alors qu'Hermione le faisait, Harry sourit, heureux de son obéissance. "Gentille fille."

"Gentille fille ?" pensa-t-elle. "Oh, c'était tout à fait trop chaud.

Puis Harry déplaça lentement sa jupe vers le haut de ses cuisses, révélant ce qu'il y avait dessous, un mince tissu de soie noire. Il se déplaça entre ses jambes, en brossant sa barbe contre sa cuisse. "Je le voulais depuis très longtemps ", l'entendit-elle dire alors qu'il accrochait ses pouces sous le tissu de sa culotte et la tirait vers le bas. "Si longtemps, mais je ne pouvais pas..." Frustré, il déchira le tissu aux coutures. Puis il porta le vêtement sur son visage et en respira son arôme. "Mon Dieu, Hermione. Je ne peux pas m'en empêcher." L'instant d'après, il enroula ses deux bras toniques autour de ses cuisses, inclinant ses hanches vers le haut avant de prendre son prix dans sa bouche.

Hermione frissonna alors que sa langue chaude entrait en contact avec ses doux plis. Lorsque les premières saveurs arrivèrent sur sa langue, elles lui firent manger comme si c'était son dernier repas ; il était le prédateur dans ses actions, léchant avidement sa vulve mouillée et traînant sa langue sur son clitoris palpitant. Le garçon timide qu'elle connaissait de Poudlard était parti et, à sa place, se trouvait un homme fort et confiant, plein de testostérone déchaînée et dont ses objectifs étaient le plaisir et la soumission d'Hermione Granger.

"Harry !" s'écria-t-elle en lui tirant les cheveux et en s'émerveillant devant sa langue habile. "C'est ça, c'est ça. Juste là. Oooh, bon sang..."

Harry fit tourbillonner doucement sa langue sur son clito avant de l'embrasser. "Je pourrais manger ta chatte toute la nuit", confessa-t-il avec une exaltation ardente. Hermione rougit d'un rouge pourpre, et elle était reconnaissante pour le faible éclairage qui le cachait. Elle n'avait jamais imaginé Harry avec un vocabulaire aussi vilain, et c'était positivement... délicieux. Délicieux comme la façon dont il a continué à stimuler son clitoris avec sa langue pendant qu'il lovait un, doigt à l'intérieur d'elle.

"Oh, Circé !" Hermione lança sa tête en arrière et se déplaça contre son doigt, l'enfonçant davantage en elle, la faisait gémir. Harry balança son doigt à l'intérieur d'elle, la remplissant jusqu'à son articulation. Puis, il chercha le faisceau de tissu mou à l'intérieur d'elle tout en léchant sa chatte avec une minutie éblouissante. Lorsqu'il fit un mouvement de va-et-vient avec son doigt, il le trouva, et Hermione hurla doucement, les hanches secouées et les yeux fermés.

"Gémis pour moi", il l'encouragea. Son doigt commença à se recroqueviller à l'intérieur d'elle encore et encore, bougeant ses hanches et l'amenant à broyer son clito sur sa langue.

Hermione était en extase. "Harry... oh, Harry, tu vas... me faire..." Elle ne savait pas comment il l'avait fait sortir si vite d'elle, mais ses murs se serrèrent autour de son doigt tandis que sa langue s'élançait rapidement sur son clitoris par des mouvements rapides.

Les étoiles éclatent derrière ses yeux, et Hermione hurla de plaisir, les jambes tremblantes, la peau légèrement humide de la rosée de son euphorie.

Harry continua à enfoncer son doigt en elle, léchant partout où il le pouvait pour la goûter au fur et à mesure qu'elle arrivait. "Encore une fois", chuchota-t-il contre son bouton sensible avant de recommencer tout le processus. Cette fois, il a glissé un deuxième doigt dans son passage trempé et a accéléré le rythme. Alors qu'il claquait des doigts en elle, il murmura à Hermione Granger les choses les plus érotiques qui lui aient jamais été dites.

"Toutes ces nuits à fuir, j'ai perdu le compte du nombre de fois où j'ai eu envie de te faire gémir comme ça. J'avais l'habitude de me toucher la nuit pendant que tu dormais, en pensant à ce que cela ferait de te voir penché sur le lit avec ma bite en toi. Ça te plairait, Hermione ? Tu veux la prendre par-derrière et me laisser te montrer toutes les années qu'on a perdues ?"

"Oui. Putain, oui, s'il te plaît..."

Soudainement, Hermione était sur le ventre avant même de pouvoir réfléchir. Harry l'avait retournée, léchant la douceur de son jus sur ses doigts pendant qu'il le faisait. Sa force était stupéfiante et inhumaine alors qu'il levait ses hanches et la forçait à se mettre à quatre pattes. Hermione n'avait pas la force -ni la volonté- de discuter. Au lieu de cela, elle a ouvertement embrassé cette conquête sexuelle, pleinement plongée dans les sensations. L'instant d'après, Harry la gifla fortement sur le cul et lui serra la hanche de manière possessive. Il y avait le bruit d'une boucle de ceinture qui se détachait et le brassage du tissu. "Ma Hermione." Il ne sonnait pas du tout comme lui-même, mais plutôt comme la créature sauvage piégée sous la surface. Elle sentit quelque chose de chaud et de dur appuyer contre son entrée, et Hermione appuya une main sur la tête de lit juste au moment où il avançait et entrait en elle.

"Ah !" Ses yeux se refermèrent quand elle sentit toute la sensation de sa bite en elle. Habituée à la lenteur, il y eut une torsion dans son estomac quand elle se fit remplir d'un seul coup ; c'était le genre de sensation que l'on ressentait quand on tombait d'une très grande hauteur. Elle pouvait entendre la respiration saccadée de Harry derrière elle alors qu'il caressait sa colonne vertébrale d'une main.

"Putain." Les doigts de sa hanche se sont enfoncés plus profondément. "Si... serrée... "Il revint à la raison un moment, se penchant en avant pour l'embrasser le long de son épaule. "Est-ce que... ça va ?" Il y avait à nouveau son côté humain. Il a fallu tout ce qu'elle avait pour ne pas mendier.

"Bouge, Harry, chuchota-t-elle, j'en ai besoin. Ne me taquine pas."

Il lui léchait lentement le cou avec précision, puis balança ses hanches vers l'avant. Hermione saisit le drap du lit en dessous d'elle, prenant jusqu'au dernier centimètre de lui.

"Ouiiii..." Ses yeux s'ouvrirent, et elle jeta son regard par-dessus son épaule, attrapant ses yeux. Il y avait un léger rougissement le long de ses joues, mais autrement il semblait tout à fait à l'aise sur le moment, se penchant en avant pour brosser ses lèvres contre les siennes.

"Comment tu le veux ? Doux ?" Il s'est penché vers le haut et a roulé les hanches en de lents mouvements circulaires. "Ou dur ?" Il claqua brusquement ses hanches, ce qui obligea Hermione à laisser échapper un cri aigu et à tomber sur ses coudes. "Oh, je pense que la dame aime que ça soit dur." Il eut un petit rire amusé avant de l'enfoncer encore une fois, son sac claquant contre son clitoris à chaque mouvement.

Hermione ne pouvait ni penser, ni goûter, ni sentir, ni voir. Tout ce qu'elle pouvait faire, c'était de sentir Harry la remplir encore et encore de sa bite de la manière la plus brutale et la plus exquise possible. Elle gémissait comme une pute et se sentait deux fois plus vulnérable. Mais être vulnérable autour d'Harry n'était pas aussi mauvais qu'elle le pensait. Elle lui faisait confiance pour sa vie, et lui pour la sienne. C'était logique qu'elle puisse lui faire confiance avec ça aussi. Alors, elle céda à ses désirs primaires et laissa le sentiment l'emporter.

"Mmm... putain, Harry... "

"Tu es si belle comme ça, Hermione." Clac ! Il la frappa durement sur les fesses. "Tu devrais la prendre comme une bonne fille. Tu es ma bonne fille, n'est-ce pas ?"

"O-oui ! Je suis ta bonne fille." Elle s'est mordu la lèvre inférieure pour ne pas crier.

"Tu ferais n'importe quoi pour moi, n'est-ce pas ?"

"Harry !"

"N'est-ce pas ?"

"N'importe quoi !" elle sursauta quand il lui empoigna les cheveux. "Tout ce que tu veux."

"Je veux que tu sois vilaine." La main dans ses cheveux, il poussa son visage dans l'oreiller, forçant son cul à s'élever encore plus. "C'est la veille de Noël, Hermione. Je pense que tu as besoin d'être mise sur la liste des vilaines filles pour une fois."

Ce n'est pas ce qu'elle entendait tous les jours de Harry James Potter ! Hermione senti tout son corps s'exciter pendant qu'il la baisait fort dans le lit.

"Mhmm... !" elle accepta. "Punis-moi, Harry. J'ai été si vilaine !"

"Putain..." Harry poussa à l'intérieur et à l'extérieur, la menant au bord du gouffre. La stimulation de ses couilles qui claquait contre son clitoris et l'angle où il la frappait la mise en route vers sa dernière ascension.

"Si près... mmm... fait moi venir... Dieu, je veux... oh... Dieu, oui ! OUI !"

Une fois de plus, Hermione tomba dans l'abîme du plaisir, criant le nom d'Harry. Il grogna pendant que ses murs se serrèrent autour de sa queue, et avec une dernière violente poussée, il vint aussi, se déversant à l'intérieur d'elle.

"Herm...ione..." Son haleine était peu profonde alors qu'il reposait sa tête contre son dos. Le silence de la pièce était seulement entrecoupé par leurs halètements. La sueur scintillait sur leurs fronts. Ils s'étaient littéralement baisés comme des idiots, parce que quand Harry est tombé à côté d'elle sur le lit, il s'est mis à rire. Hermione aussi, et bientôt toute la pièce fut remplie de leurs rires.

"Pourquoi ris-tu ?" lui cria-t-elle entre deux rires, cachant son visage sous un oreiller pour cacher son rougissement.

Harry avait un sourire digne d'un écolier quand il répondit : "C'est juste... ce que j'ai dit... la liste des vilains enfants ?"

Hermione lui jeta un coup d'œil depuis le dessous l'oreiller et sourit. Même après avoir atteint l'orgasme, elle n'a toujours pas ressenti l'embarras qu'elle pensait ressentir après avoir eu des relations sexuelles avec son meilleur ami. Au lieu de ça, c'était... paisible.

"Pratiquement un Casanova", elle s'est moquée. Harry accrocha un bras autour de son ventre et la tira vers lui, cette fois poitrine contre poitrine. Tous leurs rires s'éteignirent alors qu'il frotta son nez contre sa joue et sourit.

"Merci," dit-il.

"... pour le sexe ?"

"Eh bien, je voulais dire pour être venu voir comment j'allais. Pour être là pour moi et ne pas t'être enfuie." Il a fait une pause, puis il a souri. "Mais je peux te remercier aussi pour le sexe, si tu veux."

Elle a mis sa tête sur sa poitrine et dit : "Je serai toujours là pour toi, Harry."

Harry réfléchit à ses paroles et l'a prise dans ses bras, l'enveloppant dans une étreinte. "Je sais, Hermione. Et j'adore ça... Je ne sais vraiment pas ce que je ferais sans toi." Il embrassa le sommet de sa tête et inhala l'odeur de ses cheveux. "Je ne regrette pas ce qu'on vient de faire."

Les coins des lèvres d'Hermione s'élevèrent vers le haut. "Moi non plus." Elle leva la tête pour le regarder dans les yeux. "Et je comprends pourquoi c'est arrivé." Son côté rationnel surgit, et elle ajouta rapidement, "Ton état va forcément te faire traverser des boucles hormonales, et j'espère que tu ne penses pas que j'ai profité de toi dans ton état actuel."

"Profiter de moi ?" Les sourcils d'Harry se froncèrent. "C'est moi qui ai profité de toi, Hermione."

Elle secoua la tête. "Tu ne l'as pas fait. Honnêtement, je-" Oh, là, c'était de l'embarras ! Ça a certainement pris du temps, n'est-ce pas ? "J'ai aimé."

Harry a souri. "Vraiment ?"

"Oui."

"Alors... Je suppose qu'il y a des avantages à ce côté lupin en moi ?" Il leva un sourcil suggestif, et Hermione le frappa sur la joue avec son doigt.

"Ne prends pas la grosse tête, maintenant."

"Moi ? L'élu ? Jamais." Il lui fit un clin d'œil. Puis son visage devint sérieux, et il glissa un doigt sous son menton, brossant son pouce contre sa joue. "Je ne sais pas si c'est le bon moment pour t'inviter à prendre un café... ou... ?"

"Je déteste le café."

"Reste, alors ?" Ses yeux étaient pleins d'espoir. "Je te promets que je te laisserai m'engueuler dans la matinée, que tu pourras me faire la leçon et que tu pourras me gronder pour ne l'avoir dit à personne. Je te laisserai me réprimander et tout. Mais juste... reste."

Hermione n'a jamais pu dire non à Harry. Pas avec ces doux yeux d'émeraude et ce sourire asymétrique. C'était son Harry. Et elle l'aimait beaucoup, beaucoup.

"Bien sûr, je vais rester", chuchota-t-elle. "Demain, c'est Noël, après tout."

"Pas seulement ce soir", Harry secoua la tête. "S'il te plaît, Hermione. Je... Je ne sais pas si je peux m'en sortir sans toi."

Hermione se pencha en avant, posa un doux baiser sur les lèvres d'Harry et s'enroula dans ses bras. "Je ne t'ai jamais abandonné, Harry Potter. Et je ne vais pas commencer maintenant."

Voilà c'est fini. J'espère que vous avez aimé n'hésitez pas à laisser un commentaire pour exprimer votre ressenti.

Bonne continuation !

(1) Ici, l'auteur fait un jeu de mot avec les sens du verbe come. En anglais, on emploie I'm coming pour signifier je viens (à un endroit) mais aussi pour dire je vais jouir.

(2) Je ne suis absolument pas sûr d'avoir bien compris et traduit cette phrase : "You're always getting me out of jams,". Si quelqu'un peut m'aider cela sera avec grand plaisir.