Bonsoiir, me revoilà.
J'ai beaucoup hésité à publier… Ouai, parce que cette fic n'est pas encore fini-fini, même si je sais qu'elle est vraiment bien avancée ^^ ! mais je n'ai pas pu résister. Alors voilà, les chapitre sont assez cours (désolé xD) environs 2000 mots.
Disclamer : Ces personnages ne m'appartiennent pas, bon sauf quelques nouveaux personnages, sinon le reste appartient à J. , et je ne la remercierais jamais assez pour cette magnifique saga.
Rating : M pour plus tard. Ceci est un lime. Une histoire avec des hommes aimants d'autres hommes, alors homophobes, cliquez en haut à droite, la petite croix rouge.
C'est une romance, avec un soupçon de drame. Avec un jolie Happy end.
Résumer : Un trio d'or chambouler par la guerre, une Ginny enceinte. Oui, mais de qui ? La famille Weasley pourra-t-elle se sortir de cet affront ? et qu'en dit le sauveur, pourra-t-il rouvrir son cœur ?
Remerciement : Un grand merci a ma relectrice et amie, Ma Noour, qui ma conseiller, aider et donner son avis en avant-première. Je te dédicace cette fiction qui me tient beaucoup à cœur. Comme à toi, parce que nous sommes d'accord pour dire qu'il n'y a pas assez de Charry xD ! Ensuite Merci a ma Béta correctrice Maylis.
Je n'ai pas grand-chose à dire, j'espère que vous aurez autant de plaisir à la lire que j'en ai eu à l'écrire. Elle fait pour l'instant 22 chapitres, 11 sont corrigés. Je publierais un chapitre par semaine.
Je n'ai pas fait de vrai prologue, parce que je me suis aperçu qu'ils étaient nul et pas franchement en rapport avec l'histoire xD, alors je passe directement au premier chapitre histoire d'être sûr !
Je vous laisse à votre lecture, j'espère que cette fic vous plaira.
Bonne année et bonne santé chèr(e)s lecteur(ice)
Hoodraii.
Cœur de Glace.
Chapitre 1 :
Charlie Weasley aimait sa famille, oh ça oui, il l'aimait, il aimait chacun de ses frères et sœur. Il aimait Bill plus particulièrement puisque, il était son aîné, qu'ils étaient un peu comme George et Fred. Il aimait Percy, enfin, avec Bill, ils aimaient surtout beaucoup l'embêter. Il aimait les jumeaux, leurs sens de l'humour, leurs bêtises. Il aimait Ron, et ce malgré tous ses préjugés et cet entêtement à ce que les choses ne changent pas. Il aimait tout particulièrement sa petite sœur. La prunelle de ses yeux. Sa force et sa faiblesse. Il aimait son tempérament de feux. Son goût pour le risque. Et enfin, il aimait plus que tout au monde son père et sa mère. Alors oui, Charlie aimait sa famille. Il les aimait tous, chacun à leur façon.
Mais ce qu'il aimait plus que tout, c'était ses dragons. C'était son métier, qu'il ne changerait pour rien au monde. Oh, bien sûr, il avait souffert : brûlures, griffures et j'en passe. Cependant, il aimait ces bêtes féroces, au caractère trempé. A la hauteur du siens. Il aimait aussi sa solitude, son indépendance, sa petite maison sur le haut de la colline, la réserve et son environnement. Il aimait tout particulièrement le paysage, la vue qu'il avait le matin quand il se réveillait avant les premiers rayons du soleil. Il aimait se poser sur la petite terrasse, un café serré à la main.
Il pouvait se plonger des heures durant, dans le calme de la nature, regarder au loin les flammes qui s'entrecroisaient avec les rayons orangés du soleil. Plus encore que le clame, il aimait entendre les rugissements de fureur de ses dragons. Plus que des bêtes sanguinaires, ils étaient ses bébés, sa famille.
Il aimait beaucoup ses amis et collègues, parfois rustres mais rieurs.
Si Charlie pouvait dire qu'il aimait une chose plus que sa propre vie, il dirait qu'il aimait son travail.
C'était physique, fatiguant, douloureux. Mais malgré tout il était épanoui. Il adorait ça. Il ne changerait pour rien au monde.
Alors quand sa mère lui envoyait une lettre pour qu'il rentre auprès d'eux, malgré son cœur serré, il repoussait toujours. Il aimait sa famille, il ne voulait pas la perdre. Mais sa famille était étouffante. Trop aimante. Sa mère lui rabâchait sans cesse qu'il lui fallait une femme, à chaque fois qu'il posait un pied au Terrier, il était assailli de reproche, comme quoi il ne pouvait pas rester seul indéfiniment, qu'il devait couper ses cheveux trop longs et d'autres encore. Qu'il devait trouver une femme de bonne famille. Sa mère le poussait à revenir vivre avec eux. Lui disait qu'il devait laisser tomber ce travail trop prenant, trop dangereux.
.
Alors ce jour, assit sur sa terrasse, son café en main, il était heureux, il ne pensait à rien en particulier, respirant profondément l'air. Les yeux fermés. Jusqu'à ce qu'une minuscule chouette ne vienne se poser sur la table.
-Oh non… gémit-il. Cocs', qu'est-ce que tu fais là…
Charlie décida tout de même de lire la lettre. Il la détacha et la décacheta avant de la lire. Au fur et à mesure de sa lecture, son sourire perdit de son intensité. Mais pour une fois il n'était pas blasé ou énervé des mots de sa mère. Non, pas tout à fait.
Il se leva à toute vitesse, buvant d'une traite son breuvage chaud. Il rentra chez lui, déposa la tasse dans l'évier, monta jusque dans sa salle de bain et pris une douche.
Il ne fallut que dix petites minutes au dragonnier avant de sortir de chez lui, habillé mais pas coiffé. Ses longs cheveux de feu encore humide ondulaient dans son dos. Goûtant de temps en temps sur son torse et son dos, mouillant légèrement son tee-shirt.
Il marcha d'un pas bourru et rapide, faisant crisser le sol sous ses bottes en peau de dragon.
-Hey salut Cha.
-Pas maintenant Fan grogna le rouquin à son collègue et ami.
-Mais c'est qu'il sortirait ses griffes le chaton ce matin… ce moqua ledit Fan.
Charlie leva les yeux au ciel, ne prenant même pas la peine de répondre. Il n'avait pas le temps. Il devait trouver Elijah. Il n'aimait pas rentrer chez lui, mais sa famille était en crise… Il devait rentrer. Il marcha un long moment avant d'arriver à la nurserie, et au bureau de son chef.
Charlie reprit son souffle et frappa trois coups secs à la porte. Il entra quelques instants plus tard.
-Charlie ? demanda le chef.
C'était un homme dans la quarantaine, grand et massif. Une personne plutôt bourrue mais avec un fond de gentillesse.
-Elijah, je voudrais vous demander une faveur. Je ne demande jamais rien. Je n'ai pas pris de vacances depuis 2 ans…
-Que ce passe-t-il ? demanda l'homme aux cheveux grisonnant.
-Ma sœur, qui fait n'importe quoi… marmonna-t-il pour lui-même. Un problème de famille… Je dois rentrer en Angleterre.
-Je vois… Combien de temps ?
-J'en sais rien… deux semaines… Peut-être plus…
-Je t'en donne trois. Maximum.
-Je… Merci… Bougonna le dragonnier. Je vais partir tout de suite.
-D'accord. Tiens-moi au courant Cha.
Charlie grogna, même si cela faisait une éternité qu'ils utilisaient tous ce surnom minable, il ne l'aimait pas. Il n'était pas un foutu chaton. Pour preuve, il avait un dragon comme patronus, et aussi tatoué dans le dos. Il n'était pas un truc tout mignon.
Sortant de ses pensées il prit congé et retourna chez lui.
Il croisa nombres de ces collègues, mais ils se turent sur son passage. Eh bien oui, il avait peut-être un surnom minable, mais il était respecté. Tous ici savaient le bon boulot qu'il faisait. Et surtout, malgré son calme à toute épreuve, il ne fallait surtout pas pousser le bouchon trop loin avec Charlie Weasley. Sacha en avait fait les frais un jour. Et même s'il s'était excusé, il avait obtenu le respect de tous.
Sortant de ses pensées il prépara ses affaires. Il attacha ses cheveux en un chignon bas et lâche. Il réfléchit un instant. Ses pensées tourbillonnant à une vitesse effrayante. Il souffla un coup en fermant les yeux. Il devait se calmer. Il aurait les explications nécessaires en arrivant.
Charlie se massa une tempe du bout des doigts, il sortit de la maison et respira profondément, s'exhortant au calme, il balaya la pleine et les montagnes des yeux. Prenant une bouffé d'air frais, avant la ville et son cahot qu'il n'aimait décidément pas.
Il transplana ensuite au ministère de la magie roumaine et entra dans la bâtisse. Son sac balancé négligemment dans son dos qu'il tenait sur son épaule par les anses. Il se renfrogna quand il vit le monde dans le couloir.
Il s'approcha de l'accueil et demande un portoloin jusqu'en Angleterre.
Il partit vingt minutes plus tard et arriva enfin à Londres. Il sortit du bâtiment emplit de sorciers jactant. Et voilà, le calme lui manquait déjà.
Il marcha un moment avant de transplaner dans une ruelle et d'arriver à quelques kilomètres de chez ses parents. Enfin, un peu de verdure. Il ferma les yeux en respirant profondément, chez lui.
Il marcha un moment avant de voir apparaître la bâtisse. Il entra sans ménagement dans la maison.
Il se stoppa net dans l'encadrure de la porte, ils étaient tous là…
Sa mère préparait on ne sait quoi, sûrement pour s'occuper les mains, des larmes roulants sur ses joues, des sanglots étouffés. Charlie soupira… Il fit un tour de table, personne ne l'avait entendu, George et Fred avaient perdu leurs sourire et leur joie. Percy et sa fiancé Audrey étaient assis aux côtés d'une Ginny avec un ventre rebondit. Ce qui fit écarquiller les yeux de Charlie. Bill était là également avec fleur, il lui tenait la main. Son père était au côté d'un Harry mal en point, les larmes roulants sur ses joues. Hermione était à ses côtés lui tenant la main. Elle ne pleurait pas, mais regardait son meilleur ami d'un air désolé. Ron était rouge, sûrement de colère, aux côtés de son épouse.
C'est ainsi que Charlie s'aperçut que sa petite sœur était seule face à toute sa famille. Mais elle ne pleurait pas, elle regardait ses mains. Seul Percy lui jetait de temps en temps des coups d'œil désolé.
-Charlie ! s'exclama sa mère en lui sautant au cou. Je suis tellement heureuse de te voir. Même si ce n'est pas dans les conditions que je voulais.
Tous se tournèrent vers lui. Il fixa sa sœur, l'air de dire « explications ». Elle fit une grimace et seulement à ce moment-là, elle se mit à pleurer.
Charlie réagit au quart de tour, c'était sa petite sœur, il voulait des explications bien sûr, mais ne pouvait pas voir sa sœur chérie pleurer. Alors il s'approcha, la souleva et la pris dans ses bras. Lui murmurant des paroles réconfortantes. Il sentit les larmes de la rouquine traverser son tee-shirt et il sentit son cœur se serrer.
Il se tourna vers tout le monde, le regard froid. Mais il écarquilla les yeux.
Tous le regardaient comme un paria, sa mère une main devant la bouche, les yeux écarquillés, sanglota plus encore. Son père avait froncés les sourcils, George et Fred le regardaient comme si une corne lui poussait sur le front. Harry éclata en sanglot et se ratatina sur sa chaise, Bill lui fit non de la tête. Ce qui le décida, il lâchât sa sœur. La regarda dans les yeux.
-Explications.
C'était un ordre, froid, glacial même. La plus jeune des Weasley ferma les yeux et sa tête bougea rapidement de gauche à droite pour lui dire que non, elle ne voulait pas. Charlie soupira, desserra son étreinte, sa sœur s'accrocha à son tee-shirt. Il posa doucement ses mains calleuses sur les siennes et les détacha.
Au loin, Hermione se leva doucement, embarrassée.
-Je peux t'expliquer Charlie.
Charlie plongea ses yeux dans les orbes de sa sœur avant de l'asseoir.
-Je t'écoute Hermione.
-Je… Par où commencer.
-Par le début rétorqua Charlie d'un ton dur.
Il était parti bien loin le Charlie doux et aimant. Il était en colère.
-Harry n'allait pas bien, ça fait un moment qu'il ne va pas bien… Tout le monde le sait mais… c'était pire ces derniers temps. J'ai essayé de lui faire cracher le morceau, mais il n'a rien voulu me dire.
Elle fit une pose. Hésitante.
-Je suis tombé par hasard sur Ginny il y a quelques mois. Elle était… Elle était avec Blaise Zabini. Je me suis d'abord demandé ce qu'elle faisait avec lui, enfin je n'ai aucuns préjugés envers les Serpentard, mais j'ai su qu'il était allé en prison pendant 8 mois… Enfin là n'est pas la question.
-En effet claqua la voie du dragonnier.
-Pardon… se ratatina la jeune femme. Je les ai suivis, et je… je les ai vus s'embrasser… Après ils ont transplanés tous les deux chacun de leurs coté. Je… Ce… Ce n'est pas la dernière fois que je les ai vues ensemble…
-Depuis combien de temps Ginny ? demanda Harry, les yeux baignés de larmes.
Seul le silence lui répondit.
-Dis-leur. Dis-leur depuis combien de temps ! murmura le brun, de la douleur dans les yeux.
Encore une fois, sa sœur ne répondit pas. Il s'accroupit prés de sa chaise, la main sur le dossier.
-Ginny ! grogna-t-il. Répond.
-Un… souffla la rouquine.
-Un quoi ? s'exclama le dragonnier.
-Un an ! hurla Harry. UN. AN. ET. DEMI. Une putain d'année et demie. Je pensais que tu aurais au moins le courage de le dire. Que tu aurais le courage de dire que tu me trompais. Mais non… Un an que tu me repousses, un an que tu ne m'as pas touché. Un an que la plupart du temps je couche sur le canapé.
-Alors pourquoi Harry ? demanda Charlie qui s'était relevé.
Le coupant dans sa diatribe.
-Pour… Pourquoi quoi ? demanda-t-il surprit.
-Pourquoi ne pas l'avoir dit ? Pourquoi ne pas l'avoir quitté ? demanda calmement Charlie d'une voix froide.
-Pourquoi ? S'étouffa Harry en pleurant encore plus, avant de sortir par la porte de la maison, Hermione sur ses talons.
-Parce qu'il ne voulait pas perdre la seule famille qu'il avait répondit calmement Ron. Parce qu'il l'aimait du plus profond de son cœur. Qu'il voulait passer sa vie avec elle. Parce qu'il n'imagine pas sa vie sans vous. Parce qu'il a perdu tous ses repères pendant cette guerre, qu'il a perdu le semblant de famille après cette bataille. Parce que Remus et Sirius sont mort. Qu'il n'a plus personne sur qui compter. Qu'en se mariant avec la femme qu'il aimait et qu'il aime encore, il avait une famille. Alors il a préféré souffrir en silence plutôt que perdre le semblant de famille qu'il avait.
-C'est ridicule… souffla Charlie en regardant sa mère.
-Pas vraiment supposa Bill.
-Il n'a pas besoin de Ginny pour faire partir de notre famille. Depuis ses onze ans il fait partie de cette famille.
-Mets-toi à sa place… souffla Bill.
Charlie jeta un coup d'œil à sa sœur.
-Il est de qui ?
Tous se tournèrent vers la plus jeune.
-Ginny ! Répond ! Maintenant ! ordonna-t-il.
-Pas Harry murmura-t-elle.
-De qui ? Rugit Charlie.
-Théo…
-Son nom de famille.
-non…
-Pardon ?
-Je ne veux pas te le dire.
-Il n'est pas de Blaise ? demanda Ron, les yeux écarquillés. Tu veux dire que tu as eu plus d'un amant ? Tu veux dire que… Tu me dégoûtes cracha le cadet. Je n'arrive pas à croire que tu lui ai fait ça, avec tout ce qu'il a fait pour toi. Je suis tellement déçu. Il t'a aimé plus que quiconque t'aimera dans ta foutu vie. Il a sacrifié tant de choses pour toi. Il a même vendu le square Grimaud pour tes beaux yeux.
-Il n'a pas fait ça ? demanda Charlie qui n'était pas au courant.
-Oh si. Il l'a vendu parce que Ginny ne voulait pas y vivre. Et parce qu'elle ne voulait pas qu'il le garde.
-C'était la seule attache qu'il avait de Sirius. Il…
Charlie était abasourdi…
-Comprenez la aussi rétorqua Percy qui était le seul n'aillant pas encre parlé. Elle était malheureuse. Harry est en pleine dépression depuis la guerre. Il ne travaille pas, ne parle pas, il sombre depuis toutes ces années. Et même s'il l'aime… ça…
-Ne commence pas Percy ! Cracha Ron en le coupant. Arrête ça immédiatement. Ne prends pas sa défense. Il a toujours tout fait pour elle. Elle le poussait à bout, elle ne l'a jamais aidé ou soutenu. Elle le dénigrait tout le temps. Je l'ai vu de mes propres yeux. Elle lui ordonnait sans cesse de faire quelque chose, même s'il n'aimait pas. Elle ne lui laissait même pas le temps de s'en remettre, le temps de réfléchir à ce qu'il voulait faire dans sa vie, elle le poussait sans cesse à bout. Il a vécu des choses horribles. Il a perdu plus de monde en deux années qu'on en perdra en une vie. Il s'occupe de Teddy dès qu'il peut. Il est aimant et doux. Il a toujours tout fait pour elle. Alors Percy, ouvre les yeux pour une fois dans ta putain de vie et arrête de protéger les mauvaises personnes.
La porte claqua Ron s'éloignait déjà dehors, rejoignant Harry et Hermione. Charlie l'observa un instant, faire les cents pas devant sa femme et son meilleur ami.
-Tu me déçois Ginny.
Un gémissement de douleur lui parvint. Il regarda sa sœur, le cœur serré. Oh oui il l'aimait, mais là elle le dégouttait. Charlie se passa les mains dans les cheveux en soufflant bruyamment par le nez.
-Il a raison Percy, je n'étais pas au courant de tout ça. Mais il a foutrement raison. On ne peut pas prendre parti ainsi. Elle est notre sœur, je l'aime. Mais cette fois elle est allé trop loin. Et ça fait foutrement mal.
Par la suite, Charlie attrapa son sac au sol, il jura dans sa barbe des insultes roumaines. Il monta dans sa chambre et s'écroula sur son lit.
Alors c'était pire qu'il ne pensait. Ce n'était pas seulement une querelle de couple. Ils étaient censés se marier à la fin de l'année. Donc ce mariage tombait à l'eau. Enfin, là n'était pas la question. Charlie n'aurait jamais pensé que sa sœur était ainsi. Il l'avait toujours vu aimante et passionnée… Comment en était-elle arrivée là.
Il se releva de son lit, observa les champs de la fenêtre de sa chambre. Son œil fut attiré par quelque chose. Ou plutôt par quelqu'un, Harry. Il courrait dans un champ, Hermione derrière lui et Ron plus loin. Ils hurlaient son prénom. Essayant de le retenir. Les sourcils de Charlie se froncèrent.
Harry Potter, le survivant, il n'allait vraiment pas bien. Charlie ne se souvenait pas de l'avoir un jour vu pleurer. Il n'en avait pas entendu parler non plus. Si peut être à la mort de Dumbledore ou Sirius… Mais pas ainsi. Il souffrait cela se voyait.
Le cœur de pierre du Dragonnier se serra. Il espérait que le jeune homme s'en sortirait.
Un cri d'agonie le sortit de ses pensées, il tourna son regard par la fenêtre, Hermione était à genoux sur le sol, elle hurlait le nom du brun. Elle pleurait aussi, certainement.
Charlie se détourna de la fenêtre et descendit les escaliers en trombe. Il sauta les dernières marches tel un félin, sans que ses bottes ne fassent le moindre bruit.
Il courra jusqu'à l'extérieur et se dirigea vers les cris.
Quand il arriva, Ron entourait le corps de sa femme dans ses bras. Il pleurait silencieusement.
-Qu'est-ce…
-Il est partit.
Alors ? Ne me tuez pas ! (Sinon pas de suite hihi).
Qu'est-ce que vous en avez pensé de ce premier chapitre ? Des suggestions pour le/les couples ? A votre avis, que va-t-il bien pouvoir se passé ?
Ahah, mystère et boule de gomme, la réponse la semaine prochaine.
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Hoodraii.