BONJOUR MES FIDÈLES (ouais je me sens plus.)

Vous m'avez manquez.

Donc je suis là.

Pour ceux qui ont lus ma fiction "Je sais qui tu es Newton Isaac", et à qui j'avais promis une autre fiction, je ne vous oublies pas, je suis en cours de production.

Je tenais à remercier chacun d'entre vous, qui m'avez suivit et accompagné tout le long. Je pense surtout à Val et Neviy, mais pas que. Vous avez été pleins à commenter, à suivre, cette fiction, et je crois que je ne vous remercieras jamais assez pour ça. Je vous aime.

Merci à ceux qui sont arrivés à la fin, et qui m'ont suivis. Merci aussi pour vos reviews, je les adore.

N'oubliez pas : je fais l'apologie de la marijane, mais la drogue, c'est mal.

Sur ce, je vous laisse!

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10h.

Aéroport Charles de Gaulle.

Paris.

Et 8 mois, 8 mois qu'ils ne s'étaient pas vu.

8 mois que Thomas était parti vivre au Canada, pour ses études, pour sa soeur qui bossait là-bas, pour les paysages, pour tout un tas de bonnes raisons que Newt n'avait jamais réellement acceptées. Lui, il s'était senti abandonné, lâchement, par une des personnes qui comptait le plus pour lui : son meilleur ami, son confident, son ami d'enfance. Celui avec qui il avait tout partagé, de leurs premiers pas à leurs premières peines de coeurs, de leurs premiers rires à leurs premières larmes, de leurs premiers émois à leurs premiers échecs. Ils avaient tout vécu ensemble. La douleur, l'angoisse, les peurs, les joies, l'euphorie. Ils avaient tout partagé. Les premiers verres d'alcool, les premières cigarettes, les premiers joints.

Et Thomas était parti. Il avait essayé de se justifier par des tas et des tonnes d'explications foireuses, qui n'avaient jamais convenu ni convaincu Newt. Mais qui était-il pour retenir son meilleur ami de réaliser son rêves?

Alors il l'avait laissé s'envoler, loin de lui, loin de leurs amis loin de sa copine de l'époque, une certaine Brenda qui harcelait encore Newt pour savoir quand Thomas rentrait ("Il rentre quand?" "Vous êtes plus ensemble." "Quand il rentrera on va se remettre ensemble." ).

Il était parti, et le blond avait passé le vol entier à psychoter. Et s'il se crashait, s'il n'arrivait pas? Et s'il ne le revoyait jamais? Pour au final se sentir soulagé comme jamais en recevant un snap d'un Thomas souriant avec le filtre de Toronto.

Le brun avait passé quelques temps dans cette ville, vivotant chez sa soeur, Rachel, et il avait finalement pris son envol pour la rentrée. Il avait déménagé à Vancouver, dans un appartement plutôt spacieux, payé par la bourse, ses parents, et le petit taff de serveur qu'il avait trouvé. Et l'année avait commencé. Newt suivait toujours son master de droit, pendant que Thomas s'échinait à obtenir l'équivalent de son CAPES français. Le décalage horaire, la montagne de boulot qu'ils avaient, et leurs jobs étudiants les avaient éloignés quelques temps, jusqu'à ce que Newt refuse cette distance qui était en train de s'instaurer, et réclame un Skype deux fois par semaine.

Et tout avait de nouveau été comme avant. Leurs fous rires, leurs confidences, leurs peines partagées.

Mais il n'était pas là. Non, Thomas n'était là, à ses côtés. Alors après des mois et des mois de serrage de ceinture, Newt avait réservé des billets d'avion, direction Vancouver, pour deux semaines en avril. Peut-être que cette date incluait la journée du 4/20, peut-être, mais c'était en toute innocence, bien entendu -non.-.

Et là, en ce mardi 17 avril 2018, Newt s'apprêtait à embarquer.

"Tu lui feras des gros câlins de ma part hein?

-Oui, oui!

-Et t'oublieras pas de lui donner les trucs qu'on a acheté!

-Non, ça ne risque pas.

-Oh et profite bien, Newty."

Un petit sourire doux étira les lèvres du blond, pendant que son amie le serrait dans ses bras, vite rejointe par son petit ami.

Minho et Teresa, amis du lycée de Thomas et Newt, désormais en couple depuis 6 mois, finirent par le lâcher.

"J'aurais trop aimé venir avec toi…

-Ouais, je sais Tessy. Je vous ferais plein de photos, promis. Et on fera des Skype."

Elle hocha la tête, presque boudeuse, et Minho éclata de rire.

"Elle va faire la gueule 4 minutes et pleurer quand ton avion va décoller."

La brune enfonça brutalement son coude dans les côtes de l'asiatique, qui grogna.

"Tais-toi, toi!"

Le blond camoufla son rire dans sa main, et attrapa sa valise.

"Bon, j'y vais les tocards. On se voit dans deux semaines. Oubliez pas de venir me chercher.

-Ouais c'est ça, on verra. A plus Newty, et achète du duty-free!" (un classique dont on ne se lasse pas)

Le doigt d'honneur répondit à sa place, et il leur tourna le dos pour se diriger vers la file d'attente. Il se sentait mitigé : presque triste de partir sans leurs amis, mais euphorique de revoir Thomas après tout ce temps.

De : NewtNewt à Tommy

On my wayyyyyyyyyyyy!

Il savait que ce message resterait sans réponse quelques temps, avec le décalage horaire de fou qu'ils se tapaient, Thomas devait sûrement dormir. Et le blond pleurait déjà d'avance pour le jetlag qu'il allait se farcir. Partir à 10h30, pour faire presque 10 heures d'avion et arriver à 11h heure locale, il allait avoir mal.

De : Tommy à NewtNewt

Oh yes, putain. J'ai trop hâte.

De : NewtNewt à Tommy

Tu dors pas?

De : Tommy à NewtNewt

J'arrive paaas! Trop pressé de te voir.

De : NewtNewt à Tommy

DORS. Ou tu vas oublier de te lever pour venir me chercher.

De : Tommy à NewtNewt

Ca risque pas.

De : NewtNewt à Tommy

On va décoller, TomTom. On se voit tout à l'heure (doux jésus). Jtm. Repose toi. Mets un réveil.

De Tommy à NewtNewt

Oui. Jtm aussi.

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-x-

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Décalage horaire de merde.

Clairement, Newt ne s'était pas préparé à ça. A cette fatigue écrasante, et aux cris dans l'aéroport. Et lui, il était planté là, comme le dernier canard de la pêche dans une fête foraine, à attendre désespérément une tête brune connue.

Une voix viola soudainement son espace vital, et deux bras bronzés vinrent l'enlacer, agrippant sa taille, tandis qu'un torse chaud se collait contre son dos.

"Oh goooooooooosh, Newt putaiiiiiiin!"

Il se fit retourner, et se retrouva face à son meilleur ami.

Thomas.

Merde, il était devenu aussi grand et beau en si peu de temps?

"Tommy.

-Un peu d'entrain ne va pas te tuer, tu sais.

-Je suis déjà décalqué…"

Un éclat de rire lui répondit, et soudain, le poids qui pesait sur sa poitrine depuis 8 mois se leva. C'était bon de l'entendre. De le voir. De le toucher.

Il laissa tomber son sac, et se blottit contre lui, refermant fortement ses bras autour de ses hanches. Thomas répondit directement à l'étreinte, et ils restèrent enlacés quelques minutes.

L'odeur de Thomas. Sa voix. Son rire.

Merde, il lui avait manqué comme pas possible.

Ils se séparèrent finalement, et le brun prit d'office la valise.

"Je prends ça, on rentre, tu vas te reposer!"

Et Newt avait presque oublié la gentillesse abusive de ce garçon adorable.

Il le suivit jusqu'à la voiture, une jeep bleue, de type épave, et gloussa doucement.

"Tu as encore cette chose? Tu l'as pas déjà faite réparer 15 fois?"

Le brun haussa les épaules, l'air résigné.

"Si, carrément. Sans compter le nombre de fois où je l'ai bidouillé moi-même. Mais je l'aime trop pour la balancer…."

Newt soupira, un petit sourires aux lèvres, et monta côté passager, pendant que Thomas chargeait sa valise dans le coffre. Lorsqu'il vint s'affaler à ses côtés, il grogna d'un ton épuisé.

"Qu'est-ce que t'as mis dans ce truc? Des pierres?"

Le blond rit doucement, et merde, c'était bon. C'était ça, c'était l'effet Thomas.

Lui qui était d'une nonchalance à toute épreuve habituellement, avec Thomas, c'était différent. C'était sourire h24, et rire encore plus. Parce que ce garçon était une boule d'énergie, d'humour et de bonne humeur sans limite.

Thomas démarra et quitta la place de parking, avec cette agilité qu'il avait toujours eu au volant.

"Tee et Min m'ont forcé à te ramener 150 trucs. Y'a presque plus de trucs pour toi que d'affaires à moi dedans."

Un éclat de rire lui répondit, encore. Le genre de rire qui donnait envie de rire aussi, et de se fondre dans l'ambiance douce et chaleureuse que Thomas créait, juste avec sa simple présence. Newt avait toujours admiré la capacité que son ami avait de fasciner, de charmer, sans s'en rendre compte. Cette capacité qu'il avait d'attirer les regards et les gens, sans se forcer, sans en faire trop. Il était lui, sans filtres, sans prétentions. Et ça suffisait.

"Brenda aussi t'a refilé un truc?

-Arf, m'en parle pas. J'ai l'impression que c'est moi qui sort avec elle, sérieux. Elle m'appelle tout le temps, j'en peux plus.

-Sors avec elle?"

Le blond leva les yeux au ciel, et son regard se perdit sur la route quelques secondes lorsqu'ils descendirent.

"T'es devenu con en 8 mois? Je suis gay, Tommy.

-Et Brenda n'est pas très féminine, je te ferais remarquer.

-Elle a ces … choses là, sur le torse, et ce truc entre les jambes."

L'air outré et indigné de Thomas le fit rire. Il n'allait donc jamais arrêter?

"Ne parle pas mal des seins, c'est une invention de Dieu!"

Newt imita un vomi, et ils rirent comme des abrutis.

C'est sûr qu'entre l'amour de Thomas pour les formes féminines et la passion de Newt pour les services trois pièces, ils n'étaient pas prêts de se disputer pour une conquête.

Mais jamais, jamais Thomas n'avait prit ses distances avec lui, même après son coming-out laborieux.

Qu'est-ce qu'il l'aimait, son meilleur ami…

"On est arrivés!"

Le blond leva la tête, qu'il avait penché sur son portable, pour prévenir ses amis et sa mère qu'il était arrivé et entre de bonnes mains, et ouvrit des yeux surpris face au bâtiment que Thomas lui montrait.

"Ça? Sérieusement, Tommy?"

Le brun haussa les épaules, l'air blasé.

"Mes parents ont insistés pour que je sois bien logé…

-Abusé, l'argent. Bon gare toi, j'ai envie de voir putain!"

Son meilleur ami laissa un rire joyeux lui échapper, et honora sa place de parking d'un créneau parfait. Newt se jeta à moitié hors du véhicule, et traîna Thomas vers la porte, pendant que le brun traînait sa valise de 20 kilos derrière lui.

"Oh, y'a un ascenseur!

-Encore heureux, sinon tu l'aurais porté ta valise, mon pote."

Newt lui tira puérilement la langue, et ils s'engouffrèrent entre les portes métallique. Au 5ème étage, ils sortirent, et Newt se planta devant la porte à gauche.

"Comment tu sais que c'est là?

-Intuition!"

Thomas leva les yeux au ciel, et ouvrit la porte, avant de se décaler pour laisser entrer le petit blond.

"Oh merde, Tommy, je veux rester là pour l'éternité!

-Bien sûr que tu veux, puisque je vis ici!"

Newt donna un coup dans le bras de son meilleur ami, et la porte claqua en même temps que Thomas éclatait de rire, pour la 6ème fois de la matinée.

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-x-

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En fait, Newt était très sérieux lorsqu'il disait qu'il voulait rester ici pour l'éternité. Et encore plus après avoir finit la visite de l'appartement. Cuisine américaine, canapé d'angle, chambre spacieuse, douche à l'italienne. Il savait que les parents de Thomas étaient blindés, même plus que ça, mais à ce point là? Lui qui vivait dans un appartement tout petit et qui galérait tout les mois, il était impressionné par cette éloge de l'argent. C'en était presque trop. Mais bon, il allait dormir dans un king-size pendant deux semaines, et faire à manger sur un plan de travail en bois véritable, il n'allait pas se plaindre.

"Tu veux dormir un peu?"

Il haussa les épaules. La découverte de l'appartement l'avait un peu cassé dans sa fatigue.

"Nan, je veux manger!

-Comment tu peux avoir déjà faim?

-J'ai rien mangé dans l'avion.

-Fallait! J'ai pas grand chose.

-Courses!"

Thomas leva les yeux au ciel, déjà épuisé par cette corvée. Si Newt adorait traîner dans les rayons pour acheter des tas de nourriture et se goinfrer après, sans prendre un gramme, lui détestait ça.

"Tu es chiant… T'es toujours végétarien mes couilles là?

-Hey! Je ne te permet pas!

-Pas besoin de ta permission."

Newt lui claqua le bras, gentiment, et Thomas sourit.

"Okey, on y va."

Le blond fit un signe de la victoire, avec un clin d'oeil, et Thomas passa un bras autour de ses épaules.

"Tu m'avais manqué.

-Toi aussi Tommy."

Le brun embrassa affectueusement le front de Newt, et ils sortirent de nouveau. Le blond n'avait pas même ouvert sa valise, mais il n'en avait rien à foutre. Là, il voulait juste être avec son meilleur ami, manger, et traîner en jogging devant la télé. Ces petits trucs, ces petits moments qu'on néglige d'apprécier en se disant qu'on pourra toujours les vivre demain. Mais non, parce que demain, c'est déjà trop tard, demain, c'est déjà fini.

Et ils atterrirent au supermarché qui trônait fièrement au bout de la rue, Thomas poussant un caddie d'un air blasé, et Newt le remplissant avec une joie trop intense pour quelqu'un qui allait faire dépenser de l'argent à son meilleur ami.

"Putain, explique moi avec quoi tu vas cuisiner cette chose?

-On peut faire pleins de plats avec des pois cassés à la place de la viande!

-Non, c'est mort, je mangerais pas tes expérimentations cheloues!

-Je me suis amélioré!

-Même, ça ne m'inspire pas confiance!

-Allez TomTom, tu vas aimer, je te promets!"

Et comme souvent, comme avant, comme toujours, Thomas céda. Il céda à Newt, parce que son coeur et son ventre était toujours plus heureux lorsque le blond souriait ainsi. C'était comme ça, c'était une amitié forte, intense, et merde, comment il avait tenu 8 mois sans lui? Il n'en avait aucune idée…

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-x-

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"Bonne nuit Tommy.

-Bonne nuit Newty."

Une paire de pieds froids vint se coller à ceux de Newt, et il eut un sursaut.

"Tu m'as fais peur, tocard!"

Sa voix n'était qu'un murmure, dans le silence et le noir lunaire de la chambre.

"Désolé, je voulais faire comme avant, tu sais?

-Oui."

Leurs voix n'étaient que des souffles, caressants, et soudain, le blond n'eut plus envie de dormir.

Après leur repas, il avait comaté tout l'après-midi dans le canapé, la tête sur les genoux de Thomas, qui s'amusait avec ses cheveux un peu trop longs. Et quand il avait finalement sombré dans le sommeil, il s'était réveillé avec deux palmiers sur la tête. Ils avaient bataillé, mangé encore, partagé une clope, et avaient passé le reste de la soirée affalés pêle-mêle à regarder la télé et à se raconter des anecdotes sur leur vie.

"Tommy?

-Mh?

-Je suis plus fatigué.

-Moi non plus."

Et d'un même mouvement, ils se retournèrent pour se retrouver face à face. Ils ne parlèrent pas pendant quelques minutes, se contentant de se regarder avec l'intensité de deux personnes qui s'aiment et qui se sont manqués, avant que Newt ne brise le silence.

"Pourquoi tu n'as pas de copine?"

Son ton était toujours bas, comme s'il avait peur de casser l'ambiance douce qui les entourait. L'ambiance du soir, le genre d'ambiance qui donne envie de parler des choses qui nous tiennent à coeur, comme si le lendemain, tout ça n'avait pas existé. Les confidences sur l'oreiller disparaissent toujours au réveil.

"J'en sais rien, en fait.

-Tu n'en veux pas?

-Je crois que je cherche pas vraiment."

Newt acquiesça dans le noir, et la lumière douce de la lune choisit ce moment pour illuminer le sourire doux de Thomas.

"Et toi?

-J'étais avec un gars, y'a quelques temps. Tu sais. Aris.

-Ouais. Il n'était pas bien lui non plus?

-Bah, il était trop collant tu vois? Et en plus, c'était pas top niveau sexuel."

Un petit rire lui répondit, et Newt suivit le mouvement.

"C'est-à-dire?

-Oh, Tommy, est-ce que t'as vraiment envie de parler des prouesses sexuelles de mon ex?

-Plutôt de ses non-prouesses du coup."

Ils recommencèrent à rire, et d'un coup, le blond se stoppa.

"Ouah, tu m'avais vraiment manqué. Rire avec toi, très tard, ou trop tôt. Te parler de trucs futiles, dont je ne pourrais parler avec personne d'autre. Te regarder. T'as toujours les mêmes mimiques qu'avant. Ton nez qui se fronce quand tu souris, et ta manie de râler pour tout et n'importe quoi."

L'éclat de rire du brun se bloqua dans sa gorge, et il cligna des yeux plusieurs fois, comme pour réaliser ce qu'il venait de se passer.

"Oh, Newt…"

Il ouvrit les bras, et le blond vint se blottir contre lui, l'enlaçant doucement.

"Tu m'as manqué aussi. Sans toi c'est pas moi, et sans toi, je suis ...vide. Thomas c'est aussi Newt."

Sa voix était étouffée par les cheveux clairs de son meilleur ami, mais il n'en avait rien à foutre, parce que Newt le serra un peu plus fort.

Peut-être qu'ils s'étaient plus manqués qu'ils ne voulaient se l'admettre, peut-être qu'ils avaient essayés de se protéger en restant forts, mais ce qui était sur, c'était qu'ils comptaient bien rattraper le temps perdus dans les deux prochaines semaines.

Et ils s'endormirent comme ça, collés l'un contre l'autre. C'était sûrement ambigu, comme toute leur relation, mais qu'est-ce qu'ils en avaient à faire? Ils avaient toujours été plus proches que ce que le monde attendait de deux hommes, mais ils avaient besoin de ce contact, de ce truc entre eux, indéfinissable. Ni Newt ni Thomas ne savait ce que c'était.

Mais c'était fort, intense, puissant.

C'était grisant, comme un verre d'alcool.

C'était doux, comme un lever de soleil.

C'était planant, eux deux. C'était comme fumer un joint. Addictif.

Et aucun d'eux ne voulait se sevrer.

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Voilà la partie 1, je posterais la deux bientôt.

J'espère que vous avez aimé, faites moi des retours!