Hello!

Me revoici avec une histoire assez courte (5 ou 6 chapitres maximum) et un peu glauque, il faut bien l'avouer... Severus est toujours mon personnage principal et j'ajoute un OC (pour changer, me direz-vous^^).

Donc c'est un UA, comme je l'ai mis dans le résumé, et je me fiche bien de tout ce qui se passe dans les livres "Harry Potter", je reprends juste le fait que Lily Evans a été assassinée par Voldemort et que Severus fabrique des potions.^^

En tout cas, j'espère que ça vous plaira!

Bonne lecture! ;-)


Chapitre 1 : La première fois

« Lily ! Viens ! On rentre ! »

La première fois que Severus Rogue avait entendu cette mère appeler son enfant, il n'avait pas pu s'empêcher de se retourner pour voir quel genre de petite fille pouvait bien répondre à ce si doux prénom.

Comme tout droit sortie de l'un de ses propres souvenirs, une fillette d'environ cinq ou six ans, aux longs cheveux roux et aux yeux verts, qui brillaient d'une malice enfantine, était alors passée devant lui en courant pour rejoindre sa maman, qui commençait à s'impatienter en regardant sa montre, avait mis sa main dans la sienne et s'était éloignée vers sa maison.

Une fois encore, poussé par quelque chose qui dépassait la raison ou l'entendement, Severus les avait suivies, sa mère et elle, pour voir où elles habitaient, en prenant soin de se jeter un sortilège de Désillusion afin d'être certain de passer inaperçu.

Il s'était alors retrouvé devant une jolie petite maison de banlieue, avec un petit jardinet entouré d'une clôture de piquets blancs devant la façade, semblables aux autres habitations de la rue. Il s'était un peu approché et avait regardé par les fenêtres, qui donnaient dans le salon et dans la cuisine, pour observer ses habitants.

Il prit rapidement l'habitude de se rendre ici et revint plusieurs fois pour contempler cette petite fille, qui ressemblait tant à son amie d'enfance, qui avait péri quelques mois plus tôt, froidement assassinée, elle et son mari, par un mage noir extrêmement puissant.

L'enfant vivait avec sa mère uniquement. Au cours de toutes ses observations, il n'avait jamais remarqué l'ombre d'un mari, d'un père ou d'un compagnon. Elles habitaient toutes les deux et semblaient parfaitement heureuses ainsi, même s'il trouvait que la jeune mère laissait souvent son enfant un peu trop livrée à elle-même. Malheureusement, le bonheur et l'harmonie ne sont pas éternels…

Environ un an après la première fois où Severus avait commencé à observer la petite Lily et sa mère, un homme entra soudain dans l'équation. Il se mit à venir de plus en plus souvent rendre visite à la jeune mère célibataire et il finit par s'installer chez elle quelques mois plus tard.

Rogue n'appréciait pas cet homme : il le trouvait faux, sournois, beau parleur, étrange et même carrément malsain ! Oui, il le trouvait malsain alors que cela faisait plus d'un an et demi que lui-même observait régulièrement une mère et sa fille à leur insu… Mais ce n'était pas la même chose ! Cet homme avait quelque chose qui clochait, il ne le sentait vraiment pas et il n'aimait pas la façon qu'il avait de parler, regarder ou toucher la petite Lily.

Bien sûr, il lui était impossible d'observer ces trois Moldus vingt-quatre heures sur vingt-quatre, il devait gagner sa vie et travaillait huit heures par jour et cinq jours par semaine, comme tout le monde. C'est pourquoi il ratait inévitablement des épisodes et il s'étonna de voir cette petite fille si joyeuse et pleine de vie se renfermer sur elle-même et s'éteindre à mesure que le temps passait…

Vivement intrigué par ce phénomène étrange et ayant cru distinguer une marque bleuâtre sur le poignet de la petite fille, Rogue, qui était obnubilé par cette famille, prit quelques jours de congés afin de les surveiller de plus près.

Ses premières heures d'observation ne furent pas très intéressantes: ils s'étaient tous les trois levés, avaient pris leur petit-déjeuner, la mère avait conduit sa fille à l'école avant de se rendre au travail et l'homme s'était également rendu sur son lieu de travail pour la journée. Ensuite, la mère était revenue en compagnie de sa fille, elle avait commencé à préparer le souper pendant que la petite faisait ses devoirs et l'homme était rentré vers 17 h 30. Ils avaient mangé tous ensemble puis les choses avaient commencé à déraper…

Tandis que la femme faisait la vaisselle dans la cuisine, la petite fille était montée à l'étage pour faire couler un bain et l'homme l'avait suivie…

« J'ai huit ans, je sais prendre mon bain toute seule, avait entendu Severus, qui avait jeté un sortilège pour entendre tout ce qui se disait dans la maison, sans apercevoir ce qui se passait à l'étage.

- Ta mère m'a demandé de te surveiller, mentit alors l'homme.

- Regarde, je n'ai pas mis beaucoup d'eau, déclara Lily. Je ne saurais pas me noyer.

- On n'est jamais trop prudent… rétorqua-t-il. Allez ! Déshabille-toi ! » ordonna-t-il ensuite.

Severus n'entendit rien pendant quelques temps puis l'homme menaça alors l'enfant :

« Si tu ne te dépêches pas, je le dirai à ta mère et elle va te gronder pour l'avoir dérangée.

- D'accord… soupira finalement la petite fille au bout de quelques secondes, vaincue. Mais je ne veux plus que tu me touches, je n'aime pas et, en plus, je sais me laver toute seule, décréta-t-elle en essayant d'être ferme.

- C'était juste pour t'aider, tu sais… répliqua-t-il avec un sourire dans la voix.

- Oui et ben je ne veux pas, répéta-t-elle.

- Très bien, c'est bon, souffla-t-il, agacé. Vas-y maintenant. »

Severus était choqué. Est-ce qu'il avait bien compris ce que cette discussion sous-entendait ? Cet abominable pervers s'était donc déjà permis de poser ses mains sur elle ? Que lui avait-il fait ? S'était-il contenté de la regarder et de la toucher légèrement ou avait-il déjà tenté de faire plus que ça ?

Voulant à tout prix éloigner cet homme malsain de l'enfant, Rogue lança alors un sortilège à la mère qui appela son compagnon pour qu'il descende et vienne l'aider à finir la vaisselle. Il entendit le Moldu soupirer de dépit mais, néanmoins, il le vit rejoindre la cuisine, tandis que la fillette soufflait de soulagement dans sa salle de bain.

Après avoir entendu une telle discussion, plus question pour Severus de quitter sa place, devant la maison des Moldus, et il resta campé là toute la soirée.

La petite fille s'était couchée vers 19 h 30 et les deux adultes avaient regardé la télévision dans le salon jusqu'à 23 h. Autant dire que ce furent des heures de pur ennui pour lui… Mais il s'accrocha et resta encore sur son lieu d'observation bien après qu'ils soient tous montés se coucher.

Alors qu'il songeait sérieusement à aller dormir lui aussi, vers 2 h du matin, Severus se redressa soudain, après avoir perçu des bruits de pas et de portes. Il tendit l'oreille plus attentivement et entendit bientôt un matelas grincer sous le poids de quelqu'un puis la fillette émettre des gémissements plaintifs dans un demi-sommeil.

« Non… Qu'est-ce que tu fais ? demanda-t-elle, à peine éveillée.

- Chut… Tais-toi ! lui répondit la voix masculine en chuchotant.

- Non… Laisse-moi… Enlève tes mains de là… essaya-t-elle de le repousser.

- Je t'ai dit de te taire ! » répéta-t-il, se faisant plus menaçant.

C'en fut trop pour Rogue qui déclencha l'alarme incendie de la maison d'un simple coup de baguette magique afin de mettre un terme à tout cela.

À peine une ou deux minutes plus tard, les trois Moldus étaient tous descendus dans le salon, bien réveillés, et l'homme pestait en faisant le tour de toutes les alarmes, qui refusaient étrangement de s'éteindre. À court de solutions, il se résolut finalement à appeler les pompiers alors que la jeune femme avait conduit sa fille chez la voisine afin qu'elle puisse finir sa nuit tranquillement, en attendant qu'ils aient réglé cet agaçant problème d'alarmes.

Fier de son coup et sachant que la petite Lily ne risquait rien chez la vieille dame qui habitait à côté, Rogue décida de rentrer chez lui pour dormir quelques heures et réfléchir à une solution pour tirer d'affaire la fillette.

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Des solutions rationnelles, il y en avait probablement mais Severus les oublia toutes lorsque, trois jours plus tard, alors qu'il avait suivi les Moldus dans un parc avec une aire de jeux non loin de leur domicile, il surprit les pensées de l'homme qui regardait la fillette jouer sur une balançoire avec un autre enfant.

La mère de la petite avait apparemment prévu de partir quelques jours avec une amie et il projetait d'assouvir enfin ses désirs pervers lors de son absence. Il avait même déjà programmé ce qu'il avait l'intention de lui faire et aussi ce qu'il lui dirait pour l'engager à garder le silence.

Alors, profitant d'un instant où personne ne regardait vers les enfants et du fait que Lily s'était isolée près d'une tour en bois avec un toboggan, le sorcier désillusionné s'avança vivement vers elle, plaqua une main sur sa bouche tout en l'entourant de son bras et transplana directement chez lui.

Arrivé là, il jeta des sorts pour insonoriser sa maison et verrouiller les portes, ôta sa main de sa bouche et l'entraîna dans les escaliers alors qu'elle s'était mise à se débattre, à hurler et à pleurer.

« Qu'est-ce qui s'est passé ? Je veux ma maman ! Où je suis ? Je veux retourner près de ma maman ! Lâchez-moi ! Je veux rentrer chez moi !

- C'est hors de question, tu ne retourneras pas là-bas, répondit-il calmement en ouvrant la porte de sa propre chambre et en l'obligeant à pénétrer à l'intérieur.

- Vous n'avez pas le droit ! Je ne veux pas rester ici ! répliqua-t-elle, totalement paniquée. Maman ! cria-t-elle encore.

- Je suis désolé, déclara Rogue en refermant la porte, la laissant seule et désemparée dans la pièce.

- Non ! S'il vous plaît ! » l'entendit-il encore hurler en descendant les marches de l'escalier.

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Deux heures. C'est le temps que la fillette passa à crier, à sangloter, à appeler à l'aide, à réclamer sa maman, à implorer sa pitié et à frapper contre le panneau en bois de la porte.

Ça pouvait paraître court et long tout à la fois. Qu'est-ce que deux heures dans une vie ? Pas grand-chose, me direz-vous. Mais deux heures passées à pousser des cris pour pouvoir rentrer chez soi, auprès des gens qu'on aime, ou à entendre une fillette de huit ans vous supplier de la laisser partir, c'est vraiment très long…

Severus avait passé tout ce temps, la tête entre ses mains, à se demander ce qui lui avait pris de faire une chose pareille. Et, après ces deux heures de réflexion, ponctuées de sanglots et de coups sur une porte, il devait admettre qu'il ne pouvait plus revenir en arrière. Il avait enlevé cette enfant et retourner là-bas pour la rendre à sa mère, surtout en sachant ce que son beau-père projetait de lui faire subir, était inenvisageable pour lui.

Cela faisait plus de deux ans qu'il observait la fillette et il ne voulait pas qu'il lui arrive un quelconque mal. Il s'était attaché à elle, qui était quasiment une copie conforme de sa meilleure amie, la femme qu'il avait aimée et perdue dans des circonstances tragiques.

Dans sa tête, on lui avait offert une seconde chance de tout recommencer. C'était sa nouvelle petite Lily à lui et il ne comptait pas la rendre. C'était désormais la sienne, un point c'est tout. Tant pis pour eux, si ces Moldus n'avaient pas su en prendre soin correctement.

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De son côté, la petite fille avait fini par arrêter de crier et de frapper contre la porte. Elle n'avait plus de voix, elle avait mal aux mains et, ses joues baignées de larmes, elle était désormais assise en boule dans un coin de la pièce, ses bras entourant ses jambes, recroquevillée sur elle-même le plus possible.

Elle ne savait pas ce qui s'était passé. Elle jouait dans la plaine de jeux et tout à coup elle s'était retrouvée ici après que quelqu'un lui ait mis une main sur sa bouche et l'ait entourée d'un bras. Elle avait éprouvé une sensation très étrange, avait eu le tournis et quand elle avait ouvert les yeux, elle n'était plus au même endroit.

Pourquoi cet homme l'avait-il donc arrachée à sa mère ? Que comptait-il faire d'elle ? Pourquoi avait-il dit qu'elle ne retournerait plus chez elle ? Qui était-il ? Où étaient-ils ? Pourquoi l'avait-il amenée ici ? Autant de questions pour lesquelles elle ne trouvait aucune réponse.

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Rogue, après avoir procédé à quelques aménagements dans sa demeure, se dirigea vers sa chambre, dans laquelle il avait laissé la fillette quelques heures plus tôt désormais, frappa pour annoncer sa venue et entra directement après.

Ne distinguant l'enfant nulle part, il fronça les sourcils et s'avança un peu plus dans la pièce en l'appelant :

« Lily ? »

Il vit soudain une petite tête rousse se tourner vers lui et des yeux verts brillant toujours de larmes se poser sur son visage. Elle était là, dans un coin, blottie entre son lit et sa commode et l'observait, perplexe.

« Comment vous savez comment je m'appelle ? demanda-t-elle de sa voix éraillée d'avoir trop crié.

- J'ai entendu ta mère te nommer ainsi, répondit-il tout simplement.

- Laissez-moi partir, ordonna-t-elle.

- Non », répliqua-t-il aussitôt, inébranlable.

La petite détourna la tête et enfouit son visage dans ses bras en recommençant à pleurer silencieusement.

« Je t'ai apporté à manger, déclara Severus en posant un plateau garni d'un dîner bien chaud sur la commode.

- Je n'en veux pas… Je veux juste rentrer chez moi… geignit-elle tristement.

- Bien. Je te le laisse toujours, au cas où tu changerais d'avis », répondit-il en quittant de nouveau la pièce.

Il verrouilla la porte et retourna dans la chambre qui se trouvait juste à côté afin de terminer de l'agencer pour en faire celle de la fillette.

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Quelques heures plus tard, Severus, qui se trouvait en bas à lire l'un de ses nombreux ouvrages dans son salon, crut entendre la petite fille à l'étage qui l'appelait. Intrigué, il posa son livre sur la table basse, se leva et gravit les escaliers.

« Monsieur. Monsieur, s'il vous plaît, entendit-il plus distinctement en parvenant devant la porte de sa chambre.

- Qu'y a-t-il ? interrogea-t-il alors à travers le panneau en bois avant de déverrouiller la porte.

- Monsieur, je dois aller aux toilettes, s'il vous plaît », demanda-t-elle alors.

Il ferma les yeux en poussant un soupir, heureux qu'elle communique un peu avec lui, même si ce n'était que pour lui demander d'aller aux toilettes, il ouvrit la porte et, la voyant tortiller nerveusement ses doigts, il lui tendit la main pour la mener jusqu'à la salle de bain.

Elle prit sa main sans trop d'hésitation et le suivit jusqu'à ce qu'il s'arrête un peu plus loin devant une porte, qu'il ouvrit et où il l'engagea à entrer d'un signe de tête. Elle leva ses yeux vers son visage en passant devant lui et fut surprise lorsqu'elle remarqua qu'il refermait la porte sur elle pour la laisser seule.

« Vous… ne restez pas pour me surveiller ? demanda-t-elle, incrédule.

- Bien sûr que non, répondit-il aussitôt. Tu es suffisamment grande pour te débrouiller seule, non ? interrogea-t-il en haussant l'un de ses sourcils noirs.

- Heu… oui… Mais je croyais que…

- Tout ce qu'a bien pu te dire ton beau-père est totalement faux, la coupa-t-il. Il ne se comportait pas correctement avec toi », ajouta-t-il avant de refermer la porte sur elle qui arborait un air ébahi.

Quelques minutes plus tard, la porte de la salle de bain se rouvrit et Rogue reprit la main de la fillette dans la sienne mais celle-ci eut un mouvement de recul et s'exclama :

« Aïe !

- Que se passe-t-il ? demanda Rogue, inquiet.

- Je… J'ai mal aux mains… » lui avoua-t-elle en baissant la tête, honteuse.

Il prit alors ses deux mains dans les siennes et les observa sous toutes leurs coutures. Elle avait frappé si fort sur cette porte en implorant qu'il la libère qu'elle s'était écorchée les mains et s'était fait des bleus.

Il plaça alors une main dans le haut de son dos pour la diriger vers la chambre qu'il avait préparée pour elle, la fit entrer et l'engagea à s'asseoir sur le lit avant de la laisser pour aller chercher de quoi la soigner dans ses réserves de crèmes et de potions.

Il réapparut dans la chambre environ une ou deux minutes plus tard, s'agenouilla face à elle, déboucha un flacon et répandit un liquide violet sur ses deux mains. Aussitôt toutes ses écorchures se refermèrent d'elles-mêmes et la fillette leva son visage abasourdi vers lui, ne comprenant pas comment une telle chose pouvait bien être possible.

Rogue se contenta de lui offrir un mince sourire pour répondre à ses interrogations muettes et, après avoir refermé son flacon, il s'empara d'un petit pot rond contenant un onguent de couleur blanche tirant sur le bleu iceberg, prit un peu de crème dans ses mains et massa celles de la petite fille avec celle-ci pour faire disparaître ses bleus.

Quand ce fut fait, il referma la petite boîte et reprit son flacon de potion, s'apprêtant à partir et à la laisser seule, mais celle-ci le retint en lui demandant :

« Je peux retourner chez moi, maintenant ?

- Non, je regrette, répondit-il en secouant légèrement la tête.

- Pourquoi ? »

Rogue observa ses grands yeux verts en réfléchissant à la façon dont il allait formuler sa réponse puis il répondit finalement :

« Ils ne s'occupaient pas bien de toi.

- Ma maman s'occupe bien de moi, rétorqua-t-elle.

- Non. Elle ne fait pas très attention à toi et elle te laisse trop souvent seule, livrée à toi-même.

- Ce n'est pas vrai… dit-elle en secouant la tête, refusant d'admettre une telle chose.

- Si. En plus, elle a refusé de t'écouter les rares fois où tu as voulu lui parler du comportement déplacé de ton beau-père, argumenta-t-il.

- Comment… Comment vous savez tout ça ? demanda-t-elle, totalement larguée, en fronçant les sourcils et en fuyant son regard. Vous nous avez espionné ?

- Oui.

- Mais… Pourquoi ?

- Je ne sais pas. »

La petite se tut, véritablement perturbée par ce qu'il lui avait dit, et elle l'entendit ajouter avant qu'il ne quitte la chambre :

« Je ne te laisserai pas retourner là-bas, auprès de ce désaxé. Il avait l'intention de te faire du mal et je ne veux pas que cela se produise. »


Merci d'avoir lu! J'espère que ça vous a plu ;-)

L'histoire sera courte et comportera 5 ou 6 chapitres, que je posterai une fois par semaine.

A la prochaine!

Bisous ;-)