"Fais pas ton relou, laisse une review !"
Cette fanfiction est une participation au Collectif NoName, un groupe d'auteurs et de lecteurs visant à inciter à l'écriture, que ce soit de fanfictions que de reviews. Le challenge de ce mois est « Votre personnage possède un dæmon ».
« Quel serait votre dæmon si vous en aviez un ? » Je dirais une marmotte. J'adore dormir.
Dédicaces : À Adraen et Nanthana14, qui sont mes deux filleuls dans le Collectif et de bons amis.
À Julindy, autre amie du Collectif qui, comme moi, est fan de Star Wars.
À Kaelyan, parce que tu m'as donné envie de mettre un peu de Kit Fisto.
À Iroko, parce que j'aime te lire sur le fandom de Star Wars.
Pour les différentes créatures citées, une simple recherche Google Image vous informera.
Pour séparer la jungle luxuriante, dense et agitée de vies, la plupart agressives, de la cité aux hautes tours surmontées de toits au bleu rappelant les saphirs, les murailles d'un transparent laiteux formaient un dôme protecteur autour des bâtiments, dont une partie s'ouvrit, comme une fenêtre coulissante, révélant les couleurs chatoyantes de la végétation entourant les bâtiments et qui leur permit d'entrer au cœur de la civilisation rodienne. Une voix au ton monotone du professionnalisme les autorisa à passer, et ils entamèrent doucement la descente jusqu'au hangar, jusqu'à ce que les trains d'atterrissage cognent contre le sol, le vaisseau aux peintures rouge bourgogne tangua un instant avant d'être totalement stabilisé et qu'une rampe puisse s'ouvrir. Aussitôt qu'elle eût fini sa courte descente, deux humains descendirent du ventre de la navette, leurs longues bures ondulant autour de leurs jambes, mais ce qui les suivait était plus à même d'attirer le regard, car il s'agissait d'une grande créature au corps longiligne encadré de quatre pattes imposantes dont la puissance se devinait, brillant d'écailles vertes aux reflets bleutés, et à la tête qui pouvait aisément dépasser les hommes, si elle ne devait pas se baisser pour éviter le toit de l'appareil, à la couronne de plumes turquoises, dont la beauté résonnait avec le regard intelligent que projetait la bête. Pour toute personne voyant ce quatuor pour la première fois, le varactyl attirait indéniablement l'attention, au détriment des deux Jedi, et de l'actuel petit convor qui s'accrochait avec élégance à l'épaule du plus jeune humain.
Ils s'avancèrent jusqu'à la personne qui les attendait, et s'inclinèrent avec révérence tandis que le sénateur Farr les accueillait :
« Bienvenue sur Rodia, Chevalier Kenobi. Nous sommes heureux de vous voir aussi vite, compte-tenu du caractère délicat de la situation.
_ Je vous remercie, Sénateur, répondit-il d'une voix affable. Permettez-moi de vous présenter mon Padawan, Anakin Skywalker. Nous avons été envoyés en toute hâte sur Rodia à propos d'un vol, cependant, je crains qu'il ne s'agisse de la seule information que nous ayons. »
À la question informulée, le Rodien sembla embarrassé. Il dodelina vaguement de la tête avant de reprendre :
« Suivez-moi, nous pourrons en parler en détails une fois confortablement installés. »
Tandis qu'il se retournait, suivi des deux gardes qui l'accompagnaient, le Jedi et son Padawan échangèrent un regard équivoque. Qu'ils soient accueillis par le sénateur de Rodia en personne suggérait plus qu'une simple affaire de vol, et cette volonté de parler en privé, loin des oreilles indiscrètes, les rendait plus suspicieux encore. Cette simple histoire de vol cachait une affaire plus sensible, et le Sénat était visiblement impliqué. Ils le suivirent donc à travers le hangar et différents couloirs, passant d'un bâtiment à un autre par des plateformes aux arabesques tournoyantes à travers lesquelles l'eau calme des marais tintinnabulait contre les fondations de la cité, mais qui gémissait sous le poids du varactyl. Les seules personnes qu'ils croisèrent étaient des gardes qui, pourtant habitués à rester stoïque, observèrent avec stupeur le grand lézard qui les suivait, sans que celui-ci ne leur accordât un regard. Ils arrivèrent finalement dans un petit bureau, accueillant avec ses sofas. Le sénateur les invita à s'installer, et le chevalier Jedi prit soin de s'asseoir du côté où la créature s'installa, sa haute stature surplombant les personnes présentes.
« Alors, de quoi s'agit-il, sénateur ? questionna-t-il, voyant l'hésitation du politicien.
_ Pour commencer, Rodia et ses ingénieurs ont été choisis par le Sénat pour développer un tout nouveau projet d'armement, qui est tenu secret. Nous comptons donc sur votre discrétion, cela va sans dire. Le projet n'est pas encore en phase de production, ce qui a été volé sont les plans du premier prototype. Par mesures de sécurité, ces plans n'étaient pas gardés dans notre banque de données, mais sur un datapad indépendant, et il n'existe aucune copie.
_ Il est donc impératif de les retrouver, afin de ne pas perdre le fruit de vos recherches, souligna le Maître.
_ Bien entendu. Mais il est aussi capital de s'assurer qu'aucune copie n'ait été faite ; vous comprendrez que la République ne veut pas voir ses armes être retournées contre elle.
_ Auriez-vous une idée de qui aurait pu les voler ? s'enquit Anakin. »
Un soupir las lui répondit.
« Là est tout le problème : il n'y a aucune trace d'effraction, et ce projet est tenu secret. Le datapad a simplement disparu du jour au lendemain. Nous suspectons une personne interne, qui connaît nos systèmes de sécurité. Les plans ne sont plus sur Rodia, l'ingénieur en charge du projet m'a personnellement assuré que dans le cas contraire, il l'aurait localisé. Or, personne n'a quitté la cité la nuit du vol. Un complice a dû l'aider à faire sortir les plans du système, suggéra le sénateur Farr.
_ Ne vous inquiétez pas, le tempéra le chevalier. Nous trouverons qui a fait cela, comment il y est parvenu et ce qu'il a fait des plans, qui que ce soit. »
Le Rodien lui adressa un léger sourire, apparemment soulagé que l'affaire délicate soit prise en charge par des Jedi, ainsi qu'un hochement de tête pour lui signifier ses remerciements. Un court instant passa, et les grands yeux scintillants du sénateur dévièrent une seconde sur la porte d'entrée, avant de reprendre la parole :
« L'ingénieur en charge du projet devrait bientôt nous rejoindre, il pourra vous expliquer plus en détails le sujet de ses recherches, et vous montrer où se trouvait le datapad. »
En effet, après quelques minutes durant lesquelles ils en profitèrent pour questionner Onaconda Farr sur les personnes au courant de ce projet, une Rodienne les rejoignit. Sa peau, qui rappelait le jaune des tournesols en été, et ses cheveux, clairs et reflétant la lumière, devaient faire d'elle une belle femme, cependant, son visage rigide et fermé, sa posture droite et militaire, son uniforme serré et terne, lui donnaient autant un air professionnel qu'austère. Bien qu'elle se montrât polie, il leur semblait qu'elle se forçait à les saluer convenablement et à décliner avec tact l'invitation du sénateur, arguant qu'il serait d'avantage utile pour les Jedi d'inspecter les lieux du crime. Ses derniers mots avaient été dit avec tant de conviction qu'il était facile de deviner son ressentiment quant au vol dont elle avait été victime – effectivement, voir plusieurs mois de travail disparaître ne devait guère être plaisant. Dans tous les cas, elle allait droit au but, ce qui leur facilitait la tâche.
Ainsi, ils apprirent sur le chemin la nature de ce projet : afin de neutraliser rapidement et efficacement les droïdes de combat, l'ingénieure développait un tout nouveau genre de grenade qui, à l'explosion, générait un champ magnétique très puissant, attirant ainsi les objets métalliques vers elle. D'après elle, miniaturiser le système et qu'il soit peu coûteux en énergie était le plus compliqué à concevoir, le reste était à la portée de tous – or, après de longues recherches, elle avait réussi le premier essai – et tout avait disparu en une nuit. Le datapad qui contenait toutes les informations pouvait être géo-localisé, et même si la portée du signal était longue, elle ne pouvait traverser la galaxie. L'objet avait indubitablement quitté le système – la Rodienne était bien trop sûre de l'efficacité de son propre système pour le remettre en doute.
« Pensez-vous qu'une personne de votre équipe ait pu commettre ce vol ? l'interrogea d'une voix mesurée Obi-Wan.
_ Certainement pas, répliqua-t-elle du tac au tac, je les ai personnellement choisis, ils sont loyaux, ou ont trop peur de moi pour faire quelque chose d'aussi stupide. »
Si le chevalier ne fit aucun commentaire, légèrement derrière eux, Anakin leva les yeux en secouant la tête, se moquant de cette ingénieure trop présomptueuse, ce qui lui valut aussitôt et simultanément un coup de queue de varactyl sur le talon et un regard réprobateur de son Maître. Il ronchonna silencieusement, alors qu'ils continuaient d'avancer. Ils parvinrent jusqu'aux laboratoires, l'ingénieure dut présenter une carte puis composer un code d'accès pour ouvrir la porte blindée, et entra sans plus aucune cérémonie, maintenant qu'elle était loin du sénateur. Les deux Jedi la suivirent, puis, un « boum » les arrêta. Ils se retournèrent vers le grand lézard qui, ayant essayé d'entrer, avait brutalement constaté qu'il était trop grand pour la petite porte. Une de ses pattes avant était à l'intérieur, sa tête également, mais l'autre patte n'avait pas totalement réussi à passer, et l'animal se retrouvait coincé, gigotant pour trouver le bon angle afin de s'extirper en douceur de l'ouverture.
« Toujours à se faire remarquer, Nanthana ? plaisanta le Padawan avec un sourire goguenard. »
Un regard agacé lui répondit.
« N'insiste pas, reste là. Nous n'en aurons pas pour des heures, lui conseilla Obi-Wan. »
La Rodienne qui, jusque là, avait à peine regardé l'énorme varactyl, sembla soudain intriguée lorsqu'une voix féminine, celle d'une femme adulte, volontaire et douce, sortit du bec de l'animal :
« Ne fais pas de bêtises en mon absence, Anakin. »
Il lui répondit par un sourire en coin angélique ; quant au chevalier, il ne fit aucun commentaire, bien qu'il sût que Nanthana entendait par là qu'il ne devait pas s'amuser sans elle.
Ils entrèrent donc par l'unique entrée – et unique sortie – dans un lieu qui, d'après l'ingénieure, avait été fouillé de fond en comble sans que rien ne fût trouvé. Elle leur fit vaguement visiter, leur indiqua où se trouvait l'objet volé en temps normal, puis se tourna vers eux, comme attendant qu'ils se désintéressent de la pièce pour repartir. Bien sûr, les deux Jedi n'en décidèrent pas ainsi, préférant inspecter les laboratoires par eux-mêmes, ce qui ne manqua pas de l'agacer. Pour retenir son envie de lever à nouveau les yeux au ciel, Anakin regardait le haut des murs et le plafond, à la recherche d'une ouverte, si petite qu'elle pût l'être, quand ce fut son Maître qui trouva une chose digne d'intérêt.
« Où cela mène-t-il ? demanda-t-il à la Rodienne.
_ Ce sont simplement des tunnels de maintenance, seuls les droïdes y vont, répondit-elle. C'est une impasse, et ces tunnels sont trop petits pour y manœuvrer correctement.
_ Mais la taille ne serait pas gênant pour un Ugnaught, contra aussitôt le Padawan. Et ils sont connus pour être d'assez bons mécaniciens – suffisamment pour faire un simple court-circuit, renchérit-il en déboîtant le panneau d'accès réservé aux droïdes et en ouvrant la petite porte avec simplement deux fils échangés.
_ Ça n'en reste pas moins une impasse, rétorqua-t-elle, vexée. »
Anakin et Obi-Wan échangèrent un regard. Ainsi campée dans ses opinions, il était évident que le lieu n'avait pas été totalement fouillé, comme elle le suggérait.
« Anakin, rentre là-dedans et vois s'il y a quelque chose d'inhabituel. »
L'interpellé jeta un regard grognon à Obi-Wan. À seize ans, il faisait déjà la même taille que son maître – et il espérait sincèrement continuer à grandir pour, la prochaine fois, pouvoir lui dire c'était lui le plus petit et le plus à même de remplir cette mission désagréable. Mais comme il devait obéissance à son Maître, il s'agenouilla pour pouvoir entrer dans le petit conduit – ce qui ne l'empêcha pas de grogner de mécontentement lorsqu'il se cogna. Le petit convor, qui était resté perché sur son épaule sans un bruit, avait gracieusement déployé ses ailes pour s'envoler, restant derrière l'humain le temps qu'il rentrât, puis l'avait suivi, l'air qui passait dans ses ailes sifflant légèrement. Quand ils eurent tous les deux disparus dans les entrailles technologiques du bâtiment, Obi-Wan haussa la voix pour se faire entendre :
« Anakin ? l'appela-t-il. Est-ce que tu vois quelque chose ? »
Il ne reçut pas de réponse immédiate, si ce n'était des bruits de coups contre les parois métalliques et des « aïe » qui ne se voulaient pas discrets. À l'intérieur, le jeune homme rivalisait de souplesse pour pouvoir se tourner, mais le manque de lumière ne l'aidait pas, et plusieurs fois il se cogna contre des tuyaux ou des leviers, et un coup précis sur le nerf de son coude lui envoya de l'électricité dans tout le bras, le faisant grimacer et jurer en huttese – la voix étouffée de son Maître ne manqua pas de le réprimander pour son langage fleuri. Une fois qu'il fut dans le bon sens et était plus libre de mouvement, le petit oiseau qui l'accompagnait changea soudain de forme, son corps devint plus grand, quatre pattes reposèrent sur le sol, deux grandes oreilles se levèrent, et l'éclat de sa fourrure refléta le peu de lumière que le tunnel recevait. Anakin remercia silencieusement le nouveau vulptex pour la petite lumière tamisée qui lui permit de distinguer les objets l'entourant. Il put ainsi attraper le panneau de contrôle identique à celui qui se trouvait dehors.
« Quelqu'un est bien passé par là, le panneau a déjà été forcé. »
Du coin de l'œil, le chevalier put voir l'ingénieure baisser la tête, mais n'y prêta pas attention.
« Vois-tu autre chose ?
_ Pas grand-chose, non, répondit-il. Mais il y a de la lumière au bout du tunnel.
_ Ce n'est pas normal, il ne devrait pas y avoir de lumière, intervint la Rodienne d'une voix plus humble.
_ Alors, j'y vais. »
Du bruit leur indiqua qu'Anakin s'était mis à ramper dans le petit tunnel. Obi-Wan se tourna vers la femme :
« Y a-t-il un moyen pour suivre sa progression ? »
Sur un grand écran, il pouvait voir les plans du bâtiment – il n'y avait en effet aucune issue, en temps normal – et il suivait le chemin de son Padawan avec les indications qu'il lui transmettait à travers leur comlink. De son côté, Anakin était précédé du renard de glace, qui sautillait sans difficulté, comme s'il le narguait alors que lui était obligé d'avancer à quatre pattes, ce qui n'était guère agréable pour ses genoux. Au bout du tunnel, il tourna à droite – c'était malheureusement toujours aussi petit et exigu – et se dirigea vers la source de lumière, qu'il n'eut pas de mal à identifier. S'arrêtant pour approcher le petit appareil de ses lèvres, il s'adressa à son Maître :
« Il y a un énorme trou qui donne sur l'extérieur. Et il y a un autre trou dans le mur du bâtiment en face de moi. »
Soudain atterrée, il fallut qu'Obi-Wan appelle l'ingénieure pour qu'elle se reprenne et lui fournisse les plans du système de ventilation de l'académie, où se trouvait maintenant Anakin après un saut que nul autre qu'un Jedi aurait pu faire, rejoint à nouveau par un convor.
« Prenez à votre droite, des grilles laser vous bloqueront le passage à gauche, lui indiqua la Rodienne.
_ Vérifie le chemin à ta gauche, avant, rétorqua le chevalier, mû par son intuition. »
Comme le système de ventilation était plus grand et spacieux, Anakin put avancer plus vite sur ses deux jambes, et après deux bifurcations, repéra le système dont avait parlé la scientifique, mais sans grilles actives. Cette nouvelle sembla la replonger dans l'effroi ; elle prenait peu à peu conscience de la gravité de la situation en constatant le mal qu'on s'était donné pour voler ses recherches, et son sens de l'éthique la rattrapait alors qu'elle craignait que son arme ne fût entre de mauvaises mains.
« Des charges explosives ont été posées, exposa leur éclaireur, et je dirais que ce sont des bombes artisanales de mauvaise facture : l'explosion était à peine contrôlée, elle a tout grillé.
_ Saurais-tu l'identifier ? lui demanda Obi-Wan.
_ Je ne sais pas trop, hésita-t-il. Il y a beaucoup de poudre noire résiduelle et je ne sens pas grand-chose. »
L'oiseau quitta à nouveau son épaule pour regagner le sol, et cette fois-ci, il se métamorphosa en cochon-globe : sa petite taille et son corps dodu étaient surmontés d'un museau à la taille impressionnante, ce qui lui donnait l'un des meilleurs odorats de la galaxie. Aussitôt prit-il cette apparence, que l'animal s'écria de la voix d'un jeune garçon qui n'avait pas encore mué :
« Pouah ! Ça pue l'œuf pourri ! Depuis des siècles, en plus. Et totalement cramé. C'est encore pire que les pieds d'Ani après la mission dans les marécages de Kashyyyk.
_ Hé ! râla l'intéressé.
_ De la nitroglycérine, déclara Obi-Wan après un instant de réflexion, sans qu'il ne fît de commentaire sur leur petite taquinerie.
_ Cette antiquité ? s'exclama, incrédule, son Padawan. Plus personne n'utilise ce truc, ça ne fait pas bon ménage avec notre technologie.
_ Mais elle se trouve facilement et est peu coûteuse. C'est pour cela que les Hutts l'utilisent toujours. »
Il se renfrogna en regardant le cochon-globe, dont le regard porcin semblait dire la même chose. Ils continuèrent ainsi à suivre la piste laissée par le voleur : il trouva les traces laissées par un grappin, dut glisser le long d'une paroi, et redoubler de dextérité pour éviter une immense hélice qui, après un rapide examen, avait connu une très légère oscillation la nuit du larcin, insuffisante pour être remarquée, mais suffisante pour laisser passer une personne. Ce jeu de piste amena Anakin et le convor jusqu'à une grille qui donnait sur l'extérieur de la cité, au-delà du dôme protecteur, où un véhicule avait dû stationner. Une dernière découverte les attendait sur le sol métallique du conduit.
« Oh, non... maugréa Anakin. Du sable.
_ Anakin, les Hutts ne contrôlent pas qu'une seule planète avec du sable.
_ Je sais, Maître, mais je reconnaîtrais celui-ci entre mille. Je l'ai suffisamment vu au cours de ma vie. »
Il y eut un moment de silence. Puis, la voix d'Obi-Wan traversa à nouveau le comlink :
« Dans ce cas, nous partons pour Tatooine. »
Bonjour, bonsoir, mes lecteurs.
N'ayant pas eu le temps de tout écrire ce mois-ci, j'ai décidé de diviser ce que j'avais prévu être un grand OS en quelques chapitres. Je ne sais pas encore combien il y en aura, mais le prochain est presque prêt. Je tâcherais d'en mettre un par semaine. Pour ceux qui s'interrogent sur cette varactyle et ce convor changeant de forme, tout sera expliqué dans le récit, ne vous en faîtes pas. J'espère que cette première partie vous aura plu.
En attendant la suite, je vous conseille de lire « Star Wars Old Republic : L'épopée du Varactyle » de Karboom, qui n'a pas de review alors qu'il en mérite, retraçant l'histoire d'une contrebandière dans une épique où des milliers de Jedi et de Sith se font la guerre et laissent des dommages collatéraux. Je l'adore !
À bientôt,
MlleMau.