Bonjour ou bonsoir (choisissez en fonction de votre heure de lecture)...Je reviens donc avec une nouvelle fanfiction (la deuxième pour être précise) sur nulle autre que deux univers que j'aime beaucoup...celui de Harry Potter et de Vampire Knight.

Je ne compte pas m'attardée sur du texte de présentation ultra long, donc on va passé aux choses sérieuses:

/!\ Ceci est un futur slash /!\

pour ceux que ça gênent...bah...je ne sais pas ce qui vous retient encore ici. Mais si vous êtes curieux, n'hésitez pas à laisser des commentaires sur vos impressions.

Disclaimer: J.K. Rowling (la fabuleuse !) et Matsuri Hino.

Praining: Kaname K. x Harry P.

Je vous souhaite une bonne lecture.

Love.

*.*.*.*.*.*.*.HarryPotterXXXVampireKnight.*.*.*.*.*.*.*

PROLOGUE

C'était une nuit glaciale.

Vraiment glaciale.

Le genre de nuit où personne ne souhaitait s'aventurer dehors sans une bonne raison de la faire. Pourtant, ils se trouvaient là, perdu au milieu de nulle part, dans une forêt qui ne lui inspirait absolument rien de bon, à errer dans le noir sans qu'elle ne sache se dirigeaient-ils.

Plus ils s'enfonçaient dans les profondeurs de cette forêt, plus elle espérait retrouvée la chaleur de sa maison, avoir un bon chocolat chaud entre les mains et serrait son adorable fils dans ses bras.

Elle gémit en pensant à son bébé, seul avec une inconnue, loin d'elle. Le son stoppa son compagnon.

"Qu'est-ce qu'il y a encore ?"

Elle renifla bruyamment, essayant de contenir ses larmes. J'ai envie de rentrer, voilà mon problème !

C'est ce qu'elle aurait aimée lui dire...

"Rien." souffla-t-elle en évitant le regard sévère de son mari. "Rien du tout. Continuons."

Son mari hocha simplement la tête, ne voulant rien savoir. Ce n'était pas un temps pour les longues discussions inutiles, il le savait et elle le savait aussi. Ils devaient se dépêchés d'en finir avec ce quiles avaient menés ici, et au plus vite.

Au bout de longues minutes de marche dans la forêt, plus aucun des deux n'arrivait à distinguer du vrai du faux. Tout leurs sens étaient en alerte, chaque ombre un peu étrange, chaque sons inconnus, devenaient une source d'angoisse pour le couple. Et ils savaient que leur lot de sursauts n'allaient pas diminuer, bien au contraire.

La jeune mère ne sentait plus vraiment une grande partie de son corps. Et ça malgré le nombre exubérant de couche de vêtements qui la recouvrait. Le vent semblait vouloir lui taillader la moindre parcelle de peau exposée. Elle ne sentait plus ses doigts malgré sa paire de gants et elle ne voulait même pas pensée à l'état de ses pieds. 'J'en peux plus.'

Elle leva les yeux pour observer l'état de son mari. Il ne semblait pas si affecté par ce froid, presque surnaturel, qui les entourait. Son expression était toujours aussi grave et férocement déterminée. Elle souriait intérieurement en pensant, qu'il ressemblait à un valeureux guerrier partant à la guerre avec l'expression qu'il arborait. Elle se sentit même fière de lui pendant un court instant...

...jusqu'à ce que son regard arrive à "ça". Le grand sac de sport noir et déchiré qu'il transportait dans ses bras.

'Pourquoi je me sens si coupable ? Nous ne faisons que protégés notre famille et notre avenir après tout !...alors...alors pourquoi je me sens aussi monstrueuse ?'

L'image fugace d'une personne qu'elle aurait préférée oubliée lui traversa l'esprit, la coupant du rythme imposé par son époux. Elle avait l'horrible impression que ses jambes allaient la lâcher à cet instant et qu'un poids plus lourd qu'elle venait se poser sur ses maigres épaules. 'Je...'

Son compagnon (qui avait été une nouvelle arrêté dans son élan) s'apprêtait à lui hurler dessus et l'entraîner de force, s'il le fallait, se trouva complètement déboussolé par l'expression de pur panique inscrit sur les traits de sa femme.

Il voulut tendre une main vers elle, mais ne puis faire aucun mouvement. Il resta donc silencieux, pendant plusieurs secondes, à la dévisagait, en attendant qu'elle reprenne ses esprits.

Au bout de ce qu'il lui semblait être une éternité, elle prit enfin la parole. Ce n'était qu'un pauvre murmure, mais il l'entendit tout de même.

"E-est c-ce que...ce n'est pas mal ?"

Il fronça les sourcils d'incompréhension. Mal ?

"De quoi parles-tu, chérie ?" demanda-t-il avec douceur. Lui parlait dans un autre ton ne ferait que l'enfermer dans un mutisme inutile.

"J-je...enfin...ce qu'on fait ici...n'est pas mal ?" explica la jeune blonde avec hésitation. Elle se sentait réellement pas bien. Elle avait l'impression qu'on la jugeait. Que quelqu'un la jugeait. Mon Dieu...elle se sentait même jugée par la forêt elle-même, pour tout dire !

Son mari resta ébahi par ses mots. Eux, faire quelque chose de mal ?!

"Ne sois pas absurde. Tu sai bien pourquoi on fait ça, on était d'accord !" grogna-t-il avec froideur, une fureur mal contenu dans la voix.

Sa femme se tendit. Elle se sentait revenir en arrière, à des années où lorsqu'elle faisait une bêtise grave, son père employait un ton presque similaire pour la réprimandé. Mais elle n'était plus une petite fille.

"Mais..."

"Non ! Pense à ce que vont dire les voisins s'ils le découvrent...ou pire, pense à la vie que nous aurions menés en gardant cette chose plus longtemps avec nous ! " hurla son mari, "ce que nous ferions de mal serait de le garder dans notre famille. Notre normal et respectueuse famille ! As-tu pensée à l'avenir de notre fils ?"

Leur fils.

L'évocation de leur cher enfant, attendant à la maison avec la gardienne qu'ils avaient engagés avant de partir, était un argument fort.

Elle serra l'écharpe entourant son coup avec force. Son mari n'avait pas tord. C'était pas eux les monstres dans l'histoire, mais bien ceux qui étaient si différents d'eux. Ces anormaux.

"Tu as raison." murmura la femme. "J-je suis si désolée."

"Bien. Maintenant avançons, ce n'est ni l'heure, ni l'endroit pour papoter 'Tunia chérie." déclara l'homme en se détournant de sa femme pour reprendre la route. Il n'était pas de bonne humeur.

Celle-ci baissa la tête en suivant docilement l'autre. Elle retint un début de sanglot. 'Je suis désolée.'

.*.*HPxVK*.*.*

"Bien arrêtons nous ici. C'est assez éloigné pour que personne ne le trouve."

Elle acquiesça.

Ils avaient longuement marché en suivant un sentier assez délimité pour ne pas se perdre en rentrant. Maintenant, ils se tenaient devant une petite clairière entourait d'immenses arbres morts. Avancer plus loin leur étaient impossible. Et l'endroit était incroyablement terrifiant.

Le silence régnait dans cette partie de la forêt...

Il y régnait un grand sentiment d'hostilité.

Elle se sentait en danger ici.

"Vernon, laisse le simplement là et partons. Je n'aime pas cette endroit." supplia Pétunia en regardant autour d'elle avec crainte. Elle ne voulait plus restée une seule seconde de plus dans cette forêt.

"C'est juste." lâcha Vernon en posant le sac noir à terreIl fixa le contenu du sac encore visible grâce à certains trous...

Il eut un rictus satisfait et mauvais en frappant avec la force de son pied son précédent bagage. Ils étaient enfin débarrassés de la nuisance. Ils pourraient enfin reprendre leur vie normale de gens biens, sans être constamment gênés, par cet encombrant fardeau. C'était enfin fini. Ils ne vivraient plus dans la peur d'être corrompu par son anormalité et d'être un jour découvert par leur entourage. Non, plus jamais.

"Allons-y 'Tunia chérie, on a plus rien à faire ici. Et je refuse de payer encore plus d'argent à cette bonne femme pour qu'elle garde Dudley !"

"Oui. Tu as raison." murmura Pétunia en suivant toujours le pas de son époux. Elle était soulagée et heureuse de partir.

Elle avait hatehâte de se changer et se réchauffer chez elle, un lieu familier et accueillant. De retrouver son adorable fils et le gâter pendant des heures.

À la pensée de son fils, elle mordilla la lèvre et laissa ses pensées se tournaient vers ce que Vernon et elle avaient laissés derrière. Ou plutôt qui ils laissaient derrière eux.

Elle savait que c'était mal, peut importe ce que disait son mari, elle savait que ce n'était pas la solution la plus humaine possible...mais, a contrario, elle savait que c'était ce qu'il y avait de bien pour eux. Et malgré le sentiment de culpabilité qui l'envahissait, à chaque pas qui l'éloignait de leur crime, elle se sentait aussi...soulagée. Soulagée de ne plus la revoir à travers lui.

C'était la dernière fois qu'elle le verrait.

Ce regard vert si brillant et magnifique.

Ce nom. Harry.

'Lily, me pardonnera tu un jour ?'

.*.*HPxVK*.*.*

Au même moment deux événements se produirent presque simultanément, à une minute d'intervalle.

Le premier concernait un célèbre et respecté sorcier de la communauté magique anglaise, reconnut comme l'un des plus sage et des plus puissants sorciers de tout les temps, Albus Dumbledore.

Le directeur de Poudlard s'agitait comme un lion en cage dans son immense bureau. Il avait le pressentiment que quelque chose allait se produire. Et ce quelque chose n'allait pas lui plaire. Absolument pas.

Mais n'ayant pas le moindre indice de quoi, d'où et quand cette chose se déroulerait...il devait attendre et voir les événements à venir. Et dire que ça le contrarié était un doux euphémisme. Il détestait par dessus tout ne pas être maître des événements qui l'entouraient, ou du moins, ne pas pouvoir les faire avançaient dans le sens qui l'arrange.

'Je ne sais pas ce que c'est mais c'est assez grave pour que ma magie en soi extrêmement perturbée.'

Il avait toujours été sensible aux fluctuations magiques qui parcouraient l'ensemble du territoire magique. Lui permettant ainsi de savoir si un bouleversement magique de grand ampleur allait toucher la communauté magique. Habituellement ce n'était que des légers flux instables facilement contenus par l'un des département du Ministère...mais ça...

'C'est quelque chose d'un autre niveau.'

Il savait que seul les plus puissants sorciers arriveraient à le percevoir un minimum. Lui, il avait la chance d'avoir Poudlard qui lui facilitait la maîtrise de son sens magique. Il était même sûr et certain qu'ils ne devaient être qu'une toute petite poignée à l'avoir senti...

Cette magie ancienne.

Sauvage, puissante et inconnue.

Albus Dumbledore était sûr d'une chose pourtant: quelque chose se tramait derrière cette soudaine apparition et ce quelque chose venait de bouleverser ses plans.

Et il ne savait pas à quel point, il avait raison.

Le second événement se déroulait dans la même forêt où le couple des Dursley venaient de quitter.

À l'endroit où ils avaient abandonnés le sac, un immense pentacle se dessinait sur le sol. Il grandissait de seconde en seconde, brillant, doré et emplit de magie pure. En son centre se tenait le sac. Et au côté du sac se tenait une étrange silhouette noire, presque invisible à l'oeil humain.

"C'est l'heure de partir pour un court voyage, jeune maître." murmura sombrement la silhouette en regardant l'enfant inconscient qui se trouvait au fond du sac.

Le pentacle s'illumina intensément, les recouvrant tout les deux d'une étrange pluie doré et aussi vite qu'il était apparu, le pentacle disparu subitement, ne laissant aucune trace de son existence derrière lui

mais aussi...

...aucune trace du sac où se trouvait enfermé Harry J. Potter, le Survivant du monde magique, ainsi que de son mystérieux compagnon.

To be continued...

J'arrive très bientôt avec la suite.

Love again.