Mariage(s)

Hello les Fangirls and boys !

Merci à tous d'avoir suivi cette nouvelle fic jusqu'au bout ! Je suis vraiment touchée par tous les commentaires que vous me laissez, et par tous les favs et les follows. Vous êtes géniaux. Bref, fin du suspense et place à ce court épilogue.

Résumé :

UA. Si vous voulez un bon conseil, n'organisez jamais le mariage de la personne que vous aimez avec un autre. Surtout quand vous devez vous coltiner le journaliste le plus acariâtre de la planète et qui ne veut pas vous lâcher la grappe. STEREK

Note :

Encore une fois je me suis inspirée d'un œuvre existante pour cette fic. Cette fois il s'agit du film 27 robes. Le contexte est le même, l'histoire pas vraiment même si bien évidemment il y aura des ressemblances.

Epilogue :

Le mariage des Danaac s'est finalement parfaitement déroulé. Lydia a fait des merveilles comme d'habitude et personne de sensé n'oserait dire que le challenge nous paraissait irréalisable même pour elle.

Les mariés sont magnifiques et tout le monde a passé un moment divin. Pour ma part, je me suis rendu à ce mariage au bras du plus beau gosse du secteur, à savoir Derek Hale. On a passé les dernières semaines entre les préparatifs du mariage et les moments à deux. On voulait profiter au maximum l'un de l'autre. Parce que, officiellement, j'habite New York, je travailles là-bas avec Lydia. Donc on en a jamais parlé mais on sait tous les deux que je suis censé repartir après le mariage d'Isaac et Danny. Et comme on est des adultes, on a sciemment évité le sujet.

Tout au long de ce magnifique évènement, j'ai pris des photos comme je devais le faire. Encore maintenant, alors que la soirée est bien avancée, je suis sur le bord de la piste de danse et je mitraille les deux tourtereaux enlacés. Quelqu'un va bientôt devoir leur dire que la lune de miel commence une fois que les invités sont partis et que c'est mieux dans une chambre. Avec une porte fermée. Parce que même si je ne suis plus amoureux d'Isaac, le voir en train de tripoter son mari c'est pas très ragoûtant.

Deux bras m'enlacent par derrière, me tirant de mes pensées. Je me retourne pour me retrouver dans les bras de mon cavalier. Son odeur envahit mes narines tandis que j'enfouis mon nez dans son cou.

- Tu m'empêche de travailler ! Je proteste de façon peu convaincante.

Je brandis mon appareil pour illustrer mes propos.

- Je pense que tu as suffisamment travaillé pour aujourd'hui. Déclare-t-il. Et si on filait avant que ces deux-là ne se sautent dessus ?

Il fait un signe de tête pour désigner les jeunes mariés. J'acquiesce et il me tire vers sa voiture. Croyez le ou non, mais il refuse de monter dans la mienne après qu'on soit tombé en panne avec. Pourtant, elle a été réparée et elle est comme neuve mais il estime que le risque est encore trop important. Ceci dit, je ne vais me plaindre parce que sa camaro est carrément plus cool.

Très vite, on arrive à son loft. Nous montons les marches aussi vite que possible, c'est-à-dire qu'il m'attend en haut des escalier pendant que j'essaie de toute mes forces de ne pas cracher un poumon. Si je dois partir, il y aura au moins un truc qui ne me manquera pas.

Dès que je pose le pied sur la dernière marche, il m'attire à lui dans un baiser passionné. Il me laisse le souffle coupé et pantelant alors qu'il ouvre la porte de son appartement. On se glisse à l'intérieur. Il me tire vers la cuisine ouverte dans laquelle il me pousse contre le plan de travail en m'embrassant. Le marbre dans mon dos est froid et un frisson me traverse. Je n'arrive pas à croire à quel point ce gars me rend fou. Je n'ai jamais ressenti quelque chose d'aussi fort pour personne avant.

Au bout de ce qui me paraît être de longues minutes, il s'écarte pour reprendre son souffle. Il ouvre son frigo.

- Tu veux boire quelque chose ?

- Derek, maintenant que tout le bazar lié au mariage est passé on devrait peut-être prendre le temps de discuter de la suite.

Il a beau être dos à moi, je vois ses épaules se contracter. Il attrape une canette de soda, referme la porte et fait volte face. Il s'adosse au réfrigérateur et porte la canette à ses lèvres.

Ces derniers temps, j'ai remarqué que dès qu'il s'agit de parler sérieusement, Derek choisit toujours le mutisme. Il attend que je fasse le sale boulot. Et autant, à un moment, j'estimais l'avoir bien mérité, autant, à présent, j'aurais vraiment besoin qu'il fasse un effort. Je m'apprête à dire quelque chose lorsqu'il soupire bruyamment.

- Stiles, je ne veux pas partir de Beacon Hills, toute ma famille est ici, et j'ai mon boulot aussi.

- Je sais. Je ne comptais pas te demander de partir avec moi. Je réponds

- Alors quoi ? Tu préfère qu'on se quitte ?

Son ton est neutre mais il me regarde de façon si intense que je devine facilement qu'il doit se poser la question depuis quelques temps déjà.

- Et bien, pour tout te dire, je commençais à en avoir marre de mon associée. Je veux dire, tu connais Lydia, elle est infernale et insupportable. Et puis, je crois que mon père a de plus en plus de mal avec l'éloignement, il n'a plus que moi tu sais. Et aussi, je vais être parrain bientôt et, franchement, je suis sûr que Scott va paniquer grave, il va avoir besoin de moi...

- Stiles, est-ce que tu essaies de me dire que tu restes ici ?

- Ba en fait, il paraît que la gazette cherche un photographe pour ses reportages. Alors, je trouvais que c'était une bonne opportunité.

- Stiles ! Grogne Derek.

- Oui, Derek. Oui, je reste.

Il sourit. Un vrai sourire, pas le petit rictus en coin qu'il peut avoir parfois. Non, un magnifique sourire. Il pose sa canette et vient m'entourer de ses bras.

- Je suis content. Me murmure-t-il à l'oreille.

- Tu vois que c'est toi qui fantasme sur moi et pas l'inverse !

Il me donne une petite tape derrière la tête avant de me faire taire avec un baiser.

Fin

Cette fois c'est vraiment la fin avec ce magnifique épilogue (tout ça pour ça :P). Merci d'avoir lu jusque là !

Pour votre info, je suis actuellement en cours d'écriture d'un autre Sterek, plutôt différent cette fois mais je suis assez loin d'avoir fini alors il faudra attendre un peu pour le post. Mais on se revoit aussi vite que possible.

A bientôt,

Pommie