Le Dit de la Nuit

Postlude : Allegramente perdendosi

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23 ans plus tard

Vanitas comprenait, lentement mais sûrement. Il était déjà vieux, pour un loup. Sa tête était posée sur les genoux d'Axel, qui le regardait avec tout l'amour du monde. Vanitas souriait. Il était prêt à mourir. Ça faisait des années qu'il y était prêt, et il n'en était pas triste. S'il avait sur les lèvres ce sourire, ça n'était pas comme les vieillards qui se rappellent combien ils ont eu une belle vie, non. Bien sûr que Vanitas avait eu une belle vie, mais ça n'était pas ce qui le mettait en joie, et plus, qui le rendait heureux à sa dernière heure. C'était le simple amour, le délicieux amour qu'il sentait, froid contre lui. C'était de savoir qu'il était précieux. C'était qu'Axel pleurait. C'était de savoir qu'Axel. Ne sourirait. Jamais plus.

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Voilà.

C'est joyeux, hein ? Moi, je souris comme une dingue.

Alors, comme c'est la fin de cette histoire (ma plus longue marquée 'Complete'), je me dois de remercier des gens.

Laemia, déjà, parce que c'est toi qu'a lancé le défi, pour tes reviews aussi, et ce mail que je t'ai envoyé où tu m'as contre ton gré débloquée face à ma peur des fins tragiques. Merci, Lae. Beaucoup.

oOOOmerlette, pour sa review qui m'a fait trop plaisir, pour avoir trouvé Axel mignon (L.O.L.).

Ima Nonyme, pour ses reviews sous chaque chapitre, à chaque fois que j'ai posté. C'était sur-motivant alors merci !

Linklecreusois, pour ses reviews sous cette histoire et les autres ! Pour avoir approuvé le Vanixel, aussi, merci.

Leptitloir, ah, c'est en parlant avec toi que je me suis décidée à foncer pour le Vanixel, parce que j'étais pas sûre. Merci de soutenir ce crack, d'avoir commenté et tout !

Tous les auteurs participant au défi Halloween, aussi, parce que c'était un chouette principe, et c'était motivant aussi de savoir qu'on est pas tout seul à écrire dans son coin, mais qu'on fait partie d'une communauté.

(Oui, les remerciements sont plus long que le postlude, faites pas chier, je suis heureuse.)

Je voudrais aussi remercier Dieu, sans qui rien de tout ça ne serait possible puisque le monde n'existerait pas – hm, ouais, non. Bref.

(Le titre du postlude veut plus ou moins dire 'en mourant joyeusement')

Plein d'amour !