Note de l'auteur:Salut salut!!! Alors finalement, j'ai essayé d'écrire sur d'autre truc que sur Undertale, mais en fait... j'ai trop d'idées!!! Alors du coup, j'ai créé une liste à idées intéressante qui doit faire une centaine de pages lol. Alors voilà, j'ai pris l'idée trèèèèèèèèès peu originale du charisk, mais c'est un couple que j'adore.Chara ET Frisk sont des filles (étant moi-même une fille, c'est plus facile à écrire et je préfère les voir en tant que deux filles) âgées d'environ... 20 ans? Peut-être un peu plus.

BONE lecture!

P. D. V. de Chara:

J'ai toujours été dans... l'ombre de quelqu'un. Je pense être quelqu'un de bien, mais j'ai toujours été dans l'ombre de grandes personnes. Non pas que cela me dérange, assister ces êtres grandioses me suffit, mais...

J'ai toujours voulu plus, finalement.

Le jour où j'ai été réveillée par Frisk, je l'ai assistée. Elle ne savait même pas que j'existais au début. Ce n'est qu'à la fin qu'elle a décidé de me sauver aussi, dans une route pacifiste en demandant de l'aide à Alphys. Maintenant, cela fait 5 ans que j'ai mon nouveau corps... Bon, sans vous le cacher, je ne vais pas m'inscrire aux JO, mais je peux marcher, un peu courir et cela me suffit amplement.

Asriel n'a pas pu être ressuscité, malheureusement. Mais son alter ego, Flowey, vis avec Maman et Papa. Frisk, elle, vis à la capitale des humains en tant qu'ambassadrice. Et je l'ai suivie, toujours à ses côtés. Même si l'on vit à l'écart, grâce à la technologie, on communique bien plus souvent qu'avant.

J'étais à la maison de Frisk et moi, en train d'attendre son retour. Elle avait une réunion importante sur une nouvelle loi humaine qui pourrait causer des torts aux monstres. J'étais allongée dans le canapé et je soupirais. Pitié... Ce que je m'ennuie, seule... Agacée d'attendre, je pris en main mon téléphone et j'envoyais à Frisk: "Cc Frisk, tu rentres quand?". Rapidement j'eus une réponse: "Je suis sur la route.".

Réponse sèche. Ah. AH. AAAAH! Cela s'est donc mal passé. Je décidais de l'appeler et elle répondit:

-Oui?

-Frisk! Alors, ça s'est bien passé?

-...Les négociations sont serrées. En fait c'est plus un accord qu'une loi. On devrait avoir un libre échange avec les humains sauf que cela est tout sauf rentable pour les monstres.

-Pourquoi? C'est à double sens, non?

-Eh bien... Le problème, c'est que les gold n'ont pas la même valeur que la monnaie humaine. Du coup, eux, ils auraient juste de la matière première moins chère et nous, on devrait payer plus cher car ce serait sans convertisseur.

-Je vois... En effet, ça poserait problème.

-Eh oui!

-Et tu peux pas juste leur dire non?

-Considérant que je dois leur dire non sans pour autant les fâcher, que je dois respecter ce que veux Papa, ce que veulent les monstres, ce que veulent les humains... C'est compliqué.

-Ouh là, t'es énervée, hein?

-Complètement! J'en ai marre, Chara!

-Hmm... Bon, je te laisse avec ta haine, distille la sur le trajet, j'ai pas envie de te voir énervée.

Je raccrochais. Bon... On va lui faire une petite surprise. Il faut compter environ deux heures avant qu'elle n'arrive. C'est parfait...

Deux heures plus tard...:

J'entendis la porte s'ouvrir avec un: 'JE SUIS RENTREE!!' crié. Frisk. Un sourire malicieux se peint sur mon visage et je criais:

-Dans la chambre!

En effet, nous dormions dans la même chambre car je faisais souvent des cauchemars le soir. J'entendis des bruits de pas qui se rapprochèrent et je mordis ma lèvre. J'en avais pas fait un peu trop...?

P. D. V. de Frisk:

J'étais fatiguée, les négociations avaient pris beaucoup trop de temps. J'ouvris la porte de notre chambre et je tombais sur une pièce dans le noir. Je soupirais et marmonnais:

-Chara, tu aurais pu allumer...

-C'est pour que tu fasses un 'Ah!' de surprise, ma chérie.

Ouh là. Depuis quand Chara me fait des surprises et m'appelle 'chérie'? Certes, il y a un an, nous nous sommes confessées nos sentiments mais jusqu'à présent à part quelques baisers volés, à cause de mon travail et sa rééducation, nous n'avions jamais dépassé ce stade.

Méfiante, j'allumais et je tombais sur... Chara. Elle portait une chemise blanche avec une cravate noire, une tenue qui avait le don de m'exciter et elle le savait, elle était démaquillée car comme elle le sait, je déteste tout artifices sur son visage, elle était... à couper le souffle.

En une position suggestive, les premiers boutons de sa chemise défaits, je laissais mon regard courir sur les batons d'encens qui donnaient un parfum envoûtant et sensuel. Elle se leva et, se mouvant telle une panthère, elle mis une musique lente et sensuelle. Ses yeux rouges malicieux se confrontèrent aux miens fatigués. Je fis un bref sourire et dis:

-Chara, qu'est-ce que tout ça veut-?!

Elle venait de poser ses lèvres sur les miennes. Elle semblait comme affamée, se colla à moi, aspirant mon être au travers de ce contact. Elle pressa sa langue contre mes lèvres, en quémandant l'accès. Déboussolée, j'entrouvris mes lèvres et elle approfondit le baiser, m'arrachant un gémissement. La tête me tournait. Ah, mon Dieu... Chara...

Elle recula, son air malicieux au visage et elle me dit:

-Alors, Frisk? Toujours de mauvaise humeur?

P. D. V. de Chara:

A quoi elle pensait?! C'est vrai, si Frisk a un si grand talent d'ambassadrice, c'est que sa tête est la même quand elle a des envies de meurtres ou bien qu'on lui annonce qu'elle va à Disneyland. Quoique, selon la personne, cela peut revenir au même... Bref. Mais maintenant, je maudis cette faculté qu'elle a car je ne savais pas si elle était pleine de désir ou bien juste... fatiguée, voire blasée.

Elle s'avança légèrement vers moi puis me demanda:

-Chara... Pourquoi tu as fait tout ça?

Frisk... La si innocente Frisk... Je caressais lentement sa tête et lui dis, un sourire aux lèvres:

-Frisk, depuis le début de notre relation, non, depuis que je t'ai rencontrée, je t'ai aimée. Et maintenant, cela fait un an que l'on est enfin ensemble mais... à part nous embrasser, rien.

-Tu voudrais... aller plus loin?

-Oui. Ce n'est pas que je suis contre une relation calme mais là, le couvent nous accepterait, quoi.

-Euh... Je...

-Et je ne sais pas pourquoi mais aujourd'hui me semble être le meilleur jour pour.

-C-Chara...

-Frisk, je ne ferais rien que tu ne veuilles pas que je fasses. Je sais que pour toi c'est ta première fois parce que soit nous étions ensemble soit j'étais dans ta tête donc c'est assez facile de dire que tu n'as jamais couché avec quiconque, mais... tu sais quoi? Moi non plus.

-Chara!!!

Ah! Elle avait rougie. La seule variation sur son visage. J'avais sauté de joie la première fois que je l'avais vue rougir. C'était dans les RUINES, quand elle a pris trop de bonbons monstres. Elle était gênée d'être traitée comme je l'avais fait.

Elle entrouvrit ses lèvres et marmonna:

-Chara... Je... Moi aussi, j'en ai envie... Mais je suis fatiguée.

-Hein?

C'est la pire excuse jamais entendue, ça. Je posais mes mains sur ses avant-bras et dis:

-Frisk... S'il te plaît...

-Chara... CHARA!!

Elle avait crié de surprise quand j'avais commencé à suçoter son cou. Je commençais un mouvement de va et vient sur son cou et elle gémit doucement. Elle lâcha sa sacoche qui tomba lourdement sur le sol et elle passa ses bras autour de mon cou. Bien.

Je reculais lentement, l'entraînant avec moi, continuant ce ballet sensuel mais doux, et on tomba comme deux adolescentes sur le lit. Frisk gémissait. Elle me repoussa et je reculais, à contrecoeur. Elle me fixa des yeux puis elle baissa son regard (ou plutôt je supposais qu'elle baissait son regard...) en déplaçant ses mains vers ma poitrine. Pour une raison qui m'est inconnue, elle et moi avons une poitrine presque de garçon, ce qui nous rendait très androgynes. On portait toutes les deux une coupe courte de façon à accentuer le doute mais dès qu'elle posa sa main à cet endroit particulier des femmes, je serais prête à hurler au monde entier que je suis une femme juste pour quelques secondes de plus de son toucher incertain et presque innocent.

Nous ne savions pas quoi faire. C'est vrai, nos parents nous avaient dit: 'Voilà comment on fait avec un garçon et une fille'. Pour s'imaginer entre deux garçons il n'y a qu'un pas à faire mais entre deux filles... Il manque manifestement quelque chose. Et personne ne nous a expliqués le comment du pourquoi.

Quand Frisk passa son index sur mon téton, même à travers ma chemise, je ne pus m'empêcher de me cambrer et de gémir. Elle ricana légèrement. Je rêve où elle se fout de mes réactions?! Je vais lui en faire voir de toutes les couleurs... Je la renversais et la dominais ainsi. Là, décidant de passer à l'étape suivante, je réfléchis rapidement sur la façon de lui donner du plaisir. N'ayant mon corps d'adulte que depuis un an, je suis un peu démunie car j'ai passé les 8 premiers mois en rééducation et j'avais trop mal pour faire quoi que ce soit. Du coup, je suis un peu...

EN TERRE INCONNUE.

Néanmoins, si on se base sur la façon dont une fille et un gars le font, alors du coup cela devrait normalement être...

Frisk prit ma main dans la sienne et elle la dirigea vers son triangle caché. Je déglutis et commençais à caresser lentement cet endroit qui jusqu'à présent se résumait à inutile dans mon esprit. Elle poussa un long gémissement.

OK, c'est la chose la plus utile du monde en fait.

Je descendis légèrement mon doigt et elle se cambra. Ah! J'ai touché un point sensible. Me remémorant vaguement l'explication à demi mots de Toriel quand je lui avais demandé ce qui pourrait donner beaucoup de plaisir à une femme, elle m'avait notamment cité le 'clitoris'. OK!!!! Merci maman.

POURQUOI JE PENSE A ELLE?!

Sans doute parce que je suis stressée. J'avais peur de décevoir Frisk, qu'elle me trouve pas assez entreprenante, trop timide... Je continuais à titiller son clitoris et je voyais mon amante se tordre sous moi, haletante, gémissant, quémandant mon contact.

Je découvrais ce qu'est le corps d'une fille, alors que j'en suis une, en caressant Frisk et une idée germa dans mon esprit tordu.

Je devais essayer.

Je descendis mon visage lentement et remontais son haut. Elle était maintenant torse nu car de part sa petite poitrine elle n'avait pas besoin de soutien-gorge. En cet instant, j'adorais son initiative car je ne m'imaginais pas me débattre avec les crochets durant des heures, l'habileté de mes mains étant encore à revoir.

Je penchais ma tête et l'enfouis dans sa poitrine avant de la lécher. Frisk se cambra et je fus surprise de sa réaction. Elle se retenait de gémir. J'étais presque fière de moi.

Non, j'étais complètement fière de moi.

Je continuais à lécher sa poitrine tout en titillant de la main son clitoris quand je me demandais... Est-ce que ce serait pas mieux d'échanger?

Je me baissais lentement tout en caressant et mordillant son ventre, ses hanches. Au fur et à mesure de mon périple, elle se crispait, comme si elle s'attendait à ce que j'allais faire. Je suis SI prévisible que ça?! J'embrassais tout d'abord son sexe qui avait une odeur particulière et enfouis ma langue en elle. Elle poussa un cri. QUOI?! Je me reculais précipitamment et elle gémit:

-Chara... plus...

Oh, je vois... Elle avait crié de plaisir!!! J'étais si heureuse. Je l'embrassais profondément et elle répondit en tremblotant sans doute car elle n'était pas encore totalement remise. Je sentis une chaleur étrange s'installer en moi et je me baissais à nouveau pour la lécher. Elle poussa de longs gémissements, de petits cris adorables et ensuite, elle me demanda de me reculer. Triste, pensant que je l'avais déçue, je remontais et je la vis se baisser retirer mon pantalon. QUE?!

Elle retira avec aisance ma petite culotte et elle reproduit ce que je lui avais fait un peu plus tôt. Je me cambrais et gémis longuement. Elle sourit puis elle plaqua tendrement sa main contre moi. Ensuite, elle fit-quoi?! Je me retrouvais pantelante, gémissant. Elle... son doigt... Elle avait rentré son doigt en moi, pas profondément, non, seulement d'une dizaine de milimètres. Elle en introduisit un autre puis elle commença un mouvement de va et vient, sans jamais trop s'enfoncer. Quelques milimètres, mais chaque micromètres étaient une avalanche de plaisir. Sans m'en rendre compte, je m'étais cambrée pour recevoir un peu plus ses doigts en moi. Elle se pencha et titilla du bout de la langue mon clitoris. Je poussais un hurlement.

Elle remonta puis m'embrassa profondément. Nous étions toutes les deux haletantes. Mais j'avais envie... de recommencer. On jouit toutes les deux encore deux fois avant de s'étaler sur le lit défait. Elle avait un sourire aux lèvres. Je dis:

-Eh bien... Je suis... c'était...

-Bizarre mais incroyable...

-Indescriptible... Tu... Frisk, je...

-Moi aussi...

Nos coeurs battant la chamade mais à l'unisson, je l'embrassais doucement sur le bout du nez. Elle rougit. Ah! On vient de coucher ensemble mais un petit bisou sur le nez, ça la gêne?! Pff... Je ricanais et elle posa un baiser sur mon front en caressant mes cheveux. Je me mis à rougir de façon incontrôlable.

OK, j'admets, c'est acceptable de rougir. Mais uniquement parce que c'est Frisk.

On s'endormit dans les bras l'une de l'autre, la musique flottant dans nos oreilles.

Note de l'auteur:Hihihi... Voilà voilà!!! Si vous voulez que je fasse des couples particuliers ou bien que je continue cette histoire, dites le en commentaire!