Temps et Contretemps

Disclaimer : L'univers et les personnages ne m'appartiennent pas et sont à sir ACD, et leurs versions modernes à Mark Gatiss et Steven Moffat. Quant à Harry et au monde magique, ils appartiennent à J.K.R.
Je ne touche aucun argent pour mes écrits.

Bonjour !

Nouveau chapitre, tout frais tout beau ! En espérant qu'il vous plaira.

(Je l'ai republié parce que le lien dans le premier mail n'était plus le bon, donc c'est normal que vous ayez reçu un deuxième mail.)

Un grand merci à Aurore Heart, Angelyoru, DinaChhaya TalaNokomis, lesaccrosdelamerceri, AnitaBlake93100, liberlycaride, Linotte-biscotte, Hadsher, Clelia Kerlais, Eurus 2, Arthenice, PetitLutin22, Will McHope et Yami Shino pour vos reviews !

Arthenice : Merci beaucoup !

Enjoy !


Temps 19 : Cognard

Ce qui était arrivé à Miss Teigne fut le centre de toutes les conversations des élèves les jours suivants Halloween. Certains regardaient Harry et ses amis avec méfiance, mais la plupart les pressaient de questions à la recherche de détails. Cela lui rappelait quand des élèves de son école élémentaire venaient lui demander des détails sur les affaires que ses parents résolvaient. Aucun d'eux ne leur répondaient de toute façon, ils ne savaient rien de plus qu'eux sur ce qui s'était passé.

Harry honora la promesse de non-secret faîte à ses pères, mais seulement à moitié : il les informa de la pétrification de Miss Teigne, mais leur cacha la voix qu'il avait entendu. En vérité, il se sentit soulagé de le leur dire, de ne pas avoir à leur cacher plus de chose. Il se doutait qu'il se serait senti encore mieux s'il les avait informé de tout, mais il était terrifié à cette idée. Admettre qu'il entendait des voix serait admettre qu'il pourrait y avoir quelque chose qui cloche chez lui.

De plus, ses parents étaient suffisamment inquiets comme ça. Dès qu'ils avaient appris ce qu'ils s'étaient passé, ils l'avaient fait promettre de redoubler de prudence.

La bibliothèque avait été prise d'assaut, tout le monde voulant savoir ce qu'était la chambre des secrets. Plusieurs versions parcouraient les couloirs, de la plus crédible (une pièce secrète construite par un fondateur lors de la création de l'école) à la plus idiote (l'endroit où se trouvait le cadavre de Merlin, ou encore une pièce consacré au sexe connue seulement des profs – celle-ci avait été lancé par un septième année). Harry appris la vérité en cours d'Histoire de la Magie, quand Lisa fit une chose qu'il n'avait encore jamais vu : elle leva la main et posa une question au fantôme. Ce qui entraîna un exploit encore plus grand qui laissa la classe bouche-bée, et qui ferait un très bon ragot pour les prochains jours : à force d'insister, Binns releva la tête de ses notes et lui répondit.

« Tu y crois, toi ? » demanda Neville.

Ils étaient assis dans la salle commune de Poufsouffle, s'y étant replié à cause de la pluie torrentielle à l'extérieur.

« Une créature mise là par Serpentard, j'ai du mal à y croire…

- L'école a dû être fouillée de fond en comble, fit remarquer Lisa. Personne n'a rien trouvé.

- Mais quelque chose a bien pétrifié Miss Teigne !

- Peut-être quelqu'un qui se sert de la légende pour se couvrir et faire accuser les Serpentards, réfléchi tout haut Harry.

- Les Serpentards ? s'étonna Neville.

- Tout le monde les repousse encore plus, tu n'as pas remarqué ? expliqua Susan.

- Et ils ne sont pas les seuls… » dit Lisa, le visage sombre. Elle regardait vers la porte de la salle commune.

Tous tournèrent les yeux dans cette direction pour voir Justin Finch-Fletchley, un Poufsouffle née-moldu avec qui Harry avait parlé quelque fois en cours de sortilège, passer l'entrée en jetant un regard nerveux vers eux. Un ami à lui l'accosta tout de suite et le dirigea vers les dortoirs. Il lançait un regard noir à Harry.

Le brun baissa le regard vers ses mains.

« Ne t'occupe pas d'eux, Harry, grogna Lisa. Ce sont des idiots.

- Je ne comprends même pas pourquoi ils pensent que j'ai quelque chose à voir avec cette affaire. Pourquoi pas vous ? Vous étiez-là.

- Certains pensent… que Tu-sais-qui t'aurais transmis plus qu'une cicatrice, cette nuit-là, expliqua Neville avec hésitation.

- Comme je le disais, des idiots. » marmonna Lisa.

Ils changèrent de sujet après ça, mais Harry ne put s'empêcher de jeter quelque coup d'œil de temps en temps vers l'escalier où avait disparu Justin.

oOo

Finalement, le sujet de l'héritier se tarit quelque peu. La plupart des élèves étaient en fait plutôt heureux de ne plus avoir Miss Teigne rôdant dans les couloirs, et certains téméraires commençaient même à braver le couvre-feu maintenant que cette menace avait disparu. Rusard, lui, était dévasté par la perte de sa chatte. Il montait désormais la garde dans le couloir des toilettes des filles, dans l'espoir d'attraper celui qui avait fait ça.

Harry ressentait de la peine pour lui. La chatte était sa seule amie dans cette école où presque tous les élèves le méprisaient. Souvent, il se demandait pourquoi l'homme restait ici. Certaines rumeurs disaient qu'il était cracmol et donc que personne d'autre ne l'embaucherait. Il existait des « traitements » pour apprendre la magie proposé dans le monde magique aux personnes comme lui, mais les cracmols naissaient sans noyau magique on leur donnait un autre nom, mais ils étaient juste des moldus né de sorcier. Eux et les né-moldu étaient les deux faces d'une même pièce.

Au lieu de leur promettre l'impossible, les sorciers devraient leur proposer un programme d'insertion dans le monde moldu.

Mais cela n'intéressait pas le corps étudiant aujourd'hui. Au contraire, la seule discussion à la table du petit-déjeuner portait sur le match de Quidditch Serpentard-Gryffondor qui aurait lieu plus tard dans la matiné. Les pronostics allaient bon train, mais Harry y portait peu d'attention pour l'instant. C'était le premier match de l'année, son résultat définirait le début de la saison. Peut-être que la tactique de leur capitaine changerait pour le match Serdaigle-Gryffondor qui aurait lieu dans deux semaines en fonction de celui d'aujourd'hui, mais il en doutait.

Quand onze heure arriva, tous les quatre se dirigèrent vers le terrain et montèrent dans les gradins. Chacun portaient les couleurs de leurs maisons, puisqu'ils voulaient tous que leur maison gagne le tournoi de cette année et qu'elles avaient pour l'instant les mêmes chances.

Le match se déroula à peu près bien, en tout cas aussi bien que pouvait se passer un match entre ces deux maisons. Il y eut quelques coups bas de la part des serpents, mais les lions menaient de 30 points au bout d'une heure. L'attrapeur de Gryffondor était bon, mais malheureusement pour lui Draco n'était pas mauvais du tout lui aussi. Harry avait espéré qu'il n'avait eu sa place que grâce à l'argent de son père, mais il avait en fait un peu de talent. Cela, ajouté à leurs balais de pointes, faisait les Serpentard donnaient du fil à retorde à l'équipe rouge et or.

Mais la tactique de Draco était très agressive, et il se contentait de suivre à la trace l'attrapeur adverse en attendant que celui-ci repère le vif d'or. Ce n'était pas si idiot, car il pouvait ainsi l'empêcher de l'attraper trop tôt et attendre que son équipe ait un grand nombre de points. Selon le nombre de point marqués par la maison qui gagnerait ce match, Harry pourrait adopter la même tactique lors de leur premier match (1).

Finalement le match se termina sur une victoire de Gryffondor, 360 à 230 points. L'erreur fatale fut quand Draco, trop occupé à narguer l'attrapeur adverse, ne vit pas que le vif voletait juste au-dessus de sa tête.

Alors que tout le monde éclatait de joie autour de lui – les trois autres maisons supportant toujours l'équipe qui jouait contre Serpentard à chacun de leur match – Harry vit le blondinet atterrir et jeter son balai au sol de frustration. Cela le fit un peu sourire.

« Qu'est-ce qui se passe là-bas ? » Dit soudain Lisa d'une voix inquiète à côté de lui.

Elle avait la main en visière au-dessus des yeux et fixait le ciel. Harry suivit son regard, et aperçut un des cognards qui tournait en rond, apparemment sans but. S'approchant de la rambarde et baissant les yeux au sol, il vit les ramasseurs de balle lancer des sorts d'attraction dans sa direction sans succès.

Alors que les élèves s'arrêtaient eux-aussi et fixaient la balle volante à leur tour, ralentissant le mouvement, le cognard se stoppa soudain face aux gradins où il se tenait. Tout le monde resta immobile, se jetant des regards confus. Ce n'était certainement pas un comportement normal.

Les professeurs commençaient à arriver sur place, Snape à leur tête. Et soudain la balle noire bougea, fonçant à toute vitesse droit vers Harry.

Tout le monde se mit à hurler autour de lui alors qu'ils se jetaient au sol, le brun en premier. Le cognard passa juste au-dessus de lui, frôlant ses cheveux, et perça le bois des gradins derrière lui – heureusement vide. Le cœur battant à toute vitesse, Harry se releva aussi vite que possible et fit un mouvement vers les escaliers pour fuir avec les autres. Mais il ne fut pas assez rapide. Le cognard avait fait demi-tour et avant qu'il n'ait pu se mettre hors de sa trajectoire, celui-ci le frappa de plein fouet dans l'épaule.

Une vive douleur envahit toute son articulation, se propageant jusqu'au bout de ses doigts. Emporté par l'élan de la balle, Harry se sentit partir en arrière. Désespérément, il essaya de s'accrocher à quelque chose. Mais ce fut en vain et avec horreur, se sentit basculer en arrière.

La chute ne dura sûrement que quelques secondes, mais cela sembla durer beaucoup plus longtemps à Harry. Bizarrement, il ne pensa à rien, n'entendit rien pendant ce temps. Tout semblait s'être éteint, alors que sa vision s'était réduite au ciel nuageux au-dessus de lui. Il enregistra à peine le moment où sa chute s'arrêta soudainement et qu'il se posa en douceur au sol. Sentant l'herbe sous lui, son ouïe revint alors qu'il quittait son état de choc. Il entendait les élèves qui se pressaient vers lui, son souffle qui devenait haletant. Des gens criaient.

Et la douleur. Dieu, la douleur. Elle semblait dix fois plus forte que lorsque le cognard l'avait heurté, comme si on faisait un trou dans son épaule au marteau-piqueur. Les yeux du brun s'embuèrent et les larmes dévalèrent ses joues et il poussa un gémissement brisé. Il avait au minumum l'avant-bras cassé, et peut-être l'épaule déboitée.

Par réflexe, il regarda vers l'endroit d'où il était tombé. Snape était penché par-dessus la rambarde, la baguette pointée vers lui. Il avait dû arrêter sa chute. Le professeur leva brusquement sa baguette au ciel et Harry la suivit du regard, remarquant seulement à ce moment-là que le cognard avait continué à le suivre et plongeait vers lui. Paniquant, le Serdaigle se redressa sur son bras valide pour essayer de rouler, mais il cogna son bras blessé en le faisant. Hurlant de douleur, il se recroquevilla et regarda le cognard foncer droit vers lui avec des yeux écarquillé de terreur.

Mais la collision ne vint jamais. A la place, le cognard éclata en mille morceau qui eux-mêmes devinrent de la poussière fine qui retomba sur lui. Encore l'œuvre de Snape, devina-t-il. Il allait devoir tenir des compte, pensa ironiquement Harry. C'était déjà la deuxième fois que le professeur le sauvait lors d'un match de Quidditch.

Il pleurait vraiment cette fois, de lourds sanglots déchirant sa gorge. Des gens commençaient à l'entourer, mais il n'arrivait pas à se focaliser sur eux. Il voulait juste -

« Harry ! hurla quelqu'un qui s'était agenouillé à côté de lui. Il reconnut la voix de Neville.

- S'il te plaît… S'il te plaît… murmura-t-il sans réussir à finir sa phrase. Neville n'était qu'une tâche floue à cause des larmes qui obstruaient sa vue.

- Laissez-moi passer ! dit une nouvelle voix, la dernière qu'Harry voulait entendre dans cette situation. Une tâche violette et jaune apparue dans son champ de vision.

- Non… marmonna le brun.

- Reculez-vous. » ordonna Lockart en s'accroupissant précautionneusement – il ne faudrait pas qu'il tâche sa robe avec l'herbe mouillée ! « Je vais soigner son bras, ne vous inquiétez pas !

- Non, pas vous… S'il vous plaît, je veux -

- Il ne sait plus ce qu'il dit, le pauvre garçon, le coupa Le professeur d'un ton gai. Je sais ce que je fais, mon cher. Vous êtes entre de bonnes mains. »

Avant que quelqu'un n'ait pu l'arrêter, il fit quelques moulinets avec sa baguette puis déposa la pointe sur l'épaule d'Harry.

Une sensation désagréable se répandit le long de son bras à partir du point de contact. C'était comme s'il se dégonflait. La douleur diminuait en même temps, mais Harry n'arrivait pas à s'en réjouir. Quelque chose semblait faux et les exclamations stupéfaites ou dégoutées qu'il entendait autour de lui le confirmaient. Après quelques secondes, la sensation se dissipa.

Maintenant, son bras ne lui faisait plus mal. En fait, il avait l'impression de ne plus en avoir du tout.

« Oui, c'est quelque chose qui peux arriver parfois, dit Lockart. Mais l'essentiel, c'est que ce n'est plus cassé. Il ne reste plus qu'à t'envoyer à l'infirmerie ! »

Prenant son courage à deux mains, Harry ouvrit les yeux et regarda son bras. Il était d'une drôle de couleur, un rosâtre non naturel, et avait une courbure étrange. Une courbure qu'il ne devrait pas avoir, parce que l'os qui était là le maintenait droit. Enfin, l'os qui avait été là.

Lockart donna un petit coup dans la main d'Harry, et celle-ci suivit le mouvement vers le haut jusqu'à ce que son bras se plie en deux. Un concert de « eww » retentit.

Ce fut trop pour Harry. Roulant sur le côté, il vomit tout ce qu'il avait dans l'estomac, fermant les yeux fort pour ne plus rien voir. Il sentit des mains douces le saisir et sa tête fut posée sur des genoux. C'était Neville, qui lui murmurait des paroles rassurantes. Harry recommença à pleurer. Il voulait…

Il voulait ses parents. Il le voulait plus que tout.

« S'il te plaît, je veux Papa et Dad, pleura-t-il. Neville, je veux voir mes parents, s'il te plaît !

- Les professeurs vont les appeler. » lui promit son ami. « Ça va aller, Harry. »

Harry serra son bras valide autour de son propre torse, cherchant de la chaleur. Trop éprouvé pour rester éveillé, il fut rattrapé par l'obscurité.

oOo

Quand Harry se réveilla, il était dans un lit de l'infirmerie. Autour de lui se trouvait ses quatre amis, et l'infirmière était penché sur lui. Il devina que c'était elle qui l'avait réveillé.

« Bonjour mon garçon, dit-elle. Il va falloir que tu boives cette potion, d'accord ?

- C'est quoi ? Interrogea-t-il. Sa voix était rauque.

- C'est une potion de Poussos, expliqua-t-elle. Ça va faire repousser tes os.

- Mes parents…

- Flitwick les a appelés, répondit Lisa. Ils arrivent. »

Harry sentit tout son corps s'alléger. Ses parents seraient bientôt là. Ils régleraient la situation, et tout irait bien.

« Je dois te prévenir, ça va être douloureux toute la nuit, reprit l'infirmière. Je ne peux rien te donner contre la douleur, à cause des…

- Des interactions entre les ingrédients. » finit Harry. « Je sais. Est-ce que… des médicaments moldu pourraient marcher ? De l'aspirine, ou…

- Je ne sais pas, peut-être, dit Mme Pomfresh. Je demanderai à tes pères s'ils peuvent en apporter. Maintenant, bois ça. »

Elle lui tendit un verre contenant un liquide fumant. Quand Harry l'avala, il eut l'impression que sa bouche et sa gorge s'enflammaient. Il toussa par réflexe. Susan lui tendit un verre d'eau qu'il s'empressa de boire.

« On sait ce qui s'est passé, avec le cognard ? demanda-t-il quand il eut retrouvé sa voix.

- Non, mais deux aurors ont été envoyé à Poudlard. C'est un attentat contre le Garçon-qui-a-survécu, après tout, ils ne pouvaient pas ne rien faire.

- Pour une fois je ne vais pas m'en plaindre… »

Lisa lui sourit doucement, alors qu'il se recouchait.

« Il y a un rapport avec la chambre des secrets ? Demanda-t-il alors.

- Il ne semble pas, mais tu n'as pas à t'en occuper maintenant, lui répondit-elle. Au contraire, repose-toi. La douleur te réveillera bien assez vite.

- Non, je veux attendre mes pères.

- D'accord, acquiesça Neville. On va te laisser, d'accord ? »

Harry hocha la tête, et ils quittèrent la pièce. Resté seul, Harry ferma les yeux un instant.

Il ne voulait pas se rendormir, mais la fatigue l'emporta et il sombra dans le sommeil.


(1) J'ai basé les tactiques de Quidditch sur le dernier match de la troisième année dans le canon, où l'équipe de Gryffondor doit avoir un certain nombre de point d'avance sur Serpentard avant qu'Harry ne puisse attraper le vif d'or. J'en ai déduit que les points de tous les matchs étaient additionné pour connaître le gagnant, et en partant de là il me semble logique de faire durer le premier match le plus possible pour avoir le maximum de point, vu que le match ne s'arrête que lorsque le vif d'or est attrapé. N'hésitez pas à me dire si j'ai tort, je ne suis pas une bonne tacticienne !


Soooo, ce chapitre devait tellement pas être comme ça ! Il est totalement parti en vrille. C'est juste parti du fait que j'ai décidé de suivre le canon et d'écrire l'épisode du cognard lors du match Serpentard/Gryffondor, donc Harry devait être attaqué dans les gradins. Mais je voulais aussi que ce soit Snape qui arrête le cognard, donc je l'ai fait venir lui aussi dans les mêmes gradins. Mais s'il est là, alors il aurait arrêté Lockart avant qu'il lance le sort, or j'ai besoin qu'Harry soit à l'infirmerie pour voir Colin pétrifié ! Donc fallait que je l'éloigne, donc je l'ai fait chuter parce que j'aimais bien l'idée. Mais après ça, je me suis dit que la seule chose que voudrait Harry dans cette situation seraient ses pères.

Donc voilà, maintenant Sherlock et John débarque à Poudlard alors que j'avais pas du tout prévu cela. Je sais pas comment je vais m'en sortir X)

Bon en vrai, il y avait sûrement des alternatives où j'aurais pu décider de ne pas les faire venir quand même, mais je trouvais le déroulement logique et j'aime vraiment ce chapitre, alors je vais partir avec ça.

Dîtes-moi ce que vous en avez pensé !

P.S. : si vous voulez avoir des extraits des prochains chapitres en avant première, j'en poste sur ma nouvelle page facebook consacrée à mes fics, Louisana NoGo - Fanfiction (lien sur mon profil) :).