Salut !

Nouvelle sur ce fandom, soyez indulgents XD

Je me lance dans cette fic car j'adore Livai, surtout son caractère, alors j'espère qu'il sera assez respecter.

J'espère qu'elle plaira ^^'. Bonne lecture.


Je m'étais simplement dit que ça passerait.

Après tout, ça faisait partis de l'adolescence pas vraie ?

Les hormones…tout ça…

Alors j'ignorais toujours l'éclair qui me traversait les reins lorsqu'on se frôlait involontairement le bras au détour d'un couloir alors que je discutais avec Mikasa et Armin.

L'on faisait aussitôt le salut militaire mais il ne nous prêtait jamais attention.

…Je me suis juste dit que c'étais normal.

Alors j'ai essayé de ne plus y prêter attention.

Mais…il arrive un moment ou à force d'essayer.

Votre cerveau s'en convaincs mais…pas votre corps.

Alors il arriva un moment ou je fus pris sur le fait.

Car je le regardais, souvent, sans vraiment m'en rendre compte.

Alors même que je mangeais avec mes deux amis assis tranquillement à notre table, mon regard ne cessait de se poser sur lui.

Lui qui discutait simplement avec le major Erwin.

J'observai tout simplement, le caporal chef Livai croiser les bras.

Livai qui, se sentant observer jette un regard dans ma direction.

Et je détourne aussitôt le regard, l'ignorant alors qu'il hausse simplement un sourcil avant de revenir à sa discussion avec le major.

J'éclate d'un rire nerveux à une blague de Jean qui venait de rejoindre notre table, espérant que personne ne s'en rendrait compte.

Que personne ne remarque mon malaise.

Mon cœur battait rapidement dans ma poitrine face à ce qui venait de se passer.

C'est la première fois, que nos regards se croisaient dans ces moments là.

_ça va Eren ?, s'enquit Mikasa en penchant la tête vers lui

_Oui, répondis-je précipitamment, j'ai juste un peu trop mangé…rien de grave

Mikasa ne fut pas convaincus et Armin cligne juste des yeux, un peu sceptique.

Je…me se sentis juste mal à l'aise et me contente d'un sourire qui se voulus rassurant.

Vrai.

Alors lorsque les discussions reprirent, je préférai quitter la table.

Je préférais rejoindre mon lit.

C'était sans doute, la meilleure chose à faire.

Alors je fis un bref salut à ses amis, ignorant volontairement Mikasa qui ouvrait la bouche sans doute pour me parler, mais je m'éclipse vite fait.

Je soupire, tout seul dans le couloir.

Je pose une main sur mon ventre, par-dessus le t-shirt marron que je portais.

Je repensai alors une nouvelle fois à lui.

À son corps que j'ai aperçus rien qu'une fois, par pur hasard.

À sa voix.

Mon dieu sa voix, pensai-je en me mordant la lèvre du bas.

Et la réaction fut immédiate.

Mon ventre se contracte agréablement.

D'envie et d'attente.

Alors je me mords encore plus la lèvre du bas en jurant.

Ça ne voulait toujours pas disparaitre.

Je soupire et m'en vais d'une démarche lente dans le couloir.

Valais mieux que je rejoigne ma couche.

Je soupire à nouveau, désespéré et déambule un moment dans les couloirs.

Mais alors que j'arrivais enfin dans le couloir qui menais à ma chambre.

Que je posais la main sur la poigné.

Hanji apparut soudainement de nulle part me faisant violemment sursauter.

_Eren tu tombes bien !, tiens s'il te plait ramène ça au caporal de ma part ! , dit lui de ne surtout pas en abuser ! Qu'il-

_Hein ?, l'interrompis-je

Mon cœur rata un battement.

Elle hausse un sourcil et penche la tête sur le côté.

_Donne ça à Livai, répète-elle en m'enfonçant le paquet dans les mains

J'observe le paquet d'un air interdit et reporte mon attention sur elle qui s'en allait déjà.

_Merci !, hurle-t-elle au détour d'un couloir

Je reste planté la une bonne minute à fixer l'endroit ou elle avait disparus.

Je n'ais même pas eu l'occasion de refuser !

Je serre les dents, mon regard toujours sur le paquet.

…Sérieusement ?, pensai-je nerveux

Je déglutis et resserre ma prise sur le paquet.

Je prends alors une grande inspiration et fixe droit devant moi avec un regard déterminer et marche en direction des quartiers du caporal.

Alors bon, je ne pourrais jamais exterminer tout les titans si je n'arrive même pas à faire face à un être humain pas vrai ?

À un individu tout ce qu'il y'a de plus normal…

Oui, normal…

Je déglutis, et resserre ma prise sur le paquet.

Mais...voilà.

Cet individu était très loin d'être normal.

Un être humain normal ne serait pas connu comme étant l'homme le plus fort des brigades.

L'humain le plus fort.

Le plus fort putain !

Je frisonne d'angoisse et mes pas devint soudainement lourds.

Quelqu'un de normal…ne peut pas avoir un regard qui vous donne envie de vous montrer sa culotte sans qu'il n'ait besoin de dire quoi que ce soit.

J'avale lentement ma salive alors que mes pas résonnent fortement dans les couloirs déserts.

C'est anxieux que je m'arrête devant sa chambre.

Je soupir et donne deux coups discret contre la porte.

Aucune réponse.

Je donne à nouveau deux coups et toujours aucune réponse.

Je pose alors une main hésitante sur le poigné de la porte et pénètre lentement à l'intérieur.

Pour être franc, je ne pris pas la peine d'observer l'intérieur de la chambre du caporal, j'y étais déjà venu pour un cas comme pour un autre.

Mon regard tomba simplement sur lui, assis sur une chaise, me faisant dos.

Je prends alors une faible inspiration pour me calmer.

_Euh caporal chef, commençais-je, Hanji m'a demander de vous remettre ce paquet et vous…demande…caporal chef ?, demandai-je en faisant un pas vers lui

Aucune réaction.

Je me mords la lèvre et me rapproche de lui d'un pas mesurer, hésitant et tend le cou pour l'apercevoir.

Puis finis par me mettre face à lui, entre lui et bureau.

Il est endormi.

Je me mords la lèvre en l'observant, les bras croiser et la nuque contre le dossier du siège, semblant fixer le plafond.

Ses lèvres étaient légèrement entrouvertes laissant passer un léger souffle.

Je pose distraitement le paquet sur le bureau derrière moi, mon regard toujours poser sur lui.

Et...mon ventre se contracte, comme d'habitude et j'y porte une main tremblante.

Je tends la main vers lui, puis me rétracte.

Je me mords la lèvre, tentant de me contrôler.

Je l'observe, les manches replier jusqu'au coudes, bras croisé et jambes écarter.

Même endormis, il avait toujours cet air de dominant.

Je me lèche les lèvres alors que mes hanches se contractent.

Je penche alors la tête vers lui et pose le genou sur le bord de la chaise.

Puis la seconde et me retrouve au dessus de lui, les jambes de part d'autre de son corps.

Son souffle me caresse le visage et j'en tremble.

Je me lèche à nouveau les lèvres soudainement sèches, alors que je pose les mains tremblantes sur le dossier de la chaise derrière lui.

Une petite voix, ma conscience sans doute me dit d'arrêter.

De ne surtout pas franchir la ligne.

Car il n'y aura pas de retour possible.

Aucun.

Quand j'aurais gouté…

Je ne pourrai plus…m'en passer.

Je déglutis alors que mon visage se rapproche de plus en plus du sien endormi.

Et il arriva un moment ou son souffle caressa mes lèvres.

Je ferme les yeux sous la sensation alors que mon cœur battait plus fort.

Que mon corps était pris d'un frisson.

Et c'est pris d'une impulsion que je pose mes lèvres contre les siennes.

J'en tremble des pieds à la tête.

Mes doigts se crispent sur la chaise alors que je bouge lentement les lèvres contre les siennes dont le souffle était toujours régulier.

C'était chaud et doux.

C'était…bon.

J'ouvre un peu les yeux et le découvre toujours endormis.

Mon cœur battait tellement vite que seul ce son résonnait à mes oreilles.

Mes pommettes était en feu et sans doute d'un beau rouge.

Mon corps entier, était en feu.

Je ferme à nouveau les yeux et réitère mon geste.

Plusieurs fois.

Plusieurs baisers qui finit par ne plus me satisfaire.

J'entrouvre alors les lèvres et sors la langue du bout de laquelle je caresse ses lèvres.

Je ne le vis pas froncer les sourcils alors que ma langue s'infiltrait lentement dans sa bouche, me provoquant un frisson qui me fit arquer le dos comme un chat.

Je ne vis pas ses doigts bouger alors que nos lèvres se scellaient et que ma langue frôlait la sienne.

Et ce fut ce qui le fit lentement ouvrir les yeux.

Mais je ne le vis pas.

Je gémis juste, les jambes tremblantes face à la position instable dans laquelle j'étais.

Mais je ne m'en préoccupais pas.

Seule la moiteur de cette bouche et de ces lèvres comptait.

Et sans doute que je ne pensais plus raisonnablement.

Sinon je n'aurais pas pris son visage en coupe, ignorant son regard qui s'acérait de plus en plus alors que ma langue se mouvait dans sa bouche, recherchant la sienne et la forçant à me rejoindre dans un ballet.

Ballet qu'il s'y refusait.

Si je n'avais pas autant été pris par se baiser qui me remuait les tripes, j'aurais remarqué qu'il s'était réveiller depuis trois bonne seconde et m'observais lui rouler une pelle.

Il m'observait perdre pied dans ce baiser voler.

Mes pommettes me picotent et je sus que je devais être rouge en ce moment.

Mes hanches se contracte et je me baisse, me laisse tomber sur ses jambes en un gémissement outrageant.

Mon érection rencontre sa cuisse et je manque ses doigts qui se crispent contre ses bras.

J'amorce un léger mouvement de rein, inconscient des bras qu'il décroise lentement alors que ma langue jouait toujours avec la sienne qui ne me répondait pas.

J'étais totalement immerger dans ce baiser qui me faisait perdre la tête.

Alors je fus choquer lorsque je me retrouvai l'instant d'après violemment projeter contre le mur.

J'hoquète, choquer et tombe sur le lit juste en dessous de moi le dos douloureux.

J'halète, recherchant l'air qui me manquait et tente de me redresser.

Et c'est à quatre pattes sur le lit que je l'entendis.

Que j'entendis cette voix meurtrière.

_Dis moi, petite merde, qu'est ce que tu foutais au juste ?, murmure une voix dur

Une voix basse et terriblement effrayante.

Une violente chair de poule me parcourt le dos et je m'assois automatiquement, le dos contre le mur derrière moi.

Je porte mon poignet à mes lèvres, rouge de honte et d'embarras alors que le regard du caporal m'incendiait littéralement.

Le caporal qui s'est redresser, me fixant de haut et qui pose les doigts sur sa lèvre inférieur, le visage haineux.

Il crispe la mâchoire et je recule encore plus contre le mur.

_Tu as deux minutes pour m'expliquer avant que je ne t'éclate. Très violemment, dit-il d'un ton dur

Mon ventre se contracte et je me fis vaguement la remarque que ce n'étais pas le bon moment.

Mais sa voix à toujours été…

Je baisse les yeux rouges de honte, mon poignet toujours sur mes lèvres, voyant déjà ma dernière heure arriver.

Mon regard tombe sur mon érection impossible à cacher et je sursaute quand un genou apparait soudainement dans mon champ de vision et se presse contre mon érection.

Un violent frisson me prend et je gémis.

C'est le corps tremblant que je relève la tête et tombe dans son regard.

Un regard qui me fit gémir et tendre les hanches.

Chose qu'il ne manque pas de remarquer, et son regard se pose un instant sur mon érection avant de revenir sur moi.

Il pose le bras au dessus de ma tête contre le mur et penche la tête vers moi.

Son regard étais vraiment effrayant et je retire mon poignet de mes lèvres et m'agrippe à la couverture.

Il presse le genou contre mon érection et je sursaute mais serre les dents pour ne laisse aucun son m'échapper.

Je le fixe la mâchoire crispé et les pommettes rouges.

_J'attends, dit-il tout bas d'une voix extrêmement menaçante

Son regard s'obscurcis.

Sur le coup, je me fis la remarque que ça ne devait pas être ma conscience qui m'avait mis en garde un peu plus tôt.

Ça devait juste être mon instinct de survie.


Voila ^^', juste un petit début.

Ce sera peut être un two shot. Ou plus. J'y réfléchis encore ^^

Avis svp XD

Merci d'avoir lu.