Disclamer : Les personnages contenus dans cette histoire ne m'appartiennent pas. Ils sont la propriété des créateurs/auteurs de la série Once upon a time.

Toutes références à des films, séries, chansons, livres, publicités ou autres, sont aussi la propriété de leurs auteurs/créateurs respectifs.

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En revanche les plaisanteries et fautes d'orthographes sont bien de moi…

Le rating M correspond au langage et à la violence de certaines scènes, rien de plus.

Dans cette histoire Henry n'est pas le fils d'Emma ni de Regina.

Prologue

En cette nuit sans Lune, la forêt retentit une dernière fois du rire désagréable de la sorcière, avant qu'elle ne s'écroule morte terrassée par l'éclair pourpre envoyé par son ennemi. Le silence pesant autour des deux hommes s'accentua.

The Dark One serrait dans ses bras son fils blessé par Zelena. Le regard dans le vague luttant contre la douleur, alors que le sort mortel se rependait dans son corps, Baelfire leva la tête vers lui.

– Fais-le, murmura-t-il.

Les larmes aux yeux Rumplestilskin ne répondit pas, mais l'étreignit plus fortement.

– Fais-le avant qu'il ne soit trop tard, fais-le pour Henry je t'en supplie. Je ne veux pas qu'il soit seul et qu'il te connaisse de cette façon …

Quand son fils se tut Rumple paniqua.

– Bae ! Bae ! Non ! Reste avec moi, Bae !

Comprenant que le temps comptait, il plongea la main dans la poitrine de son fils, cet homme qu'il n'avait pas vraiment vu grandir et contempla le cœur rouge et brillant entre ses mains, et l'enveloppa d'un sort de protection pour qu'il garde la dose d'énergie nécessaire encore quelques heures.

– Je te le promets, Bae, chuchota-t-il laissant les larmes couler sur ses joues pendant que la vie quittait le corps toujours dans ses bras.

Il déposa doucement l'homme mort sur le sol, et se releva péniblement. Il s'approcha de la sorcière verte et lui cracha dessus. Comme pour son fils, il récupéra son cœur dans la poitrine de la jeune rousse n'étant pas surpris par ses teintes foncées et vertes sans aucun éclat, simplement un cœur pourri comme elle. Il le réduit en cendres entre ses doigts, sachant pertinemment que cela ne servait plus à grand-chose, mais cette action le soulagea légèrement. Il rangea délicatement l'organe de Baelfire dans une petite boîte apparue dans son autre main puis revint vers le cadavre.

Il agita le poignet provoquant la disparition de l'homme à terre dans un nuage de fumée rougeâtre. Il n'accorda aucun nouveau regard à la femme morte. Il laisserait son corps dans les bois comme de la viande avariée, espérant que quelques charognards s'en délecteraient.

Il leva les yeux, observa le ciel étoilé à travers les branches des conifères pendant un petit moment, inspira profondément et porta de nouveau son attention vers le sol où son fils gisait quelques minutes plus tôt.

– Je te le promets, répéta-t-il plus fermement.

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N/A : Seuls le prologue et l'épilogue sont aussi courts.