Les deux superhéros atterrirent sur la terrasse menant à la chambre de Marinette et se dépêchèrent d'entrer pour enfin se détransformer.

« Dis donc Chaton, je vois que tu t'es contrôlé. »

« Tu parles, si j'avais pu lui mettre mon poing à la figure… »

« Du calme mon minou, on a une image à préserver et c'est pas en tabassant un acteur qu'on va s'attirer la sympathie des citoyens. »

« Tu parles… un acteur… acteur à la noix ouais… » Il s'était assis en tailleur d'un air boudeur sur le lit de sa copine. Elle semblait totalement heureuse de la conclusion de leur petite visite, lui n'était pas satisfait du tout. Selon lui, il n'avait pas eu ce qu'il méritait. Humiliation, peut-être mais Adrien était un garçon, il aurait préféré une revanche un peu plus physique, pas un innocent jeu du chat et de la souris. « Et tu crois qu'il va te laisser tranquille maintenant. »

« En fait, non. Je ne suis pas certaine de ce qui se passe dans sa tête. Mais, j'imagine qu'il sera plus prudent. »

« Bref, ça a absolument rien donné. »

« La photo de toi et Lila est définitivement disparue. »

« Tu parles d'une chance. Il faut tout de même que tu continues les sorties avec lui. »

« Mon chaton est légèrement grognon ce soir. » Elle s'approchât à quatre pattes de son copain avec un sourire coquin mais il ne la regardait pas, trop occupé qu'il était à broyer du noir.

Rendue à destination, elle lui relevât le menton. « Adrien. »

Il la regardât dans les yeux et oubliât tous ces soucis en voyant la lueur qui y brillait. Il sentait qu'il allait aimer ce qui suivrait. Elle approchât un peu plus son visage et posât les lèvres sur les siennes. Ils s'embrassèrent langoureusement pendant de longues secondes puis il se défit d'elle.

« Tu perds rien pour attendre. »

Il l'attrapât d'un bras et avant même qu'elle ait le temps de réagir, elle était couchée sur le dos avec son copain qui la surplombait avec ce petit air rebelle qui la faisait craquer à tout coup.

« Il n'aura jamais une aussi belle vue de toi. »

La jeune fille rougit mais sursautât légèrement au moment où une voix inattendue les sortit de leur petit jeu.

« Marinette… oh. »

Sabine venait de faire irruption dans la chambre et d'où elle était, elle n'apercevait que le jeune homme mais se doutait bien de l'endroit où était sa fille. Malgré le malaise, elle lui fit un sourire chaleureux.

« Bonjour Adrien, je ne t'avais pas entendu arriver. »

La jeune fille se dépêchât à se montrer.

« Oui, vous n'étiez pas dans le salon quand il est arrivé. »

« Ah bon? Pourtant… enfin. Je voulais te dire que nous allons nous coucher mais il y a un gâteau qui refroidit toujours sur le comptoir. Tu veux bien être un ange et le mettre au frigo avant d'aller au lit? »

« Oui maman, promis. »

« Et ne veiller pas trop tard, vous avez de l'école demain. »

« Oui maman. »

« Bonne nuit mes chéris. »

« Euh… Bonne nuit Mme Cheng. »

« Bonne nuit maman. »

La chinoise quittât la pièce avec un rictus amusé, elle ne pouvait s'empêcher d'être heureuse pour sa fille; Adrien était un si gentil garçon.

Les deux amoureux se regardaient en rougissant, ils ne s'étaient pas attendus à se faire surprendre de la sorte. Mais le jeune homme n'avait pas l'intention de se faire couper l'herbe sous le pied, il fit un grand sourire à sa copine avant de s'attaquer à son cou. Il n'attendit pas longtemps avant d'entendre un premier soupir. Elle n'avait plus aucune chance.

Alors qu'Adrien s'affairait à l'embrasser du cou à la mâchoire, elle avait commencé à passer machinalement les mains des reins aux épaules, sous son t-shirt. Le dos de son amant était chaud et musclé, chaque fois elle était fascinée par la perfection de son copain. Elle ne croyait toujours pas à sa chance, combien de filles pouvaient se vanter d'être contentée par un homme aussi parfaitement constitué et qui, de plus, savait exactement comment utiliser ses attributs.

Elle relevât doucement le bas de son chandail et Adrien compris immédiatement ce qu'elle avait en tête. Il se redressât pour se défaire du morceau de vêtement pendant que sa copine l'imitait. Maintenant torse nu, il retournât se coller peau contre peau avec Marinette pour l'embrasser de plus belle, cette fois-ci sur les lèvres. Il ne se lassait pas de goûter à ses lèvres, elles étaient si douces et chaudes, humides et sucrées, elles lui donnaient des sensations qui se répercutèrent jusque dans son pantalon.

La demoiselle n'avait pas fini de le séduire, elle laissât sa bouche pour aller promener la sienne sur sa mâchoire, puis se dirigeât vers son cou, puis ses oreilles où elle soufflât de façon suave. « Fais-moi l'amour Chaton. »

Elle avait réveillé la bête en lui. Instinctivement, il reprit les baisers sur tout le haut du corps de sa maîtresse, partout où il trouvait un morceau de peau à lécher. N'en ayant toujours pas assez, il défit rapidement son soutien-gorge pour pouvoir s'attaquer à sa délicieuse poitrine, soutirant par le fait même d'exquis gémissements de sa partenaire. Pourquoi était-ce chaque fois si aguichant qu'il en avait de la difficulté à se contrôler? Il léchait, mordillait, caressait, les deux boules de chairs avec une sensualité féline qui achevât de faire craquer sa compagne.

Comme les fois précédentes, son pantalon devint beaucoup trop rapidement inconfortable. Il s'en défit rapidement et fit subir le même sort à sa copine. Il ne se lassait pas de l'admirer, elle était définitivement parfaite; la peau douce couleur-crème, les seins fermes et invitants, les cuisses musclés, le fessier arrondis… « Mari, tu vas me tuer… »

Nerveusement, elle émit un petit rire de contentement et lui attrapât la main pour l'attirer vers lui. « Arrête de dire des bêtises, on a mieux à faire. » Elle passât les mains autour de son cou pour le rapprocher d'elle. Il perdit l'équilibre et retombât mollement sur elle, prenant ses précautions pour ne pas la blesser. Il reprit les baisers et les caresse, promenant les mains sur ses hanches, jouant avec l'élastique de sa culotte. Le gémissement de désir qu'elle échappât eut raison de lui… il ne s'en croyait pas la force… il tirât littéralement sur le bout de tissus et le déchirât d'un coup de poignet. Marinette en fût plus excitée que bouleversée; une telle puissance ne pouvait appartenir qu'à un être exceptionnel (Elle n'achetait pas des sous-vêtements bon marché tout de même.)

Son propre pouvoir le stimulât davantage, il l'avait totalement en sa possession. Il lui jetât un regard conquérant, s'enquérant tout de même de sa volonté mais le regard qu'elle avait était empreint de désir… il allait la satisfaire.

Il retirât son boxer pour être totalement à l'aise et fouillât dans ses poches. Après avoir enfilé un condom, il reprit sa place au-dessus d'elle. « Tes parents… »

« Arrête, ils n'entendent rien là où ils sont. »

« Parfait. »

Il l'embrassât de nouveau, y mettant tout ce qu'il ressentait d'amour, de désir, d'admiration. Puis, en la regardant dans les yeux, il s'enfonçât en elle. Il ne pût garder le contact visuel très longtemps car elle ferma rapidement les yeux de plaisir.

« A… Adrien… Adrien… »

« Ma Lady… je t'aime… je t'aime tellement. »

Ses mouvements étaient sauvages et suaves à la fois. Il voulait lui procurer du plaisir, mais il voulait aussi lui rappeler qu'elle était sienne. Il s'enfonçait en elle avec un va-et-vient dominateur et tendre à la fois. Il savait qu'elle aimait cela, il savait que c'était ce qui lui fallait; il ne pouvait pas en être autrement, leurs cœurs avaient été conçus pour battre à l'unisson.

Entre deux gémissements, elle réussit à dire. « Moi aussi Chaton. Je t'aime… beaucoup… plus…que… tout… »

Puis il portât les derniers coups... ceux qui les lassaient sans voix, ceux qui ne pouvaient être décrits, ceux qui menaient au paradis…

Quelques secondes plus tard, ils reposaient dans les bras l'un de l'autre en quête d'amour et de chaleur.

« Chaton… il faut que tu partes. »

« Je veux pas… »

« Moi non plus Chaton mais il le faut… ton père va s'inquiéter. »

« Encore deux minutes… »

« Tu sais très bien ce qui va se passer si je te laisse deux minutes. »

Il la regardât avec un air implorant.

« Inutile d'essayer, je ne te regarde pas. »

Il restât ainsi quelques minutes mais devant la fermeté de sa Lady, capitulât et commençât à se vêtir.

« On était tellement biens ma Lady. »

« Soit patient, on pourra faire tout cela en temps et lieu. »

« Mais je veux que ce soit tout de suite. »

« Un vrai gamin, il reste à peine une semaine. »

« C'est beaucoup trop… ce Cédrick de malheur, je vais… » Son regard s'était assombri de façon menaçante, l'adolescente n'avait jamais vu son copain dans un tel état.

« Chaton ce n'est qu'une semaine. »

« Une semaine de trop. »

« Promets-moi de ne pas faire de bêtise. »

« Je ne promets rien. Plagg? »

Son kwami se présentât d'un air bougon. « Quoi? On a à peine eu le temps de discuter. »

« Transforme-moi ! À demain ma Lady. »

Adrien se transformât avant de quitter sa douce, Chat Noir passerait beaucoup plus inaperçu que lui. Enfin, c'est ce qu'il croyait…

Tapi dans la ruelle près de la boulangerie, Cédrick Leroy attendait depuis longtemps afin d'assister à un quelconque signe de vie dans la chambre de sa bien-aimée. Jusque-là, il n'avait pu rien voir, la mezzanine n'étant visible que du balcon. Il ne manquât cependant rien du départ de Chat Noir. C'était donc bien elle qui avait commandé l'intrusion dont il avait été victime plus tôt. Il veillerait à ce que ça ne se reproduise plus.

OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO

Quand Adrien se levât ce matin-là, les évènements de la veille n'avaient en rien adoucit son humeur. Il restait toujours une semaine avant que ne sorte le fameux magazine et chaque journée à se tenir loin de Marinette était un supplice. Il aurait voulu effacer Cédrick Leroy de la carte, lui régler son compte une bonne fois pour toute. Mais, image oblige, il devait se tenir à carreau. Heureusement, il avait une séance d'entraînement, il pourrait se défouler.

Marinette s'était levée anxieuse, elle n'avait pas aimé l'état dans lequel était parti son copain le soir précédent. Elle savait à quel point son matou pouvait être impulsif, et elle avait le pressentiment qu'il pourrait facilement provoquer quelque chose aujourd'hui. Elle était loin d'être rassurée. Voyant son air inquiet, sa kwami vint se poser sur son épaule.

« Ça va Marinette? Tu as l'air pensive. »

« C'est Adrien, j'ai peur qu'il fasse une bêtise et gâche tout ce que nous avons fait. »

« Allons, fais-lui confiance, après tout, il est habitué de vivre avec ce genre de contrainte. »

« Je sais Tikki mais va savoir pourquoi, je reste avec l'impression que quelque chose va arriver aujourd'hui. »

« Inutile de s'inquiéter avant que ça arrive. Allez, prépare-toi ou tu seras encore en retard. »

OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO

L'entraineur d'Adrien ne l'avait jamais vu ainsi. Il n'aurait pas pu qualifier exactement cette séance du jeune homme. Il était énergique et intense, mais en même temps, il y avait une énergie qui semblait émaner de lui, comme une aura de détermination, le genre de perturbation qui affleurait de personnes dont les valeurs les plus profondes étaient menacées.

Quoi qu'il en soit, c'était un Adrien plus calme mais non moins contrarié qui prit place pour déjeuner. Au moment où il allait entamer son assiette de fruits, Nathalie fit irruption dans la salle à manger.

« Voici votre planning Adrien. Et je voulais aussi vous remettre ceci. »

OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO

Marinette n'avait pas réussi à avaler une bouchée, ses appréhensions la submergeaient et monopolisaient toute son énergie. Résultat, elle avait réussi à arriver d'avance pour une fois et elle croisât alors ce qu'elle considérait comme la première mauvaise nouvelle de la journée.

« Hey ma belle, je crois qu'il faut discuter. »

« Qu'est-ce que tu veux Cédrick? »

Il l'amena dans un coin plus tranquille.

« Je veux que tu m'expliques pourquoi j'ai eu de la visite hier soir. »

« De la visite? »

« Ne joue pas à ça avec moi, tu sais très bien de quoi je veux parler. »

« En fait, non alors, explique-toi. »

« Ne fais pas la maligne, j'ai vu Chat Noir sortir de chez toi hier, je sais qu'il est venu te faire un petit compte-rendu. »

C'est au moment où l'expression de stupeur de la jeune fille changeât pour une de fureur qu'il comprît son erreur.

« Tu m'as encore espionné? »

« Non, pas du tout, je passais simplement par là. Je…j'allais au collège et… »

« Parce que n'importe quel personne recevant la visite de deux superhéros décide ensuite d'aller faire un tour au collège. »

« Non mais, c'est pas ça. C'est que… » Il se ressaisit. « Hey, donc TU sais. Je croyais avoir été clair, personne ne devait savoir. Est-ce que je dois mettre ma menace à exécution? »

Elle ne répondit pas, il interprétât cela comme un signe de soumission.

« Très bien. Alors, vendredi soir, même heure? Et plus de visite du genre, compris? »

Elle hochât la tête. Il lui fit une bise sur la joue qui procurât à la jeune fille un frisson de dégoût. Puis, il la quittât avec un clin d'œil pour aller rejoindre une séduisante demoiselle de son cercle d'amis. Classique!

Elle allât rejoindre sa meilleure amie qui était arrivée depuis peu.

« Hey Mari, t'était passé où »

La styliste fit un signe de tête en direction de l'acteur.

« Lui, il ne perd rien pour attendre. »

« Du calme Alya, il ne reste qu'une semaine. Tu es bien capable d'attendre un peu. »

« Moi oui… Adrien lui? »

« Pourquoi tu dis ça? » Marinette était encore plus inquiète.

« Nino la texté ce matin. Il ne porte définitivement pas Cédrick dans son cœur. Et avec l'entraînement et tout ce que lui impose son paternel, le beau Cédrick a pas une espérance de vie très élevée, si tu vois ce que je veux dire. »

« Arrête, Adrien est capable de se contrôler. »

« Tu en es certaine? »

Honnêtement, Marinette en était tout sauf certaine. Elle angoissait littéralement au moment où elle sentit deux bras l'entourer et quelqu'un lui murmurer. « Ça va Princesse?» Non, ça n'allait pas du tout… mais qu'est-ce qu'il faisait?

OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO

Adrien descendait à peine de sa voiture qu'il cherchait déjà Marinette des yeux. Après ce qui lui parût de très très longue secondes, il la repérât en train de discuter avec Alya. Il se dirigeât vers elle d'un pas décidé; plus personne ne les séparerait. Elle était dos à lui, elle ne l'attendait visiblement pas. Il passât les bras autour d'elle en chuchotant : « Ça va Princesse? »

Il avait eu la réaction qu'il escomptait; Marinette se tournât avec un air confus en lui disant. « Adrien, mais qu'est-ce que tu fais? »

Il eut à peine le temps de répondre, qu'une voix plus masculine fit écho. « Ouais Agreste, qu'est-ce que tu fais? »

Il se tournât pour affronter le nouveau venu. « Hey Cédrick, justement, j'avais un petit cadeau pour toi. »

Jusqu'à ce moment, Marinette n'avait pas remarqué que son copain tenait quelque chose dans ses mains. Il lançât à l'acteur ce qui vraisemblablement était un magazine en lui disant. « J'ai entendu dire que tu étais un grand fan… enfin assez pour avoir des photos de moi dans ton téléphone… hey je ne juge pas… je veux dire… chacun son camp. Bon enfin… tu devrais trouver tout ce dont tu as besoin là-dedans. »

Là-dessus, il lui fit un clin d'œil provocateur et revint à Marinette. « À nous deux maintenant. »

« A… Adrien, tu es certain que c'est sage de… enfin… s'afficher… je veux dire en public. »

« J'avais tout prévu Ma Lady. Ne sous-estime jamais ton chaton. » Il sortit de son sac un autre exemplaire du magazine en question. « Nathalie s'était trompée d'une semaine, belle surprise non? »

L'adolescente jetât un œil sur la page couverture.

« Adrien Agreste, adolescent dans le vent… ses passions, son quotidien, l'amour de sa vie. »

Dans le coin droit, au bas, il y avait une photo de Marinette.

« C'est… c'est moi? »

« Évidemment que c'est toi. Tu crois que j'aurais passé sous silence ma plus grande passion? »

« Mais… c'est… »

«Y'a plus rien à ajouter Princesse. Laisse-moi juste t'embrasser de nouveau. »

Elle n'était même plus capable d'ajouter un mot. Elle laissât son partenaire l'attirer dans ses bras et s'emparer de ses lèvres.

Tout autour, il y eut des exclamations de stupeur et certaines demoiselles qui s'effondraient en larmes. Il y avait aussi Lila… elle ne s'attendait pas à vivre un échec aussi cuisant.

OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO

Tout en déjeunant, Gabriel Agreste jetait un œil sur le magazine avec un air satisfait. Son garçon paraissait définitivement bien, en forme, sain. Et une copine? Il avait été brillant, il avait publiquement mis carte sur table. Cet acteur de malheur n'avait plus aucune chance et son fils sortait vainqueur de façon sournoise, distinguée et polie. Un vrai Agreste.

Une copine? Beaucoup de filles allaient avoir le cœur brisé. Intéressant. Gabriel Agreste pensait depuis un bon moment à laisser tomber le rôle du papillon par amour pour son fils, mais… une dernière fois. Il se levât et se dirigeât vers son bureau.

Les quatre meilleurs amis étaient assis sur un banc à discuter quand le ciel leur tombât une fois de plus sur la tête. C'était l'heure de la pause et l'ambiance était plutôt calme malgré les murmures et les regards furtifs en direction du nouveau couple. Cette tranquillité fût bientôt perturbée par une voix qui venait de partout et nulle part à la fois. Une fois féminine, une voix puissante, une voix désagréable. « ADRIEN! »

Les deux héros se firent un regard entendu avant que le jeune ne prenne la main de sa copine et jette nonchalamment à leurs amis. « Je crois qu'on est mieux de se mettre à l'abri. » Sur ce, il avait disparu, emportant sa dulcinée avec lui.

Nino et Alya se regardèrent un instant déstabilisés avant que cette dernière ne se lève en disant. « Vite, il ne faut pas manquer l'arrivée de Ladybug et Chat Noir. »

Alors que sa copine se dirigeait en direction des perturbations, Nino se tapât le front de découragement; elle ne changerait pas. Il se levât tout de même pour se lancer à sa poursuite, il fallait bien que quelqu'un veille sur elle.

FIN