Bon, avant de vous laissez sur ce chapitre, sachez que j'ai eu beaucoup de mal à l'écrire (et encore plus le corriger). Alors, veuillez m'excuser pour ce chapitre ...disant nul. (Ah et non, je n'ai aucun droit sur les personnages).
''Une âme triste vous tue plus vite, beaucoup plus vite qu'un germe. ''
- John Steinbeck
2 mai, 7h45 - Shikamaru
J'ouvris brusquement les yeux en regardant ma montre. J'avais dépassé l'heure à laquelle je devais me réveiller. Je regardai autour de moi, ne comprenant pas où j'étais, c'est alors que je me rappelai le souper de la veille. J'enlevai la couverture qui me couvrait, je portai toujours les mêmes vêtements qu'hier. Je me levais et me dirigeais vers la cuisine, mais me figeais à l'entrée.
Il faisait quoi ici? Ses cheveux bruns pâle était encore entremêlé, lui aussi portai les mêmes vêtement qu'hier. Cela ne semblait pas le dérangé. Je voyais mes parents sourirent, comme ils ne l'avaient pas fait depuis longtemps. Mes parents semblaient bien plus heureux avec des inconnus qu'avec leur propre fils. L'atmosphère était léger, j'entendais Kiba rire, un magnifique rire. Je ne l'avais jamais entendu rire, il semblait toujours triste, même lorsqu'il faisait le bouffon en classe.
C'est ma mère qui me remarqua en premier. Elle avait toujours son beau sourire, j'aurai tellement aimé qu'elle l'aurait à cause de moi.
-Viens t'asseoir avec nous, ne soit pas gêné.
J'allai m'asseoir face à Kiba et je l'observai. Il était mignon, avec son sourire qui lui faisait de petit plis près des yeux. Il semblait fatigué, mais plus heureux qu'à l'école. Ma mère déposa une assiette devant moi, celle-ci contenait un pancake avec des fruits. Elle déposa aussi un verre de lait et aussi un petit contenant en papier où reposait mes comprimés. Je crois qu'elle a comprit que je ne voulais pas nécessairement que Kiba voit ça, mais je devais les prendre. Je la regardais quand même. Je devais sembler perdu, puisque mes parents se mirent tous les deux à rire.
-Quoi? Demandai-je, je vais arriver en retard à l'école si je déjeune.
La main de mon père se posa sur mon avant-bras droit. Je ne comprenais plus rien.
-L'école est fermée.
-Comment ça?
-Avec la tempête d'hier, plusieurs poteaux d'électricité sont tombés, il n'y a donc aucune électricité dans la partie de la ville où ce situ l'école. De plus, tu as un rendez-vous en fin d'avant midi, alors tu n'y aurais pas été de toute façon.
Je baissais la tête vers mon assiette, je ne comprenais toujours pas comment mes parents faisaient pour avoir un rendez-vous aussi vite avec mon psychiatre. Qui ça pouvait être d'autre? J'attrapai le sirop d'érable en face de moi, finalement, j'avais tout le temps de manger. L'atmosphère s'alourdissait, tout ça à cause de moi, encore une fois. Je voyais Kiba s'en apercevoir, mais je le voyais aussi froncer des sourcils. Il ne devait pas comprendre ce qui se passait. Je mis du sirop d'érable sur ma crêpe et aussi sur mes fruits. J'entrepris de découper ma crêpe sous le regard de mes parents qui attiraient aussi celui de Kiba. Je pris une première bouchée, en dirait que c'est toujours la même routine. Sauf que cette fois-ci, il y avait un magnifique jeune homme en face de moi. Je sentais mes joues devenir brûlante à cette pensée. Mon père pouffa de rire et je le regardai avec de grand yeux. Mon père savait parfaitement que je préférai les garçons aux filles. Les filles, c'est chiants. Je finis par rire aussi et je pris une autre bouchée.
Kiba souriait, d'un grand sourire, comme s'il avait tout compris. Je pris une autre bouchée, je me sentais bien, cela faisait une éternité que cela n'était pas arrivé. Je me sentais bien sous le regard, presque protecteur, de Kiba.
8h15 - Sakura
J'allai la faire parler. Pas question que je garde pour moi, dans la peur, ce que j'ai vu sans une seule explication. Pas question que je refasse un seul cauchemar. Je ne veux pas de cette vie de peur. C'est pour ça, qu'aujourd'hui, malgré mon jour de congé, je me retrouvais encore une fois à l'hôpital.
J'allai directement vers la chambre de la patiente. Mes yeux s'ouvrirent grands. Elle n'était pas là.
-Salut!
Je me tournai vers le blond, Naruto je crois. Il était assis sur son lit, sans cathéter, des béquilles étaient posées près de lui. Les deux autres adolescents de l'autre fois était aussi là. Pourquoi Karin n'était pas là à la fin, me dis-je en regardant le lit.
-Elle est partie hier sort. Elle a signé des papiers comme quoi elle refusait des soins.
En gros une décharge...je fais comment pour la retrouver? Je soupirai et me dirigea vers les trois adolescents, j'irai voir Ino pour plus d'information. En espérant qu'elle accepte, on ne c'était pas beaucoup parlé ses derniers temps. Je me forçais à sourire à Naruto, il me renvoya mon sourire en mille fois plus éblouissant.
-Tu as l'air d'aller moins.
-Oui! Ils ont enlevé l'horrible tube, hier, après ta visite. J'ai eu la permission de rentrer chez moi, alors, Hinata et Sasuke sont venus me chercher, il n'y a pas d'école.
J'hochais tout simplement de la tête et regardais a nouveau le lit inoccupé.
- Tu sais...si tu veux la voir, tu n'as qu'à venir chez moi.
Je le regardai, surpris. Chez lui? Mais qu'est-ce qu'il compte?
- Elle vit chez moi. C'est la petite soeur de Yahiko, mon tuteur. Je crois que ça lui ferait du bien, ça a été dure de tout arrêter, plus que pour moi. Elle n'a personne et s'en sortir avec le genre de personne qu'elle fréquentait, ce n'est pas si simple.
- Naruto...Je ne veux pas être son amie, je veux une explication.
- Et bien, c'est un début. Me dit-il avec l'un de ses sourires dont il a le secret.
Je secouai la tête, c'est bien le genre de personne que je ne comprenais pas. Naruto me dit quand même son adresse que je pris soin de noter, en m'avertissant de ne venir qu'en fin d'après-midi. Il m'a dit qu'il y avait plus de chance pour qu'elle soit réveillée. Je la comprends après la blessure qu'elle avait subie.
9h00 - Shikamaru
Comment je m'étais retrouvé dans cette situation? C'était une vraie galère. Je me retrouvais donc assis à côté de Kiba parce que mon père avait cédé à l'un des caprices de ma mère. Celle-ci avait profité du fait que Kiba restait, pour je ne sais pas combien de temps, pour jouer au Monopoly. Au monopoly?
Je savais que je devais rester les deux heures à être surveillé, comme à l'habitude. Je m'attendais que Kiba allait partir après le déjeuner, que je jouerai aux échecs avec mon père et que ma mère allait continuer à faire ses affaires, comme à l'habitude. Mais non, ma mère avait eu la brillante idée d'invité Kiba a rester pour la journée. Il avait été décidé que pendant que j'irai à mon rendez-vous, ma mère et Kiba préparait le dîner.
Je me retrouvais donc avec des dés à la main pendant que les trois autres m'observait. Je ne me faisais pas d'illusion, tous s'attendaient que je fais une autre crise. Il faut dire, que j'en avais fait plusieurs cette semaine, mais je me sentais bien aujourd'hui. Même très bien, bien plus qu'à l'habitude.
Un peu plus tard
Je me retrouvais face à l'énorme immeuble en pierre où se trouvait mon psychiatre. Mon père me suivit jusqu'à l'intérieur. J'allai annoncé mon arrivée pendant que mon père alla s'asseoir. Comme à l'habitude, une infirmière me fit entré dans son bureau avant que j'aille voir le psychiatre. Elle prit mes signes vitaux, ainsi que mon poids. Je ne vis pas celui-ci, puisque j'étais dos à la balance. Jamais on ne nous faisait voir notre poids, je ne le connaissais donc pas. J'arrivai à déduire, d'après le froncement de sourcil ou le sourire, si j'en avais pris ou perdu. D'après ses sourcils, qui semblaient vouloir n'en faire qu'un, ce n'était pas bon signe. Pas du tout. Elle ne dit pas un mot et sortit de la pièce avec mon dossier, m'y laissant seul.
Une autre infirmière entra, me disant que le psychiatre m'attendait. J'y allais, connaissant le chemin par coeur. J'y allais maintenant, presque toutes les semaines, depuis presque deux ans.
Le psychiatre entra. Celui-ci portai déjà les cheveux gris malgré son apparence jeune. Il avait des lunettes rondes et avait son sourire habituel.
- Salut M. Yakushi.
-Salut Shikamaru, me dit-il en s'assoyant devant moi. Comment s'est passé ta semaine?
Il me tendit la main, je déposai mon cahier dans celle-ci. Il ne l'ouvrit pas, préférant attendre ma réponse. Elle ne vint pas. Je me mordillais la lèvre inférieure. Elle s'était très mal passé en fait. J'avais fait crise par derrière crise. J'avais dû sortir au milieu des cours, malgré les protestations de mes professeurs. M. Sarutobi avait même dû appeler mon père pour que celui-ci vient me chercher. J'arrivai à peine à me nourrir à l'école, supportant mal le regard des autres. Après tout, j'étais le nouveau qui arrivait à peine l'année scolaire terminée. Je baissai les yeux vers les pieds.
M. Yakushi ne disait rien, je savais qu'il regardait dans mon cahier. J'y avais malgré tout écrit ce que j'arrivai à manger, n'arrivant pas à expliquer le retour de mes crises.
- Shikamaru...ce n'était peut-être pas une bonne idée que ça l'école, on devrait peut-être songer à continuer ta scolarité à la maison. C'est peut-être trop tôt.
- Je...je veux continuer à essayer.
-Shikamaru, il ne faut pas que ton poids continu à descendre. Tu as perdu plus d'un kilo en seulement une semaine. Ton poids n'est déjà pas suffisant. Je te laisse une semaine, si la semaine prochaine, tu n'en as encore perdu, tu sais ce que ça veux dire? Tu risques une autre hospitalisation.
J'avalai difficilement ma salive, je ne voulais pas retourner en hospitalisation. Je ne faisais pas exprès de perdre du poids, ce n'est pas comme si je me privais volontairement de mangrt pour en perdre. C'était mon cerveau qui fonctionnait trop. C'est difficile à expliquer, mais c'est la boule qui se forme au fond de ma gorge qui m'empêchait de manger. C'était toutes ces émotions qui étaient prient.
M. Yakushi continua à parler ainsi. Ensemble, on essaya de déterminer la cause de mes crises. On savait pertinemment que pour que je reprenne du poids, je devais faire moins de crise. Je savais aussi que pour faire moins de crise, je devais me sentir mieux.
La discussion se continua ainsi pendant environ heure. M. Yakushi essaya de me faire parler vis-à-vis de Kiba, ayant un petit sourire en coin. Il savait lui aussi que j'étais homosexuel, mais est-ce qu'il y en a seulement un qui c'est demandé si Kiba l'était?
16h20 - Sakura
Je me retrouvais devant la maison des Uzumaki. Je regardai ma feuille pour être sûr d'être au bon endroit en espérant que Naruto m'avait bien donné la bonne. J'appuyai contre la sonnette et attendit.
Un roux vint m'ouvrir, il fronça les sourcils en détaillant.
- Je suppose que vous n'êtes pas le livreur?
Non, il se moque de moi celui-là? Avais-je vraiment l'air d'un livreur?
- Les ramens sont arrivés.
Je vis arrivé une tête blonde avec des béquilles. La jeune fille, Hinata je crois, se tenait derrière lui.
- Non désolé Naruto, lui répondis-je.
- Ah, Sakura, tu es là. Yahiko, pousse toi un peu, ça ne va pas de lui bloquer la rentrée comme ça?
Yahiko se poussa sur le côté et me laissa entré.
-Comme ça tu la connais?
- Oui, c'est la fille dont je t'ai parlé. Karin est au fond du couloir, porte à droite, tu peux y aller.
J'enlevai mes souliers et alla vers la pièce indiquée. J'entendis Yahiko demander à Naruto si c'était une bonne idée.
Karin était assis sur son lit, elle regardait le plafond. Je refermai la porte derrière moi. Elle était pâle
- Tu ne devrais pas être ici.
Je pris une chaise dans un coin de la pièce et m'approcha d'elle. Comment commencer la discussion? Je savais déjà qu'elle ne me voulait pas. Je crois qu'elle a été assez claire là-dessus.
- J'ai besoin de savoir ce qui s'est passé là-bas. Tu dois comprendre, que je ne peux pas continuer à vivre ainsi. Je suis infirmière, je ne peux pas me permettre d'être toujours fatiguée parce que je n'arrive plus à dormir la nuit. Tu m'as demandé de garder le secret, ce que j'ai fais, même lorsque la police m'a interrogé. J'ai menti, pour toi, pour une inconnue. Ça pourrait ruiné ma carrière, ma vie. Tout ça pour toi. Alors, tu me dois bien une explication maintenant!
Les larmes coulaient sur mes joues, je les essuyais rageusement.
- Tu n'as pas à avoir peur. Cette nuit là, c'était ma punition, mon adieu. C'est un signe, que pour eux, je n'existe plus, peu importe si je survis ou non.
Je ne comprenais absolument rien à ce qu'elle me disait. Qui est-ce qui avait une balle en pleine poitrine comme punition? C'était insensé. Je m'approchai d'elle, essayant de voir ses yeux. Elle releva la tête, jusqu'à ses yeux soient en ligne des miens. Nos visages étaient proches, beaucoup trop pour que je puisse voir son visage en totalité. Finalement, elle posa sa main sur ma poitrine pour me repousser.
- C'est trop tôt, reviens plus tard. Je t'expliquerai tout.
J'approuvai de la tête et sorti précipitamment de la pièce, le rouge aux joue. Je dis rapidement à Naruto que je repasserai une autre journée. Je sortis donc de la maison sous le regard amusé de Naruto et en me disant que j'aurai bien aimé gouter les lèvres de Karin après avoir frappé le blond qui lui donnait franchement l'envie de défoulé toute sa frustration.
17h00 - Kiba
Je me retrouvais toujours chez Shikamaru. Pourquoi? Je ne sais pas trop en fait. Étrangement je me sentais bien, même si j'étais chez un policier.
Pendant que Shikamaru était à un rendez-vous j'étais resté avec sa mère, ils avaient insistés sur le fait que je pouvais rester toute la journée, que cela ferait du bien à leur fils. D'ailleurs, personne n'avait prit le temps de m'expliquer ce que ce fils avait.
Lorsque les deux étaient arrivés, Shikaku avait aussitôt prit sa femme avec lui dans leur chambre. Il m'avait demandé de rester avec Shikamaru, à la demande de son père, celui-ci c'était assis avec son cahier avec un paquet de feuilles à côté de lui. On n'avait pas dit un mot.
Sa mère était revenue avec les yeux rouges. Elle avait déposé un baiser sur le front de Shikamaru et avait prit les feuilles.
Finalement, l'après-midi s'était déroulé comme l'avant-midi. À croire que Shikamaru était surveillé.
Finalement, on s'assoyait pour le souper. Mme Nara nous donna nos assiettes et on commençait à manger. Cette famille était étrange, tellement différente de la mienne. Je grimaçai juste à l'idée d'y retourner, mais en parler à Shikaku était hors de question.
- Ça va Kiba? Me demanda Shikaku.
- Oui, mentis-je. Je pensai au projet.
- Euh...
On regardait tous Shikamaru, celui-ci n'avait pas dit un mot depuis son retour de son rendez-vous.
- Je pensais justement au projet. Je ne sais pas trop pourquoi je n'y ai pas pensé avant, mais on pourrait contacter les autres pour voir s'ils sont disponibles pour continuer. Ils pourraient peut-être venir ici, si vous voulez bien. De toute façon, on doit rencontrer chaque famille.
Ses deux parents se regardèrent, j'avoue que c'est une bonne idée, mais je crois que ça aurait été mieux s'il y aurait penser cette après-midi. Comme ça, on aurait pu manger ensemble et passer plus de temps. Je crois qu'en s'y mentait bien, la partie Shikamaru aurait été fait. Je regardai l'assiette de Shikamaru, en me disant que c'était probablement ça le problème. Pendant tout le repas, il évitait mon regard, de toute évidence, son problème était en lien avec la bouffe.
- Oui, aucun problème. Pendant que tu finis ton repas, peut-être que Kiba pourrait essayer de les rejoindre?
- Oui, aucun problème, on s'est échangé nos numéros au début du projet.
Je mangeai rapidement mon repas, qui était d'ailleurs très bon. Je n'avais pas l'habitude de manger autant. Je sortis de table, y laissant la famille Nara pour aller appeler les autres. Je pus facilement rejoindre Choji, Sasuke et Hinata, mais pas Saï. Sasuke m'a dit qu'il allait le rejoindre pour moi, comme quoi il connaissait l'un de ses amis. On convenait un rendez-vous pour dans 30 minutes. Le temps que Shikamaru finisse ne manger.
On discuta avec les parents de Shikamaru, cela faisait avancer notre projet. On passa quelques heures là-dessus, en convenant que la prochaine famille visitée sera celle de Choji. Vu que l'on connaissait déjà ses parents, cela sera plus simple. J'avertis les parents de Shikamaru que j'allais partir en même temps que les autres. Ils m'ont dit que je serai toujours le bienvenue chez eux.
Les autres étaient déjà tous partie, je me tenais devant la porte, m'apprêtant à partir lorsque Shikaku posa sa main sur mon épaule et que je sursautai.
- Ça va Kiba? Ton épaule?
- Ça va, accident de sport. Bon il faut que j'y aille.
Je vis Shikaku froncer les sourcils, mais n'y partais pas plus attention. J'allai à la station de bus la plus proche pour m'emporter dans mon quartier. Lorsque je me retrouvais devant la rue de chez moi, la pluie se mit à tomber. C'était comme un avertissement. Pour une fois de ma vie, je regrettai de n'avoir rien dit à Shikaku. Lui dire que c'était mon père avec le tisonnier qui m'avait frappé , mais c'était au-dessus de mes forces. Après tout, je méritais ce qui m'arrivais, j'avais seulement à ne pas lui faire de mal. Je m'avançais vers ma maison en frissonnant. J'étais parti depuis lundi matin et nous étions mardi soir. Je tremblais seulement à l'idée de ce qu'il pourrait arriver.
J'entrai dans la maison, mes parents n'étaient pas couchés. Ils m'attendaient.
Et voilà, j'espère que vous avez appréciés quand même, j'espère avoir des reviews, c'est toujours appréciés.
Sinon, il va arrivé quoi à Kiba, d'après vous?
(Parce que, je crois qu'une partie de moi à eu de la difficulté à écrire le chapitre à cause que je pensais trop au prochain...)
Sinon, j'essai de faire avancer la partie de Sakura, c'est qui est difficile, je ne veux pas la faire avancer trop vite, mais vous savez, une relation, parfois, ça va vraiment vite! Mon couple en ai la preuve...
Une dernière chose, la fiction de devrait pas duré au-delà de 10 chapitres et la fiction va durer sur les 5 semaines restant pour leur projet.
Encore une fois, désolé pour les fautes!
À dans une prochain chapitre!
PFU
