*Laisse timidement dépasser sa tête d'un mur*

Bonjour ^^

Alors voilà, je n'ai écrit qu'un seul texte sur ce fandom, mais j'ai une fanfiction en route depuis plusieurs mois ! J'en suis au chapitre 10 à vrai dire, mais je me suis dit que j'allais poster le premier chapitre pour avoir vos impressions ! Il s'agira donc d'un Zoro x OC, mais particulièrement discret, il sera un peu long à arriver. Normal, on ne gagne pas le cœur de notre manieur de sabres favoris en un claquement de doigt :P Mais je vous rassure, il y aura quelques situations sympas avant que ça ne se concrétise. Et il n'y aura pas d'échanges de salives à tous les coins de rue, ça ferait un peu OOC pour notre Zoro xD. Ça sera de la romance à la dure ! Pour ce qui est du scénario, je respecte la chronologie de l'histoire, mais en la retravaillant un peu à ma façon et en sautant quelques arcs (il y aura tout de même un résumé des événements qui s'y seront produits.

Bref, je vous laisse découvrir le premier chapitre. Zoro et mon personnage ont alors 17 ans à ce moment-là. Je me suis inspirée de l'épisode 135 pour le lieu! C'est pendant l'arc post-alabasta, où l'on voit le passé de Zoro! En revanche, je n'ai aucune idée du nom du patelin, et c'est pas faute d'avoir cherché! Je vais donc faire au mieux pour décrire les lieux et vous situer :)


CHAPITRE 1 : UN JEUNE HOMME MAL EN POINT


Le soleil tapait fort aujourd'hui, il était brûlant. Le potager avait mauvaise mine. Si elle en avait le courage, elle aurait pu recueillir plusieurs litres d'eau au village, plutôt que de s'acharner à pomper l'eau du puits. Mais la jeune fille ne se voyait pas faire de multiples aller-retour sous ce soleil ardent. Et ses parents avaient justement choisi cette petite maison pour la tranquillité qui y régnait. Pas de voisins, pas de bruit. Tout n'était que pierres et dunes de sable dans les environs, mais elle avait tout de même la chance d'avoir un petit jardin timide. Quelques buissons par-ci, par-là, un peu d'herbe. Le potager avait la chance de se trouver à l'ombre des quelques rares arbres environnants. Une larme longea les joues chaudes d'une jeune fille aux longs cheveux roses. Ses yeux bleu nuit brillaient d'une lueur de tristesse et de solitude. Cela faisait maintenant sept ans que le Baroque Works lui avait pris sa famille, Hema et Suke Toya. Sept ans que ces gens avaient débarqué de nulle part et assassiné sa famille. Il n'étaient même pas du coin, qu'est-ce qu'ils fichaient là. Maintenant, la jeune fille vivait seule, en se nourrissant de légumes qu'elle cultivait elle-même avec difficulté. Elle n'avait jamais eu la main verte contrairement à sa mère. Les poings serrés sur les minuscules pommes de terre qui allaient lui servir de repas ce midi, Nilam Toya fermait ses yeux bleus avec force. Elle trouvait cela injuste.

Son père avait toujours protégé cette ville. Il réglait les petits conflits, chassait les pirates néfastes, faisait régner l'ordre. Sa mère, quant à elle, passait ses journées à cultiver le potager, ses longs cheveux roses le plus souvent attachés en un chignon peu soigné. Mais elle, que devait-elle faire à présent? Elle approchait de l'âge adulte, il était impératif pour elle de se fixer un objectif. Mais lequel? Aucun métier ne lui faisait envie, et puis elle n'était pas bonne à grand-chose. Tout ce qu'elle voulait, c'était quitter ce village, découvrir d'autres horizons. Alors que la jeune fille ramassait ses pommes de terre pour les mettre dans le panier, elle se remémora quelques souvenirs.

/Tous les soirs, Suke entraînait sa petite Nilam au combat, elle n'avait pas beaucoup de forces, certes, mais elle avait de la technique, des réflexes, et c'était ce qui importait le plus.

« Quand tu te fais agresser ou que tu dois défendre quelqu'un, le but n'est pas de gagner le combat, mais de t'en sortir vivante. Épuise ton adversaire grâce à ton adresse et à ta technique, ne te fatigue pas pour des brutes épaisses contre qui tu n'auras aucune chance. Mais quand tu seras plus grande et plus forte, tu seras capable de donner de bonnes corrections, c'est moi qui te le dis ma fille, tu es une Toya ! »/

L'adolescente renifla bruyamment avant de sécher ses larmes et jeta un œil à son bâton d'acier, qu'elle avait déposé contre la façade en bois. Le bâton avec lequel son père lui avait appris à se battre. Elle ne s'en séparait plus. Même si elle avait toujours eu des difficultés à s'en servir. Là où elle excellait vraiment, c'était la manipulation d'armes à feu. Elle se rappellerait toujours de sa première séance.

/« Très bien Nilam, voyons maintenant comment tu vas t'en sortir avec un revolver ! Avec tous ces pirates qui rôdent dans les parages, il vaut mieux que tu saches t'en servir ! »

Mais la petite fille ne savait pas du tout à quoi s'attendre à ce moment-là. Après plusieurs explications de la part de son géniteur, elle avait saisi l'arme dans ses mains et verrouillé la cible. Mais la terrible détonation qui avait suivi après avoir pressé la détente l'avait apeuré. Aussi, après avoir brillamment touché la cible, elle avait relâché son arme, tremblante.

« Nilam, voyons ! Qu'est-ce qu'il t'arrive enfin ! »

« C'est... c'est beaucoup trop bruyant... j'ai eu très peur ! »

Son père avait ri, amusé.

« Ah... oui, c'est vrai que cette arme est particulièrement bruyante. Je sais ce qu'il te faut ! »

Le lendemain, alors que la petite Nilam retournait la terre avec sa mère, son père s'était approché d'elle, les mains dans le dos.

« Nilam, viens un peu par là, j'ai une surprise pour toi ! »

Ce jour-là, il lui avait offert un casque antibruit. Qui lui a d'ailleurs été subtilisé en même temps que son arme lors du débarquement du Baroque Works.

« Le premier essai était vraiment prometteur, ça serait dommage de ne pas poursuivre l'entraînement ! »

C'était exactement ce qu'il lui fallait. Après des mois d'entraînement, Nilam était devenue plutôt bonne. Seulement voilà : elle ne pouvait pas l'utiliser sans casque anti-bruit. C'est donc avec regret qu'elle dû abandonner cette arme à feu comme moyen de défense.

Le jour de ses dix ans, son père lui avait définitivement offert le pistolet avec lequel elle s'était entraîné.

« Même si tu ne peux plus t'en servir, garde-le. C'est une arme de gros calibre très fiable et très puissante. Elle peut contenir douze balles. Deux fois plus qu'un revolver normal. »

« Merci papa, j'en prendrais soin, je te le promets! »

« C'est tout ce que je voulais entendre ! » avait-il déclaré en tapotant la tête de son enfant. «Tu sais Nilam, quand tu seras grande, ce sera à ton tour de défendre cette ville, que ce soit avec cette arme ou ton bâton. »/

Nilam enfonça ses ongles dans la terre, les dents serrées et les yeux fermés. Ses parents lui manquaient tellement... Pourquoi le Baroque Works avait-il ruiné sa vie ? Pourquoi ses parents ? Elle n'avait plus personne désormais, aucun ami... Elle se trouvait à un kilomètre du village, personne ne venait lui rendre visite, sauf un petit garçon dont elle ne connaissait toujours pas le nom accourait parfois pour implorer son aide lors de conflits superficiels. Il lui arrivait de mettre dehors deux ou trois crétins de temps en temps pour faire régner l'ordre, mais rien de très sanglant, un coup de poing par-ci, par-là.

/« Si tu n'habitais pas aussi loin, je n'aurais pas tout ce chemin à faire pour te demander de l'aide ! » avait un jour grogné le petit garçon. « Pourquoi est-ce que tu ne viens pas habiter en ville ? »

« Cette maison appartenait à mes parents, je ne peux pas vivre ailleurs qu'ici, tu comprends ? Je n'ai nulle part ou aller. Et puis ça te fait faire de l'exercice ! »

« Mais... c'est triste de rester seule à ton âge ! Tu as besoin d'amis ! Tu n'as même pas de chien pour te tenir compagnie !/

Nilam avait bien eu UNE amie... mais elle lui a également été retirée par le Baroque Works. Paula. La petite fille aux cheveux bleu foncé et bouclés, avec des petits yeux verts. Elle devait être morte à l'heure qu'il était. Elle avait servi d'otage à l'époque, mais ces bandits avaient dû l'exécuter peu de temps après. Elle se souvient encore de la détresse dans son regard alors qu'elle était enlevée à ses parents. Tous étaient impuissants. Elles avaient pour habitude de s'entraîner ensemble lorsque son père n'était pas là. Paula n'était pas très épaisse, mais elle avait les os solides et elle était vive. Le moindre coup porté était douloureux pour la petite Nilam.

-Eh...il y a... quelqu'un ?

Une voix chancelante et épuisée tira Nilam de ses souvenirs. Elle se releva et épousseta son pantalon avant de contourner la maisonnette et apercevoir un jeune homme de son âge, quoique plus grand, aux cheveux verts en bataille et passablement essoufflé, tenant difficilement sur ses deux jambes.

-De... de l'eau...

Il tomba à genoux, à bout de forces.

-Bon sang! S'exclama la jeune fille.

Elle s'abaissa à sa hauteur et remarqua avec effroi qu'en plus d'être épuisé, il était blessé. Elle l'aida à se redresser et l'emmena dans son salon, l'allongeant sur le canapé où il ferma douloureusement les yeux, les dents serrées. Prise de panique, Nilam passa une main dans ses cheveux roses avant de faire les cent pas.

-Qu'est-ce que je vais faire, qu'est-ce que je vais faire !

Elle se figea sur place, tremblante. Il n'y avait pas de médecins dans les parages, tout ce qu'elle pouvait faire, c'était de s'en occuper toute seule.

-De... l'eau... redemanda le blessé.

-Oui, oui bien sûr, j'y vais !

La jeune fille se précipita au-dehors afin de pomper l'eau du puits dans une carafe qu'elle avait saisie au passage.

-Tenez, voilà !

L'inconnu aux cheveux verts se saisit du broc d'eau et en vida le contenu en une dizaine de secondes, mouillant au passage le col de son haut blanc. Il s'écroula sur le canapé peu après.

-Oh non, non non ! Tenez bon, je vais aller chercher de quoi vous soigner !

Nilam se rua vers son armoire à médicaments et en sortit une bouteille d'alcool ainsi que quelques bandages.

« J'espère que ça suffira... »


Plusieurs heures s'étaient écoulées avant que l'individu se réveille enfin. Il n'avait aucun souvenir de ce qu'il s'était passé, il ne savait pas ce qu'il faisait ici. D'après ses derniers souvenirs, il progressait avec difficulté dans une plaine aride et hostile, la poitrine en sang et à moitié inconscient. Et à présent, le voilà entouré de bandages. Qui aurait bien pu le recueillir ainsi en plein désert ?

Prudent, il chercha tout de même ses sabres des yeux, en vain. Ils n'étaient plus en sa possession.

Il se leva discrètement et se dirigea vers la seule issue possible. Il se retrouva face à une jeune fille qui lui tournait le dos et qui semblait cuisiner. L'inconnu aux cheveux de jade aperçut enfin ses trois armes reposant contre une chaise. Il saisit un de ses sabres sans un bruit et se rapprocha de la jeune fille aux cheveux rosés.

Il extirpa la lame de son fourreau à une très grande vitesse et la pointa dans le bas du dos de son hôte, qui haleta, surprise et effrayée, sans pour autant se retourner.

-T'es qui toi ? Où est-ce que je suis !

-Du... du calme, tu as perdu connaissance devant chez moi, tu ne te rappelles pas ?! S'empressa-t-elle d'expliquer.

C'était fort possible. Son voyage l'avait tellement affaibli... Cependant, il fronça les sourcils, toujours méfiant.

-Lève les mains et retournes-toi.

La jeune fille déglutit et s'exécuta, légèrement tremblante. Le sabreur put alors apercevoir le visage de celle qui l'avait certainement secouru. Elle avait une peau légèrement bronzée, pas étonnant avec ce soleil, de grands yeux bleus et de longs cheveux roses. Une frange désordonnée cachait son front probablement suant étant donné la situation dans laquelle elle se trouvait. Elle était habillée d'un haut blanc constitué d'un col ainsi que d'un jean banal. Elle avait l'air trop innocente pour être chasseur de primes ou bandit. Le manieur de sabres baissa sa lame, convaincu que cette personne était inoffensive.

-Que s'est-il passé ? Demanda-t-il gravement.

Soulagée que son invité ait enfin baissé son arme, Nilam s'adossa au plan de travail.

-J'étais en train de m'occuper du potager quand j'ai entendu un appel au secours. Quand je suis arrivée, tu t'es écroulé et j'ai dû te transporter jusqu'au canapé. Je t'ai donné à boire et tu as perdu connaissance tout de suite après, alors j'en ai profité pour te soigner et je t'ai laissé te reposer, voilà.

L'individu rangea sa lame dans son fourreau, gêné.

-Désolé de t'avoir menacé, mais j'ai beaucoup de mal à faire confiance aux gens ces temps-ci.

Soulagée, Nilam se laissa glisser sur le sol.

-Ça ne fait rien, j'aurais dû m'attendre à ce genre de réaction.

Le jeune homme regarda de gauche à droite.

-C'est chez toi ici ? On est en plein milieu d'une plaine, non ?

-Oui, je vis ici. Je suis un peu isolée, le village le plus proche se trouve à un kilomètre.

Après avoir repris ses esprits, la jeune fille se releva et saisit une poêle de pommes de terre.

-J'étais en train de préparer à manger, tu dois mourir de faim !

-C'est vrai, je n'ai rien avalé depuis plusieurs jours...

-Je t'en prie, assieds-toi !

Le blessé tira une chaise en bois sans un mot et prit place sur la table, sans quitter son hôte des yeux. Il était intrigué par sa serviabilité. Ce n'était pas tous les jours qu'un inconnu le recueillait chez lui, le soignait et le nourrissait. C'était le contraire en général : le monde l'évitait comme la peste, de peur d'avoir des ennuis. Était-il possible qu'elle ne sache pas qui il était ?

-Ça t'arrive souvent d'héberger de parfaits inconnus ? Demanda le sabreur.

Nilam déposa une assiette de pommes de terre face à son invité et pris elle-même place face à lui.

-Pas du tout, c'est la première fois que quelqu'un aussi mal en point atterrit devant chez moi.

-Tu ne t'es pas demandé si j'étais clean ? Je suis peut-être un dangereux criminel, qui sait...

Il planta sa fourchette dans une patate et la porta à sa bouche, tandis que la jeune fille serrait les poings sur la table, le front suant discrètement.

-À ce moment-là, tu n'étais qu'un homme blessé à mes yeux. Mais sache que si tes intentions sont mauvaises, je sais me défendre !

L'inconnu eut un sourire en coin des plus ironiques.

-Je n'en doute pas une seconde.

-Si, tu en doutes ! Râla Nilam.

-Rappelle-moi qui a bien failli avoir une crise cardiaque tout à l'heure ?

La jeune fille croisa les bras, la mine renfrognée.

-Ce sont des choses qui arrivent quand on menace des gens avec un sabre !

Le sabreur dévora une deuxième pomme de terre d'une seule bouchée, toujours aussi amusé.

-Relax, je ne te ferais aucun mal.

Dans un sens, Toya se sentait bien soulagée qu'il lui affirme ceci. Il se trimballait tout de même avec trois sabres... d'ailleurs... ça lui rappelait quelque chose...

-Ces lames sont à toi ? Demanda-t-elle.

-Ouais. J'utilise la technique des trois sabres.

-C'est drôle, tu utilises la même technique que ce chasseur de primes là... Roronoa Zoro !

L'invité fronça les sourcils avec un sourire en coin.

-Tu m'en diras tant. Et... que sais-tu au sujet de ce type ?

La jeune fille soutint sa joue avec sa main, le regard lointain.

-Eh bien, pas grand-chose à vrai dire... d'après ce que j'ai entendu, il devrait avoir mon âge... il commence à se faire connaître un peu partout, grâce à ses talents de sabreur. Tout le monde le voit comme un monstre assoiffé de sang, mais ça m'étonnerait. Je crois qu'il ne s'en prend qu'aux pirates et aux malfaiteurs, jamais aux citoyens, et pourtant, il est craint... peut-être à cause de sa force.

Nilam stoppa son récit et posa son regard bleu sur le visage de Zoro, qui l'observait avec insistance.

Il se passa plusieurs secondes pendant lesquelles les deux se fixaient, jusqu'à ce que la jeune fille se lève brutalement de sa chaise, à la fois surprise et effarée.

-OH MON DIEU, MAIS C'EST TOI RORONOA ZORO !

Le sabreur avala une énième pomme de terre avec indifférence.

-Eh bah t'en a mis du temps pour comprendre.

« J'y crois pas, mais quelle idiote ! » se dit-elle.

-Et... c'est pendant ta chasse aux pirates que tu t'es blessé ?! S'exclama la jeune fille.

-Plus ou moins. J'me suis fait attaquer par surprise, ces gars voulaient se mesurer à moi. J'ai réussi à m'en débarrasser mais j'ai été blessé. Je cherchais un endroit pour m'abriter et j'me suis perdu.

Après avoir vidé le contenu de son assiette, Zoro se leva, la douleur déformant son visage.

-Je dois y aller maintenant, il me faut un forgeron.

-Mais... mais tu n'es pas encore rétabli, il te faut du repos !

-T'inquiète pas pour ça.

Il se dirigea sans un mot vers la sortie, en prenant soin de se munir de ses trois sabres, ses pas quelque peu saccadés à cause de la douleur.

-Attends !

Le sabreur se retourna, et observa une dernière fois le visage de son hôte.

-Le forgeron se trouve sur la colline à la sortie de la ville, expliqua-t-elle. C'est au Nord.

-Merci.

Mais alors qu'il s'apprêtait à franchir le seuil de la porte, il se retourna une dernière fois.

-Au fait, je ne t'ai pas demandé ton nom ?

La jeune fille passa les mains derrière le dos.

-Nilam. Nilam Toya.

-Ok Nilam, peut-être à un de ces jours, qui sait ?

Il quitta définitivement la maisonnette de la famille Toya, encore affaibli par ses blessures, sous le regard admiratif de la jeune fille. Mais alors qu'elle le regardait s'éloigner, elle le vit bifurquer sur la droite.

-Hé ! Le Nord c'est par là ! Lui signala Nilam en pointant la colline droit devant elle.

-Ah, oui. Je le savais.

La rosée croisa les bras et hocha la tête de gauche à droite, amusée.


TO BE CONTINUED


Voilà, j'attends vos impressions avec impatience ! Le chapitre 2 mettra du temps à arriver, le temps que j'avance dans la fic et au cas où je voudrais modifier certains chapitres au fil de l'histoire, mais vous avez un aperçut de ce qui vous attend par la suite !

Merci pour votre lecture, et à bientôt !

~Nifelheim